Parole d’enfant ► Une meute, un troupeau … un banc ..heu !!!


La logique enfantine, il n’y a que ça de vrai
Nuage

 

Une meute, un troupeau … un banc ..heu !!!

 

Après la visite d’un grand aquarium, j’explique à Jules, mon petit-fils que les animaux vivant en groupe porte des noms. Ex. beaucoup de chiens; une meute; beaucoup de moutons; un troupeau, beaucoup de poissons; un banc.

Après réflexion, il me dit : « Quand il n’y a qu’un poisson, c’est un tabouret » »

Jules 6 ans

Il est minuit


Pour ceux qui cherche et ne trouve pas l’amour de leur vie
Pour ceux qui ont tant rêver,  mais rien ne viens
Peut-être un jour, ou un soir quelqu’un viendra frapper a votre porte
Nuage

 

Il est minuit

Il est minuit 
Et tout est calme
Le rêve s’enfuit
Mais sans vacarme

Dans mon château
Ou mon palais
Plus rien n’est beau
Plus rien me plait

J’attends l’appel
Qui ne viens pas
Destin cruel
Quel embarras !

Les chiens aboient
Pour adoucir
Mon désarrois
Vers l’avenir

On nous surnomme
Les oubliés
Qui sont en somme
Des estropiés

Quêtant pitance
D’un peu de vie
Sans arrogance
Ni eau-de-vie

Il est  minuit 
J’attends encore
Et je m’ennuie
Mais ont m’ignore

Comme autrefois
Dans la nuit sombre
J’attends ta voix
À travers l’ombre

À cet instant
Tout m’abandonne
Tout est distant
Que j’en frisonne

Dois-je ruser ?
Ou bien mentir ?
Dois-je oser ?
Ou m’abêtir ?

Le moi devient scène
Jouant tragédie
Avec ton haleine
Noyant l’hérésie

Mes nerfs sont rouillés
Mes cellules éclatent
Ma peau est mouillé
Mon coeur se dilate

Il est minuit 
J’attends  toujours 
Qu’il me réjouit
Ce grand  amour 

Seul sur ce point
Coupé du monde
Le mal s’enjoint
Puis se féconde

À mon chagrin
Qui se poursuit
Vers le déclin
Comme la nuit

Une déception
Ou bien la peur
Ou suspicion
D’idées trompeurs

Tout ce silence
Prive mon coeur
D’une joie immense
D’ou ma rancoeur

Il est minuit
Puis je m’endors
Sans aucun bruit
Dans les remords

Me réveillé ?
Non, non et non
Me réveillé
?
Encore non

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
12 Mars 2004

Le saviez-vous ► Les idées reçues sur les animaux


Il y a certaines légendes urbaines qui circulent encore sur nos animaux comme par exemple … la courte mémoire des poissons rouges, ou que les vers ont le don de multiplication …. Mais qu’est la vérité vrai
Nuage

 

Les idées reçues sur les animaux

 

Les écureuils ne mangent que des noisettes

 

l'écureuil aime aussi les noix, les graines de tournesol, les glands...

L’écureuil aime aussi les noix, les graines de tournesol, les glands… © Edith Fernandez

L’image d’Épinal du petit écureuil roux et de sa provision de noisettes pour l’hiver fait partie de ces idées reçues pas totalement fausses, mais un peu étranges. Le noisetier n’est pas l’arbre qu’on croise le plus fréquemment, et pourtant les écureuils ne meurent pas de faim… En fait, ces petites bêtes se nourrissent de graines en tout genre, en fonction de ce qui est disponible. Avec une préférence pour les noix, les glands et bien entendu, les noisettes.

Les requins sont des mangeurs d’homme

j'ai de grandes dents, mais ce n'est pas pour te croquer mon enfant.

J’ai de grandes dents, mais ce n’est pas pour te croquer mon enfant. © Romain Catros

Les noix de coco aussi

Avec sa mâchoire terrifiante, le requin est injustement affublé du qualificatif « mangeur d’homme ». Déjà, il faut savoir que l’homme ne fait pas partie de l’alimentation du requin : lors d’attaques, l’animal lâche généralement assez rapidement la personne qu’il a mordue, parce que nous ne sommes pas à son goût.

Ensuite, on ne le répétera jamais assez : ce n’est pas parce qu’on parle beaucoup des attaques de requin qu’elles sont fréquentes.

Selon George Burgess, directeur du centre d’étude des requins en Floride, nous avons plus de chances de mourir parce qu’une noix de coco nous tombe sur la tête que parce qu’un requin s’en prend à nous. Tomber dans un trou creusé dans le sable est également plus dangereux. Il est temps d’arrêter la psychose.

