Ne pas laisser la souffrance de l’âme nous envahir laisser entrer une lueur d’espoir
Nuage
Le désespoir
« Le désespoir, c’est quand l’intelligence prend la souffrance à son compte. »
Georges Perros
Bizarrement, la prostitution est un sujet d’actualité présentement au pays et c’est comme un adon … Je ne suis pas pour la prostitution, surtout que ces filles ont souvent des problèmes de consommation de drogues et d’alcool .. Mais par contre, on juge ces filles qui sont trop souvent maltraitées, ont les pointent du doigts, alors qu’on ne parle pas vraiment des hommes qui les utilisent, on passe cela sous silence …
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Prostituée
Trop de néon, trop de lumière
Mettre à jour la nuit des mystères
Le ciel efface ses étoiles
Et cache sa lune sous sa toile
Le vent hurle son amertume
Malgré les obstacles en bitume
Nul n’entend ses accusations
Qui dénonce toutes agressions
Et cette ville illuminée
Accepte d’être contaminée
Par le vice qui corrompt les êtres
Leurrer les effets du mal-être
Ce n’est que dans l’obscurité
Que des ombres sans dignité
Quêtent pitance à contre gré
Vendant leur corps trop déluré
Je suis prostituée, une pute
On me prend et me persécute
Vous ne voyez donc pas en moi
Ma faiblesse, mon désarroi
Je erre parmi vous
Je tâte votre pouls
Je vous fais du charme
Cela vous désarme
Un peu de chaleur
J’offre ma douceur
Contre un peu d’argent
Soyez indulgent
Car, j’ai peur de votre colère
Quand vous êtes homme adultère
Où que vous usez de violence
Quand vos désirs deviennent outrances
Que je sois fille ou femme, qu’importe
C’est vous qui frappez à ma porte
Puis, me laisser dans mon enfer
Comme si je n’étais qu’un cancer
Je veux vivre sans nulle crainte
Laisser dans les coeurs mon empreinte
Que j’ai exister dans ce monde
Et non d’être une personne immonde
Oui, je veux aimer pour l’amour
Je veux être aimé à mon tour
Sans drogue, ni sans illusion
Aucune discrimination
Rachel Hubert (Nuage) Saïd
3 Avril 2004
Surement que malgré la douleur et l’épouvante la famille seront tranquille que tout les membres de Jun Lin a été retrouver. Il ne manquait que la tête et voilà qu’elle est aussi retrouvé …
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Crédit photo : Agence QMI
Agence QMI
Consultez la chronologie de cette affaire
La tête retrouvée ce week-end dans le parc Angrignon, dans l’arrondissement de LaSalle à Montréal, est bel et bien celle de Jun Lin, la victime du présumé «dépeceur» de Montréal Luka Rocco Magnotta. C’est ce qu’a confirmé le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), mercredi après-midi, dans un communiqué.
C’est une information reçue par les enquêteurs des crimes majeurs dans le dossier Magnotta qui les avait menés au parc Angrignon, dimanche.
Le SPVM ne pouvait alors confirmer qu’il s’agissait bel et bien de la tête de Jun Lin, ce ressortissant chinois dont le corps a été retrouvé démembré à Montréal et Ottawa.
Les restes humains avaient été envoyés pour analyse au Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale de Montréal.
Mercredi, la police refusait toujours de confirmer si l’information qui les a menés à la tête de Jun Lin provenait de Magnotta lui-même ou d’une autre source.
Depuis l’arrivée de Magnotta au Canada, après sa cavale d’une semaine en Europe au terme de laquelle il a été arrêté à Berlin, les enquêteurs du SPVM tentaient d’obtenir des aveux du présumé tueur, essayant principalement de savoir où se trouvait la tête de sa présumée victime.
La découverte de la tête humaine de Jun Lin était un élément manquant important pour les enquêteurs, après une série de macabres découvertes un peu partout au pays.
Le tronc de Jun Lin a été découvert dans une valise placée dans un amas d’ordures dans le secteur de Côte-des-Neiges le 29 mai dernier.
La même journée, deux colis envoyés à partir de Montréal contenant respectivement un pied et une main avaient été retrouvés à Ottawa. Le pied humain avait été expédié au siège social du Parti conservateur, alors que la main était destinée au siège social du Parti libéral du Canada.
Quelques jours plus tard, soit le 5 juin dernier, deux autres colis contenant un pied et une main et provenant aussi de la métropole ont été découverts dans deux écoles de Vancouver.
Des analyses ont plus tard permis de démontrer que ces membres humains appartenaient tous à Jun Lin, un étudiant chinois de l’Université Concordia.
