Parole d’enfant ► Dure, dure la vie


Ce n’est pas drôle pour un enfant d’être malade et il ne comprend pas tout le temps pourquoi ont doit les soigner
Nuage

 

Dure, dure la vie

 

« Lucien a une otite, il en a assez de prendre des médicaments et surtout des gouttes auriculaires.Il me dit:

« maman si tu me mets encore une goutte dans cette oreille, je quitte la famille ! » »

Lucien 4 ans,

Entends l’appel


On se plaint des coûts de la vie, de l’autobus manqué, des problèmes avec internet ou l’ordinateur … d’avoir mal dormi, mais ailleurs .. la réalité de leur vie est pourtant bien pire
Nuage

Entends l’appel

 

Entends l’appel, les cris, les hurlements
Près de toi où à l’autre bout du monde
Abandonner dans leur isolement
Que la mort vient chercher à chaque seconde
De la soif, de la faim
De ces ventres qui gargouillent
De la peur de demain
De ces gorges qui bredouillent
De ces terres desséchées
De ces rivières taries
De ces arbres écorchés
De toutes ces eaux pourries

Entends ce bruit de tonnerre, de douleur
Près de toi où à l’autre bout du monde
Abandonner à ce jour au malheur
Que la mort vient chercher à chaque seconde
Par la hache, balles, et bombes
De ces corps décharnés
Un sol, une hécatombe
Des ces gens internés
Ne reste que murmures
Sous l’emblème du silence
Ne reste que des morsures
D’une vie en pénitence

Qu’à tu fais pour modifier mon destin
Pendant que tu dors, moi j’ai toujours peur
Pendant que tu manges, moi j’ai toujours faim
Pendant que tu ries, moi je suis en pleurs
Tout mon sang que je perds
Œuvre de ton ignorance
Tu préfères le pervers
Augmentant ma souffrance
Quelle est donc ta justice ?
De me laisser mourir
Dans tous tes maléfices
Pour toi, je dois souffrir

Alors sur ma tombe ne viens plus pleurer
Pour te redonner bonne conscience
A mon âme, ne reviens pas m’implorer
Le pardon de ton insouciance

Rachel Hubert (Nuage) Saïd
12 Février 2004

Le saviez-vous ► Origine des boutons


 

J’aime les boutons!  Non, ne soyez pas inquiet, ce ne sont pas les boutons sur le visage qu’on essai de caché mais bien les boutons sur les les vêtements Moi j’en utilisent dans le scrapbooking mais a la lecture de l’origine du bouton, je les trouvent encore plus intéressant assez pour essayer de trouver des perles rares si l’occasion se présente
Cela a l’air de rien, mais le bouton a fait un long chemin pour venir jusqu’a nous, que ce soit pour nos vêtements, bijoux et accessoires …
Nuage

 

Des boutons

 

1 ère partie


Boutons à trous de différentes matières et couleurs

Il existe une énorme diversité de boutons en termes de couleur, forme ou matériau. Cependant, on distingue notamment les boutons à trous des boutons à queue. Du fait de cette diversité, ils sont collectionnés ; les collectionneurs s’appellent des « fibulanomistes ».

Des boutons ou des objets assimilables, mais sans doute plus utilisés dans un but esthétique que dans un but de fixation, ont été retrouvés dans les vestiges de la civilisation de la vallée de l’Indus, sur des sites chinois de l’âge du bronze, ainsi que dans la Rome antique.

La première mention littéraire du bouton date du XIIe siècle dans La Chanson de Roland, où il figure une petite chose sans valeur.
Les boutons utilisés dans le but de maintenir les vêtements ne semblent avoir été utilisés qu’à partir des XIIIe siècle et XIVe siècle en Europe, notamment pour maintenir les manches des chemises.

C’est sous Louis XIV que l’usage du bouton se répand en France, où il devient un accessoire de mode luxueux en s’agrémentant de joyaux ou de peintures traitées en miniatures.

Les boutons anciens étaient en os, en corne (cas du duffle coat), en ivoire, en cuir, en métal ou en nacre.


