Les frontières


Nous avons établis des frontières pour des raisons sociales, économiques et politiques … mais elles ne doivent jamais mettre un frein a la connaissance des autres. C’est peut-être un point fort d’internet car les seules barrières qui peut exister sur le web c’est la langue .. 
Nuage

 

Les frontières

 

 

 

Les frontières ne sont que des coups de crayon sur des cartes. Elles tranchent des mondes mais ne les séparent pas. On peut parfois les oublier aussi vite qu’elles furent tracées.

Philippe Claudel

Bonheur où es-tu ?


Il y a des choses qui nous agacent, des choses que nous aimerions changer ou posséder ou au contraire se débarrasser … Allons nous être plus heureux ? Je ne sais pas, mais ce que je sais c’est que le bonheur viens et va mais c’est avant tout une question d’attitude
Nuage

 

Bonheur où es-tu ?

 

 

Si tu ne trouves pas le bonheur,
C’est peut-être que tu le cherches ailleurs,
Ailleurs que dans tes souliers…
Ailleurs que dans ton foyer.
Selon toi, les autres sont plus heureux,
Mais toi, tu ne vis pas chez-eux…
Tu oublies que chacun a ses tracas,
Tu n’aimerais sûrement mieux son cas.

Comment peux-tu aimer la vie,
Si ton coeur est plein d’envie?
Si tu ne t’aimes pas,
Si tu ne t’acceptes pas?

Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute
C’est de rêver du bonheur trop grand.
Sachons cueillir le bonheur au compte-gouttes,
Ce sont les gouttes qui font les océans.

Ne cherchons pas le bonheur dans nos souvenirs;
Ne le cherchons pas non plus dans l’avenir.
Cherchons le bonheur dans le présent,
C’est là et là seulement qu’il nous attend

Le bonheur n’est pas un objet
Que l’on peut trouver quelque part hors de nous.
Le bonheur c’est avant tout un projet
Qui part de nous et se réalise en nous.

Il n’existe pas de marchand de bonheur…
Il n’existe pas de machine à bonheur.
Il existe des gens qui croient au bonheur.
Ce sont des gens qui font eux-mêmes leur bonheur.

Si dans votre miroir votre figure vous déplaît,
A quoi ça sert de briser le miroir…?
Ce n’est pas lui qu’il faut casser,
C’est vous qu’il faut changer!

Charles-E. Plourde

Le ménage du printemps en 20 étapes faciles


Ah le grand ménage … après avoir passé l’hiver enfermé portes et fenêtres closent .. il faut aéré, trier, dépoussiéré, laver, pièce par pièce, meubles par meubles, armoires et garde-robe, Donc, voici quelques petits trucs facile et économique.
Nuage

 

Le ménage du printemps en 20 étapes faciles

Le printemps est bien là! Le grand ménage vous rebute? Voici 20 étapes faciles – agrémentées de trucs futés!- pour alléger votre tâche et profiter plus rapidement du doux soleil printanier.


1. Le grand tri

Avant même de faire un premier geste de grand nettoyage, il faut débuter par une grande tournée de tri. Pièce par pièce, on fait le tour avec en main trois bacs : « à jeter », « à donner » et « à reclasser ailleurs ». Tout doit y passer. Ce qui n’a pas servi, ce qui est superflu ou ce qui est brisé doit sortir de la maison. Adios!


2. Au choix!

Chacun sa technique! À vous de trouver celle qui vous convient. Certains préfèrent faire le ménage d’une pièce au complet de fond en comble tandis que d’autres optent de répéter la même tâche dans toute la maison avant d’en entamer une autre. Comme vous voulez! Mais choisissez votre façon de procéder avant de commencer sinon vous perdrez la boule. Un seul conseil: on nettoie du plafond au plancher (et non le contraire!).


3. Les plafonds

Pour enlever la poussière et les fils d’araignées, vous pouvez désormais vous passer d’un escabeau en vous murissant d’une vadrouille avec un manche télescopique. Choisissez-en une dont la tête pivote pour passer dans tous les coins sans vous faire un tour de rein. Aussi, en plus de l’eau et du savon, vous pouvez mettre quelques gouttes d’huile essentielle que vous aimez (celle au citron donne une belle odeur de fraîcheur!) à l’air ambiant. Une pierre deux coups!