Luka Rocca Magnotta a été formellement accusé du meurtre prémédité de Jun Lin le 19 juin au palais de justice de Montréal. L’homme de 29 ans a aussi été accusé d’outrage à un cadavre, d’avoir produit et distribué du matériel obscène, d’avoir utilisé la poste pour envoyer du matériel obscène et de harcèlement envers le premier ministre Stephen Harper ainsi que des membres du Parlement.
Les avocats de Magnotta n’ont pas demandé d’évaluation psychiatrique de leur client. Ayant plaidé non coupable aux chefs d’accusation, l’accusé doit donc subir un procès devant jury.
L’enquête préliminaire de Magnotta est prévue pour mars prochain, alors qu’une conférence préparatoire devrait se tenir en janvier 2013.
Nous avons cette fâcheuse habitude de nous dévalorisé et je pense que c’est un côté que les femmes excellent Les mots que nous choisissons précèdent l’attitude face a nous-même et celle que l’on projettent .. Nous devrions changer nos tournure de phrases pour les rendre positive
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10 phrases négatives à ne plus prononcer
Sans s’en rendre compte, on a la fâcheuse habitude de dire des phrases négatives, au sens propre comme au figuré. En les disant, on se place d’avance en position de perdant, de fataliste ou de victime. On se tape sur la tête (ou sur celle des autres!) au lieu d’être source de motivation, de support ou d’encouragement. Les prononcer, c’est entrer dans un engrenage pernicieux qui nous draine vers le bas au lieu de nous propulser vers l’avant!
Plus encore, lorsqu’on s’exprime avec des phrases négatives, on a un impact négatif (vous l’aviez deviné!) sur notre entourage. Celui-ci est notamment moins enclin à prendre en considération ce qu’on dit. Il est donc important d’utiliser au maximum des tournures de phrases positives.
Voici 10 exemples de phrases que l’on dit souvent et qui nous nuisent réellement. On vous explique pourquoi et on vous suggère des alternatives positives.
«Je n’y arriverai pas»
On part avec une attitude de perdant. Pas surprenant qu’on n’y arrive pas. Et devant l’échec, on se dit « J’ai bien fait de ne pas avoir d’attentes! ». Au contraire, vous vous attendiez à ne pas avoir de succès, vous avez réussi. Qui sait si vous étiez partie avec une attitude gagnante, vous auriez peut-être réussi aussi!
Solution : On dit plutôt « Je vais tout faire pour y arriver », « Je me donne les moyens de réussir » ou « Je vais essayer ».
«Je m’excuse»
On a souvent tendance à s’excuser pour tout et pour rien. Un peu plus et on s’excuse d’exister! L’idée n’est pas de ne jamais s’excuser pour un tort ou une faute, non! Mais il n’est pas toujours nécessaire de se confondre en excuses.
Solution : On s’excuse, soit, mais pas à répétition ni à outrance.
«Je vous dérange?»
On veut rejoindre des collègues qui mangent ensemble et on les aborde avec cette phrase… Elle en dit long sur notre estime de soi. On doute, on hésite et quand on fonce, on doute encore. Attitude défaitiste!
Solution : On demande simplement « Je peux me joindre à vous? » et on n’en reparle plus.
«Je suis bien tarte/poche/nulle/conne»
Et toutes les variantes comme « Voyons, niaiseuse! J’ai oublié d’acheter du sel à l’épicerie »! Ce sont de petites allusions personnelles dirigées vers soi, mais elles blessent cruellement à la longue. On ne s’autoflagelle pas pour si peu!
Solution : Chaque fois qu’on s’entend dire cela, on s’arrête. Et on se fait un compliment.
«C’est le destin! Je ne peux rien changer!»
Bien sûr, en blâmant le destin, on se déresponsabilise. Oui, parfois le destin nous joue des tours. Mais on ne passe pas sa vie à tout mettre sur le dos du destin (ou des autres!). On aurait l’air de subir sa vie au lieu de la vivre.
Solution : On prend notre destin en mains et on dresse la liste de tout ce sur quoi on a un certain contrôle.
«Je n’ai pas le temps!»
Quelle denrée rare et précieuse que le temps! Mais refuser les invitations, blâmer le manque de temps pour notre manque d’initiative, prétexter avoir un agenda trop rempli pour prendre le temps de s’amuser, c’est se condamner à jouer la victime. Ce n’est plus in de se croire trop occupée!
Solution : On choisit, on priorise et on trie dans nos activités. Du temps, on en a toujours si on en a vraiment envie.
