Bah nous avons tous été jeune … en vieillissant on comprend un peu plus nos parents
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L’excuse
« On croit toujours pouvoir s’en tirer mieux que les autres ; c’est l’excuse de la jeunesse. »
Paul Michaud
Un petit rappel pour plusieurs pays (FBI : 300 000 internautes privés de connexion en juillet) … qu’il était question que plusieurs serveurs seront déconnecté pour mettre fin a des serveurs temporaires pour contré a des réseaux infectés ..
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Photo Fotolia.com
NEW YORK – Des milliers de Canadiens pourraient être parmi les centaines de milliers de personnes à travers le monde qui risquent de perdre l’accès à internet le 9 juillet.
C’est le jour où le FBI va fermer tous les «serveurs propres» mis en place pour lutter contre une opération massive de piratage. La police fédérale américaine a fait savoir en novembre qu’elle avait démantelé un groupe de cybercriminels en Estonie. Il avait réussi à télécharger des logiciels malveillants dans quelque quatre millions d’ordinateurs dans plus de 100 pays.
Le logiciel malveillant «cybercriminel désactive les mises à jour de virus et dirige les consommateurs vers des sites frauduleux. Le FBI estime que le groupe criminel a fait au moins 14 millions $ en «gains mal acquis» par l’entremise de ce qu’on appelle le détournement de clic («clickjacking») et par la fraude de remplacement de publicité.
Au lieu de fermer les serveurs pirates, le FBI les a remplacés par des «serveurs propres» et redirigés les utilisateurs qui n’étaient généralement pas les plus prudents.
Les serveurs de remplacement seront fermés lundi et ceux qui sont encore infectés avec le logiciel malveillant perdront alors leur accès internet.
Le FBI a déclaré qu’il y a encore environ 360 000 ordinateurs infectés dans une douzaine de pays, dont le Canada, mais il existe une solution.
Le Groupe de travail DNS Changer (dcwg.org), mis en place par les agences gouvernementales américaines, permet de détecter les logiciels malveillants et offre des mesures pour les éliminer.
Les Canadiens peuvent également visiter le site web anti-DNS de l’Autorité canadienne pour les enregistrements internet, à l’adresse dns-ok.ca
Bon chez nous quand on fait des oeufs durs on les écalent mais d’autres les laissent dans leur coquille jusqu’au moment de le manger .. alors comment faire la différence entre un oeuf cuit et un oeuf cru
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Oeuf dur ou oeuf frais
Vous désirez savoir si vous avez un oeuf dur ou un oeuf frais lorsqu’ils ont été mélangés par mégarde dans le réfrigérateur? Il suffit de les faire tourner comme une toupie.
Si l’oeuf tourne, il est cuit, mais s’il ne tourne pas, c’est qu’il est frais.
Un animal lent avec une bien drôle de tête mais qui sait conquérir ceux qui le regarde
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Sanctuaire pour paresseux
Les temps ont changé, aujourd’hui, on se préoccupe un peu plus de la sécurité de nos animaux domestiques. Si un animal est en situation de détresse, savoir quoi faire n’est pas évident .. Maintenant, des cours de secourismes animalier sont offert
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Crédit photo : Agence QMI
Céline Dion, instructrice en réanimation, donne un exemple de respiration artificielle sur le chien Brioche dans les bureaux de l’Ambulance Saint-Jean à Montréal.
Par Diane Tremblay | Agence QMI
L’ambulance Saint-Jean offrira bientôt un cours de secourisme pour les animaux de compagnie, comprenant une séance de réanimation cardio-respiratoire de «bouche-à-nez».
L’organisme, dont la mission première est de sauver des vies humaines, a travaillé pendant deux ans, en Ontario, à l’élaboration de cette formation. Au Québec, quatre cours d’essai d’une journée ont été donnés en 2011. Cela a permis de former 44 personnes qui ont obtenu leur attestation.
Maintenant que le programme est bien rodé, l’Ambulance Saint-Jean, qui confectionne et vend des trousses de premiers soins destinés aux chiens et aux chats dans les animaleries, recrute de futurs élèves pour ses cours prévus en septembre.
Selon la directrice administrative pour l’est du Québec, Charline Gauthier- Tremblay, cette initiative fait suite à une demande de la clientèle.
Le contenu du programme, qui contient des ateliers pratiques, se divise en 14 points. Outre la réanimation cardiorespiratoire, des instructeurs enseignent quoi faire en cas d’étouffement, de réactions allergiques et d’intoxications. Le coût a été fixé à 75$.