Au milieu du XIXe siècle apparaît le bouton de porcelaine, selon le procédé « Prosser » de pressage à sec . D’abord développée par l’usine britannique Minton, cette technique connaît son essor grâce à une invention de Jean-Félix Bapterosses, qui industrialise le procédé en utilisant une pâte plus plastique qui permet de presser jusqu’à 500 boutons à la fois.

Avant d’être supplanté par le plastique, le corozo sert à la fabrication de beaucoup de boutons.

Le bouton-pression est inventé par Bertel Sanders, au Danemark, en 1885.

En 1886, Albert-Pierre Raymond, qui vient de créer sa société, A.Raymond (France), met au point le bouton-pression à rivet.

 2ème partie

Encore des boutons

 

Au temps des croisades

Grâce aux croisades(11me-13me siècle) l’art de fabriquer des boutons a été importé du Proche Orient. Quand on a pris l’habitude de porter des vêtements plus serrés autour de corps, le rôle des boutons devenait de plus en plus important. Au treizième siècle il devenait à la mode de porter de manches très étroites du poignet jusqu’au coude aussi bien pour les femmes que pour les hommes.  

Début de quatorzième siècle

Au début du quatorzième siècle il y avait des femmes voulant accentuer la taille. Les fabricants de boutons faisaient de bonnes affaires: on mettait au maximum 38 boutons sur le devant, 20 boutons à chaque manche, encore un autre sur le pli, autour de l’encolure, comme bijou….

Au treizième siècle les compétences des artisanats étaient fixées par le roi Louis Saint:

-la corne, l’os et l’ivoire étaient réservés aux fabricants de chapelets.

-les fabricants de boutons obtenaient les droits sur le cuivre, le laiton et les matériaux simples comme l’os et la corne.

-les orfèvres obtenaient les métaux précieux et le verre.

Mais cette règlementation ne rendait pas les choses claires. De simples boutons en bois ou en fer étaient couverts par une petite couche d’étoffe autour de laquelle on tressait d’une manière élégante, une technique nommée « passanterie ». Egalement le ‘démaquinage’, l’emploi d’un fil en argent ou en or, devenait de plus en plus connu et appliqué. Le cristal de roche et le marbre élaborés en mozaïque étaient appréciés mais la première place était reservée à l’or pour les boutons aussi bien que pour les bijoux.
Le roi, le numéro un, c’était avant tout l’orfèvre.

la Renaissance

Pendant la Renaissance et au début du seizième siècle des boutons avec de petites pierres décoraient les chapeaux, les corsages, les manches et les manteaux des dames et des messieurs aisés. Il s’agissait ici de petits boutons avec un fond en or ou en argent.

 

Au cours du quinzième siècle nos régions connaissaient une légère forme de développement industriel e.a. l’imprimerie . Egalement les premiers marchés qui commençaient à surgir çà et là et qui étaient organisés à l’occasion de fêtes religieuses faisaient que les manufactures de boutons pouvaient vendre leur marchandise à plus grande échelle.

Seizième siècle

La technique d’émailler connaît une relance au cours du seizième siècle. Cette technique, on la connaissait déjà au temps des anciens Grecs au quatorzième siècle avant J-C. On faisait fondre de l’émail pulvérisé ( de la poudre de verre éventuellement colorée) sur un plan plat. On peut y ajouter un dessin cloisonné ou une couleur à l’aide d’oxydes de métal (peinturer sur émail).


Au dix-septième siècle les boutons fixés aux manteaux des messieurs étaient habituellement petits et nombreux et donc aussi décoratifs que fonctionnels. Uniquement pour les hommes. Ces boutons étaient employés afin de fermer les vêtements de la manière que nous connaissons encore maintenant. Les femmes fermaient leurs vêtements avec des lacets, des rubans et de petits crochets.

Au dix-septième siècle

Jusqu’au dix-septième siècle les boutons étaient de vrais bijoux. La Reine écossaise Mary Stuart (1542-1567) possédait beaucoup de « boutons bijoux ». Lorsqu’elle fut décapitée à Londres en 1587 elle portait encore des boutons en jais et en perle en forme de petits glands.