«Je ne suis pas assez…»
Allez! Complétez par ce que vous voulez : maigre, riche, fonceuse, compétitive, gentille, patiente, etc. On est capable d’énumérer une longue liste de nos défauts et de tout ce qu’on n’aime pas chez soi. Mais que fait-on pour la changer. C’est beau le dire, mais il faut aussi agir!
Solution : On prend les termes de l’énumération et, au lieu de s’apitoyer sur notre sort, on trouve une action que l’on peut faire pour changer.
«Tu ne fais jamais rien de correct»
Des mots (trop) forts : JAMAIS et RIEN. C’est rarement vrai. On les dit sous l’effet de la colère, mais leurs conséquences peuvent être fâcheuses et blessantes.
Solution : On pèse davantage nos mots et on bannit les généralités comme JAMAIS, RIEN et TOUJOURS.
«Il faudrait que…»
Exemple: « Il faudrait que je fasse le ménage sinon mes invités vont croire que je suis paresseuse ». C’est la suite qui comporte une tournure négative. Cette formulation qui ressemble à une tâche (ou même un fardeau) nous met de la pression sur les épaules souvent pour plaire à d’autres. Ça ne reflète pas ce qu’on veut, ce qu’on désire ou ce qu’on espère. Cette phrase nous dicte une façon de penser, de faire ou nous rappelle une convention à laquelle on devrait se plier.
Solution : On change nos « Il faudrait que… » par des « J’aimerais… ». Voyez si l’affirmation se tient toujours « J’aimerais faire le ménage… »
«C’est plate!»
Que ce soit votre emploi, le party de fête d’une amie, une sortie au cinéma, une rencontre de famille, une émission de télévision, les courses à faire ou n’importe quelle tâche ou activité, si on part avec l’idée que ce sera plate à faire et que ça ne nous tente pas, il faut ensuite que ce soit vraiment plaisant pour nous faire changer d’attitude. Et puis si on est persuadé que ce sera si pénible pourquoi s’astreindre à le faire? Parce que c’est plus facile de chialer que de faire une action pour changer les choses? Probablement. Mais c’est le meilleur moyen de s’assurer de vivre dans le négativisme total!
Solution : on change ou on assume.
Il en a des petits voir minuscules, des plus gros, des beaux, des laids, dans comestibles, des mortels .. d,autres qui rends malades, dans les bois, les maisons, sur les arbres .. les champignons il y en as partout
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Chapeau sur pied
C’est désolant, ces femmes vendent leur cheveux a un prix dérisoires pour avoir de quoi manger alors que ces cheveux naturels sont vendu pourtant a bon prix .. Des gens se font expulsé de leur village sans compensation et on profite de leur pauvreté pour permettre a d’autres femmes a être coquette. C’est franchement épouvantable
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Kheng Chen a sacrifié sa chevelure en janvier pour un peu moins de 8 dollars [6,50 euros]. Elle est aujourd’hui triste d’avoir la tête tondue, car elle paraît plus que ses 48 ans. Mais dans quelques mois, quand ses cheveux auront repoussé, elle compte les vendre à nouveau.
« Toutes les femmes aiment les cheveux et veulent être belles, dit-elle. Mais, entre la beauté et la faim, que dois-je choisir ? »
Kheng Chen n’est pas la seule à être torturée par ce dilemme. Elle vit dans la province de Kandal [qui entoure la capitale Phnom Penh], dans le village de Srah Po, où ont été relogés les expulsés de Borei Keila [en janvier, 133 familles ont été chassées par des agents de sécurité aux ordres du promoteur immobilier Phan Imex]. Chen fait partie de la trentaine de femmes qui ont décidé de céder leur chevelure contre de l’argent. Un brin honteuses, la plupart d’entre elles portent un foulard pour cacher leur coupe de garçon manqué.
Le site de la société Arjuni, spécialisée dans le commerce de cheveux naturels.
Le commerce de cheveux naturels [pour les perruques ou les extensions] n’est pas nouveau. Au Cambodge, pourtant, il n’en est qu’à ses débuts. La société Arjuni, implantée à Phnom Penh, se fait une place dans ce secteur traditionnellement dominé par l’Inde et la Chine, écrivait récemment The New York Times. Janice Wilson, sa directrice, affirme que le cheveu cambodgien ressemble au cheveu indien.
« L’Inde représente quelque chose comme 99 % du commerce mondial de cheveux. Jusqu’ici, personne n’avait pensé au Cambodge », observe-t-elle.
