Liberté


C’est difficile quand la vie nous a stigmatisée de se libérer, pourtant, cela nécessaire pour prendre gout à la vie et de vivre tout simplement … Apprendre a tourner la page pour permettre d’écrire d’autres chapîtres
Nuage

Liberté

 

« La meilleure façon de recouvrer la liberté, c’est de rompre les chaînes qui blessent le coeur et de mettre un terme à son tourment.  »

Ovide

Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur


On attends toujours pour quelque chose. On visualise souvent comment serait demain, l’an prochain, enfin plus tard. Alors que ce plus tard, pourrait ne jamais arriver. Pourquoi, nous entêtons a toujours voir devant que maintenant …
Nuage

 

Chaque geste de notre vie peut devenir bonheur

 

L’avez-vous déjà remarqué, nous sommes toujours en attente du résultat d’un acte, d’un événement, projetés vers l’avenir, les yeux rivés sur l’aboutissement, sur l’arrivée, en attente d’autre chose, de quelqu’un d’autre, de mieux, d’ailleurs…

J’escalade la montagne en ne songeant qu’à ce que je verrai du sommet.

Je me dépêche de lire le livre pour en savoir plus, pour connaître la suite, toujours la suite, toujours plus avant. Je pose la question : « Comment est-ce que ça se termine? »

J’attends le train, je ne vis pas. Je suis tendue vers l’arrivée du train, le cou tendu vers le tournant où il va apparaître. « Il arrive ? Il arrive ? » Et bien sûr, une fois dans le train, je n’ai qu’une hâte : arriver !

Au travail, j’attends la pause, la fin de la journée, le week-end, les vacances, la retraite… « Quand j’aurai rencontré l’âme-soeur… », « Quand les enfants seront grands », « Ah, si j’étais libre », « Quand j’aurai de l’argent », « Quand j’aurai déménagé », « Quand j’habiterai à la campagne », « Quand j’aurai le temps… », ou alors, c’est « Ah, si j’avais su… », « Avant c’était mieux ! », « Ah, quand il/elle était là ! ».

Et finalement, je ne vis pas et les années passent. Le compte à rebours a commencé et je ne savoure toujours pas la vie précieuse qui m’est offerte à chaque seconde, la douceur de l’air dans mes poumons, sur mon visage, les yeux de l’inconnu(e) qui me croise, la colline si vivante devant moi, la danse des nuages, un après-midi de repos, la chaleur de ma couverture, un toit sur ma tête, les clins d’oeil du soleil…

Hier en faisant le ménage, j’ai pris conscience pour la première fois que j’aimais faire le ménage ! Et chaque acte est devenu un véritable plaisir : laver les vitres, jeter de vieux journaux, de vieux livres, faire le vide…

Chaque geste de notre vie est/peut/va devenir bonheur, chaque instant, chaque seconde (ou presque !), ne serait-ce que respirer…

Alex, L’Âme et le Coeur

Le saviez-vous ► Pourquoi a-t-on sept ans de malchance quand on casse un miroir


Il y a t’il des gens qui croient encore aux 7 ans de malheurs quand un miroir se brise ?
Cette superstition date de très très longtemps, que de gens devaient être malheureux de voir que les 7 prochaines années seraient malheurs par dessus malheur !!!  Aujourd’hui, nous savons que le miroir n’a aucun pouvoir qu’il soit bénéfique ou maléfique
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Pourquoi a-t-on sept ans de malchance quand on casse un miroir

 

Il s’agit d’une vieille superstition datant de plus de deux millénaires : au moment de l’invention du miroir.

À l’époque, les Romains, les Grecs, les Chinois, les Africains et les Indiens croyaient tous qu’un miroir avait le pouvoir de capturer l’âme de celui ou de celle qui l’utilisaient. Si l’image réfléchie devenait le moindrement déformée. cela signifiait que l’âme de la personne était troublée. Pire, le miroir devait être brisé alors que l’image du maladroit était à l’intérieur, son âme pouvait ainsi être fracturée.

