Ce qui reste des mots, des écrits


Même si parfois les paroles s’envolent, elles peuvent parfois blesser et rester incruster en nous .. que dire des écrits que même si on les effaces, il reste toujours des traces quelques part
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Ce qui reste des mots, des écrits

 

 

« Mon pauvre oncle disait souvent : « Il faut toujours tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. » Que devrait-on faire avant d’écrire ?  »

Gérard de Nerval

Traductions loufoques


Une autre série de traduction bâclée. Est-ce vraiment un soucis pour ces compagnies de bien servir ses clients francophone ou bien, c’est juste pour être conforme aux lois, tant pis si c’est la traduction est nulle … c’est en franglais ..
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 Traductions loufoques

 

Hein !!!

 

«Chéri, pourrais-tu installer les résultats sur la corde à linge, s’il te plaît?»

Envoi de Julie Fortin, Québec

«Une recette hautement explosive!»,

Envoi d’Isabelle Paré, Montréal

Non, jamais!

Envoi de Frédéric Perron, Montréal

Chauffeur de vis? Non mais ils sont capricieux ces petits bouts de métal!

Envoi de Paul Robitaille, Lava

Pour les nouvelles mamans, voici quelque chose qui vous donnera un peu de répit pendant la journée!

Envoi de Martin Perron, L’Ancienne-Lorette

En effet, on voit ici «les effets d’alcool, les drogues».

Envoi de Dominic St-Louis, Saint-Jean-sur-Richelieu

Sifflez-le, il est tellement sexy!

Envoi de Michel Constantin, Québec

M RCI PO R L’INF RMATION.

Envoi de Gervais Tremblay, Saguenay (Chicoutimi)

Un service de traiteur «inédit».

Envoi de Valérie Lapierre, Montréal

«Alors là, j’espère bien qu’ils ne contiennent pas de parfum! J’aime assez ces tortillas, ils n’ont pas besoin d’en ajouter pour me plaire!»

Envoi de Martin Sabourin, Gatineau

 

Voilà un type de zézaiement que nous ne connaissions pas!

Envoi d’Émilie, Montréal

Les enfants! Vite, courez vous cacher!

Envoi de Luliana Dicu

Euh… De quoi parle-t-on ici?

 

http://www.protegez-vous.ca

Usine à chiots 64 chiens rescapés en Montérégie


Il y aurait environs 2000 usines a chiots juste  au Québec, C’est épouvantable alors s’il y a un démantèlement espérons que ceux pris en faute ne pourraient plus reformer leur industries … mais bon on peut se permettre de rêver
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Usine à chiots

64 chiens rescapés en Montérégie

 

 


(Crédit photo: TVA Nouvelles)

 

L’organisme pour la protection des animaux, la Humane Society International Canada, a procédé vendredi au démantèlement d’une usine à chiots à Sainte-Victoire-de-Sorel, en Montérégie.

Une soixantaine de bêtes, qui se trouvaient dans des conditions apparemment épouvantables, ont été prises en charge et transportées dans un refuge situé au nord de Montréal.

L’opération s’est déroulée vendredi avant-midi au Chenil Riendeau, sur le rang Bellevue, à Sainte-Victoire-de-Sorel. Soixante-quatre chiots et des mères porteuses étaient gardés dans des conditions jugées non conformes pour l’élevage.

«Les animaux se trouvaient dans des conditions horribles. Les installations n’étaient pas adéquates pour ces bêtes dont la santé était compromise», a expliqué la directrice générale de la Humane Society International Canada, Rebecca Aldworth.


(Crédit photo: TVA Nouvelles)

Cette opération fait suite à une enquête et plusieurs interventions de l’organisme Anima-Québec qui a remis des avis de non-conformité au propriétaire du chenil, Maurice Riendeau. Il semble cependant que la situation n’a pas été corrigée menant ainsi à la prise en charge des chiots.