4. Les murs

Passez un linge humide délicatement sur les murs. Une tache ou une marque sur un mur? Faites-la partir avec un «effaceur magique» ou avec un peu de pâte nettoyante. N’oubliez pas de nettoyer les moulures autour des portes et près du plancher. Celles-ci sont souvent pleines de poussière et de traces de doigts.


5. Délicates retouches!

Après avoir lavé les murs et les plafonds, vérifiez si vous devez faire de petites retouches de peinture. Astuce intéressante : prenez l’habitude de vous faire des petits pots de secours des différentes couleurs de peinture de votre maison. Vous pouvez les verser dans des pots de pilules vides. Gardez un pinceau pas loin et le tour est joué. C’est le temps de revamper rapidement votre décor. Il est aussi possible d’utiliser aussi le pinceau d’un vernis à ongles pour les fines retouches.


6. Le four

Le travail se fait pendant la nuit… et presque tout seul! Pour l’intérieur, on utilise une pâte faite de bicarbonate de soude et un peu d’eau. On l’étale dans le four et on laisse agir durant la nuit. On fait tremper les grilles dans le bain dans de l’eau chaude à laquelle on a ajouté deux feuilles d’assouplisseur. Prenez soin de protéger le fond de la baignoire avec une vieille serviette qu’on n’aura pas encore jeté à la poubelle!


7. Le réfrigérateur

D’abord, on le vide de tout ce qui est passé date, ce qui a changé d’aspect et ce dont on ne sert plus. Au besoin, dégivrez votre réfrigérateur. Ensuite, lavez toutes les parties (bacs, tiroirs, grilles, etc.) avec une éponge et un mélange d’eau et de liquide à vaisselle. Pour prévenir les mauvaises odeurs, on glisse sur une tablette soit une boîte de bicarbonate de soude, un plat avec quelques bouchons de liège ou un morceau de charbon de bois.


8. Le four à micro-ondes

Coupez un citron en rondelles et déposez-les dans un bol rempli d’eau tiède. Placez le bol dans le four à micro-ondes pour 5 minutes à haute puissance. Ensuite, il ne vous restera qu’à essuyer les parois avec un chiffon ou un papier essuie-tout.


9. Le lave-vaisselle

Pour nettoyer à fond un lave-vaisselle, versez-y 3 litres de vinaigre et faites un cycle sans vaisselle. Vous pouvez aussi nettoyer chaque jointure et l’intérieur de la porte avec une préparation d’eau chaude et de vinaigre.


10. Les comptoirs

Après avoir lavé avec une eau savonneuse tous les comptoirs et les surfaces de la cuisine, vaporisez une lotion désinfectante. Attendez une vingtaine de secondes avant d’essuyer à sec. La recette? Versez 4 tasses d’eau et une cuillérée à table d’eau de Javel dans un contenant muni d’un vaporisateur. Le tour est joué!


11. La baignoire

Lavez la baignoire avec du savon à vaisselle pour la faire reluire rapido presto! Aussi, pour enlever certaines tâches (comme les dépôts de calcaire), il suffit de les frotter avec une tranche de citron. Pour les joints où se serait infiltrée un peu de moisissure, il est préférable de passer un linge imbibé d’eau de javel et de rincer ensuite abondamment.


12. La douche

Pour nettoyer à fond une porte de douche, appliquez une couche d’assouplisseur liquide sur la porte. Laissez agir environ 5 minutes et rincez à grande eau.


13. Les drains et les robinets

Un bon nettoyage des drains est nécessaire (au moins!) à chaque changement de saison. Mélangez ½ tasse de sel de table et ½ tasse de bicarbonate de soude. Versez cette poudre dans le drain. Versez ensuite ½ tasse de vinaigre. Laissez agir. Vous verrez des petites bulles remonter à la surface. C’est normal. Si possible, n’utilisez pas le robinet pour au moins deux heures. Ensuite, vous pourrez ouvrir l’eau à grand jet pour rincer. Pour donner de l’éclat à tout ce qui est chromé, utilisez un chiffon imbibé légèrement d’alcool à friction. Tout brillera rapidement!