Les autruches mettent la tête dans le sable

est-ce que l'autruche a vraiment l'air aussi bête qu'on le prétend ?

Est-ce que l’autruche a vraiment l’air aussi bête qu’on le prétend ? © Genevieve Lapoux

Les autruches font-elles l’autruche ?

On considère généralement l’autruche comme un animal pas bien malin, puisqu’elle est supposée cacher sa tête dans le sable quand survient un danger. En réalité, elle ne le fait pas, d’ailleurs elle aurait bien du mal à survivre avec la tête enterrée.

La légende tirerait son origine du fait que les autruches placent leur tête près du sol lorsque les tempêtes arrivent, afin, certainement, de mieux pouvoir respirer.

Les rats sont sales

un rat dans la nature.

Un rat dans la nature. © Thierry Faucher

Non, pas sales, dégoutants !

Parce qu’ils sont à l’origine de nombreuses épidémies, on considère souvent que les rats sont sales. Cette réputation peu flatteuse provient du fait que les colonies de rats sont souvent des vecteurs de maladies humaines.

Néanmoins, ce n’est pas leur manque d’hygiène qui est en cause, mais leur lieu de vie et éventuellement leurs propres parasites (leurs puces transmettent la peste).

Les plus phobiques vous répèteront à l’envie que les rats, c’est sale : vous pourrez désormais les contredire, car les rats passent une grande partie de leur temps à… faire leur toilette.

Les tigres vivent en Afrique

a l'état sauvage, le tigre est asiatique.

A l’état sauvage, le tigre est asiatique. © Nicolas Milhes

Pur produit asiatique

Animal exotique fascinant, le tigre est couramment représenté dans l’imaginaire des enfants aux côtés d’une girafe ou d’un lion. Or, s’il semble admis par chacun que le tigre parcourt la savane africaine, il n’en n’est rien.

C’est en effet impossible de faire se croiser la girafe qui vit en Afrique et le tigre, originaire d’Asie, mis à part au sein d’un zoo. L’aire de répartition du félin couvre tout l’est asiatique ainsi que l’Inde.

Les moustiques ont besoin de sang pour vivre

les moustiques sont de bonnes mères, voilà tout.

Les moustiques sont de bonnes mères, voilà tout. © Philippe Bronnert

Et entre eux, ils se surnomment « Dracula »

Comme de très nombreux insectes, les moustiques se nourrissent du nectar de fleurs, qui compose la quasi-totalité de leur alimentation.

Mais alors, pourquoi nous piquent-ils ? En fait, la vraie question est « pourquoi piquent-elles ? » car seules les femelles s’attaquent aux mammifères pour leur prélever du sang. Elles ne le font pas tant pour s’alimenter que pour nourrir leurs petits.

En effet, quand une femelle moustique pique, c’est parce qu’elle porte des œufs. Elle a besoin de protéines contenues dans le sang pour que sa progéniture puisse se développer.

Bref, la prochaine fois que vous vous faites piquer, dites-vous que grâce à vous, une nouvelle génération de moustique pourra naître. Ah, ça ne vous rassure pas ?

Les chenilles ont plein de pattes

seules les trois premières paires sont des vraies pattes.

Seules les trois premières paires sont des vraies pattes.© Andre Delesque

C’est un leurre !

Vous pourriez le jurer, vous avez déjà vu des chenilles avec une dizaine de paires de pattes. Cela peut paraître étonnant, puisque sous leur forme de papillon, elles ne possèdent que six pattes. Où peuvent donc bien passer les autres ?

Nulle part, car la chenille n’a que six pattes. En regardant de plus près cet insecte, on découvre que seules les pattes situées à proximité de la tête sont capables de se mouvoir. Les autres excroissances sont des sortes de ventouses qui aident le long corps de la chenille à maintenir son équilibre.

Les taupes sont hémophiles

ce n'est pas parce qu'on ne voit pas ses yeux qu'elle est aveugle.

Ce n’est pas parce qu’on ne voit pas ses yeux qu’elle est aveugle. ©  Peggy Boegner / Fotolia

Une vie à tâtons sans coaguler, youpi

Les taupes accumulent à elles seules un grand nombre d’idées reçues souvent véhiculées par des jardiniers mal renseignés. Entre autres, elles seraient aveugles, hémophiles… Et pourtant, rien de tout ça !

La vue des taupes est adaptée à leur environnement, donc plutôt mauvaise, mais elles ne sont pas aveugles. De plus, contrairement aux légendes qui courent, les taupes ne sont absolument pas hémophiles.

Pour survivre avec peu d’oxygène sous terre,elles ont plus de sang que la moyenne (ce qui peut être impressionnant puisqu’elles saignent beaucoup), mais si elles se coupent, celui-ci coagule tout à fait normalement.