«Dans ce type d’usines à chiots, les propriétaires ne pensent qu’aux profits et ne se soucient pas de la condition des animaux», a ajouté Mme Aldwoth.


(Crédit photo: gracieuseté de la Humane Society International Canada)

Les animaux pris en charge ont été évalués par des vétérinaires. Plusieurs femelles enceintes nécessiteront un suivi médical important.

Un tribunal devra tout d’abord statuer, au cours des prochains jours, si les animaux peuvent être retournés à leur propriétaire ou si les conditions de garde mettent en péril la santé et la sécurité des chiots. Le propriétaire du chenil pourrait être accusé de négligence et/ou de cruauté envers les animaux.

Le Québec, berceau des usines à chiots au Canada?

Cette histoire d’animaux maltraités à Sainte-Victoire survient au moment même où le gouvernement du Québec vient d’adopter le projet de loi 51 modifiant la Loi sur la protection sanitaire des animaux.

Les nouvelles dispositions législatives, qui sont en vigueur dès maintenant, devraient compliquer la tâche aux propriétaires des usines à chiots qui s’exposeront dorénavant à des sanctions plus sévères.

Le propriétaire ou le gardien d’un animal qui en compromet la sécurité ou le bien-être sera dorénavant passible d’une amende de 600$ à 25 000$ et, en cas de récidive, d’une amende de 1800$ à 75 000$.

«C’est certainement un pas dans la bonne direction. Le Québec est perçu comme le berceau des usines à chiots au Canada et en Amérique du Nord. On estime à 2000 le nombre d’usines à chiots dans la province. Il faut cependant avoir les capacités d’intervenir afin d’éviter que ces événements ne surviennent trop souvent», a commenté Rebecca Aldworth de la Humane Society International Canada.cu.»

http://tvanouvelles.ca

Une séance d’hypnotisme laisse des séquelles


Je ne suis pas très en faveur aux spectacles d’hypnotismes par contre je serais ouverte a l,idée quand c’est dans un but médical, comme arrêter de fumer, se calmer avant d’aller chez les dentistes etc .. Enfin, il est quand même bon de savoir qu’il est mieux a une certain âge évité ces séances
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Une séance d’hypnotisme laisse des séquelles

 

PHOTOS.COM

La Presse Canadienne
Sherbrooke

Un spectacle de fin d’année comportant une séance d’hypnotisme ne s’est pas tout à fait déroulé comme prévu. Le Collège du Sacré-Coeur de Sherbrooke, une école pour filles, a indiqué que l’activité avait dérapé lorsque plusieurs élèves ont été incommodées après l’événement, y compris une adolescente qui est demeurée en transe pendant quatre heures.

L’incident est survenu la semaine dernière dans cette école privée, sur l’heure du midi. Au moins cinq élèves ont semblé éprouver des troubles après le numéro, présenté par un hypnotiseur de 20 ans.

S’exprimant par voie de communiqué, le directeur de l’établissement, Daniel Léveillé, a déclaré vendredi que 13 autres élèves avaient elles aussi vécu un inconfort, comme des maux de tête ou des nausées.

Les administrateurs de l’école ont dû contacter le mentor de l’hypnotiseur, qui a aidé à régler le problème. Toutes les adolescentes ont ensuite retrouvé leur état normal.

Les responsables disent avoir appris par la suite que l’hypnotisme n’était pas recommandé pour les personnes de moins de 14 ans, puisque les individus si jeunes sont particulièrement sensibles au phénomène. L’école dit n’avoir aucune idée de la manière dont un spectacle puisse avoir ce genre d’effets secondaires.

M. Léveillé a ajouté qu’une conférence de presse serait tenue mardi prochain pour offrir des informations supplémentaires sur l’événement. Entre-temps, l’école gardera un oeil sur les élèves affectées.

«Cet incident nous questionne sur des pratiques que nous avons et sur lesquelles nous désirons faire le point afin de nous assurer que de telles choses ne puissent plus se reproduire, a-t-il dit. Nous souhaitons aussi réunie toutes les informations utiles avant de pouvoir faire le point avec les médias sur cet événement malheureux, mais heureusement sans conséquence.»