Comme les Romains croyaient que le corps d’une personne se renouvelait au complet tout les 7 ans, cela correspondait alors à la période nécessaire au rétablissement de son âme cassée en même temps que le miroir

La Semaine/Paul Therren/ Réponse à tout/  Mars 2012

Cancer du sein : l’effet néfaste du soya sur le traitement se confirme


Le soya a de belles vertus sur la santé du coeur et du cholestérol, mais des recherches démontrent aussi que pour certaines maladies il n’est pas recommander d’en consommer surtout si cela ne fait pas partie de notre menu pendant l’enfance
Nuage

 

 

Cancer du sein : l’effet néfaste du soya sur le traitement se confirme

 

Des graines de soya

Des graines de soya   © iStockphoto

Le traitement de certaines femmes qui ont un cancer du sein pourrait être moins efficace si elles ont consommé du soya, confirment des chercheurs américains.

La Dre Leena Hilakivi-Clarke et ses collègues de l’Université de Georgetown expliquent que le fait de manger ces graines augmente la résistance des tumeurs du sein aux traitements contre le cancer.

Des travaux menés sur des rats montrent en effet que les bêtes qui ont été nourries toute leur vie avec des composants de soya ont bien réagi au Tamoxifen, un médicament contre le cancer du sein.

Toutefois, les rongeurs qui ont commencé à consommer du soya à l’âge adulte, et après avoir eu un cancer du sein, ont développé des résistances à ce traitement.

« Ces résultats indiquent que les femmes occidentales qui ont commencé le soya à l’âge adulte devraient arrêter d’en manger si elles sont atteintes d’un cancer du sein. » — Leena Hilakivi-Clarke

Le détail de ces travaux a été présenté à la conférence annuelle de l’association américaine de recherche sur le cancer qui se tient à Chicago.

Le soya fait l’objet d’une controverse depuis quelques années relativement au risque qu’il représente pour les femmes ménopausées ou ayant eu un cancer du sein.

Effets bénéfices

D’autres recherches ont montré que la consommation régulière d’aliments à base de soya serait une bonne façon de maintenir une bonne santé cardiovasculaire, notamment parce qu’ils réduiraient le taux de mauvais cholestérol.

Le saviez-vous?

Environ 23 400 femmes recevront un diagnostic de cancer du sein cette année et 5100 en mourront.

http://www.radio-canada.ca

Les oiseaux contraints de monter le volume


Il est dommage que les oiseaux soient en compétitions avec notre vacarme en tout genre. Que leur chant n’ai moins de variantes dans les sons pour être en mesure d’attirer l’attention de leur semblable

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Les oiseaux contraints de monter le volume

 

Les oiseaux sont contraints de chanter plus fort qu’avant pour se faire entendre à travers le bruit ambiant des villes, selon une étude menée par l’Université George Mason en Virginie, aux États-Unis.

 

Thane Burnett

Selon le professeur David Luthor, les oiseaux qui vivent dans les villes et villages ont dû s’adapter à des niveaux sonores élevés au cours des dernières décennies. Leurs chants sont donc différents et plus puissants qu’il y a quelques décennies parce qu’ils sont en concurrence avec les humains.

Le chercheur a découvert que les chants des moineaux à San Francisco avaient changé au fil des décennies, simplement pour réussir à se faire entendre en milieu urbain.

Non seulement leurs appels sont plus forts, mais il existe moins de variations dans leur chant, alors qu’ils tentent de communiquer au milieu du vacarme de la circulation.

Le professeur a comparé des enregistrements de chants de moineaux à San Francisco qui ont été captés dans les années 1960, avec les gazouillis de leurs contemporains.

Il s’est aussi penché sur l’augmentation de la circulation sur le pont du Golden Gate. Selon M. Luthor, les sons émis par les oiseaux sont plus aigus, parce qu’ils ont besoin de se faire entendre au-dessus de notre bruit ambiant.

http://fr.canoe.ca

Montérégie La chatte Maripossa rescapée d’un piège mortel


Il y a des gens voir même certains professionnels qui ont manque de jugement ! Et ce même s’il y a des animaux dites nuisibles dans un secteur résidentiel c’est pas une raison pour mettre un piège mortel … c’est cruel et il y a beaucoup de trop de risque pour attraper des animaux domestiques
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Montérégie → La chatte Maripossa rescapée d’un piège mortel

 

La chatte Maripossa rescapée d'un piège mortel

Crédit photo : Agence QMI

S’il est vrai qu’un félin a sept vies, la chatte Maripossa a en perdu au moins une, mardi, alors qu’elle a été coincée par un piège mortel destiné aux bêtes indésirables

Par Hélène Gingras | Agence QMI

S’il est vrai qu’un félin a sept vies, la chatte Maripossa a en perdu au moins une, mardi, alors qu’elle a été coincée par un piège mortel destiné aux bêtes indésirables.

