La carapace


Il ne faut pas se fier sur l’apparence d’une personne, comme tout le monde ils ont besoin de bons mots, d’appréciation, et d’écoute
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La carapace

 

 

« Sous la carapace de chaque individu, se cache une personne qui aspire à être
appréciée et encouragée. »

inconnu

Nos émotions


Par un seul regard on peut remarquer si une personne est triste ou joyeux. out le corps prend la posture des émotions du moment …  Alors, nous pouvons changer notre aspect de notre physionomie pour changer notre état d’âme
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Nos émotions

 

Notre physiologie influence nos émotions et vice versa. En général, les pensées tristes nous recroquevillent, les pensées gaies nous ouvrent et nous dynamisent.

Le plus intéressant, c’est qu’il est très difficile de maintenir des pensées tristes en dansant ou en chantant.

Que pouvons-nous apprendre ?

Dynamisez-vous pour changer vos humeurs. Apprenez à changer vos émotions par divers exercices dynamisants.

Michel Poulaert

Le saviez-vous ► Six phénomènes inexpliqués du corps humain


 

Beaucoup de gestes que nous faisons a tous les jours, sont des comportement normaux et ce dépendant des circonstances. Comme toute chose ou tout comportement pourraient avoir une explication logique … il semble que sur certains comportement, la science n’arrivent pas a vraiment expliquer … alors il nous reste les théories
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Six phénomènes inexpliqués du corps humain

Le corps humain a ses mystères…

Six choses que votre corps fait tous les jours et que la science ne peut pas tout à fait expliquer..

Hoqueter

On se passerait bien du hoquet, qui consiste en une contraction spasmodique involontaire du diaphragme, souvent produit après un repas trop copieux ou après avoir mangé trop rapidement.

Et si l’on connaît assez bien le mécanisme de ce phénomène, ses origines et ses fonctions sont encore au stade de spéculation. Le docteur canadien Daniel Howes a avancé une explication du hoquet dans un article publié dans le magazine BioEssays. D’après lui, le hoquet s’apparenterait au rot et servirait à expulser la présence d’air dans l’estomac.

Rougir

Le mystère entourant le fait de rougir n’est pas encore résolu. En fait, il est l’une des dernières pièces manquantes des théories de l’évolution du développement humain.

D’après les recherches, le fait de rougir -un phénomène propre à l’être humain- serait un signe d’embarras. Une étude publiée en 2009 par les psychologues néerlandais Corine Dijk, Madelon Peters et Peter de Jong propose la conclusion suivante: «rougir aiderait à nous faire pardonner si nous sommes pris en flagrant délit ou dans une situation honteuse». Rougir nous rendrait-il plus attachant?

Bâiller

On a longtemps cru que le bâillement servait à augmenter la vigilance. On a ensuite cru qu’il s’agissait d’un réflexe social sans fonction physiologique. Récemment, des scientifiques ont établi un lien entre le sentiment d’empathie et le fait que le bâillement est contagieux, particulièrement entre des amis ou membres de la famille. D’autres études suggèrent qu’il aurait une fonction de thermorégulation du cerveau. Selon des recherches menées à l’Université Princeton et l’Université de l’Arizona, le bâillement servirait à faire abaisser la température du cerveau, qui travaille mieux quand il est au frais!

Bref, à ce jour, les scientifiques n’arrivent toujours pas à s’entendre sur les véritables fonctions du bâillement.

Rêver

D’après Sigmund Freud, le rêve était associé à nos désirs subconscients. Depuis, cette théorie a largement été discréditée. Aujourd’hui, on croit plutôt que le rêve nous aide à canaliser nos émotions.

Plusieurs théories essaient d’expliquer l’intérêt du corps à rêver, mais aucune n’a réussi à en faire une démonstration scientifique sans aucun doute. On pense qu’il pourrait aider à consolider nos souvenirs, à éliminer un trop-plein d’information de notre cerveau ou encore à reposer le cerveau et maintenir les réseaux nerveux en bonne santé… Bref, le sommeil paradoxal pendant lequel nous rêvons n’a pas encore révélé tous ses secrets!