Pour les collectionneurs les boutons les plus anciens ne restent que difficilement à trouver. Ce qu’on trouve encore plus facilement, ce sont les boutons hollandais en argent du dix-septième siècle. Ceux-ci étaient fixés au moyen d’une agrafe (un bâtonnet à travers un oeillet) et ainsi ils pouvaient servir pour des vêtements différents.

 Dernier trimestre du dix-huitième siècle

A partir du dernier trimestre du dix-huitième siècle de grands boutons devenaient à la mode. Cette rage de grands boutons ornementaux durait plus ou moins jusqu’en 1815.

Les 35 années suivantes le bouton jouait un rôle plus fonctionnel et plus modeste bien que la qualité et le métier fussent inégalés. Les boutons étaient réservés aux hommes.

Au cours du dix-neuvième siècle et pendant la révolution industrielle de nouvelles matières apparaissaient et la production en grande série faisait son entrée ce qui apportait en même temps une qualité inférieure.

 Influences japonaises

En 1854 les ports japonais étaient ouverts au commerce et on connaissait dans les années suivantes une vraie vague d’influences japonaises:


Satsuma: du porcelain avec un craquelé émaillé très spécial et avec de petits grains en or
-Peinture laquée japonaise ou chinoise: une résine naturelle qui avait du succès
-Importation du rouge vermillion
-De l’argent, de l’émail incrusté avec du nacre aux dessins orientaux.
Cette influence durera jusqu’en 1960.

Reine Victoria

 Après Louis XIV, le Roi Soleil, personne n’a eu un plus grand impact sur l’industrie de boutons que la Reine Victoria d’Angleterre.

Après la mort de son époux le Prince Albert en 1861, elle ne portait que des boutons en jais comme signe de deuil. Et cela pendant les 25 années suivantes. Ces boutons et bijoux étaient imités en verre noir ce qui était meilleur marché pour le peuple. Le verre était d’abord fondu et ensuite pressé en matrices de métal en beaucoup de dessins différents. On peut retrouver les mêmes modèles en métal et en verre coloré.

 Des boutons avec images

C’est aussi la période des boutons avec des images d’opéras, de fables, de pièces de théâtre, de dessins d’enfant (Kate Greenaway), d’oiseaux, de fleurs …. et tout cela en mesures différentes.


A la fin du dix-neuvième siècle l’argenterie avait un succès agrandissant en Angleterre. De grands boutons en argent, tous fournis d’une pierre semi-précieuse, étaient choisis pour fermer les capes ou les manteaux. Ces « gay ninetees » sont très recherchés.

  Art Nouveau Art Deco

Egalement pour les boutons datant de la période de l’Art Nouveau (1890-1920) on emploie non pas seulement de la corne, de la tortue, de l’émail et du verre mais aussi très fréquemment de l’argent contrairement à la période de l’Art Déco (1910-1949) où l’on utilise plus souvent du verre, de la matière synthétique et du métal poli.


L’année 1918 signifie pour les collectionneurs de boutons la limite entre les boutons anciens et modernes.

Boutons modernes

Concernant les boutons modernes on peut mentionner la parution des petits boutons de chemise que nous connaissons encore aujourd’hui.

Quelques styles éphémères:
-1940: verre transparent
-1920-1939 imitation en bois
(Burwood en Syroco)
-1940-1950: bakélite en couleurs
-après la seconde guerre mondiale: verre coloré
-les années soixante: métal combiné avec matière synthétique

  La Haute Couture

Dans la Haute Couture il y avait bien quelques stylistes qui ont crée, sur demande des Couturiers, à èchelle réduite, des boutons et des boucles. Quelques noms: Jean Clément, Jean Schlumberger, François Hugo, Lucien Weingott, Line Vautrin, Hélène Méchin. Monique Ogier, André Molco e.a.

Après, il y avait seulement encore une demande de boutons résistants au lavage et au sèche-linge, donc des boutons en plastique à deux ou quatre petits trous comme nous les rencontrons généralement sur nos vêtements.

