L’indifférence


Quand l’indifférence s’installe dans notre vie, alors nous avons abandonné de vivre, de lutter pour ses espoirs, ses rêves … c’est d’enlever toute couleur a la vie
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L’indifférence

 

« L’indifférence n’est pas une fatigue de l’âge. C’est la cessation des choix.  »

Louis Pauwels

Le bégaiement de Démosthène


La malchance dans la vie n’est pas immuable, elle peut se changer en chance, mais pour cela il faut se fixer un but et trouver les moyens pour l’atteindre. Démosthène aurait pu tout abandonné et s’apitoyer sur son sort après avoir été humilier publiquement pour son handicape .. non il s’est relevé et a travailler pour réussir son rêve
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Le bégaiement de Démosthène 

 

 
Le jeune Démosthène voulait devenir le maître de l’éloquence. Mais tout lui manquait : les connaissances, l’argent pour payer les rhéteurs, la santé pour travailler de longues heures sur l’agora écrasée de soleil et surtout, surtout, une bonne diction, car il était désespérément bègue.
 
Mais l’acharnement fait des miracles et Démosthène parvint à suivre les cours des plus fameux orateurs et philosophes. Il eut même le bonheur d’entendre le divin Platon exposer ses théories.
 
Galvanisé par ses rencontres et ses lectures, le jeune homme ne tardât pas à monter à la tribune pour son premier discours… Mais quel fiasco !
 
“Coupe tes phrases en 3, lui criait-on!”; “Pourquoi nous répète-tu 10 fois la même chose?”; “Plus fort, on ne t’entends pas! Tu as la poitrine aussi faible qu’un soufflet de forge percé”, se moquait la foule ingrate.
 
Et Démosthène, dont l’émotion avait accentué les bégayements, sortit sous les sifflets.
 
D’autres, plus habitués à la chance, se seraient certainement découragés. Mais le jeune homme savait que la vie est une suite de frustrations pour celui qui veut vivre sans apprendre la patience et la persévérance.

“Je dois travailler mon style, se dit-il alors en rassemblant ce qui lui restait de courage”.
 
La rage le possédait de vaincre ses obstacles physiques et il mit les moyens au service de ses ambitions. Le lendemain, il se rasa la tête pour n’être pas tenté de sortir dans la rue, il se retira dans un caveau où il s’exerça des journées durant à l’abri du soleil et sans repères temporels.
 
Le soir, lorsque le feu d’Hélios se faisait moins brûlant et que les figuiers odorants accueillaient les cigales, Démosthène sortait et se lançait dans une course effrénée à travers champs tout en récitant ses discours à tue-tête pour gagner en souffle.
 
Arrivé sur le rivage, il remplissait sa bouche de cailloux et mettait un stylet entre ses dents pour gêner volontairement sa diction et se forcer à articuler sans bégayer. De retour chez lui, il se tenait des heures devant son miroir pour soigner sa gestuelle et donner au moindre de ses mouvements une valeur emphatique, solennelle, propre à marquer les esprits.
 
Des mois, des années passèrent avant que Démosthène ne reparut devant une assemblée de citoyens. Mais cette fois fut la bonne : il défendit avec un brio inégalé la cause d’un pauvre lampiste que ses enfants ingrats voulaient dépouiller.
 
La foule se leva pour applaudir devant tant d’éloquence et Démosthène fut nommé ambassadeur de la Cité.
 
 

Le saviez-vous ► Mythe alimentaire à propos de la salière


Si nous voulons baisser la consommation de sel, ce n’est pas a la salière qu’on doit s’en prendre, car sa complicité est beaucoup moins forte que certains aliments. Cela vaut la peine de s’en rendre compte nous-même en lisant les ingrédients
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Mythe alimentaire à propos de la salière

 

la-saliere

MYTHE :La meilleure façon de limiter son apport en sodium est d’arrêter d’utiliser la salière

LA VÉRITÉ : La population canadienne consomme trop de sodium, mais la salière n’est pas la plus grande coupable.

Plus de 75 % du sodium que nous consommons provient des aliments transformés, emballés et prêts-à-consommer, ainsi que des repas de restaurants.

Seulement environ 11 % proviennent du sel ajouté en cuisinant ou à table. Le reste de l’apport en sodium est naturellement contenu dans les aliments.

Pour limiter votre consommation de sodium, choisissez moins d’aliments prêts-à-servir préemballés et de repas de restaurants, et dégustez plus d’aliments à faible teneur en sodium à cuisiner à la maison.