Couper un ver de terre en crée deux

un vers deux terre... euh de terre.

Un vers deux terre… euh de terre. © LeChatMachine / Fotolia

La multiplication des vers…

Certes, si ses organes vitaux ont été épargnés par la coupure, un ver de terre peut potentiellement y survivre : dans ce cas, il reconstituera une petite partie du corps qu’il a perdu.

Mais en aucun cas il ne naîtra deux vers de terre, un à partir de chaque morceau ! Pour que ce soit possible, il faudrait que chaque extrémité de l’animal dispose d’organes vitaux similaires, ce qui est impossible.

Il vaut mieux donc éviter de propager cette rumeur auprès des plus jeunes qui ont vite fait d’aller la vérifier par des expériences de dissection pas franchement ragoûtantes.

Les araignées sont dangereuses pour l’homme

quand on y regarde bien, les araignées ne sont pas si horribles.

Quand on y regarde bien, les araignées ne sont pas si horribles. © Micheline Chiffelle

Pourtant, Spiderman, lui, c’est un gentil

Il ne faut pas se fier à ses quatre paires d’yeux et sa silhouette inquiétante. L’araignée a beau faire peur, elle n’est pas si dangereuse. On entend souvent dire que sa morsure est fatale mais c’est pourtant rarement le cas. Sur les dizaines de milliers d’espèces que compte l’ordre des araignées,moins de 1 % sont venimeuses pour l’homme. Entre 10 et 20 % de celles-ci comportent un réel danger de mort.

Il n’y a pas non plus de raison de croire que l’araignée peut pondre sous la peau, car elle n’en retirerait aucun avantage. Au contraire, elle prend bien soin de ses œufs qu’elle emmaillote dans des cocons pour les protéger des agressions, avant de les laisser dans la nature.

Les chauves-souris sont aveugles

on peut voir les grands yeux de cette chauve-souris de la famille des

On peut voir les grands yeux de cette chauve-souris de la famille des mégachiroptères. © Stéphane Nef

Elles ont des yeux, pourtant

Il existe deux grandes familles de chauves-souris, traditionnellement appelées mégachiroptères, comme la roussette, et microchiroptères, comme les vampires. Les seconds possèdent une sorte de sonar,l’écholocation, qui leur permet de chasser dans le noir. C’est souvent pour cela qu’on pense qu’elles n’ont pas besoin de leurs yeux et sont aveugles.

En réalité, elles ont une vue assez bonne pour que les frugivores repèrent leurs aliments. Il leur serait par ailleurs très difficile de localiser les fruits à l’aide de leur radar, qui ne fonctionne quasiment que sur des cibles mouvantes. Les mégachiroptères n’ont quant à eux pas besoin de ce superpouvoir !  En effet, ces chauves-souris voient très bien, de jour comme de nuit.

 

Le paresseux dort toute la journée

un paresseux en plein sommeil.

Un paresseux en plein sommeil. © Celine Armand

L’appel de la couette

On peut être fasciné par la fréquence du sommeil chez ces animaux. Il paraitrait qu’ils dorment 18 h par jour, soit près de 80 % de leur vie. Si les mesures faites en captivité tendaient jusqu’ici à prouver ce lieu commun, une étude récente a cependant démontré que le paresseux n’avait pas le même rythme de vie dans la nature.

A l’aide d’appareils de mesures sophistiqués, on a donc découvert que contrairement aux idées reçues, le paresseux à gorge brune dormait tout juste 10 heures par jour.

Un dromadaire n’est pas un chameau

ce chameau n'a qu'une bosse, c'est donc un dromadaire.

Ce chameau n’a qu’une bosse, c’est donc un dromadaire.© Jean-Claude Bauduin

Combien de bosses j’ai ?

On différencie généralement le chameau à deux bosses du dromadaire à une seule bosse. Tout le monde a donc appris à considérer ces deux animaux comme des espèces différentes. Tous deux font partie des camélidés, une famille dans laquelle on trouve également le lama.

Pourtant, le dromadaire est un chameau ! Des trois espèces de chameaux qui existent dans le monde, il est le seul pour lequel les deux bosses se sont soudées en une seule. Cette spécificité lui a fait hériter du nom de «dromadaire», mais il reste de la famille des chameaux.

Le poisson rouge a une mémoire de 3 secondes

de l'espace pour nager, des endroits où se cacher... il faut occuper ce poisson

De l’espace pour nager, des endroits où se cacher… Il faut occuper ce poisson rouge. © Bounat Hatem

Oh ! Une plante

Inventé pour se déculpabiliser de placer un poisson rouge dans un bocal minuscule, le mythe qui veut qu’un poisson rouge n’ait que 3 secondes de mémoire est bien entendu injustifié. Comme tous les animaux de sa taille, le poisson rouge est capable de retenir un certain nombre d’éléments. Il les garde en mémoire au moins plusieurs mois.

