Différence entre le Titanic et l’Arche de Noé


On parle beaucoup du Titanic alors voici une citation pour l’occasion, C’est comme bien des choses .. y’a des gens qui ont pleins de diplômes, de cartes de compétences mais pour le travail bien fait on passera !!
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Différence entre le Titanic et l’Arche de Noé

 

« N’oubliez jamais que ce sont des professionnels qui ont construit le Titanic et des amateurs l’Arche de Noé. »

Anonyme

Un credo pour la vie


Nous avons qu’une vie sur cette Terre, et personne ne peut et ne doit la vivre a notre place. C’est a nous de faire des choix, selon nos attitudes, nos goûts, notre volonté avec nos forces et nos faiblesses
Nuage

Un credo pour la vie

 

Ne te sous-estime pas en te comparant aux autres.
C’est précisément parce que nous sommes tous différents
que nous sommes tous uniques.

Ne fixe pas tes buts en fonction des autres.
Toi seul sais ce qui est bon pour toi.

Sois toujours à l’écoute de tes plus profonds désirs.
Tiens à eux comme tu tiens à la vie, car sans eux, la vie n’est rien.

Ne laisse pas la vie filer entre tes doigts
en songeant au passé ou en rêvant à l’avenir.
Vis ta vie jour après jour,
et tu vivras ainsi intensément
chaque jour de ta vie.

Ne baisse pas les bras tant que tu as encore
quelque chose à donner.
Rien n’est jamais perdu…
tant que tu continues de lutter.

N’aie pas peur d’admettre
que tu n’es pas parfait.

C’est ce lien fragile
qui nous relie les uns aux autres.

N’aie pas peur de prendre des risques.
C’est en prenant des risques
que le courage s’apprend.

N’écarte pas l’amour de la vie
en prétendant qu’il n’existe pas.

Le meilleur moyen de trouver l’amour est de le donner
le meilleur moyen de le perdre est de le retenir prisonnier ;
et le meilleur moyen de le garder est de lui donner des ailes.

N’étouffe pas tes rêves.
Ne pas avoir de rêve, c’est être sans espoir ;
être sans espoir, c’est errer sans but.

Ne fuis pas en avant tout au long de ta vie
de sorte que tu oublies d’où tu viens et où tu vas.
La vie n’est pas une course,
mais un voyage dont il faut savoir goûter chaque étape.

Nancye Sims

Truc express ► Recyclage prudence


Ils y a certaines personnes qui a la vue d’une grosse boite vide d’un appareil électronique serait tenter d’aller vous rendre une petite visite pendant votre absence, histoire de s’emparer de vous de vos nouveaux achats
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Recyclage prudence

 

Coupez en petits morceaux les emballages vides de la nouvelle télé, de l’ordinateur ou du cinéma maison que vous venez d’acquérir.

Déposez-les  dans le bac de récupération ou dans un sac opaque. Ainsi vous ne tenterez pas les cambrioleurs

7 Jours/ Les meilleurs trucs de Madame Chasse-taches/ Louise Robitaille/Mars 2012

S’entendre comme chien et chat


Quand on aime les animaux on aimerait en avoir beaucoup ou du moins un chien et un chat … Nous savons que cela est possible, mais ce n’est n’importe quel chien qui peut se faire ami-ami avec un chat. Certains conseils donner pour une bonne cohabitation entre deux animaux qui en principe sont ennemis
Nuage

 

S’entendre comme chien et chat

 

En 2007, plus de 7% des foyers possédaient à la fois un chat et un chien. Pour s’assurer d’une bonne habitation, le chien ne doit pas être un chasseur-né.

PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

Stéphanie Vallet
La Presse

«S’entendre comme chien et chat» est une expression populaire déjà employée au XVIIe siècle pour désigner deux individus qui se disputent sans arrêt et ne peuvent cohabiter ensemble. Néanmoins nous sommes tous témoins d’amitiés existant entre ces deux espèces, et plus de 7% des foyers possédaient même un chat et un chien sous le même toit au Québec en 2006.