Reférence :

1 ère partie

http://fr.wikipedia.org

2ène partie partie Soit encore des boutons

Ecrit par Griet van Ranst: texte basé sur l ínformation de: The Big Book of Buttons, E. Hughes et M. Lester
Boutons: T. Gandouet
Buttons: N. Fink et M. Ditzler
Boutons: L. Allio

http://www.antiquebuttons.nl

 

 

Trois personnes sur mille contraintes au travail forcé dans le monde


Le travail forcé que je qualifierais plus d’esclavages existent belle et bien a notre époque. Des hommes, des femmes sont exploités contre leur gré et ce dans des condition pitoyables Des fois, je me demande si on apprécie vraiment notre liberté…
Nuage

 

Trois personnes sur mille contraintes au travail forcé dans le monde

 

Près de 21 millions de personnes sont contraintes au travail forcé dans le monde, selon l’Organisation internationale du travail (OIT).

Près de 21 millions de personnes sont contraintes au travail forcé dans le monde, selon l’Organisation internationale du travail (OIT).

Les femmes et les filles représentent 55 % de ces personnes victimes d’un travail imposé par la contrainte ou la tromperie, et les hommes représentent 45 % d’entre elles. Près du quart ont moins de 18 ans.

Travail forcé

Selon la convention n° 29 sur le travail forcé de l’OIT, le travail forcé désigne tout travail ou service exigé d’un individu sous la menace et pour lequel ledit individu ne s’est pas offert de plein gré. Il existe dès lors qu’il est imposé par les autorités publiques, par des entreprises privées ou des particuliers.
Source : OIT

Près de 19 millions de personnes sont exploitées dans l’économie privée, notamment dans le secteur agricole, la construction, le travail domestique ou manufacturier. Les autres sont exploitées dans le secteur public. Elles sont par exemple détenues en prison ou exercent des activités forcées dans l’armée.

De plus, 4,5 millions de personnes sont victimes d’exploitation sexuelle.

L’OIT dit aussi que 44 % des victimes sont des migrants.

« Les déplacements transfrontières sont étroitement corrélés à l’exploitation sexuelle forcée », précise l’organisation.

En chiffres absolus, la région d’Asie-Pacifique est l’endroit qui compte le plus grand nombre de personnes contraintes au travail forcé dans le monde.

Victimes par région :

  • Asie : 11,7 millions (56 %)
  • Afrique : 3,7 millions (18 %)
  • Amérique latine et Caraïbe : 1,8 million de victimes (9 %)
  • Europe centrale, du Sud-Est et Communauté des États indépendants : 1,6 million de personnes (7 %)
  • Économies développées et Union européenne : 1,5 million (7 %)
  • Moyen-Orient : 600 000 (3 %)

Dans son dernier rapport sur le sujet publié en 2005, l’OIT évaluait à au moins 12,3 millions le nombre de personnes victimes de travail forcé dans le monde. L’organisation précise toutefois que les chiffres de 2005 et 2012 ne peuvent pas être comparés pour savoir si le travail forcé a augmenté ou diminué au cours de la période concernée, parce que ceux de 2012 sont plus fiables, grâce à une « nouvelle méthodologie statistique plus performante ».

http://actualites.ca.msn.com

Des chercheurs inventent la piqûre sans douleur


Quand qu’un enfant doit avoir une piqûre c’est le drame, les cris et les pleurs s’en suivent … Il aussi des adultes qui ont certaines craintes de voir une petite aiguille transpercer leur peau, mais il semble que bientôt cela sera chose du passé
Nuage

 

Des chercheurs inventent la piqûre sans douleur


 

Photo: ia_64 – Fotolia.com

Agence QMI

Des chercheurs américains ont développé une nouvelle méthode d’injection à haute pression qui cause peu ou pas de douleur.

Une équipe du Massachusetts Institute of Technology, à Cambridge, a créé un pistolet à injection qui ne comporte pas d’aiguille. Le médicament est injecté sous la peau à travers un bec minuscule, de la taille d’une trompe de moustique. Lors de l’injection, le patient a donc la sensation d’avoir été piqué par un moustique.

«Nous estimons que cette nouvelle technologie pourra considérablement aider les personnes qui ont peur de piqûres et qui ont la phobie des seringues et des aiguilles», a expliqué la chercheuse Catherine Hogan.