Il sait reconnaître quand on vient lui donner à manger, et comprend vite lorsqu’une zone de son habitat est un danger pour lui. Tous les aquariophiles vous le diront, les poissons sont même capables de prendre des habitudes.

 

Les pingouins ne savent pas voler

un pingouin torda ne ressemble pas vraiment à un manchot.

Un pingouin torda ne ressemble pas vraiment à un manchot.© Hellen Kerdat

Pas manchots, ces pingouins

Cette idée reçue erronée provient de la confusion souvent faite entre le pingouin et le manchot. Il existe de nombreuses espèces de manchots qui vivent au pôle Sud, et possèdent des ailes profilées pour nager. Ces oiseaux ne peuvent effectivement pas voler.

Néanmoins, le pingouin ne fait pas partie des manchots. Il niche dans l’hémisphère Nord et vole tout à fait correctement. Le pingouin torda se rencontre par ailleurs souvent sur les côtes bretonnes.

http://www.linternaute.com

Ouvrez les verrous et obtenez de la nourriture gratuite


Qui de mieux pour tester des verrous de prison que les prisonniers eux-mêmes .. Espérant qu’il y a des détenus intéressé a relever le défis et qu’ils usent de toutes les stratégies possibles
Nuage

 

Ouvrez les verrous et obtenez de la nourriture gratuite

 

PHOTO: AFP

Associated Press
Atlanta

Des détenus d’Atlanta ont un nouveau défi à relever: réussir à ouvrir les nouveaux verrous installés sur les portes des cellules pour obtenir de la nourriture gratuite.

Les autorités tentent de trouver une solution aux centaines de verrous qui peuvent être neutralisés à la prison du comté de Fulton, permettant aux détenus de se rejoindre les uns les autres.

Le gardien chef de la prison, le colonel Mark Adger, a raconté à la chaîne WSB-TV qu’il offrirait de la nourriture gratuite à tout détenu qui arrivera à déjouer les nouveaux verrous testés dans une partie de la prison.

Le commissaire du comté, Tom Lowe, croit que le problème de verrous n’est pas aussi grave que certains l’affirment, mais d’autres personnes avancent qu’ils peuvent permettre aux détenus d’aller attaquer d’autres prisonnier.

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Pourquoi le Big Mac a l’air plus gros en photo?


McDonald montre comment la publicité se fait pour créer l’envie du consommateurs a la vue de hamburger parfait … alors qu’en réalité la perfection laisse vraiment a désiré … Est-ce une forme subliminale d’attirer le consommateur ? Ou un mensonge  de plus … ? De toute façon, trop de calories pour ce que cela vaut !!
Nuage

 

Pourquoi le Big Mac a l’air plus gros en photo?

 

Le sandwich Big Mac de McDonald’s.

PHOTO FOURNIE PAR MCDONALD’S

Agence France-Presse
Montréal

En photo, ils ont toujours l’air plus gros et appétissants qu’en vrai: sollicité par ses clients, McDonald’s a enfin révélé les dessous des prises de vue de ses hamburgers, dans une vidéo qui fait fureur sur YouTube.

Le reportage de trois minutes, concocté par la filiale canadienne du géant américain de la restauration rapide, emmène le spectateur dans un studio de photographie de la société Watt International, où McDonald’s fait habituellement immortaliser ses produits.

On y voit un cuisinier préparer minutieusement un cheeseburger en disposant les différents ingrédients de façon à ce qu’ils apparaissent sur la photo. Le résultat montre un sandwich bien rebondi et nettement plus épais qu’un autre cheeseburger «témoin» tout juste sorti d’un restaurant après une minute de préparation.

«On constate à l’évidence qu’il y a une différence au niveau de la taille», reconnaît Hope Bagozzi, directrice du marketing de McDonald’s Canada, qui présente le reportage.

Si les «vrais» hamburgers paraissent plus petits, c’est parce que «les boîtes dans lesquelles nous les servons les gardent au chaud, ce qui provoque un effet de vapeur et fait un peu se contracter le pain», explique Mme Bagozzi.

Alors qu’avec le cheeseburger de la photo, «nous avons mis les ingrédients qui sont normalement cachés sous la tranche de pain au premier plan pour que vous puissiez les voir», ajoute la responsable.