14. Les fenêtres

Pour nettoyer l’espace entre les vitres, passez un petit coup d’aspirateur avant de le laver avec un mélange d’eau savonneuse. Asséchez bien pour ne pas créer de moisissures. Ensuite, les trucs sont nombreux pour obtenir des fenêtres impeccables : lavez avec un mélange de savon à vaisselle et d’eau, vaporisez d’alcool à friction et essuyez avec un essuie-tout, prenez du papier journal pour essuyer les vitres après les avoir nettoyées, etc.


15. Les stores et rideaux

Enfilez des bas en coton – achetez-en au magasin à 1$ et déclarez-les votre paire pour le ménage! – que vous aurez légèrement humidifié. Dans un geste de haut en bas, prenez chaque latte entre les mains pour les nettoyer. C’est long mais efficace!


16. Les meubles en bois

Bien sûr, il existe beaucoup de produits destinés à faire reluire les meubles en bois. Vous pouvez toutefois passer un chiffon imbibé dans du vinaigre sur les surfaces bien époussetées pour que tout brille.


17. Les poubelles

Deux choix : mettre du savon à lessive dans le fond de votre poubelle et y verser de l’eau chaude (jusqu’au tiers environ!) ou – pour les cas extrêmes – versez un peu d’eau de Javel et remplissez votre poubelle d’eau chaude. Laissez agir une quinzaine de minutes et rincez ensuite.


18. Les grilles de chauffage

Elles sont souvent pleines de poussières, mais il est difficile de bien les nettoyer. Si vous pouvez les enlever, faites-le! Ce sera plus facile. Vous pouvez même les repeindre au besoin. Si elles sont fixes, utilisez un pinceau pour nettoyer chaque fente sans trop de soucis.


19. Les planchers

Toutes les traîneries sont ramassées, les moulures sont bien lavées, c’est le temps de laver à fond le plancher. Ajoutez une tasse de vinaigre blanc dans un gallon d’eau tiède. Si vous le désirez, vous pouvez ajouter quelques gouttes d’huile essentielle que vous aimez. Frottez les planchers avec une éponge ou une brosse en n’utilisant que très peu d’eau. Essuyez aussitôt avec une serviette pour ne pas que l’eau s’infiltre. Vous obtiendrez un résultat surprenant!


20. Les tapis

Pour venir à bout des taches tenaces sur les tapis, faites une pâte avec du bicarbonate de soude et de l’eau et étalez-la sur l’endroit sale. Laissez agir quelques heures et rincez ensuite avec une serviette mouillée.


http://styledevie.ca.msn.com

Bloc opératoire Un vrai «success story»


Enfin un côté positif dans les hôpitaux, un travail collectif que tous y participe du chirurgien passant par les infirmières, techniciens préposée pour améliorer la rapidité que les salles d’opérations soient prêtes pour des opérations
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Bloc opératoire  Un vrai «success story»

 

La petite révolution au bloc opératoire de l’hôpital Jean-Talon donne des résultats spectaculaires. En améliorant le temps de préparation des salles entre les chirurgies, on opère jusqu’à 42 % plus de patients.

« On est extrêmement satisfaits », lance le gestionnaire du bloc opératoire de l’hôpital, Joël Quirion.

« C’est la première fois en 35 ans de carrière que je vois les choses s’améliorer aussi vite, ajoute le chef de l’anesthésiologie, Hughes Germain. On a le vent dans les voiles. »

À la fin de l’année 2009, la direction de l’hôpital Jean-Talon a pris le pari d’instaurer l’approche Toyota dans son bloc opératoire afin d’augmenter le nombre de chirurgies par jour.

Résultat : 25 % plus d’interventions chirurgicales effectuées l’an dernier qu’il y a deux ans. Notamment, le nombre d’arthroplasties de la hanche a augmenté de 42 %, passant de 231 à 327

En 2011, l’hôpital opérait 33 patients par jour, comparativement à 23, en 2009.

Revoir les procédures

La démarche entreprise par l’hôpital fait suite à un appel de candidatures de l’Agence de la santé et des services sociaux (ASSS) de Montréal pour mettre sur pied des projets pilotes d’amélioration des blocs opératoires.

Durant un an, l’hôpital Jean-Talon a carrément décortiqué les étapes d’une chirurgie afin de mettre le doigt sur les séquences à améliorer.

Une des clés du succès a été de réduire le temps de préparation de la salle entre deux opérations. En deux ans, le délai est passé de 28 minutes à 21 minutes.