Cette découverte pourra aussi s’avérer très utile aux personnes qui doivent régulièrement recevoir des injections, comme les diabétiques.

Ce pistolet est également très novateur dans la mesure où contrairement aux injecteurs haute pression vendus actuellement, il peut injecter des doses de médicaments différentes à des profondeurs variables sous la peau, et ce, avec une plus grande précision. Faire une piqûre à un bébé par exemple, requiert une pression moins importante que pour un adulte, et c’est ce que permet cette nouvelle technologie.

Les chercheurs ne peuvent toutefois indiquer à quel moment ce pistolet à injection sera disponible sur le marché.

http://sante.canoe.ca

Brésil: l’un des plus grands dépotoirs du monde ferme


Il était comme temps de faire quelque chose avec ce dépotoir dans un pays ou la nature est pourtant généreuse Malheureusement ce qui vivent de ce dépotoir seront sans travail … 
Nuage

 

Brésil: l’un des plus grands dépotoirs du monde ferme

 

Le dépotoir Gramacho de Rio de Janeiro, au Brésil.

PHOTO REUTERS

Jenny Barchfield
Associated Press
Rio de Janeiro

L’un des plus grands dépotoirs en plein air du monde fermera dans les prochains jours, après 34 ans de services malodorants. Longtemps considéré comme un symbole de mauvaise planification urbaine et de négligence environnementale, le dépotoir Gramacho de Rio de Janeiro, au Brésil, sera transformé en installation qui captera les gaz à effet de serre générés par les ordures et qui les transformera en énergie capable de chauffer des maisons et de faire rouler des voitures.

Les environnementalistes ont longtemps blâmé le dépotoir pour les hauts niveaux de pollution dans la baie Guanabara, où s’écoulent des liquides toxiques provenant des déchets.

Mais on ne sait pas très bien ce qui arrivera avec les 1700 personnes qui travaillent dans le dépotoir pour trier les 9000 tonnes de détritus qui y sont déversés chaque jour. Connus sous le nom de «catadores», ces travailleurs du dépotoir recevront un petit dédommagement des autorités municipales, mais il n’y aura pas de place pour eux dans le dépotoir de remplacement, où la majorité des déchets sont déjà envoyés.

«Quand vous arrivez ici pour la première fois, vous vous demandez si vous serez capable de le faire, mais on s’y habitue, on se fait des amis et on trouve que c’est un bon travail», a expliqué Lorival Francisco dos Santos, un homme âgé de 46 ans qui travaille dans le dépotoir depuis 13 ans.

La fermeture du dépotoir Gramacho a été reportée à plusieurs reprises au cours des dernières années, mais cette fois-ci sera la bonne.

«Nous le disons depuis des années aux «catadores», mais ils n’ont jamais cru que ça se produirait pour vrai», a expliqué le directeur du dépotoir, Lucio Alves Vianna.

Le dépotoir Gramacho a été construit en 1978 sur un marécage écologiquement fragile qui surplombe la baie Guanabara. Pendant 20 ans, il a fonctionné presque sans supervision gouvernementale. Il n’y a pas eu d’aménagements pour éviter que les liquides de matières toxiques et organiques se déversent directement dans la baie, qui est devenue impropre à la baignade.

En 1996, les autorités de Rio sont intervenues et ont mis fin au travail des enfants dans le dépotoir. Les «catadores» ont été enregistrés et des restrictions ont été imposées sur les types de déchets qui pouvaient y être déposés.

Des camions ont commencé à recouvrir les déchets avec d’épaisses couches de terre. Aujourd’hui, avec 12 couches de terre de cinq mètres chacune, le terrain de 130 hectares ressemble à une véritable montagne de déchets qui surplombe la baie.

Dans le cadre du projet de reconversion du dépotoir, 200 puits permettront de capter le dioxyde de carbone et le méthane qui émanent des ordures en décomposition. Les gaz seront acheminés vers les installations gérées par Petrobas, la société pétrolière publique brésilienne.

Les ventes de crédits de carbone et de biogaz devraient rapporter environ 232 millions de dollars US en 15 ans, dont un pourcentage sera reversé aux «catadores».