Jeudi après-midi, la vidéo mise sur YouTube depuis deux jours avait été visionnée plus de 2,3 millions de fois sur le site de partage de vidéos en ligne.

http://www.lapresse.ca

Entrez un titre deUn Torontois amputé des deux jambes gravit le Kilimandjaro billet


On ne peut qu’élever notre chapeau au courage et a la ténacité de ce monsieur qui malgré son handicap majeur a relever un bien grand défit et ramasser des fonds non pas pour sa condition mais pour une cause complètement différente a la sienne, Ainsi que félicité les deux compagnons qui ont cru en lui et l’ont accompagner dans son aventure
Nuage

 

Un Torontois amputé des deux jambes gravit le Kilimandjaro

 

Un Torontois de 31 ans amputé des deux jambes a réussi l’ascension du Kilimandjaro, en Tanzanie, en huit jours en utilisant essentiellement ses bras.

Un Torontois de 31 ans amputé des deux jambes a réussi l’ascension du Kilimandjaro, en Tanzanie, en huit jours en utilisant essentiellement ses bras.

Spencer West s’est hissé sur le plus haut sommet d’Afrique, à près de 6000 mètres d’altitude, en utilisant ses bras pour avancer sur 80 % de la distance et son fauteuil roulant sur certains chemins.

Il était accompagné de deux amis et leur randonnée avait un but humanitaire. Les trois marcheurs ont récolté plus de 500 000 $ au profit d’une organisation qui approvisionne des centaines de personnes en eau potable au Kenya.

M. West a perdu l’usage de ses deux jambes à l’âge de cinq ans, des suites d’une malformation génétique, une agénésie du sacrum, qui paralyse les membres inférieurs. Il a dû être entièrement amputé des jambes, ce qui fait de lui un randonneur bien particulier, un homme-tronc avançant à la force de ses bras, qu’il utilise presque comme des jambes, dans un immense effort.

« Physiquement, c’était un vrai défi parce que j’ai grimpé quasiment tout le long sur mes mains, ce qui met une énorme tension sur mes épaules et sur mes bras », a-t-il expliqué, joint par téléphone par l’Agence France-Presse depuis Nairobi, au Kenya. Il a ajouté que cette ascension a été « le plus grand défi de [sa] vie, psychologiquement et physiquement ».

Tout au long de leurs huit jours d’ascension, à raison de quatre heures de marche par jour en moyenne, les trois randonneurs ont envoyé sur leur blogue des vidéos, des photos de leurs séances de méditation en pleine montagne, de Spencer, souriant, portant des sandales aux mains, ou de ses deux compagnons, David Johnson et Alex Meers, portant à bout de bras le fauteuil roulant de Spencer, sur un chemin de terre.

Radio-Canada.ca avec AFP

http://actualites.ca.msn.com

Une minute de 61 secondes, ça n’existe pas… sauf le 30 juin 2012


Comment il y a de secondes dans une minute ? 60 secondes .. ? Etes-vous sûr de votre réponse ?? Il semble qu’il y a des exceptions de temps a autre. Donc, désolée mais personne n’aura 10/10 pour avoir donné la réponse de 60 secondes
Nuage

 

Une minute de 61 secondes, ça n’existe pas… sauf le 30 juin 2012

 

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Laurent Banguet
Agence France-Presse
Paris

La dernière minute du mois de juin 2012 comptera 61 secondes. Une façon de permettre au temps universel défini par les horloges atomiques de compenser son avance sur celui rythmé par la rotation de la Terre, bien plus irrégulière.

En «temps universel coordonné» (UTC), aussi appelé à tort GMT, le passage entre le 30 juin et le 1er juillet prochains se fera donc, non pas comme d’habitude à 23 h 59 et 59 secondes, mais bien à «23 h 59 et 60 secondes».

Avant 1972, le «temps était donné par l’astronomie. C’est-à-dire que pour connaître l’heure, on regardait la position d’un astre, le Soleil ou d’autres objets célestes» par rapport à la Terre, résume Noël Dimarcq, directeur du laboratoire Syrte (Systèmes de référence temps espace) à l’Observatoire de Paris.

«Aujourd’hui, le temps est construit, défini et mesuré à l’aide d’horloges atomiques qui sont infiniment stables par rapport au temps astronomique. Cela permet d’être sûr que tout le monde autour de la Terre a la même heure», explique-t-il à l’AFP.

Le parc mondial de plusieurs centaines d’horloges utilisé pour définir le Temps atomique international (TAI) mesure en effet des modifications internes intervenant dans les atomes de césium, qui permettent de «découper une seconde en à peu près 10 milliards de petites graduations». Une précision telle qu’elles n’enregistreraient qu’une «seconde de dérive tous les 300 millions d’années», souligne M. Dimarcq.