« C’est énorme sept minutes de moins, souligne fièrement Joël Quirion. Mais, ça prend le travail collectif de toute l’équipe pour le faire. On opère plus au bout du compte. »

« C’est simple et ça ne coûte rien. Il faut par exemple que le chirurgien fasse attention aux éclaboussures dans la salle et que l’infirmière aide le préposé qui fait le ménage à repérer vite les endroits à nettoyer, ajoute la responsable des communications de l’hôpital, Sylvie Lantier. Les résultats sont là. »

Une cinquième salle

Autre impact positif, l’établissement procède actuellement à la construction d’une cinquième salle de chirurgie.

« L’amélioration de l’efficacité du bloc n’est pas la seule raison pour laquelle on a eu l’argent pour agrandir, mais ça a certainement aidé, pense Sylvie Lantier. En plus, on sait qu’on peut encore faire mieux. »

Selon Joël Quirion, il ne fait aucun doute que cette méthode pourrait être appliquée dans les autres hôpitaux de Montréal.

« C’est un projet gagnant, on peut l’exporter n’importe où, assure-t-il. Chez nous, on souhaite le mettre en place dans d’autres départements. »

L’hôpital Jean-Talon a grandement perfectionné l’efficacité de son bloc opératoire en réduisant le temps de préparation moyen des salles de 28 à 21 minutes, depuis 2009. Lors du passage du Journal, jeudi, les employés ont mis seulement sept minutes pour nettoyer la salle entre deux chirurgies. À plus long terme, la construction d’une salle d’induction, où les patients sont anesthésiés avant d’arriver dans la salle d’opération, permettrait encore plus d’améliorer l’efficacité du bloc opératoire.

PHOTO LE JOURNAL DE MONTREAL, BENOIT PELOSSE

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PHOTO LE JOURNAL DE MONTREAL, BENOIT PELOSSE

PHOTO LE JOURNAL DE MONTREAL, BENOIT PELOSSE

http://www.journaldemontreal.com

Un insecte menace 100 000 arbres à Montréal


 

Un autre intrus  qui est probablement rentré clandestinement pour rester au pays sans être évité  L’agrile du frêne semble aimer l’environnement du la grande ville de Montréal ..enfin cet bestiole affectionne beaucoup les arbres, assez pour les détruire ..
Nuage

 

Un insecte menace 100 000 arbres à Montréal

 

Pour contrer la progression de l’agrile du frêne, Montréal a acheté un nouvel insecticide.

PHOTO: FOURNIE PAR L’AGENCE CANADIENNE D’INSPECTION DES ALIMENTS

Pierre-André Normandin
La Presse

Il mesure à peine quelques millimètres, mais pourrait tout de même causer pour «plusieurs dizaines de millions» de dégâts à Montréal. Découvert l’été dernier, l’agrile du frêne, insecte ravageur arrivé d’Asie, s’est déjà répandu dans un rayon de 17 km et menace de tuer le cinquième des arbres de Montréal d’ici 10 à 15 ans.

À l’heure du ménage printanier, l’avertissement est sérieux. Montréal interdit à ses citoyens de jeter les branches d’arbres, peu importe l’essence, avec le reste des résidus verts. La Ville leur demande plutôt de les attacher ensemble, de les mettre en bordure de rue et d’appeler le 311 pour qu’on vienne les déchiqueter.

L’enjeu est de taille. Observé pour la toute première fois le 19 juillet 2011, l’agrile a maintenant été détecté à huit endroits dans l’île.

D’abord découvert dans l’Est, il a maintenant fait son apparition dans un parc de l’arrondissement de Saint-Laurent. Dix-sept kilomètres séparent les deux lieux touchés les plus éloignés.

Si la lutte contre l’insecte échoue, la Ville évalue que l’agrile pourrait détruire les 100 000 frênes recensés à Montréal. Ces arbres jouent un rôle important dans la métropole. Près de la moitié, 45 000, se trouvent en bordure de rue et servent à lutter contre les îlots de chaleur. Ils permettent également de ralentir les eaux de ruissellement et contribuent à améliorer la qualité de l’air. Bref, Montréal dit ne pas avoir les moyens de voir son mince couvert végétal davantage troué.