Il est dans la nature du chat d’être à la fois un prédateur et une proie (potentiellement celle d’un chien); mais la plupart des chiens se contentent de les poursuivre ou même de les adopter. Bien que beaucoup d’éléments diffèrent dans leur comportement (mode de communication, vie sociale, expression des besoins), ils ont la possibilité de cohabiter dans l’indifférence cordiale ou de vivre une véritable histoire d’amitié, tout dépendant de leur personnalité, de leur environnement et de leur sociabilité.

«Le comportement est le résultat des gènes, de l’environnement et de l’interaction des gènes et de l’environnement. Les animaux ont une capacité d’apprentissage pendant toute leur vie pour cohabiter avec un être nouveau. Seuls les animaux avec des déficits cognitifs ou des troubles anxieux importants auront plus de difficultés à apprendre et à modifier leur comportement. Avec ce genre de sujet, il faut alors faire une introduction graduelle», explique Diane Frank, vétérinaire et diplômée de l’American College of Veterinary Behaviorists.

Même si le chaton et le chiot se côtoient depuis leur enfance, cela ne garantit en rien qu’ils pourront vivre ensemble en toute harmonie.

«Tous les matins en sortant faire sa balade, mon chien va directement sur le pas de la porte de la voisine pour voir si son chat est là. Lors de leur première rencontre, ils n’avaient ni l’un ni l’autre jamais rencontré un spécimen de l’espèce opposée. Ils se sont sentis mais aucune poursuite ne s’est produite. Quand le chien n’est pas trop excité, ils jouent même ensemble dans le couloir», explique Ali, propriétaire de Zoltan, un caniche de 4 ans.

Avant de provoquer ce type de rencontre, il est indispensable de s’assurer que votre chien n’est pas un chasseur-né.

«Le tempérament de l’animal et sa prédisposition génétique va beaucoup jouer. Certains chiens ont été sélectionnés pour chasser. Certaines races rapportent (Labrador, Golden) ou rassemblent (Berger) alors que d’autres tuent. La personnalité du chien joue également: il y en a qui vont s’exciter rapidement alors que d’autres sont calmes», précise le docteur Frank.

L’élément déterminant reste donc que si votre chien est porté à tuer ses proies quand il chasse, il est nécessaire d’exclure l’adoption d’un chat.

«J’ai des clients qui viennent consulter en ne comprenant pas pourquoi leur chien a tué leur chat. Ils me disent: « Mais ils dormaient tout le temps collés ». Sauf que si le chat prend peur, se met à courir et que le mouvement déclenche chez le chien un comportement de chasse, il peut oublier que c’est son compagnon. On ne peut pas reprogrammer un chien que la génétique rend chasseur», ajoute la vétérinaire spécialisée en comportement animal.

Au bon endroit, au bon moment

Afin d’introduire un autre animal dans l’environnement de votre chien ou de votre chat, il faut respecter certaines configurations. Il est préférable les premiers temps de les séparer physiquement quand ils sont seuls. Une fois sous supervision, si l’un des deux animaux a peur, il faudra tenter de lui faire associer la présence de l’autre à quelque chose d’agréable.

«Pour le contre-conditionnement, on se sert souvent de nourriture ou de friandises extraordinaires en présence visuelle; à une distance suffisante pour que les deux animaux soient capables d’être relativement détendus. Il faut transformer la situation en quelque chose de positif», explique Diane Frank.

Le chat est un animal territorial. Toute son existence est organisée en fonction de l’endroit où il dort, et où il mange.

Il lui est nécessaire de pouvoir s’isoler et d’avoir accès en tout temps (avec ou sans chien) à un espace tridimensionnel pour pouvoir grimper.

«Les cachettes sont aussi très importantes pour qu’il ne soit pas tout le temps sur ses gardes. Pour la désensibilisation, on se sert de la distance. Plus les nouveaux colocataires sont loin l’un de l’autre, moins ils se sentiront menacés par la présence de l’autre», ajoute Diane Frank.

N’oubliez pas qu’il ne faut en aucun cas forcer la rencontre et il est également recommandé de ne pas mettre les gamelles de vos animaux côte à cote.