Environ 450 élèves fréquentent l’école des Cantons de l’Est.

http://www.lapresse.ca

80 pythons royaux élevés dans le sous-sol d’un pavillon de banlieue


Je peux comprendre sa passion des serpents, mais personnellement c’est de l’égoïsme que de s’approprié d’animaux sauvage qui n’est destiné que pour épater la galerie,. Les serpents ne peuvent a mon avis être un animal domestique et donc il a le droit en temps qu’animal sauvage de vivre dans son environnement
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80 pythons royaux élevés dans le sous-sol d’un pavillon de banlieue

Sylvain Fauchoin pose avec un python dans sa cave à Chelles le 12 juin 2012

AFP

Pas de vin ni d’outils de jardin dans le sous-sol du pavillon de Sylvain Fauchoix, en Seine-et-Marne: ce salarié de la SNCF y bichonne 80 pythons royaux et des oeufs en train d’éclore, expliquant sa passion avec un serpent d’1,5 mètre dans les bras.

« C’est une passion que j’ai depuis tout petit: j’ai commencé avec les insectes, puis les lézards et les mygales, et vers 12 ans, je suis tombé amoureux des serpents », raconte Sylvain Fauchoix, 28 ans, entouré de pythons royaux dans le sous-sol de son pavillon, à la périphérie de Chelles.

« Vers 14 ans, j’ai ramené un serpent d’une exposition. Je me suis fait tuer par mon père! Puis il s’y est fait », se souvient-il amusé.

Mais en décembre, l’éleveur de serpents a failli se retrouver en prison. Dénoncé par un concurrent, dit-il, il était soupçonné de détention illégale et de trafic. Il a un nouveau rendez-vous avec la justice mardi.

En attendant, il présente fièrement, tout contre lui, son Piebald, blanc avec des taches marron, le Snow avec ses yeux rouges d’albinos et la langue sortie et tant d’autres pythons, qu’il caresse délicatement.

Ses « animaux », comme il les appelle, ne sont pas venimeux. Ils sont dans des casiers individuels, dans une pièce bien isolée, humide et chaude, à 27 degrés, au plus près de leurs conditions en milieu naturel, en Afrique.

L’éleveur de serpents est passionné de génétique: lors des accouplements, il travaille sur les gènes récessifs et dominants, afin d’obtenir des serpents avec de nouvelles couleurs.

« Oui, certains valent le prix d’une grosse voiture« , dit-il pudiquement.

« C’est ma passion, je suis mordu de ça », explique le jeune homme, chef de conducteurs de trains à la SNCF. « Je suis fasciné par ce qui crée une répulsion chez les gens, comme les requins aussi », confie M. Fauchoix, barbichette et cheveux longs attachés. « J’aime ce côté primitif, bien implanté dans la nature », explique-t-il.

Fruit défendu

« Si les gens continuent de diaboliser le serpent, c’est à cause de la religion », d’Adam et Eve, du fruit défendu. « Sans le côté relationnel, comme avec un chien ou un chat, on a l’impression de ne pas cerner l’animal », pense-t-il.

Mais n’en-a-t-il vraiment jamais peur?

« Je ne suis pas fou, je ne ferais pas ça avec un crotale », serpent très dangereux, admet-il. « Je me suis déjà fait mordre plein de fois, ça fait des petites griffures. Puis je désinfecte, comme si je m’étais fait griffer par mon chat ».

Son épouse s’est « aussi mariée à (sa) passion ». Son fils, qui va avoir 5 ans,

 « n’est pas passionné, mais il les prend, ça ne le choque pas ».

Et les voisins?

« Je les ai invités à venir, ils étaient ébahis. C’est un couple charmant qui adore les animaux ».