«Le remplacement de tous ces frênes de rue pourrait coûter plusieurs dizaines de millions», appréhende la Ville. Il en coûte de 500$ à 2000$ pour abattre et remplacer un arbre, précise Philippe Sabourin, porte-parole municipal.

15 arbres abattus

Pour l’instant, une quinzaine d’arbres ont été abattus. Fait inquiétant, l’insecte a été détecté au Jardin botanique, au coeur du bois des frênes. L’endroit abrite 475 des quelque 700 arbres de cette espèce plantés sur le terrain au pied du Stade olympique. Un arbre y a été abattu à la fin du mois de novembre et le parasite n’aurait pas été détecté depuis.

«On a l’expertise pour faire le suivi», assure Karine Jalbert, porte-parole de l’Espace pour la vie.

Or, il appert que l’abattage ne serait pas efficace pour contrer la progression de l’insecte. Au contraire.

«Des données scientifiques indiquent que cela produirait un effet opposé à l’objectif ciblé en contribuant à disperser davantage l’insecte», écrit la Ville.

Pour contrer la progression, Montréal a plutôt décidé d’acheter un nouvel insecticide, qui a reçu une homologation d’urgence du gouvernement fédéral. Le TreeAzin est décrit comme un biopesticide sans effet sur la santé. Aucun permis n’est requis pour en épandre. De plus, celui-ci est injecté directement dans les arbres, ce qui limite les risques de contact. Montréal a acheté pour 62 700$ du produit, soit assez pour traiter 700 arbres.

Ce traitement sera administré aux arbres entourant les frênes atteints afin de créer une barrière. Il reste à en voir l’efficacité, car l’agrile se déplace par la voie des airs et attaque les arbres en pondant jusqu’à 275 larves. Ce sont ces larves qui finissent par tuer les arbres en deux à cinq ans en endommageant la couche sous l’écorce.

http://www.cyberpresse.ca

Élever son poisson dans la cuisine?


Je ne suis pas sur que ce soit une si bonne idée, moindrement qu’il y a un manque d’hygiène, avoir des aquariums de fortune pour élever des poissons dans le but de se nourrir me laisse perplexe
Nuage

 

Élever son poisson dans la cuisine?

 

Élever son poisson dans la cuisine?

Christopher Toole anime un atelier destiné aux enfants
© AFP Photo/Emmanuel Dunand

Par Sebastian SMITH

Recycler, manger bio ou encore rouler en voiture électrique ne suffit plus à certains New-Yorkais. Deux anciens banquiers sont ainsi devenus des adeptes de l’élevage de poissons respectueux de l’environnement chez eux, en plein coeur de la jungle urbaine.

 

Christopher Toole et Anya Pozdeeva, qui ont fondé la «Société pour les valeurs et l’éducation aquaponique» (Society for Aquaponic Values and Education, SAVE) parlent d’une démarche «au-delà du bio».

La technique serait ancienne, selon Anya, 39 ans. Elle consiste à élever des poissons en aquarium dans le but de les manger, et à recycler l’eau usée pour fertiliser des plantations. Les déjections des poissons nourrissent les plantes qui elles-mêmes nettoient l’eau de l’aquarium.

Cet écosystème miniature permet de fabriquer sa propre nourriture bio dans un appartement exigu, sans matériel extravagant, assurent ses promoteurs.

«Nous avons construit notre système à partir de poubelles», explique Anya, arrivée de sa Sibérie natale il y a 20 ans.

Encore récemment, cet improbable couple d’écologistes urbains travaillait de longues heures dans le secteur financier, dans un gratte-ciel de Manhattan. Ils sont aujourd’hui installés dans un décor très différent, celui du Bronx.

Après la crise financière de 2008, Christopher, alors vice-président à la Sovereign Bank, a découvert qu’il avait des problèmes de vision, selon lui liés au stress.

Et tous deux étaient déçus de leur carrière, dans un univers où «ils vous pressent jusqu’à la dernière goutte, avant de vous jeter», explique Anya.

«Nous voulions garder les pieds sur terre», ajoute Toole, 47 ans.

Le couple a donc décidé de mettre les mains dans l’eau. Toole avait des notions de pisciculture, pour avoir suivi son père scientifique pendant les vacances à Woods Hole, un centre de recherche maritime de la région de Cape Cod. L’aquaponie lui est apparue comme la façon de marier production alimentaire écologique et développement durable, avec un business plan qu’il espère tout aussi durable.