Enfin, pour éviter la catastrophe, rappelez-vous que certains signes ne trompent pas chez le chien comme chez le chat: un regard fixe soutenu exprime toujours une menace.

http://www.cyberpresse.ca/

Tout sur l’intimidation


Cela fait longtemps que je n’avais mit de billet sur l’intimidation, mais c’est un sujet qui doit tous nous interpeler en temps qu’adulte, car l’intimidation n’est pas juste un phénomène québécois, le pourcentage d’intimidation et similaire en France et au USA, et  il faut se rendre compte qu’il y a beaucoup de blessures, d’humiliation qui sont ignorées et qui ne demande qu’un peu d’aide pour retrouver la confiance en soi
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Tout sur l’intimidation

 

 

ILLUSTRATION JULIEN CHUNG, LA PRESSE

Sophie Allard
La Presse

Quoi faire quand son enfant est bourreau ou victime d’intimidation? Qui peut vous aider à trouver les bons mots et les bons moyens pour régler le problème? Voici quelques pistes pour mettre fin à l’intimidation…

1. Qu’est-ce que l’intimidation?

«L’intimidation peut être un geste, une intervention ou un commentaire qui vise à blesser, humilier ou frustrer une autre personne», indique-t-on sur le microsite Moijagis.com, mis en ligne en février par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS).

Une simple moquerie? Une querelle entre copains? L’intimidation, c’est bien plus que cela. L’enfant intimidé vit de la détresse.

«Il doit y avoir une relation de pouvoir, de dominance entre les jeunes. L’un agresse, l’autre est victime. La notion de souffrance et de continuité dans le temps est bien présente», explique Égide Royer, psychologue, professeur en adaptation scolaire et codirecteur de l’Observatoire canadien pour la prévention de la violence à l’école, à l’Université Laval.

2. Quelle forme prend l’intimidation?

L’intimidation est partout, dans les rues comme au centre sportif, sur l’internet comme dans l’autobus. Elle est plus directe ou physique chez les garçons, plus indirecte ou sociale chez les filles. L’intimidation, selon Moijagis.com, c’est notamment:

– faire courir des rumeurs pour isoler une personne;

– parler ou écrire des méchancetés sur une personne ou diffuser ses secrets;

– humilier, menacer ou exclure une personne d’un groupe;

– briser ou voler les effets d’une personne;

– agresser physiquement ou sexuellement une personne (touchers inappropriés, bousculades, coups, morsures, etc.);

– diffuser des messages, des photos et des vidéos préjudiciables sur l’internet ou par téléphone.

3. Combien de victimes fait l’intimidation?

«Bon an mal an, entre 6% et 10% des élèves sont victimes d’intimidation de manière répétitive», note Égide Royer.

Ces chiffres sont semblables dans plusieurs pays, dont les États-Unis et La France.

«L’intimidation touche parfois les enfants qui ont une caractéristique qui les distingue, une différence, comme l’homosexualité, le surpoids ou un handicap. Mais le plus souvent, l’intimidation tombe sur quelqu’un comme un éclair dans le ciel bleu», poursuit M. Royer.

Souvent, les plus vieux s’en prennent aux plus jeunes. Un enfant qui a peu d’amis, qui souffre d’anxiété ou qui est replié sur lui-même et a une faible estime personnelle peut être une cible privilégiée, selon des études citées par Sécurité publique Canada.

4. Mon enfant est-il intimidé?

Les signes à reconnaître:

– ses vêtements sont déchirés, sales ou manquants (par exemple, une casquette volée);

– il a de la difficulté à dormir;

– il semble plus irritable ou malheureux;

– il perd le goût d’aller à l’école et évoque toutes sortes de raisons pour rester à la maison

«Les enfants intimidés sont jusqu’à 25 fois plus susceptibles de cumuler les absences», indique Égide Royer

– il n’a soudainement plus d’intérêt pour des activités qu’il aimait;

– il semble fuir certains endroits, il s’isole ou cesse d’utiliser l’internet;

– ses résultats scolaires chutent de façon inexpliquée.