Si le TAI est «une échelle de temps continue», le temps donné par l’«horloge Terre» est quant à lui beaucoup moins uniforme. La rotation de notre planète est en effet soumise à de nombreux aléas, notamment les marées liées aux effets de la Lune, les variations des vents, etc. Ainsi, un tour de la Terre sur elle-même en août est plus court d’une à deux millisecondes qu’un tour accompli en février.

Aucun tir de fusée ce jour-là

«Le temps donné par l’orientation de la Terre finit par dériver par rapport au temps atomique. Et pour éviter que l’écart entre les deux ne devienne trop important, la communauté internationale, en particulier le Service international de la rotation terrestre et des systèmes de référence (IERS) dont le centre est au Syrte, décide d’ajouter une seconde à l’UTC», explique Noël Dimarcq.

Chaque fois que cet écart s’approche de 0,9 seconde, l’IERS entre en action et annonce cette fameuse «seconde intercalaire», plusieurs mois à l’avance et uniquement le 31 décembre ou le 30 juin.

Mais un tel événement est par définition aussi irrégulier que la rotation de la Terre. Le dernier en date remonte au 31 décembre 2008 et le 30 juin prochain sera seulement la 25e seconde ajoutée au temps universel depuis l’instauration de ce système.

Pour le commun des mortels, l’opération n’aura pas de répercussion retentissante.

En revanche, les systèmes de haute précision, comme les satellites ou certains réseaux informatiques, devront tenir compte de ce «saut de seconde» sous peine de provoquer un décalage potentiellement catastrophique. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle aucun tir de fusée n’est jamais programmé ces jours-là, un décalage aussi infime soit-il risquant de brouiller les calculs.

Jugeant que cette seconde intercalaire est source de perturbations et d’erreurs, certains pays et industriels demandent son abolition pour s’en tenir strictement au temps atomique.

C’est déjà le cas du système de géolocalisation par satellites américains GPS qui, contrairement à son homologue russe Glonass, n’utilise plus les secondes intercalaires depuis 1980.

Mais le GPS ajoute les secondes manquantes par rapport à l’UTC dans le signal qu’il envoie au sol, note Noël Dimarcq, pour qui «il y a vraiment deux façons de faire la correction, avant ou après».

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LES CLERCS DE SAINT-VIATEUR : L’institut de l’horreur


Ici pas question de parler contre une religion mais plutot contre les personnes qui professent amour, paix, respect … et qui en fait sont les pires pédophiles et tortionnaires d’enfants. Comment de religieux ont abusé d’enfants, scandales par dessus scandales, d’autochtones, d’orphelins et voila les sourds et muets qui pensaient-ils leur pires vices seraient passé a jamais sous silence .. Comment se fait t’ils que ces prêtres ont pu continuer a célébré des offices religieux malgré tout le mal qu’ils ont fait .. Alors qu’ils savaient qu’au pire si un jour cela venait qu’a ce savoir .. ce serait la parole entre un enfant et un  »’saint homme  »’  Il est temps que l’Église se réveille et voit tout le mal qu’ils ont fait sous leur petit air d’ange déchu
Nuage

 

LES CLERCS DE SAINT-VIATEUR : L’institut de l’horreur

Plus de 70 hommes sourds et muets dénoncent l’innommable

 

PHOTO COURTOISIE VILLE DE MONTRÉAL

 

Pendant 40 ans, des enfants sourds et muets confiés aux Clercs de Saint-Viateur ont été transformés en en véritables esclaves sexuels et ont subi les pires atrocités, racontent aujourd’hui les adultes qu’ils sont devenus. Ils brisent un lourd silence et préparent l’un des plus importants recours collectifs impliquant des prêtres et de jeunes handicapés

« Ils ont profité du fait que nous étions sourds et muets. Ils avaient le pouvoir et nous, pour ne pas être punis, on acceptait  », résume tristement Daniel Cormier.

Comme plusieurs enfants sourds et muets qui ont fréquenté l’Institut Raymond-Deward entre les années 1940 et 1982, M. Cormier, aujourd’hui âgé de 60 ans, affirme avoir été maintes fois abusé sexuellement et violenté par des membres de la congrégation des Clercs de Saint-Viateur.

Ces victimes, qui n’ont jamais pu dénon­cer par la parole les actes d’une cruauté inouïe, de même que les agressions sexuelles répétées qu’ils ont subies, intentent maintenant un recours collectif et réclament réparation.

La requête d’une vingtaine de pages est un tissu d’horreurs indicibles. Violence, sodomie, fellations forcées et humiliations furent pendant des années le quotidien de ces enfants entre les murs de l’institut du boulevard Saint-Laurent.