Source Les diététistes du Canada

http://www.soscuisine.com

Cerisier en fleur


Des signes annoncent le printemps, les oiseaux migrateurs viennent nous rendre visites, les animaux qui ont dormi pendant l’hiver se réveille .. et les arbres fruitiers se préparent a se donner en spectacles tout en couleur et arôme
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Cerisier en fleur

 

Photographie par Karen Kasmauski

 

Photographie par Charles M. Kogod

 

Photographie par Fumiko Yarita, 2008 concours photo international

 

Photographie par Thomas Simonson

 


Photographie par Thomas Simonson, mon coup

 


Photographie par Kevin Cozma,

 

Photographie par Achim Runnebaum,

 

Photographie par Michael S. Yamashita

 

Photographie par Raymond K. Gehman

 

http://photography.nationalgeographic.com

Plus de psychoses causées par les amphétamines


Les drogues quel qu’elles soient sont nuisibles autant pour le consommateurs que ceux qu’ils les entourent. Certaines drogues provoquent des psychoses et des risques plus grands pour des actions criminelles et irréversibles
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Plus de psychoses causées par les amphétamines

 

Plus de psychoses causées par les amphétamines

© Shutterstock

Le nombre de patients admis dans les hôpitaux psychiatriques à la suite d’une ordonnance d’un tribunal est en forte progression au Québec. L’abus d’amphétamine est pointé du doigt.

 

À l’Institut universitaire en santé mentale de Québec (IUSMQ), l’augmentation du nombre de patients judiciarisés a fait un bond vertigineux en passant de 11,4%, en 2010, à 20,7%, en 2011.

«Il est clair qu’il y a un lien à faire avec l’augmentation des drogues de rue qui agissent comme psychostimulants et qui amènent les jeunes à poser des gestes criminels», a indiqué Pierre Laliberté, directeur des services professionnels à l’IUSMQ.

Ces personnes sont envoyées en institution psychiatrique, soit parce qu’elles représentent un danger pour la société, soit pour subir une évaluation qui déterminera si elles sont aptes à comparaître devant un juge.

Dans les deux cas, l’admission par obligation légale échappe au contrôle des psychiatres qui sont placés devant le fait accompli.

«Ce n’est pas nous qui décidons si le patient doit rester à l’hôpital. C’est le tribunal», a affirmé Pierre Rouillard, psychiatre.

Près de 15% des patients hospitalisés à la demande d’un tribunal le sont pour des troubles psychotiques. Après analyse des dossiers, on s’aperçoit que près de 40% d’entre eux éprouvent aussi des problèmes de dépendances de drogue et/ou l’alcool.

Trafic à l’hôpital

Comme les comprimés d’amphétamine sont peu chers, faciles à cacher et que leur effet dure longtemps, les problèmes de consommation en milieu hospitalier ont quintuplé, a ajouté M. Rouillard.

«Ça aggrave beaucoup les symptômes psychotiques. C’est pire que la cocaïne. Pour nous, c’est notre plus gros problème.»

Il y a deux ans, l’IUSMQ a adopté une politique de tolérance zéro. Au cours de la première année, 119 interventions ont été effectuées pour débusquer les consommateurs et les trafiquants. De ce nombre, 76 dossiers ont été transférés au Service de police de la Ville de Québec.

«On ne peut pas tolérer ça. Lorsqu’on trouve de la drogue, il y a des conséquences», a dit Julie Lesage, directrice adjointe des services professionnels.

L’IUSMQ travaille actuellement à mettre en place une unité de lits dédiés au traitement des troubles concomitants. Le projet qui comprend une douzaine de lits devrait voir le jour au cours de l’automne prochain.

http://fr.canoe.ca

L’espace, le prochain Far West?


Quelle arrogance de vouloir conquérir l’espace pour faire établir des colonies, faire du commerce donc de l’argent alors que nous ne savons pas vivre sur Terre, que des guerres, des famines et la pollution sévissent .. eux pensent a conquérir les étoiles . C’est un triste constats ce que l’homme est égoiste au plus au point
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L’espace, le prochain Far West?

 

Rand Simberg, un ingénieur qui s’intéresse de près au développement commercial de l’espace, présentera une nouvelle étude sur la colline du Capitole de Washington pour promouvoir la colonisation de l’espace.

 Selon M. Simberg, le droit de réclamer, développer et échanger des titres de propriété extraterrestres est l’une des clés pour propulser l’exploration spatiale.

Il est temps, selon Simberg, d’ouvrir le débat. Les technologies des voyages spatiaux sont en voie d’atteindre une maturité permettant de diminuer considérablement les prix pour livrer des biens dans l’espace.