5. Mon enfant est intimidé, comment puis-je agir?

– Initiez le dialogue.

Selon Égide Royer, «le parent doit poser des questions et laisser la porte ouverte si l’enfant ne se confie pas d’emblée».

– Restez calme, afin de rassurer votre enfant, et ne le blâmez pas.

– Si votre enfant reste muet, informez-vous auprès de ses amis.

– Conseillez à votre enfant de dénoncer ses agresseurs et d’éviter les gestes de représailles.

«Indiquez-lui qu’il n’y a rien de mal à le faire et qu’il faut du courage pour y arriver», dit-on sur Moijagis.com.

– Conseillez à votre enfant de rester avec des amis dignes de confiance et d’éviter les endroits propices à l’intimidation.

– Mettez au point avec lui une façon efficace de faire face aux attaques.

«On peut enseigner aux jeunes comment composer avec certaines personnes agressantes. Au besoin, on peut demander l’aide d’un psychologue, d’un psychoéducateur ou d’un autre intervenant», indique Égide Royer

. Selon Sécurité publique Canada, «des études démontrent que les réactions passives ou de peur, ainsi que les réactions agressives à l’intimidation, peuvent inciter l’auteur à continuer, d’où un cycle d’interaction agressive».

6. Quelles sont les conséquences possibles de l’intimidation?

Un enfant victime d’intimidation est plus susceptible de souffrir de maux de tête et de troubles digestifs.

«Les symptômes de dépression et l’anxiété sont plus fréquents chez l’enfant victime d’intimidation que chez les autres. Fait plus préoccupant, les troubles psychiatriques associés à l’intimidation tendent à persister au cours de la vie», dit-on sur Prevnet.ca, un réseau national ayant pour mission de mettre fin à l’intimidation.

On note aussi «un risque élevé de troubles d’adaptation scolaire» et «un taux élevé d’idées suicidaires chez l’enfant qui intimide, chez l’enfant qui en est victime et chez l’enfant qui est à la fois intimidateur et victime».

Chez les agresseurs, on remarque un risque plus élevé de consommer des drogues et de l’alcool et de poser des actes criminels plus tard: «60% des garçons qui intimident leurs pairs à l’école primaire possèdent un dossier criminel à 24 ans» (Prevnet.ca).

7. Comment dois-je agir auprès de l’école?

Si l’intimidation nuit au fonctionnement de l’enfant, il faut agir sans attendre. Égide Royer a établi la règle du 48-48-48:

– Avisez la direction d’école de la situation par téléphone. On devrait vous informer des mesures prises pour que la situation cesse dans au plus 48 heures.

– Si vous ne recevez aucune réponse, avisez par écrit la direction de l’école (avec copie conforme à la direction de la commission scolaire) et demandez une réponse dans les 48 heures suivantes.

– Si vous ne recevez toujours aucune réponse, avisez le Protecteur de l’élève attitré à la commission scolaire et demandez une réponse dans les 48 heures.

– En tout temps, si vous croyez votre enfant en danger, n’hésitez pas à appeler la police. L’intimidation peut être considérée comme un acte criminel, selon le Code criminel du Canada.

8. Qui est le Protecteur de l’élève?

«Le Protecteur est une personne neutre, indépendante, attitrée à la commission scolaire. Il intervient lorsque les droits et les besoins d’un jeune sont bafoués. Lors de situations où les parents sont insatisfaits des réponses obtenues de la part de l’école ou de la commission scolaire, ils peuvent frapper à cette porte. C’est comme un ombudsman», explique Égide Royer. Aujourd’hui, chaque commission scolaire a un Protecteur de l’élève.

9. Que puis-je faire en cas de cyberintimidation?

À l’ère de l’internet et des téléphones mobiles, l’intimidation survient souvent par l’entremise des réseaux sociaux et des textos. La marche à suivre, selon Moijagis.com:

– Encouragez votre enfant à privilégier le contact avec ses amis à l’extérieur de l’espace virtuel.

– Conseillez-lui d’éviter les endroits comme les sites de clavardage et les jeux en ligne, terrains propices à l’intimidation.