Par une force incroyable de la nature, l’animal n’a pas été tué, mais il était très souffrant lorsque son propriétaire l’a trouvé.

«J’entendais un chat se lamenter. J’étais sûr qu’il était en train d’accoucher», raconte le jeune homme qui marchait près de chez lui à Sainte-Catherine, en fin d’avant-midi.

En s’approchant, il a vu que l’animal de sa fille était coincé dans un piège installé devant une résidence privée. Il a travaillé comme un forcené avec un ami pour la dégager.

«Elle ne pouvait plus marcher, elle était paralysée. Elle urinait et déféquait», se souvient-il.

La chatte a été amenée chez un vétérinaire et la facture s’annonce très salée. Sa colonne vertébrale ne serait pas cassée, mais il est encore trop tôt pour savoir si l’animal a eu des organes écrasés ou s’il gardera des séquelles de cet incident.

felin-piege-mortel

(Les puissantes mâchoires du piège à ressorts aurait dû tuer chatte instantanément en se refermant sur elle. Le trappeur est le premier surpris qu’elle soit encore vivante.Photo Agence QMI)

Destiné à une marmotte

Le papa croyait à un cas de cruauté animale, mais le propriétaire de la résidence lui a affirmé le contraire. Il a réitéré ses propos auJournal.

Aux prises avec une marmotte vivant sous son balcon, ce dernier a appelé à la Ville qui l’a référé à un trappeur professionnel de Saint-Michel. Celui-ci était dans son droit d’installer un piège mortel à cet endroit.

«Rien dans la loi ne précise quelle sorte de piège utiliser lorsqu’on veut se départir d’un petit animal nuisible», explique Gilles Chiasson, adjoint au soutien des opérations au sein du ministère des Ressources naturelles et de la Faune.

M. Chiasson est cependant surpris que le trappeur ait pris un piège au lieu d’une cage compte tenu du secteur résidentiel. Les coûts pourraient expliquer ce choix.

«Normalement, on les installe dans un endroit caché, où l’on est sûr que rien ne peut arriver, comme dans un endroit clôturé, pour éviter qu’un enfant se prenne la main dedans, par exemple.»

«J’avais averti le client, mais il m’a répondu qu’il n’avait pas de chat et que ces enfants se limitaient à la cour, se défend le trappeur. C’est malheureux. Je n’ai pas mis d’appât exprès pour ne pas attirer de chat.»

Les puissantes mâchoires du piège à ressorts aurait dû tuer chatte instantanément en se refermant sur elle. Le trappeur est le premier surpris qu’elle soit encore vivante.

«J’attrape des castors de 60 livres avec ce type de piège», raconte-t-il.

http://tvanouvelles.ca

DPJ ► Une grand-mère veut revoir ses petits-enfants


Si c’est vraiment ce qui s’est passé pour cette famille détruite, cela n’a aucun bon sens. Alors que des enfants ont vraiment des problèmes ca prend tout pour que la DPJ agissent et là c’est juste une question de maladie et qu’une grand-maman a pu prendre la relève La DPJ sépare les enfants et les fait adopter …
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DPJ  ► Une grand-mère veut revoir ses petits-enfants

DPJ - Une grand-mère veut revoir ses petits-enfants

Réjeanne Ménard, résidante de Saint-Antoine-sur-Richelieu.

© Yann Canno / Agence QMI

SAINT-ANTOINE-SUR-RICHELIEU – Une résidante de Saint-Antoine-sur-Richelieu a mis sur pied un groupe Facebook afin de revoir ses petits-enfants qu’elle n’a pas vus depuis deux ans. Ces derniers ont été mis en adoption en avril 2010 par la DPJ et depuis ce temps, il lui est impossible d’avoir toute nouvelle.