Rire

Ce phénomène propre à l’humain fait appel à la psychologie et la physiologie. Quand on rit, le corps produit des endorphines et nous rend joyeux. Mais pourquoi rit-on? Les théories sont nombreuses et se valent les unes aux autres. Par exemple, il y a celle de l’incongruité qui lie l’humour à l’absurde et au vulgaire. Il y a aussi celle de la supériorité, selon laquelle on rit de l’infortune des autres.

Par ailleurs, plusieurs études suggèrent que le rire a comme fonction de dédramatiser une situation alarmante. Les psychologues croient que le rire (et l’humour) serait un mécanisme de défense contre l’anxiété, nous permettant de mieux affronter des événements potentiellement traumatisants. Cette conclusion expliquerait les rires nerveux qui nous semblent parfois socialement inappropriés.

S’embrasser

Le baiser est considéré comme un phénomène naturel indissociable de la culture, puisqu’il n’est pas pratiqué dans toutes les sociétés.

Certaines théories lient le fait de s’embrasser à l’allaitement, première expérience du bébé en matière d’amour. On serait donc programmé pour associer nos émotions positives vécues lors de la tétée avec le contact labial.

Sur le plan biologique, l’anthropologue et biologiste Helen Fisher, de l’Université Rutgers, croit que s’embrasser serait plutôt un mécanisme qui permet d’évaluer le partenaire en vue de la reproduction. Il s’agirait également d’une façon de transférer des hormones mâles à la femme afin de déclencher son désir sexuel.

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8 restaurants au look complètement flyé


Pour faire changement dans la section photo, je vous amène au restaurant virtuel  dans le monde.Mais personnellement, si j’irais dans un bon restaurant, je ne choisirait pas ceux montré ici. Trop étourdissant et m’enlèverait le gout pour la bouffe
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8 restaurants au look complètement flyé

 

De nos jours, certains restaurateurs ne se contentent plus de cuisiner de bons repas gastronomiques. Ils veulent aussi nous offrir une expérience qui rendra leur établissement aussi inoubliable qu’unique. Iriez-vous manger dans l’un de ces restaurants?

 

1. Restaurant à tapas Fuuud, Espagne

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2. Restaurant itinérant Was du liebst, bringt dich auch zum winen (Ce que vous aimez vous fait aussi pleurer), de l’artiste Tobias Rehberger (Allemage et Italie)

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3. Restaurant Ozone, à Hong Kong

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4. Pâtisserie Adriano Zumbo, en Australie

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5. Restaurant Innuendo, États-Unis

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6. Restaurant Sur Mesure, France

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7. Restaurant Village Green Marquee, Australie

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8. Restaurant Tori Tori, Mexique

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Vous sentiriez-vous intimidé de rentrer dans l’un de ces restos? Lequel vous semble le plus invitant? Êtes-vous déjà allé dans un resto au décor fabuleux?

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Tours radio → Sept millions d’oiseaux victimes


Nos besoins technologique ont des répercussions sur l’environnement et certaines de ces technologies pourraient être améliorer pour éviter des dommages comme il est question ici pour les oiseaux … dont leur perte est énorme
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Tours radio  → Sept millions d’oiseaux victimes

 

©Anne-Marie Parent / Agence QMI

 

WASHINGTON – Quelque 6,8 millions d’oiseaux sont tués chaque année au Canada et aux États-Unis à cause des tours de télécommunications, lors de leur migration vers l’Amérique centrale et du sud, selon des chercheurs dont l’étude est publiée mercredi.

Ces oiseaux sont victimes des 84 000 tours de télécommunications que comptent le Canada et les États-Unis et dont certaines peuvent culminer à près de 600 mètres, soit deux fois la hauteur de la Tour Eiffel.