– Recommandez à votre enfant de ne pas répondre aux messages intimidants.

– Bloquez les adresses des personnes qui l’intimident et, si vous le jugez bon, retracez-les.

– Dites à votre enfant de sauvegarder les messages d’intimidation reçus.

– Conseillez-lui de s’adresser à un adulte responsable à l’école.

– En tout temps, appelez la police si la sécurité de votre enfant vous semble compromise.

10. Comme parent, que dois-je éviter de faire?

– Ne jouez pas à l’autruche et ne minimisez pas la gravité de la situation.

– Ne paniquez pas et ne mettez pas la responsabilité sur les épaules de votre enfant. Il a besoin de votre soutien.

– Oubliez la médiation.

«Dans un contexte d’inégalité, dans une situation de pouvoir, toutes les études le disent: on doit préconiser un arrêt de comportement, on ne doit pas faire de médiation. La médiation donne l’impression à l’enfant intimidé qu’il est en partie responsable de son malheur, c’est illogique», dit Égide Royer.

11. Peut-on, comme parents, prévenir l’intimidation?

Il n’y a pas de recette miracle.

«La meilleure prévention c’est d’élever nos enfants du mieux qu’on peut, indique Égide Royer. En rendant les enfants sûrs d’eux, confiants, on voit moins de situations d’agression. On doit leur montrer, en gros, à savoir dire bonjour, à savoir faire un compliment et attirer l’attention de façon positive. On doit leur montrer qu’on peut blesser quelqu’un avec ses paroles. Ça relève de la civilité.»

12. Si mon enfant est témoin d’intimidation, que dois-je faire?

Dans 9 incidents sur 10, il y a présence de témoins.

«Vous devez faire comprendre à votre enfant qu’il doit agir. L’expression assistance de personne en danger s’applique dans les cas d’intimidation», précise Égide Royer.

Les témoins ou observateurs ont un rôle à jouer dans le maintien de l’intimidation.

«Un intimidateur sans public a peu de motivation à agresser. Mais les témoins suivent ou s’éloignent par peur d’y passer aussi, ça lui donne plus de pouvoir», explique M. Royer.

Le témoin doit faire part d’une situation d’intimidation à un adulte responsable de l’école, ou ailleurs.

13. Mon enfant est-il intimidateur?

Les signes à reconnaître selon Moijagis.com sont:

il admet difficilement ses erreurs;

– il perçoit de l’hostilité de façon exagérée;

– il semble avoir peu de remords et peu de compassion;

– il fait preuve d’agressivité et présente parfois des comportements délinquants;

– il donne une (fausse) impression d’assurance, de confiance;

– il possède de nouveaux biens ou de l’argent obtenus d’une façon inconnue.

14. Si mon enfant est intimidateur, comment dois-je agir?

– Gardez votre calme, écoutez-le et dites-lui que vous prenez la situation au sérieux.

– De concert avec l’école, faites un arrêt de comportement.

– Revenez sur l’incident et creusez pour connaître les causes de ses agissements, suggère Égide Royer.

– Rappelez-lui l’importance du respect d’autrui, et des différences.

– Outillez-le afin qu’il adopte une autre façon de régler les conflits et de gérer sa colère (demandez l’aide de spécialistes: psychologue, psychoéducateur).

– Passez plus de temps avec votre enfant, supervisez ses activités et informez-vous sur ses amis.

– Expliquez-lui les conséquences possibles de l’intimidation (expulsion de l’école, plainte à la police, etc.).

15. Peut-on enrayer l’intimidation?

Il serait utopique de penser éliminer toute forme d’intimidation. Il existe néanmoins des solutions pour diminuer sa prévalence. Le projet de loi 56 déposé par la ministre Line Beauchamp en février propose quelques mesures – qui ne font pas l’unanimité en raison de leur aspect coercitif et du manque de ressources allouées – pour lutter contre l’intimidation et la violence à l’école. Le projet de loi prévoit l’obligation pour chaque école de nommer un responsable de l’intimidation et d’offrir de l’encadrement et du soutien aux élèves intimidés. Les commissions scolaires devront mettre en place une stratégie contre l’intimidation et faire un rapport annuel sur l’intimidation. Elles s’exposent à des sanctions si elles défient la loi.