«Le premier volet traite de la prévention. On demande aux gens de se mettre à quatre pattes pour qu’ils comprennent les dangers qui sont à la portée de leur animal, comme les prises électriques» , décrit Mme Gauthier- Tremblay.
Pour ses démonstrations, l’Ambulance Saint-Jean a recours à un mannequin chien et à des animaux en peluche.
«On ferme la gueule de l’animal et on souffle dans son nez. Il existe des masques, mais en situation réelle, les gens n’ont pas le dédain parce que c’est leur propre animal», a ajouté Céline Dion, instructrice.
Les étudiants, qui apprennent aussi le massage cardiaque, ne sont pas obligés de pratiquer la ventilation s’ils ne se sentent pas à l’aise avec cette manoeuvre.
Céline Dion pratique un massage cardiaque sur un mannequin chien. (Crédit photo : Agence QMI)
Au dire de Mme Gauthier-Tremblay, la relation homme- chien n’est plus ce qu’elle était.
«Les gens sont très attachés à leurs animaux. Ils font partie de la famille. Ce sont des membres à part entière. Ç’a changé avec le temps. C’est pourquoi les gens sont plus intéressés à connaître les soins à donner en cas d’urgence. C’est de plus en plus populaire», dit- elle.
Par animaux de compagnie, on entend aussi bien les furets que les oiseaux. La directrice rappelle que ces cours ne remplaceront pas les soins prodigués par les vétérinaires.
«C’est très clair que l’intervention vise uniquement à stabiliser l’animal. Comme pour les humains, les premières secondes sont souvent cruciales.»
Plusieurs personnes ont déjà manifesté de l’intérêt.
C’est une étude surprenante mais qui ne m’inquiète pas vraiment malgré mes chats … car ce n,est pas vraiment les chats qui seraient la cause, mais peut-être un point commun …
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Crédit photo : Gracieuseté
Agence QMI
Les femmes qui possèdent des chats sont plus susceptibles de se suicider, mais cela n’a rien à voir avec le stéréotype de la «femme chat» solitaire, selon une nouvelle étude.
Des chercheurs de l’Université du Maryland ont constaté que les femmes infectées par le parasite T. gondii, qui peut être contracté lors du changement de la litière, étaient une fois et demie plus susceptibles de tenter de se suicider.
«Nous ne pouvons pas dire avec certitude que T. gondii incite les femmes à tenter de se suicider, mais nous avons trouvé une association prédictive entre l’infection et les tentatives de suicide plus tard dans la vie, qui mérite des études supplémentaires», a déclaré dans un communiqué Teodor T. Postolache de l’Université du Maryland, qui est l’auteur principal de cette étude.
En analysant les données de 46 000 femmes danoises, les chercheurs ont constaté non seulement une corrélation entre les niveaux croissants d’anticorps contre le T. gondii et le risque plus élevé de suicide, mais aussi un risque accru de suicide violent.
Tous les animaux à sang chaud peuvent être infectés par le parasite et environ un tiers de la population animale mondiale est déjà infectée.
Manger des légumes non lavés ou de la viande crue et boire de l’eau à partir de sources contaminées peut aussi infecter les humains par T. gondii.
«T. gondii est un problème majeur de santé publique partout dans le monde, et beaucoup de gens ne réalisent pas qu’ils sont infectés», a dit le docteur Albert Reece, doyen de l’École de médecine de l’Université du Maryland.
La guerre et la dictature apportent trop de victimes innocentes. Des enfants font souvent les frais de la bêtise humaine. Quand des temps plus calmes reviennent il est difficile de recoller les morceaux
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Durant la dernière dictature argentine, des centaines d’enfants de dissidents ont été volés par les militaires. L’association des Grand-mères de la place de Mai a obtenu le droit de faire réaliser des tests ADN sur les personnes soupçonnées d’appartenir à leur famille.
PHOTO: WALTER ASTRADA, ARCHIVES AP
Alice Pouyat, collaboration spéciale
La Presse
(Buenos Aires) Trente ans après la fin de la dernière dictature militaire en Argentine, des enfants de dissidents politiques arrachés à leurs parents tentent de retrouver leur identité. Notre collaboratrice a rencontré l’un d’eux.
Victoria Montenegro fait partie des enfants volés par les militaires durant la dernière dictature argentine. À 36 ans, elle a retrouvé sa vraie famille et tente de reconstruire une identité éclatée.