«Une telle tragédie pourrait être évitée», estime Travis Longcore, un ornithologue de l’Université de Californie du Sud, principal auteur de cette étude parue dans la revue américaine PLoS ONE (Public Library of Science).

Plus la tour est haute, plus elle représente une menace pour les oiseaux.

Les oiseaux sont le plus souvent tués non pas en heurtant les tours, mais en butant contre l’un des nombreux câbles qui maintiennent ces structures métalliques en place.

Par mauvais temps, les nuages forcent les oiseaux à voler plus bas et les privent de repères de navigation, comme les étoiles, laissant comme seuls guides visuels les feux rouges de ces énormes antennes.

«Face à ces seules lampes rouges fixes comme repère, les oiseaux sont incapables de s’en détacher. Dès lors, ils volent en cercle autour des tours et finissent souvent par heurter un de ces gros câbles», explique Travis Longcore.

Selon lui, les tours de télécommunications équipées de lumières rouges clignotantes sont moins dangereuses pour les oiseaux que les autres.

Selon ces chercheurs, le remplacement des feux rouges fixes de signalisation par des lampes clignotantes dans les 4 500 antennes de plus de 150 mètres de haut pourrait réduire la mortalité des oiseaux d’environ 45%, soit 2,5 millions par an.

L’étude recommande aussi aux sociétés de télécommunications de se partager les antennes afin d’en réduire le nombre et de construire plus de tours pouvant tenir debout sans câbles.

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Phobies → La peur des clowns : un trouble sérieux


Aucune personne qui a une peur, une phobie de quelque chose ne devrait subir le sarcasmes, l’humiliation des moqueries des autres. Ces peurs sont incontrôlable jusqu’a temps que la personne puisse comprendre sa peur et l’affronter .. Certains y arrivent d’autres pas
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Phobies :  La peur des clowns : un trouble sérieux

 

© Shutterstock

La phobie des clowns pourrait mener à des attaques de panique puisque ceux qui en souffrent perçoivent le personnage comme un monstre.

La peur des clowns se nomme la coulrophobie.Coulro vient du grec ancien et désignait les gens qui marchaient sur la scène.

Les symptômes de la coulrophobie sont la transpiration, la peur, les nausées, l’augmentation du rythme cardiaque, l’envie de crier et de pleurer ainsi que la colère.

Certaines personnes savent pourquoi les clowns les effraient, mais d’autres l’ignorent.

Le psychologue et directeur de la North Shore Stress and Anxiety Clinic de Vancouver, Rami Nader, croit que cette peur pourrait venir du fait que le coulrophobe ne peut voir qui se cache derrière le masque du clown.

«Vous ne pouvez pas voir le visage et vous ne pouvez pas savoir quelle est la signification derrière le masque, même s’il y a quelque chose à propos de ce masque qui est rigolo», affirme-t-il.

Aussi, il ajoute que les personnes souffrant de ce type de phobie ne devraient pas faire rire d’elles ou être forcées à aller vers les clowns. Cela pourrait causer une aggravation de leur traumatisme, qui peut même dégénérer et évoluer en maladie mentale.

Traiter la coulrophobie est comme traiter n’importe quelle phobie; il s’agit de remonter dans la vie du patient et de déterminer ce qui peut déclencher cette peur.

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Les insectes sont capables d’élaborer des concepts abstraits


Qui aurait cru que des abeilles ont pu être entrainer a comprendre un concept avec la bonne vieille méthode de récompense, punition … Même, un petit cerveau peut apprendre des choses très complexes
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Les insectes sont capables d’élaborer des concepts abstraits

Une abeille  © CRCA-Avarguès-Weber

L’élaboration de concepts abstraits n’est pas le propre des humains et de quelques primates, comme la science le pensait jusqu’à ce jour. Il semble bien en effet que le cerveau de certains insectes soit également capable de fabriquer et de manipuler des concepts abstraits.