«Chaque école doit mandater un responsable de l’intimidation et avoir un plan d’intervention de première ligne», confirme Égide Royer, codirecteur de l’Observatoire canadien pour la prévention de la violence à l’école.

«Dans le meilleur des mondes, le premier répondant devrait être un psychoéducateur, un psychologue ou un professionnel solidement formé et capable de composer avec la dimension de souffrance et de santé mentale.»

Selon lui, le nombre d’enfants intimidés ne peut que diminuer en présence d’une stratégie efficace (incluant l’ajout de personnel qualifié et de services).

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L’intimidation, c’est fini

Jusqu’au 4 mai 2012, les élèves du primaire et du secondaire, à l’aide de parents ou d’intervenants, sont invités à écrire un texte ou réaliser un court film sur une initiative prise pour contrer l’intimidation. Le concours «L’intimidation, c’est fini. Moi, j’agis» est organisé par le ministère de l’Éducation dans le cadre de la Stratégie de mobilisation de la société québécoise à l’égard de l’intimidation et de la violence à l’école.

Les prix? Au primaire: un spectacle de Yannick Bergeron, qui mêle magie et chimie, et 3500$ pour l’école. Au secondaire: un concert de Karim Ouellet, jeune chanteur d’origine sénégalaise, et 5000$ pour l’école.

 

Image tirée du film Bully, en salle dès aujourd’hui.

PHOTO FOURNIE PAR LA PRODUCTION

Bully (Intimidation)

Lorsqu’il prend l’autobus, le frêle Alex, âgé de 14 ans, se fait immanquablement insulter, menacer, bousculer et même frapper par plusieurs garçons. C’est comme ça chaque jour depuis des années, et la violence ne fait qu’augmenter. Dans le documentaire Bully, le cinéaste Lee Hirsh raconte avec finesse et émotion la grande souffrance de cinq adolescents intimidés aux États-Unis. Celle de leurs proches aussi. Victimes d’intimidation, Ty Smalley, 11 ans, et Tyler Long, 17 ans, ont d’ailleurs mis fin à leurs jours. Bully (Intimidation en version française) sort en salle au Québec aujourd’hui.

VOIR la fiche du film

LIRE une entrevue avec le réalisateur de Bully

VOIR la bande-annonce (en anglais)

 

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Informations sur le web:

moijagis.com

moijagis.com

preventionviolence.ca

securitepubliquecanada.gc.ca

Prevnet.ca

fcpq.qc.ca

fondationjasminroy.com

jeunessejecoute.ca

teljeunes.com

ligneparents.com

http://www.cyberpresse.ca

Rendez-vous médicaux Une source de stress qui altère la mémoire


Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais un rendez-vous chez le médecin, dentiste et compagnie me stress même si il n’y a rien pour s’inquiété … Cependant, il semble que cela peut occasionné des problèmes de mémoire passagers chez les personnes âgées a cause de divers facteurs .. ce qui peut engendrer des erreurs dans les résultats des examens
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Rendez-vous médicaux

Une source de stress qui altère la mémoire

 

Une source de stress qui altère la mémoire

Crédit photo : archives TVA Nouvelles

Des facteurs comme le délai d’attente avant un rendez-vous chez le médecin, le moment de la journée où la rencontre a lieu et même le moyen de transport pour s’y rendre peuvent déclencher un stress qui peut altérer significativement la performance du patient âgé

Agence QMI

Le stress causé par les examens médicaux peut entraîner des troubles de mémoire chez les personnes âgées, ce que le personnel médical peut parfois confondre avec des symptômes de la maladie d’Alzheimer, révèle une étude menée par une chercheuse montréalaise.

Des facteurs comme le délai d’attente avant un rendez-vous chez le médecin, le moment de la journée où la rencontre a lieu et même le moyen de transport pour s’y rendre peuvent déclencher un stress qui peut altérer significativement la performance du patient âgé dans le cadre de tests pour évaluer son état de santé.