« Ces religieux-là se sont permis les pires abus que l’on puisse imaginer contre des enfants, sachant qu’ils pouvaient dormir tranquilles à cause de leur handicap. On repousse encore les frontières de l’horreur », s’indigne Carlo Tarini, directeur de l’Association des enfants victimes de prêtres.

À ce jour, 28 religieux et 6 laïcs sont identifiés pour des gestes commis contre des enfants confinés au silence. La plupart des jeunes étaient pensionnaires, certains sept jours sur sept, sauf pour les vacances d’été.

Dans la requête, l’un d’eux, Serge D’Arcy, raconte comment le frère Philippe Paquette l’a forcé à lui faire une fellation en lui prenant fermement les cheveux. Lors d’un autre incident, ce même religieux a enfoui la tête de l’enfant dans la neige afin de l’étouffer.

« J’ai pensé mourir », a-t-il confié.

Plusieurs autres témoignages révèlent que le frère Paquette forçait les enfants à le masturber.

La morale

Une autre victime explique avoir effro­yablement souffert après avoir subi une déchirure à l’anus, conséquence d’une sodomie forcée par le religieux Gérard Barette. Un autre religieux, Jean-Marc Pépin, est dénoncé pour abus sexuels. Ironiquement, souligne-t-on dans la requête, l’homme enseignait la morale aux enfants et se mettait en colère contre ceux qui faisaient allusion à la sexualité.

Les témoignages des victimes sont rendus possibles grâce à la collaboration d’interprètes qui traduisent le langage des sourds-muets. Un aspect qui, pourrait-on croire, ajoute à la complexité de la cause; mais ce n’est pas le cas, affirme Me Robert Kugler, l’avocat des victimes.

Aucun commentaire

« Moi je trouve formidable et courageux qu’ils communiquent ainsi. La loi ne permet à personne d’abuser sexuellement d’un enfant. Les faits sont flagrants et les victimes ont une mémoire assez précise des incidents. En ce sens, ce n’est pas complexe », assure-t-il.

La congrégation des Clercs de Saint-Viateur n’a toujours pas réagi à ce recours collectif, sauf pour demander que ne soient pas divulgués les noms des religieux visés, ce qui a été refusé par la juge Eva Petras. Joint par le Journal, le frère Benoît Tremblay, membre des Clercs de Saint-Viateur, ne souhaite faire aucun commentaire.

« Nous allons peut-être réagir plus tard, nous sommes à étudier la requête, ça vient de nous tomber dessus », a-t-il brièvement répondu.

Véritables esclaves sexuels et ont subi les pires atrocités, racontent aujourd’hui les adultes qu’ils sont devenus. Ils brisent un lourd silence et préparent l’un des plus importants recours collectifs impliquant des prêtres et de jeunes handicapés.

 

CONFIDENTIALITÉ ASSURÉE

 

Plus de 70 victimes se sont déjà manifestées, mais ils seraient plus d’une centaine à avoir subi ce triste sort. La juge a assuré que toute nouvelle victime concernée par ce recours collectif peut s’y inscrire sans craindre que son identité soit révélée. Ces personnes sont d’ailleurs invitées à le faire auprès de l’Association des victimes de prêtres ou du cabinet d’avocats Kugler Kandestin.

« Ils doivent savoir que cette démarche est confidentielle et gratuite », précise Me Kugler.

TÉMOIGNAGES POIGNANTS

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, ISABELLE MAHER

Ces hommes sourds et muets ont voulu dénoncer leurs agresseurs à visage découvert. En haut, de gauche à droite : André Caron, Mario Larouche, Mario Banville, Gilles Gravel, Daniel Cormier. En bas de gauche à droite : Guy Provost, Gilles Forcier, Lucien Adam, Jacques Vadeboncœur.

 

Pas un son. Ils sont pourtant une dizaine d’hommes à s’exprimer vigoureusement autour de la table. Seules les paroles de l’interprète Martin Léveillé, qui traduit le langage des sourds-muets, flottent dans la pièce. Les mots parfois crus racontent ces souvenirs bien enfouis, mais impossibles à oublier.

« Moi je suis incapable de passer devant l’Institut des sourds. Pas capable de voir un religieux sans voir le visage d’Eugène Turcotte », confie Guy Provost.

 Les bras couverts de tatouages, l’homme de 57 ans au regard bleu acier raconte comment, lorsqu’il n’avait que sept ans, le religieux l’a frappé si fort qu’il en a été projeté au sol.

« Je ne comprenais pas pourquoi autant de violence ? Il me tirait par les cheveux, m’a lancé un porte-crayon par la tête, il m’a même mis la tête dans le bol de toilette. »

L’interprète se tait, un ange passe. Ces hommes ont voulu témoigner à visage découvert malgré la difficulté et la gêne évidente que leur inspirent certains passages sombres de leur vie.