Le transport des déchets vers le nouveau dépotoir conforme aux normes écologiques devrait permettre de réduire les émissions de gaz carboniques de 1400 tonnes par année.

http://www.lapresse.ca

– Des groupes écologistes lancent la campagne « Silence, on parle »


Est-ce que le Canada et le Québec sont en crise, alors que le gouvernement canadien coupe sur dans des domaines important tel que la protection de l’environnement, fuit ses responsabilités devant l’urgence d’agir et que le Québec veut enlever le droit a la démocratie .. Sans parler des exploitations qui sont vue d’un très mauvais oeil de la population …
Nuage

 

– Des groupes écologistes lancent la campagne « Silence, on parle »

 

Si une image noire remplace la page d’accueil de certains sites Web lundi, elle ne sera pas le résultat d’une attaque de pirates informatiques, mais bien un message de groupes écologistes qui souhaitent dénoncer certaines politiques gouvernementales en matière d’environnement, entre autres.

Si une image noire remplace la page d’accueil de certains sites Web lundi, elle ne sera pas le résultat d’une attaque de pirates informatiques, mais bien un message de groupes écologistes qui souhaitent dénoncer certaines politiques gouvernementales en matière d’environnement, entre autres.

Équiterre, Greenpeace, le World Wildlife Fund (WWF) et la Fondation David Suzuki figurent parmi les organisations de défense de l’environnement qui participeront cette journée-là à la campagne « Silence, on parle », car selon eux les gouvernements provincial et fédéral utilisent leurs pouvoirs législatifs pour « affaiblir les voix de groupes qui s’opposent à leurs idéologies ».

Selon le directeur général pour la section québécoise de la fondation David Suzuki, Karel Mayrand, le gouvernement Harper a pris les écologistes en grippe, et il les « muselle » avec, notamment, le dépôt du projet de loi budgétaire C-38.

Ce document de quelque 400 pages amende plus d’une soixantaine de lois, notamment de nombreuses législations environnementales, mais également l’admissibilité à l’assurance-emploi et aux prestations de vieillesse, les politiques d’immigration et les méthodes d’inspection des aliments.

M. Mayrand ajoute que la « même chose » se produit au Québec avec la loi 78, que le gouvernement Charest a adoptée afin d’encadrer les manifestations et d’assurer l’accès aux institutions d’enseignement.

L’écologiste voit dans ces mesures « un glissement dangereux » que les citoyens « doivent dénoncer », sans quoi les débats de société et la légitimité des choix des gouvernements s’en trouveront affectés.

Selon M. Mayrand, la qualité des décisions prises en démocratie est « tributaire de l’expression d’une diversité de points de vue », et c’est pourquoi il demande aux citoyens, organisations et entreprises de participer à la campagne qu’il promeut.

« Les gens sont en état de choc devant ce qui se passe a Ottawa », observe-t-il.

« Nous, on veut leur donner la parole pour défendre les deux valeurs canadiennes fondamentales que sont la protection de la nature et la démocratie. On a des réponses de groupes écologistes, mais aussi de gens ordinaires, qui appuient le principe qui veut qu’on puisse prendre la parole sans risquer des représailles. »

M. Mayrand s’inquiète également qu’une tendance soit en train d’émerger.

« Les associations étudiantes sont visées par Québec, les groupes environnementaux le sont par Ottawa. Qui seront les suivants? », demande-t-il.

Certaines personnalités publiques participent à la campagne « Silence, on parle », à savoir l’écrivaine Margaret Atwood, le musicien Bruce Cockburn et le groupe Les Cowboys Fringants.

Ils noirciront ainsi leurs sites Web lundi en reprenant les mots de la campagne ou, encore, ils s’exprimeront sur les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter.

http://actualites.ca.msn.com

Présumé «dépeceur» en fuite Luka Rocco Magnotta bel et bien à Paris


Luka Rocco Magnotta est vraiment en France, car il a pu être identifié formellement grâce a ses empreintes, Peut-être pourrons nous apprendre dans un très proches avenir son arrestation par les policiers français
Nuage

 

Présumé «dépeceur» en fuite

Luka Rocco Magnotta bel et bien à Paris

Luka Rocco Magnotta bel et bien à Paris

Crédit photo : AFP

Aux trousses de Luka Rocco Magnotta, les enquêteurs se seraient rendus dans ce bar du 17e arrondissement

VA Nouvelles selon AFP

Consultez la chronologie de cette affaire

Après avoir affirmé faire des «recherches ciblées» sans toutefois avoir la certitude que Luka Rocco Magnotta était bel et bien allé àParis, les autorités françaises sont désormais formelles: leprésumé «dépeceur» recherché internationalement a bel et bien été vu dans la Ville Lumière.