Elle nous donne rendez-vous dans un café qui porte son nom, Victoria. Tout un symbole. Car ce nom, son identité, c’est le combat de toute sa vie. Victoria Montenegro, Argentine de 36 ans, s’est longtemps appelée María Sol, prénom choisi par celui qui l’a élevée, le lieutenant-colonel Herman Tetzlaff.
«Comme beaucoup de petites filles, j’ai été amoureuse de celui que je croyais être mon père», confie la belle brune.
Mais, à 25 ans, María Sol apprend que l’homme en qui elle place toute sa confiance est en réalité son ravisseur et, pire que cela, le meurtrier de ses vrais parents.
En 1976, le père et la mère de Victoria, membres de la guérilla trotskyste, «disparaissent», abattus clandestinement comme des milliers d’opposants durant la dictature. Le lieutenant Tetzlaff, qui a participé à l’opération, récupère leur bébé de 6 mois, change son nom et sa date de naissance. Élevée dans un cadre très strict, Victoria n’a jamais douté de sa filiation «en dépit de [sa] peau foncée chez ces grands blonds descendants d’Allemands».
Mais, avec le retour de la démocratie, l’étau de la justice se resserre sur le lieutenant. L’association des Grands-mères de la place de Mai obtient le droit de faire réaliser des tests ADN sur les personnes soupçonnées d’appartenir à leur famille.
Quelques années plus tard, Victoria «apparaît», comme elle le dit: elle apprend qu’elle n’est pas la fille du lieutenant.
Une réalité d’abord trop difficile à accepter. Dans un premier temps, elle défend son faux père, garde même chez elle l’arme du crime confiée par le militaire lors de son arrestation.
«J’ai grandi dans la haine des associations de défense des droits de l’homme. Mes ravisseurs les qualifiaient de menteuses et de subversives. Je pensais qu’ils m’avaient gardée pour me sauver», explique-t-elle.
Puis, peu à peu, Victoria ouvre les yeux. Elle est aidée par l’élection du président Nestor Kirchner en 2003, qui annule les lois d’amnistie envers les militaires et réhabilite la mémoire des dissidents.
«J’ai compris que la vérité, aussi douloureuse qu’elle soit, est libératrice», clame aujourd’hui Victoria.
Sans rompre complètement les liens avec la famille du lieutenant pour qui elle dit «ne pas avoir de haine», elle se rapproche de sa famille biologique. Grâce à d’intenses recherches, en mai 2012, elle a pu retrouver le corps de son vrai père, jeté à la mer par des militaires et enseveli dans une tombe anonyme en Uruguay.
Jour après jour, Victoria Montenegro reconstruit son identité et milite pour que cette histoire ne se répète pas. Promue secrétaire des Droits de l’homme d’un parti péroniste, et mère de deux enfants, elle se dit plus forte et plus heureuse que jamais.
«Le bonheur est un procédé de résistance. C’est ce dont rêvaient mes parents, morts pour un avenir meilleur, affirme-t-elle. Ce bonheur est notre plus belle victoire.»
Je comprend qu’a la plage, les sauveteurs ont une zone délimités a surveillée mais de là a faire perdre l’emploi a un sauveteur qui a sauver une vie en dehors de la zone m’apparait vraiment idiot Cela montre qu’il est attentif a son travail .. Enfin si la personne en difficulté serait noyé, le jeune homme aurait t’il pu regarder la scène en se croisant les bras tout simplement parce que c’est le règlement ?
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Crédit photo : archives
Tomas Lopez, âgé de 21 ans, a perdu son emploi pour avoir quitté momentanément sa zone de surveillance, le temps de porter assistance à un homme qui se noyait plus loin.
TVA Nouvelles
Un jeune sauveteur a été éjecté de son trône sur la plage pour avoir posé un geste pourtant héroïque.
Tomas Lopez, âgé de 21 ans, a perdu son emploi pour avoir quitté momentanément sa zone de surveillance, le temps de porter assistance à un homme qui se noyait plus loin.
Le hic: le sauveteur aurait négligé la zone qu’il était payé pour surveiller, lorsqu’il s’est aventuré dans un secteur non protégé de la plage à Hallandale Beach, en Floride, pour y secourir un surfeur en danger.
«J’ai quitté ma place afin de faire le travail pour lequel j’ai été entraîné», a expliqué le principal intéressé au site web SunSentinel.com.
Solidaires, deux de ses collègues ont quitté en guise de protestation.
«Qu’est-ce qu’il aurait dû faire? Regarder l’homme se noyer?» s’est interrogé l’un d’entre eux, perplexe.