Par concept abstrait, le professeur Martin Giurfa et ses collègues de l’Université Toulouse III-Paul Sabatier font référence aux relations liant des objets indépendamment de leur nature physique, par exemple les notions « au-dessus de », « à côté de » ou « différent de telle chose ».

L’équipe française a montré que les abeilles sont capables de générer puis de manipuler des concepts pour avoir accès à de la nourriture.

Pour y arriver, elle a entraîné un groupe d’abeilles à pénétrer dans une enceinte afin de récolter une solution sucrée. Dans cette enceinte, les abeilles rencontraient deux stimuli placés chacun sur une cloison. Chaque stimulus était composé de deux images distinctes, soit l’une au-dessus de l’autre (voir la photo), soit l’une à côté de l’autre. Entre ces paires d’objets était placé un orifice délivrant, soit une récompense, de l’eau sucrée, soit une punition, une goutte de quinine.

Les abeilles étaient récompensées sur un concept (par exemple « au-dessus de ») et punies sur l’autre (« à côté de »). Les chercheurs variaient constamment les images en maintenant les relations « au-dessus de » et « à côté de » ainsi que leurs associations respectives à la récompense et la punition. Seulement une trentaine d’essais ont été nécessaires pour que les abeilles reconnaissent sans erreur la relation qui les guide vers l’eau sucrée.

Cette découverte est inattendue et montre que des analyses cognitives complexes sont possibles en l’absence de langage, et malgré une architecture neurale miniaturisée.

Elle remet aussi en question l’idée que des cerveaux mammifères, plus gros, sont nécessaires à l’élaboration d’un savoir conceptuel.

Les chercheurs tentent maintenant d’identifier les réseaux neuronaux responsables de cette conceptualisation.

Le détail de ces travaux est publié dans la revue PNAS.

© CRCA-Avarguès-Weber

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Le brouillon inconnu du Petit Prince


Tout le monde ont lu l’histoire du Petit Prince d’Antoine de Saint-Exupéry, mais voilà qu’en examinant les manuscrits d’un collectionneur, on découvre des variantes a l’histoire connu .. et ce sans que ce même collectionneur soit au courant …
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Le brouillon inconnu du Petit Prince

 


Crédits photo : LIDO/SIPA/SIPA

INFO LE FIGARO – Antoine de Saint-Exupéry avait écrit des variantes du fameux livre paru en 1943. Ce manuscrit autographe sera mis en vente par Artcurial, le 16 mai, à Paris.

C’est une incroyable découverte faite par les experts d’Artcurial, Olivier Devers et Benoît Puttemans, alors qu’ils épluchaient un paquet de lettres et autographes confiés par un collectionneur (qui souhaite rester anonyme) pour les besoins de la vente de livres et manuscrits modernes du 16 mai prochain. Un brouillon inconnu du Petit Prince se nichait au milieu du lot. Son propriétaire en ignorait lui-même l’existence.

Depuis les nombreuses années qu’il les possédait, jamais il (ou elle) n’avait cherché à comprendre le sens de cette écriture hâtive et difficile à lire, sur deux pages d’un papier pelure très fin, raturées et pleines de renvois.

«J’ai fait un bond quand j’ai compris qu’il s’agissait d’un brouillon du Petit Prince de Saint-Exupéry, raconte Olivier Devers. C’était très excitant.»

Si rare que ce manuscrit est estimé entre 40.000 et 50.000 euros, soit dix fois plus qu’un autographe ordinaire de l’écrivain. Il faut vraiment être un expert pour déchiffrer son écriture.

«C’est quasiment de la traduction», confie Olivier Devers.

Ce qu’il révèle est surprenant. Il y a là un texte inédit et des variantes des chapitres XVII et XIX.

«L’ordre des passages travaillés dans notre ébauche sera inversé dans la version publiée», soulignent les experts dans le catalogue de la vente, si précis qu’on croirait presque une édition critique du best-seller (Le Petit Prince est le livre français le plus vendu et le plus traduit dans le monde depuis 1943).