Il admet avoir pris des risques.

«Mais comprendre les risques est quelque chose que l’on apprend dans le secteur bancaire», dit-il.

Ateliers avec les enfants

 

Chaque semaine, le couple enseigne l’aquaponie à environ 80 enfants dans un centre communautaire du sud du Bronx, un quartier parmi les plus défavorisés des États-Unis.

Lors d’un récent atelier, des jeunes aidaient à nettoyer les aquariums, plantaient de la menthe, des choux…

«J’ai peur qu’il me morde», s’inquiète une petite fille en plongeant la main dans un tonneau où nageait un tilapia. «Lui a peur que tu le mordes», lui répond Christopher.

À deux garçons qui oublient leurs tâches de jardinage pour se lancer de la terre, Anya rappelle que «la boue est précieuse» et les remet au travail.

Christopher élève plusieurs sortes de poissons, mais c’est avec le tilapia qu’il a le plus de succès. Ils n’ont besoin que de 35 litres d’eau, et au bout de 9 mois sont assez gros pour être mangés. Ils semblent aimer certaines mauvaises herbes récoltées dans des étangs.

En plus de leurs ateliers avec les enfants, les deux New-Yorkais vendent aussi des alevins de tilapia, via leur site internet www.vifarms.com.

En parallèle

 

SAVE n’a qu’un an d’existence, mais leurs fondateurs y croient dur comme fer. Christopher voudrait travailler avec les restaurateurs ou d’autres éleveurs de poisson en ville.

Anya a commencé à faire pousser des champignons sur du carton, ayant découvert qu’ils adorent l’environnement chaud et humide qui convient justement aux tilapias.

Et Christopher s’est aussi lancé dans les ruches.

«J’ai actuellement 10 000 abeilles dans notre salon» dit-il. «Je ne dors pas seulement avec des poissons, mais aussi avec des abeilles».

Ont-ils le droit d’avoir tous ces animaux chez eux à New York, une ville réputée pour imposer des règles draconiennes aux animaux domestiques?

«Foncièrement, il ne faut pas faire de bruit», dit Anya. «C’est l’avantage avec les poissons».

http://fr.canoe.ca

Le Nutella n’est pas un aliment santé Une tartine de 3 millions $


Je pense que tout ceux qui ont le soucis de ce qu’il mange, regarde les étiquettes .. mais bon, d’un autre côté, cela pourrait permettre que soit cesser ces annonces bidons qui nous font croire que telles céréales, telles tartinade, sont un gain pour la santé
Nuage

 

Le Nutella n’est pas un aliment santé Une tartine de 3 millions $

 

Une tartine de 3 millions $

Crédit photo : archives AFP

Agence QMI

Ferrero, l’artisan de Nutella, a accepté de rembourser la somme de3 millions $ à des parents américains choqués d’avoir donné la tartinade à leurs enfants au petit déjeuner, croyant qu’il s’agissait d’un aliment santé.

Un site web créé au sujet du recours collectif contre l’entreprise en alimentation précise que la somme représente l’équivalent d’environ 20$ pour les consommateurs qui ont fait partie du recours, ou l’équivalent d’environ 4$ par pot.

Dans l’entente de règlement, Nutella a aussi accepté de modifier son étiquette et sa stratégie de marketing. L’entreprise produira de nouveaux messages publicitaires télévisés qui ne dépeignent pas le produit comme faisant partie d’un déjeuner santé.

Le tableau de valeur nutritive du Nutella fait notamment état d’une quantité de 11 grammes de sucre pour chaque cuillère à soupe.

L’entente doit être approuvée le 9 juillet. Le recours collectif n’inclut pas les consommateurs canadiens.

Les consommateurs californiens qui ont acheté la tartinade faite de noisette et de cacao entre le 1er août 2009 et le 23 janvier 2012 sont admissibles à un remboursement.

D’autres consommateurs ailleurs aux États-Unis qui ont acheté la tartinade entre le 1er janvier 2008 et le 3 février 2012 pourront aussi être dédommagés. Les réclamations doivent être soumises d’ici le 5 juillet.

http://tvanouvelles.ca