Gilles Forcier raconte avoir aussi été battu et abusé. Il décrit comment le frère Anthime Paiement confessait ses ouailles d’une étrange façon.

« Il passait sa main à travers la fenêtre du confessionnal et l’entrait dans mon pantalon pour toucher mon pénis pendant que je lui disais mes péchés. Je ne comprenais pas ce qui se passait », lance-t-il.

Mario Banville a appris, lui aussi, à éviter de se confesser au frère Paiement… Il se souvient du frère Paul Allard, qui allait le chercher dans le dortoir.

« J’étais tannant, alors il m’emmenait dans sa chambre pour me baisser les culottes et me frapper. Mais avant, il me regardait longtemps et se masturbait. Après, il me battait. J’étais petit, que vouliez-vous que je fasse ? », demande-t-il.

« Moi aussi, le frère Allard m’a fait ça », poursuit Jacques Vadeboncœur.

Il est la seule victime capable d’entendre.

« Avant de me donner la strappe, il m’a demandé de baisser mon pantalon. Il a dit : « Wow ! T’as donc ben des belles fesses, en me caressant lentement. C’tu un abus sexuel, ça ? », nous demande l’homme de 55 ans.

Dénoncer

« On était leurs esclaves », résume Daniel Cormier. Sous la douche, un frère m’aidait à me laver. Je ne voulais pas, mais il le faisait de force et me caressait. Souvent, il se masturbait devant moi sous sa robe », décrit M. Cormier, aujourd’hui âgé de 60 ans. « Aucun enseignement n’était possible. J’ai des lacu­nes en écriture et en lecture. J’ai de la haine pour eux », conclut-il.

Nerveux, Lucien Adam raconte avoir été roué de coups de pieds.

« J’étais à genoux, ils étaient deux, on m’a frappé sur le mur jusqu’à ce qu’un arrête l’autre. Jamais je n’oublierai. J’ai mangé des coups à la tête à en avoir des migraines. »

À 63 ans, M. Adam raconte péniblement avoir été « entaché » par les agressions sexuelles.

« J’ai été marqué. Je n’ai rien appris là-bas; aujourd’hui, je ne sais ni lire ni écrire. »

La direction de l’Institut Raymond-Dewar savait mais n’a rien fait, indique la requête.

Des enfants ont amèrement regretté d’avoir osé dénoncer les religieux à leurs parents.

« Mes parents ne me croyaient pas. Mon père a même confronté le frère Jean-Marc Pépin qui m’a abusé et il a tout nié. J’avais tellement peur, j’voulais pas me faire battre, alors je me suis tu », se souvient Mario Larouche.

« J’ai l’impression que ma vie a été gâchée, poursuit l’homme de 52 ans. Trois fois, j’ai voulu mourir. Mes relations sont difficiles. Avec mes enfants, je suis déchiré entre leur donner de l’affection et la peur d’abuser d’eux. Ce recours collectif compte beaucoup pour moi. »

CES PRÊTRES CONTINUENT À CÉLÉBRER LA MESSE

En mars 2010, le père Jean-Marc Pépin a présidé les obsèques de la mère de la patineuse Joanie Rochette. Le nom de ce prêtre figure parmi les religieux qui ont agressé sexuellement des enfants sourds et muets visés par le recours collectif contre les Clercs de Saint-Viateur.

Mario Larouche affir­me être l’une de ses victimes. Adulte, il s’est retrouvé, il y a quelques années, face à face avec Jean-Marc Pépin, qui venait de célébrer la messe. L’homme de 52 ans raconte en avoir été complètement bouleversé.

« J’ai dit à ma femme : “Je ne peux pas croire que ce gars-là continue de servir la messe alors qu’il m’a abusé. Il a même osé dire qu’il ne se souvenait pas de moi” », se désole M. Larouche.

Ces situations sont carrément odieuses et inacceptables, tranche Carlo Tarini, président de l’Association des enfants victimes de prêtres.

« Où est la sanction ? Empêcher les prêtres pédophiles de célébrer la messe est insuffisant; comment se fait-il qu’ils ne soient pas chassés de l’Église ? », demande-t-il.

Nous avons tenté de poser la question à Mgr Christian Lépine, le nouvel archevêque de Montréal, qui a décliné notre demande d’entrevue.

 « Tout ce que je peux vous dire, c’est que dès que des allégations sont déposées contre un prêtre, celui-ci perd automatiquement le droit d’exercer son ministère. À notre connaissance, aucun religieux visé par le recours collectif n’exerce dans le diocèse de Montréal », a précisé Lucie Martineau, responsable des communications à l’Archevêché de Montréal.

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