«Les pertes de mémoire peuvent être de l’ordre de 20 à 25%. Quand on cherche à évaluer des symptômes de la maladie d’Alzheimer, cela peut fausser les données», explique Sonia Lupien, chercheuse rattachée au Centre de recherche Fernand-Seguin de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine.

Lorsqu’on élimine les facteurs de stress, les gens âgés obtiennent des résultats très semblables à ceux des sujets plus jeunes.

Par ordre d’importance, les facteurs les plus stressants sont le délai d’attente, le transport, le moment dans la journée et la saison du rendez-vous, l’environnement médical et l’équipe de professionnels. L’examen médical en tant que tel et le diagnostic arrivent en sixième position.

À la lumière de ces résultats, le personnel médical devrait faire des efforts pour diminuer le plus possible les effets négatifs de ces tests sur les personnes âgées.

«Ces changements devraient faire baisser le niveau de stress associé aux examens médicaux et cognitifs, et permettre au personnel d’obtenir des résultats plus fiables», indique la chercheuse.

http://tvanouvelles.ca

Caries chez les ados Les boissons énergisantes, l’ennemi à abattre


Il est reconnu que les boissons énergisantes peuvent être nocives pour la santé du coeur et que malheureusement beaucoup d’adolescents y sont adeptes mais voilà, un autre problème a l’horizon est celui de l’évolution des caries a une grande vitesse … Ces boissons aident peut-être pour trouver l’énergie d’être éveillé mais par contre il y a beaucoup plus de côté nocifs donc ils devraient être évité
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Caries chez les ados

Les boissons énergisantes, l’ennemi à abattre

 

Caries chez les ados - Les boissons énergisantes, l'ennemi à abattre

© Archives Agence QMI

MONTRÉAL – L’Ordre des hygiénistes dentaires du Québec tombe à bras raccourci sur les boissons énergisantes, prétendant qu’elles détériorent les dents à la vitesse grand V et participent à la prolifération des caries chez les adolescents.

Quelque temps après avoir été bannies des centres sportifs pour leurs effets néfastes sur le rythme cardiaque, et déclarées persona non grata dans des dizaines d’établissements municipaux, voilà que les boissons énergisantes sont montrées du doigt pour leur fort taux d’acidité.

«C’est un nouveau phénomène chez cette clientèle, a averti Johanne Côté, présidente de l’ordre. Les jeunes en boivent beaucoup, et ça garde la bouche acide en permanence. À la longue, ça gruge les dents et les use.»

Les résultats négatifs issus de la consommation sont rapides.

«Dans l’année qui suit, on commence à voir des lésions. La dent devient poreuse et blanchâtre, donc beaucoup plus susceptible de développer des caries», a remarqué Mme Côté.

On ignore combien d’adolescents ont payé de leur santé buccodentaire leur consommation excessive de boisson énergisante, le phénomène étant trop récent pour tenir des statistiques.

Un brossage de dents assidu, c’est-à-dire matin et soir, n’y changera rien selon la spécialiste. Le liquide acide trop souvent ingurgité affecte les dents durant toute la journée jusqu’au brossage du soir. Le mal est fait.

Cependant, boire avec une paille diminue la répartition de la boisson dans la bouche. Cet effet positif est toutefois très minime.

Piercing : infection

Les hygiénistes ont choisi de tirer la sonnette d’alarme cette semaine dans le cadre du Mois de la santé buccodentaire 2012.

Et les boissons énergisantes ne sont pas les seuls fléaux à être montrés du doigt. Les «piercing» dans la langue et sur les lèvres représentent eux aussi un danger.

«La langue est très vascularisée, a indiqué Mme Côté. Il y a beaucoup de vaisseaux sanguins. Comme la bouche est une porte d’entrée dans le corps, on ouvre la porte aux infections en y installant un bijou.»

Les hygiénistes voient régulièrement des blessures au palais ou des bris de dents causés par ce type d’objet.

http://fr.canoe.ca