«J’ai téléphoné à la DPJ, ils m’ont répondu qu’ils ne savent pas où ils sont, qu’ils ne retrouvent pas le dossier!, s’exclame Réjeanne Ménard. Je n’ai pas de nouvelles. Ils pourraient mourir d’une leucémie et je ne pourrais même pas le savoir […] Ma fille n’a pas eu de nouvelles. Même pas elle. C’est de l’abus de pouvoir.»

Il y a deux ans, Mme Ménard s’occupait des enfants de sa fille, car cette dernière souffrait d’une labyrinthite. Elle souligne que sa fille était toujours fatiguée et qu’elle dormait tout le temps à cause des symptômes. Puis, en février 2010, la Direction de la protection de la jeunesse aurait demandé à la Cour de confier le garçon de 5 ans et la petite fille de 3 ans en adoption, même si Mme Ménard avait spécifié qu’elle était prête à adopter les deux jeunes enfants. La Cour a tranché en faveur de la DPJ et les enfants ont été mis en adoption dans deux familles différentes en avril 2010.

Très frustrée par cette situation, la dame de 60 ans a créé un groupe Facebook, «RetrouvonslesPetits-enfantsdeRéjeanne», afin de dénoncer certaines pratiques de la Direction de la protection de la jeunesse de la Montérégie. Elle souhaite ainsi prévenir les autres grand-mamans de la façon d’agir dans une pareille situation. Selon elle, les visites de la DPJ à sa résidence n’étaient pas dans le but de l’aider elle, comme les intervenantes lui auraient mentionné, mais plutôt pour enquêter.

«J’ai dit à deux travailleuses sociales (Belœil et Jonquière) que je voulais adopter les enfants. Le contraire était noté sur le jugement de février. La DPJ a dit que je n’étais pas apte à conserver mes petits-enfants; que j’étais seule pour m’en occuper, alors que mon fils vit toujours à la maison […] Ma fille ne les a jamais abandonnés, elle les a confiés [à moi]. Les enfants étaient bien, n’importe qui à la garderie le dira […] On était tellement malheureuses; c’était un choc émotif.»

La dame a tenté de faire annuler la décision, mais faute de moyens elle n’a pu continuer les démarches judiciaires. À la suite de cette situation, Mme Ménard a dû être hospitalisée, puis elle a fait une dépression à l’été 2011. Il y a moins d’une semaine, la grand-mère a voulu obtenir de l’information sur ses petits-enfants, mais rien n’est venu de la DPJ. À présent son seul but est de revoir ses petits-enfants.

«Ces enfants devraient être là avec moi; je veux qu’on me donne la permission de les voir. La DPJ me les a enlevés avec de faux arguments. Je n’accepte pas qu’ils soient dans une autre famille.»

Mme Ménard ne s’est fixé aucun objectif concernant le nombre d’adhésions à sa page Facebook. Elle souhaite seulement que son histoire soit entendue et qu’un débat social soit entrepris.


DPJ Montérégie: seuls les parents peuvent être informés

Pour des raisons de confidentialité et afin de ne pas divulguer l’identité des enfants, la DPJ n’a pas voulu commenter le dossier qui touche les petits enfants de Mme Ménard.

«Ça nous interdit de donner des renseignements à quiconque, explique Gilles Cloutier, directeur adjoint de la DPJ en Montérégie. La loi de la protection de la jeunesse, c’est comme une convention sociale pour s’assurer de protéger les enfants.»

Concernant la réponse qu’aurait reçue Réjeanne Ménard au sujet de la DPJ qui ne trouvait pas le dossier, le directeur semblait surpris que la dame de 60 ans ait pu recevoir ce type de réponse.

«De manière générale, je ne peux pas donner cette information-là; elle ne peut pas être divulguée si ce ne sont pas les parents. Si une mère nous appelait, elle pourrait avoir de l’information.»

Lors d’une adoption, le dossier d’un enfant est ouvert pendant 5 ans. Passé ce délai celui-ci est fermé, mais les parents sont avisés du changement. M. Cloutier a réitéré que le mandat de la DPJ n’est pas de prendre des enfants, mais bien de chercher une famille qui va les aimer et qu’ils aient une vie normale.

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