A Srah Po, ces transactions font désormais partie du quotidien. Au guidon de leur moto, les courtiers vietnamiens se présentent au milieu des huttes recouvertes de bâches bleues. Ils viennent une à deux fois par mois pour faire du démarchage.
Le prix dépend de la longueur et de la qualité du cheveu. Saom Sokunthea, 42 ans, a négocié sa chevelure pour 7 dollars [5,60 euros]. Elle n’avait d’autre choix afin d’acheter du riz pour ses trois enfants. Mais, en renonçant à ses cheveux, elle a réveillé en elle des souvenirs douloureux :
« Si mon mari avait été vivant, il ne m’aurait pas autorisée à les vendre, même si nous étions en train de mourir de faim. Il les chérissait tellement ! »
Yoeun Soeun, 32 ans, a cédé les siens il y a trois mois pour 12 dollars [9,60 euros]. Le bon prix qu’elle en a tiré s’explique, selon elle, par sa jeunesse et par le fait qu’elle se rendait souvent chez son coiffeur.
Elle retire son chapeau et passe sa main dans ses cheveux noirs. Avant de le remettre précipitamment.
« Personne ne le fait de gaîté de cœur, mais, quand il n’y a pas d’autre solution, que voulez-vous ? Dans mon village, presque toutes les femmes sont ainsi devenues du jour au lendemain des grand-mères. »
[Traditionnellement, au Cambodge, il est courant que les femmes âgées se rasent la tête.]
Cela est une drole de situation pour le restaurant mais parait-il le client a toujours raison ou presque !!! Je ne crois pas que ce restaurant va cesser de servir au menu des crustacés … après un tel sauvetage
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PHOTO: ROBERT SKINNER, LA PRESSE
Agence France-Presse
Rome
Un couple de touristes allemands a commandé à souper des crustacés pour un montant de 500 euros (environ 640 $) dans le seul but de les libérer et de les remettre en mer, a rapporté mardi le quotidien sarde L’Unione Sarda.
La soirée romantique des deux vacanciers dans le restaurant «Mama Latina» à Cala di Volpe, sur les bords de la Costa Smeralda, dans le nord-est de la Sardaigne, s’est transformée en opération sauvetage de crustacés.
En voyant les langoustes et les homards vivants dans la vitrine du restaurant, la jeune femme a demandé à son mari de les acheter pour les jeter en mer.
«Quand la femme est entrée dans le restaurant, elle a tout de suite observé les crustacés», raconte l’un des responsables du lieu. «Puis elle est ressortie fumer une cigarette. Quand elle est revenue, elle m’a demandé s’ils étaient encore vivants et si elle pouvait les acheter», a-t-il ajouté.
Un des clients a d’abord tenté d’expliquer aux deux Allemands que ces animaux risqueraient de ne pas survivre ou d’être de toute manière repêchés. L’un des responsables du restaurant a ensuite négocié la libération des crustacés contre 500 euros, sous le regard curieux des clients.
«Cela fait 10 ans que suis ici et je n’ai jamais vu une chose pareille», a commenté le patron de «Mama Latina», selon plusieurs sites internet.
Il y a des fois que les femmes sont vraiment méchantes entres elles … Bon même si ce sondage est fait au Royaume Uni, je ne serais pas surprise que le résultats soient semblables au Canada, USA et même bien d’autres pays en Europe …
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Sabotage
Photo Jiri Miklo – Fotolia.com
Près de la moitié des femmes qui ont répondu à un sondage réalisé au Royaume-Uni ont dit publier des photos peu flatteuses d’autres femmes sur les réseaux sociaux, en sachant très bien qu’elles vont détester ça.
L’enquête a révélé que 24 % des répondantes avaient délibérément mis en ligne et identifié une photo peu flatteuse d’une amie en bikini, tout en sachant que l’amie en question ne serait pas contente.
Un peu moins de la moitié des personnes interrogées, soit 45 %, avait fait la même chose avec la photo d’une amie dans une tenue peu flatteuse, et 41 % ont publié des photos de leurs copines sans maquillage.
Mais le pire, c’est la motivation derrière ce geste, que MyMemory.com, le site de photos souvenirs ayant mené l’enquête, qualifie carrément de «sabotage photo».
De toutes les femmes qui ont commis des actes de «sabotage photo», 51 % ont dit l’avoir fait parce qu’elles n’aimaient pas leur soi-disant amie. Un autre 32 % l’a fait pour se venger, parce que leur amie avait affiché en premier une mauvaise photo d’elle.
MyMemory.com a interrogé 1512 femmes âgées de 18 ans et plus.