«Les enquêteurs sont certains que le dépeceur est ou a été en Île-de-France et particulièrement à Paris depuis au moins vendredi», a affirmé une source de la police à l’Agence France-Presse (AFP).

Au cours des dernières heures, les enquêteurs français se seraient notamment rendus dans divers endroits (au moins un bar et deux établissements hôteliers) du 17e arrondissement, dans le nord de la capitale.

Toujours selon ce qu’a pu apprendre l’AFP, les policiers auraient mené une perquisition, vendredi soir, au bar «Le petit Batignolles». Ils auraient alors visionné des images captées par des caméras de surveillance en plus de repartir avec des bouteilles de boisson gazeuse pour y prélever des empreintes digitales.

Ces informations sont aussi rapportées par le quotidien Le Parisien qui a pu apprendre que le gérant d’un bar a affirmé hors de tout doute aux policiers que Luka Rocco Magnotta avait visité son établissement dans la nuit de mercredi à jeudi.

Dans son témoignage, le gérant aurait qualifié le suspect en cavale de «nerveux» en plus de raconter qu’il avait été rejoint par un homme «au physique impressionnant» qui le connaissait.

Luka Rocco Magnotta est activement recherché depuis le 30 mai après la découverte, mardi dernier, d’un torse humain à Montréal, ainsi qu’un pied et une main dans des colis envoyés à Ottawa.

Vendredi, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a confirmé que la victime de ce crime atroce est Jun Lin, 32 ans, un Chinois qui étudiait à l’Université Concordia.

http://tvanouvelles.ca

Tintin, un héros de 1,3 million d’euros


Tintin fut des bandes dessinés qui ont fait le bonheur de millions lecteurs. C’était un plaisir de lire et relire .. les aventures de ce rapporteur avec son chien Milou qui a eu lui aussi beaucoup d’adepte à 4 pattes, qui ont porté le même pseudonyme que lui
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Tintin, un héros de 1,3 million d’euros

 

À 82 ans, Tintin a toujours la cote. Un dessin original d’Hergé pour la couverture de l’album Tintin en Amérique a été adjugé 1,3 million d’euros (environ 1,7 million de dollars) lors d’une enchère à Paris, samedi.

À 82 ans, Tintin a toujours la cote. Un dessin original d’Hergé pour la couverture de l’album Tintin en Amérique a été adjugé 1,3 million d’euros (environ 1,7 million de dollars) lors d’une enchère à Paris, samedi.

Ce dessin de 1932, encre de Chine et gouaches de couleurs, avait changé de mains en 2008 pour 760 000 euros (983 000 $), le précédent record.

L’estimation de l’oeuvre n’a pas été rendue publique par la maison Artcurial qui espérait le vendre pour au moins un million d’euros.

Ce dessin est l’un des cinq de ce type en circulation dans le monde. Trois appartiennent à la fondation Hergé et les deux autres sont entre les mains de collectionneurs.

L’acquéreur est un tintinophile anonyme.

La vente comprenait aussi une collection de près de 80 albums avec Tintin au pays des Soviets et Tintin au Congo . Tous deux sont signés Tintin et Milou, respectivement Hergé et Germaine Kieckens, sa première épouse.

La vente a remporté un montant record dans le monde de la bande dessinée.

Les 23 aventures de Tintin ont été vendues, jusqu’à présent, à 230 millions d’exemplaires et traduites en 80 langues. Le reporter dessiné par Georges Rémi, vrai nom de Hergé, est né en 1929. Hergé est décédé en 1983.

Radio-Canada.ca avec AFP et Reuters

http://actualites.ca.msn.com