En décembre, à son retour de voyage de Noces, il a été interpellé à l’aéroport et placé en garde à vue, soupçonné de détention illégale et de trafic.

« C’était un cauchemar. J’ai appris qu’on avait fait une perquisition chez moi. On a failli tout perdre », raconte-t-il.

Il reconnaît qu’il n’avait pas toutes les autorisations. La justice lui a demandé de se mettre en règle, ce qu’il dit avoir fait.

« J’ai passé les certificats nécessaires, puis on a monté une société avec deux amis associés et maintenant, on peut vendre librement nos serpents », se réjouit-il. Il l’expliquera mardi devant le tribunal.

Il n’envisage pas qu’on lui retire ses serpents.

« Qu’on me coupe les deux jambes, ça me fera moins mal. (…) C’est toute ma vie, derrière ma femme et mon enfant ».

© 2012 AFP

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Maltraitance envers les personnes aînées Explosion de plaintes à la Commission


Il ne devrait pas avoir de secret professionnel en cas d’abus et de maltraitance chez les ainés et même pour n’importe qui .. La tolérance zéro devrait être prioritaire .
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Maltraitance envers les personnes aînées

Explosion de plaintes à la Commission

 

Explosion de plaintes à la Commission

Crédit photo : archives

Il y a eu explosion de plaintes à la Commission des droits de la personne pour maltraitance: de 10 à 103 en 2011-2012, une augmentation de 800%.

TVA Nouvelles

Deux ans après la mise en place du plan d’action gouvernemental contre la maltraitance envers les personnes aînées, la ministre responsable des Aînés dresse un bilan positif.

«C’est un plan qui a vraiment évolué, qui a évolué très rapidement», estime Marguerite Blais.

Depuis, il y a eu explosion de plaintes à la Commission des droits de la personne pour maltraitance: de 10 à 103 en 2011-2012, une augmentation de 800%. En tout, 78% des plaintes sont liées à des cas d’extorsion d’argent, un acte commis 80% du temps par des membres de la famille ou des connaissances.

Sur l’ensemble, 71 % des victimes sont des femmes. La moitié des plaintes proviennent de la région de Montréal. On remarque aussi que 20% des plaintes sont déposées contre du personnel de résidence privée ou de CHSLD.

«Chez nous, je peux vous assurer que n’importe quel geste de violence qui serait porté contre un résident, c’est le congédiement immédiat et c’est la philosophie du réseau de la santé», résume Francine Dupuis, directrice générale au Centre de santé et des services sociaux Cavendish.

Inquiétude dans le milieu

L’Association québécoise des retraités des secteurs public et parapublic s’inquiète cependant de l’augmentation de près de 20% en un an du nombre d’infractions à l’endroit des aînés et réclame à nouveau que les professionnels puissent rompre leur secret professionnel pour dénoncer ces abus.

«Il n’y a pas de message clair du gouvernement pour tolérance zéro. Comme on l’a annoncé pour les femmes, comme on l’a annoncé pour les jeunes victimes d’intimidation, on souhaite que le gouvernement annonce une obligation de dénonciation pour la maltraitance pour les aînés», déplore Luc Vallerand, directeur général de l’Association québécoise des retraités du secteur public et parapublic.

La ministre Blais ajoute 8 millions $ et prolonge son plan d’action jusqu’en 2017. Cet argent servira, entre autres, à maintenir les opérations de la ligne «Aide abus aînés».

http://tvanouvelles.ca

LOGEMENT | MAGNOTTA Qui s’y aventurera ?


A moins d’avoir peur des fantômes … je ne vois pas pourquoi les gens hésite a louer un appartement .. surtout si les meubles dont le frigo ont été remplacé, et j’espère que de toute façon,  les gens fournissent leur propre matelas … car une pièce,une maison, un logement, les meubles s’ils ont un impact c’est qu’on leur donne un certain pouvoir alors qu’ils n’ont tout simplement pas ..
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LOGEMENT | MAGNOTTA

Qui s’y aventurera ?