Les porte-parole de la compagnie qui a mis le sauveteur à la porte ont déclaré qu’en se comportant de la sorte, Tomas Lopez avait mis en danger les gens dont il devait assurer la sécurité. L’entreprise aurait pu ultimement être poursuivie, ont-ils ajouté.
«Nous avons des responsabilités et pour cette raison, il est interdit de quitter la zone que nous surveillons», a expliqué Susan Ellis, une superviseure. «C’était sa décision de quitter son poste. Il connaissait les règles et il a fait ce qu’il estimait être le mieux», a-t-elle poursuivi.
Après le sauvetage, Lopez raconte avoir été convoqué au bureau de son patron, qui lui a demandé de remplir un rapport d’incident. Immédiatement après, il a été mis à la porte.
«Ils ne me l’ont pas dit méchamment. Ils disaient être désolés, mais m’ont rappelé que les règles sont les règles», a rapporté le jeune sauveteur, qui confie néanmoins ne pas en avoir cru ses yeux.
Un rapport sur l’accident nucléaire à Fukushima qui je pense est assez près de la réalité surtout qu’on a négligé avant le tsunami de faire des corrections sur des possibilités d’une telle catastrophes
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L’accident nucléaire survenu à la centrale Fukushima-Daiichi constitue « un désastre créé par l’homme » et n’est pas seulement le fruit du séisme et du tsunami dévastateurs qui ont ravagé le nord-est du Japon le 11 mars 2011, a conclu jeudi une commission d’enquête mandatée par le gouvernement.
« Il est clair que cet accident est un désastre créé par l’homme. Les gouvernements passés et en place à ce moment-là, les autorités de régulation et Tokyo Electric Power (Tepco) ont failli à leur devoir de protéger la vie des gens et la société », a-t-elle écrit dans son rapport final de 641 pages.
Les experts relèvent notamment des failles dans la réponse apportée par l’ancien premier ministre japonais Naoto Kan, qui a d’ailleurs démissionné l’an dernier après avoir essuyé des critiques par rapport à sa gestion de la crise.
Après six mois d’enquête et d’entretiens avec plus de 1100 personnes, les experts concluent que les agences de régulation ont fait preuve de réticences à adopter les normes de sécurité internationales, qui auraient pu éviter ce désastre ayant fait quelque 20 000 morts et disparus.
La catastrophe avait aussi contraint 150 000 personnes à quitter leur maison, en plus de libérer des quantités importantes de substances radioactives à des kilomètres autour de la centrale.
Ce rapport survient le jour même où le réacteur numéro 3 de la centrale nucléaire d’Ohi, gérée par la société Kansai Electric Power, a été remis en fonction. Il avait été fermé à la suite de l’accident survenu à Fukushima pour des raisons de sécurité nationale.
Les 50 autres réacteurs du pays sont quant à eux toujours à l’arrêt pour subir des opérations de maintenance et des contrôles de sécurité. Les conclusions de la commission d’enquête pourraient maintenant avoir un impact sur le redémarrage de réacteurs nucléaires au Japon.
La série d’accidents nucléaires provoquée par le séisme et le tsunami qui ont dévasté le nord-est du Japon le 11 mars 2011 est considérée comme l’une des pires que l’histoire a connues.
Ce document présenté jeudi est la version définitive du rapport d’étape publié en décembre 2011, qui déjà, mettait en cause le manque de préparation et d’organisation du gouvernement japonais et de l’exploitant de la centrale Fukushima-Daiichi dans leur gestion de la crise nucléaire.
Selon les experts, le gouvernement aurait sous-estimé les risques de tsunami en tablant sur des vagues ne dépassant pas six mètres de hauteur. Lorsqu’elles ont frappé de plein fouet les côtes du nord-est du Japon, le 11 mars, elles mesuraient en fait plus du double à certains endroits.
Le rapport blâme également l’exploitant de la centrale nucléaire, Tepco, pour avoir mal évalué la probabilité d’un tsunami de cette envergure et pour ne pas avoir pris les dispositions nécessaires.
En 2008, Tepco avait simulé un tsunami de plus de 15 m de haut, dont les vagues atteignaient la centrale Fukushima. Aucune initiative n’a toutefois été prise par la suite, car ils ont jugé peu probable qu’une telle catastrophe ne survienne, précisent les experts.
Ces derniers déplorent une mauvaise communication, tant entre les techniciens qu’entre les autorités. Ces dernières ont d’ailleurs rapidement été blâmées pour avoir tardé à révéler la gravité de la situation et à évacuer les zones touchées.
Radio-Canada.ca avec AFP, Reuters et Al-Jazira