Quatre épreuves dactylographiées existantes

 


Crédits photo : Artcurial

«L’action se situe au moment où, après avoir parcouru six planètes, le Petit Prince arrive sur Terre, la septième planète qu’il visite, poursuit Olivier Devers. Les passages de ces chapitres sont aisément reconnaissables. Simplement, les formulations diffèrent de celles que l’on connaît.»

Les deux versions sont mises en parallèle dans le catalogue. Celle qui n’a pas été publiée était pourtant jolie.

«Si l’on réunissait tous les habitants de cette planète les uns à côté des autres serrés comme pour un meeting, les Blancs, les Jaunes, les Noirs, les enfants, les vieillards, les femmes et les hommes sans en oublier un seul, l’humanité tiendrait tout entière dans l’île de Long Island», peut-on lire dans le brouillon.

Les derniers mots rappellent qu’Antoine de Saint-Exupéry était alors l’une des voix de la Résistance, exilé à New York depuis l’armistice, et que c’est dans ce contexte de la Seconde Guerre mondiale qu’il écrivait son livre.

«Le brouillon date probablement de 1941, ce qui en fait un document antérieur à celui, tapuscrit, que possède la Bibliothèque nationale de France», note au passage Olivier Devers. L’expert rappelle qu’il n’existe que quatre épreuves dactylographiées de l’histoire.


Crédits photo : Artcurial

Le manuscrit original est, lui, conservé à New York, à la Pierpont Morgan Library.

La librairie l’acquit de Sylvia Hamilton Reinhardt, journaliste new-yorkaise dont Saint-Ex fut brièvement mais ardemment épris, et à qui il avait confié son manuscrit définitif à la fin du mois d’avril 1943, au moment de son départ pour l’Afrique du Nord.

«D’après Sylvia, la phrase du Renard “on ne voit pas qu’avec les yeux” lui était destinée. Il n’empêche, Saint-Ex est parti sans lui laisser ces pages de brouillon», soulignent les spécialistes.

Enfin, voilà le second feuillet entièrement inédit du brouillon retrouvé.

«Il relate la rencontre avec un personnage qui ne sera pas retenu, résume Olivier Devers. Le Petit prince vient d’arriver sur Terre et rencontre le premier habitant de la planète».

Saint-Exupéry écrit: «Voilà peut-être un ambassadeur de l’esprit humain». L’homme est très occupé. «Je cherche un mot de six lettres qui commence par un G et qui signifie “gargarisme”», lui fait dire l’écrivain. «Gargarisme, dit le Petit Prince». «Gargarisme, dit l’homme».

Commentaire des experts: «Le cruciverbiste fait penser au businessman qui rencontre le Petit Prince dans la version publiée. Tous deux sont absorbés par des réflexions abstraites, lettres ou chiffres et tous deux sont dérangés par ce petit personnage curieux.»

Le brouillon s’achève sur cette énigme. Chez Artcurial, Olivier Devers et Benoît Puttemans ont tenté de la résoudre. Ils réfléchissent encore. Peut-être que le jour de la vacation, le 16 mai, un amateur dans la salle de ventes aura la solution. En matière de mystère, Antoine de Saint-Exupéry en connaît un rayon.

Olivier Devers fait cette réflexion: «Avez-vous remarqué que les initiales du Petit Prince sont les mêmes que celles de Peter Pan et du Petit Poucet?»

La littérature enfantine est affaire de symboles.

En guise d’épilogue, l’expert souligne que dans le même paquet d’autographes, il a aussi retrouvé un manuscrit de Saint-Exupéry sur la Patagonie, écrit vers 1932 (entre 50.000 et 60.000 euros). L’écrivain y explique sa période d’aviateur, puis d’ethnologue.

Or «ses vols au-dessus de la Patagonie ne seront pas étrangers au texte mythique du Petit Prince, affirme Olivier Devers. Vus du ciel, la Terre semble être un grand désert et les volcans des tabourets».

http://www.lefigaro.fr