 

Qui s’y aventurera ?

PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, MÉLANIE COLLEU

Derek McKinnon et Richard Payette habitaient dans le même immeuble que Luka Rocco Magotta. Comme plusieurs de ses anciens voisins, le premier a déménagé. Incapable de tourner la page, le deuxième cherche également à quitter son logement.

L’ancien logement de Luka Rocco Magnotta n’a toujours pas trouvé preneur

 

L’appartement 208, scène du crime sordide dont est accusé Luka Roco Magnotta surnommé « le démembreur », n’attire pas les foules. Mais d’après les voisins, un couple d’Africains pourrait s’y installer prochainement.

Personne ne se précipite à sa porte. Depuis la découverte du matelas tâché de sang sur lequel Jun Lin a été tué, l’ancien logement du présumé coupable et tristement célèbre Magnotta reste vide.

Personne ne le visite, personne ne s’arrache le prochain bail de location. Excepté peut-être un jeune couple d’Africains fraîchement arrivé au Canada, ignorant tout de ce qui s’est produit quelques semaines plus tôt.

« Le concierge m’a dit que ça pourrait être bientôt reloué à une famille africaine qui ne sait pas ce qui s’est passé ici, confie Richard Payette, ancien voisin de palier de Magnotta. Il m’a demandé de rester discret et de ne pas en parler. »

Le concierge nie

Mihaela Ghitulescu réside dans l’appartement mitoyen au 208. Elle aussi confirme la possible arrivée du nouveau couple.

 « Mais pour l’instant, il n’y a personne, sinon je les aurais entendus », précise-t-elle.

La version d’Éric Schorer, le concierge, diffère totalement.

Il affirme ne pas avoir fait visiter, ne serait-ce qu’une seule fois, l’appartement à d’éventuels locataires depuis le drame.

« Il n’a pas été question de louer le 208 à qui que ce soit pour l’instant. Bien sûr qu’on aimerait, les affaires restent les affaires. Mais personne n’est intéressé, assure-t-il. Ce n’est pas une surprise, ce crime horrible a fait le tour du monde. »

Pourtant, l’appartement a été nettoyé, repeint et remeublé, indique-t-il.

« C’est dommage, c’est le plus beau de l’immeuble, tout a été refait à neuf », ironise-t-il.

M. Schorer reste cependant lucide et estime qu’il aura du mal à trouver de nouveaux locataires.

« Mais bon, ça dépendra peut-être des gens, certains ne sont pas superstitieux », avance-t-il.

« Dire la vérité »

Le concierge a expliqué au Journal qu’il informerait les prochains locataires du 208 de ce qui est arrivé dans l’appartement avant qu’ils ne s’engagent.

« On n’a pas le choix. Il faut dire la vérité. Même si les gens qui arrivent ne sont pas au courant, il ne suffira que de quelques jours pour que le voisinage leur parle. »

Les voisins rencontrés par le Journal demeurent cependant sceptiques.

« Je doute qu’il dise aux gens ce qui s’est passé », pense Richard Payette.

Plusieurs quittent

Ce dernier a d’ailleurs remarqué un début d’exode dans l’immeuble. Plusieurs de ses connaissances ont mis les voiles ces derniers jours.

« Il y a déjà eu un meurtre ici, il y a trois ans, alors avec celui-là, trop c’est trop. Je n’arrive pas à oublier l’odeur », lâche-t-il, avouant qu’il cherche lui même un autre logement.

Quant à Mme Ghitulescu, un mur seulement la séparait du studio de Magnotta. Elle demeure traumatisée et cherche à partir elle aussi.

« Le propriétaire n’est même pas venu nous voir. Quelques jours plus tard, on a reçu une lettre nous demandant de payer les 30 prochains jours. C’est un comble ! »

Le concierge affirme pour sa part que les va-et-vient n’ont rien à voir avec le crime et que quasiment tous les appartements sont loués.

http://www.journaldemontreal.com