L’évolution de l’impression en 3D pourrait même permettre à des colonies de s’installer sur différents astres, puisqu’il serait possible de « nourrir » des usines à partir de matériaux extraterrestres pour en produire des pièces et des outils directement sur place. La demande toujours croissante de ressources naturelles sur terre pourrait éventuellement justifier les coûts de l’exploitation minière dans l’espace, peut-être plus rapidement qu’on l’imagine.

Lors des débuts de l’exploration spatiale, les nations ont signé des traités qui excluaient la possibilité de s’établir sur (et de réclamer pour soi) des terres en dehors de notre planète. Un peu à la manière dont les nations ont négocié l’Antarctique, les différents traités, dont le Outer Space Treaty de 1967 et le Moon Treaty de 1979, faisaient de l’espace un endroit qui appartenait à l’humanité entière et qui interdisait la propriété privée.

Cette impossibilité de spéculer sur différents terrains et d’assurer sa propriété légale ne permet pas aux entreprises de lever les fonds nécessaires à l’exploration et l’exploitation spatiale. Rand Sinberg argue que le traité interdit aux nations de se déclarer propriétaire, mais pas les entreprises privées.

M. Sinberg propose trois critères pour qu’un individu ou une entreprise puisse réclamer des droits sur un bout de terre extraterrestre. Il faudrait d’abord faire la preuve de vouloir y établir une colonie permanente, assurer un service de transport commercial entre la terre et cette colonie et que ces terres puissent être achetées et vendues sur le marché.

On lui connait déjà un partisan, Newt Gingrich, un républicain actuellement dans la course pour se mesurer au président Obama lors des prochaines présidentielles. M. Simberg fait aussi partie du Competitive Enterprise Institute, un lobby qui promeut la libre entreprise aux États-Unis.

Mais derrière toute propriété privée, on retrouve un système de loi qui doit être appliqué. Qui se chargera de faire la police de l’espace? Shérifs volontaires, manifestez-vous!

Sources: PopSci; Competitive Enterprise Intitute

http://www.branchez-vous.com

Le suicide est en hausse chez les jeunes femmes


Est-ce la facilité de tout trouver sur le web, même les sites, blogs, médias sociaux qui prônent le suicide ? Est-ce que nous donnons trop de permissions, que la vie en générale est beaucoup plus facile de notre temps et du temps de nos parents  que des jeunes se suicident ? La facilité d’avoir de l’alcool, drogue est t’il une des causes ?
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Le suicide est en hausse chez les jeunes femmes

 

En 2008, 233 jeunes Canadiens se sont suicidés, représentant 20% des décès chez les 10-19 ans.

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Sheryl Ubelacker
La Presse Canadienne
Toronto

Si le taux de suicide des filles âgées de 10 à 19 ans a légèrement augmenté au Canada au cours des dernières décennies, il a chuté chez les garçons du même âge, selon une nouvelle étude.

Le rapport de recherche publié lundi dans les pages du journal de l’Association médicale canadienne indique également que la suffocation – y compris la pendaison – est la méthode la plus couramment utilisée par les jeunes.

Des chercheurs de l’Agence de la santé publique du Canada ont étudié des données sur la mortalité pour la période 1980-2008, et ont déterminé que le taux global de suicide chez les jeunes Canadiens a glissé, en moyenne, d’un point de pourcentage par année.

Toutefois, ce taux a progressé légèrement pour les filles pendant cette période, les morts par pendaison et autres méthodes de suffocation augmentant en moyenne de 8 pour cent par année. Le recours aux armes à feu et au poison a nettement reculé parmi les adolescentes.

Les taux de suicide chez les filles âgées de 10 à 14 ans est passé de 0,6 par 100 000 en 1980 à 0,9 par 100 000 personnes en 2008. Pour les adolescentes âgées de 15 à 19 ans, ce taux a presque doublé, passant de 3,7 à 6,2 suicides par 100 000 individus lors de la même période.

En 2008, l’année pour laquelle les statistiques les plus récentes sont disponibles, 233 Canadiens âgés de 10 à 19 ans, 156 hommes et 77 femmes, se sont suicidés.

La hausse des suicides par suffocation chez les jeunes est possiblement attribuable à des accidents survenus lors d’épisodes du «jeu d’étranglement» («choking game»), qui ont ensuite été considérés comme des suicides. Ce jeu implique diverses méthodes privant le cerveau d’oxygène pour produire une sensation d’euphorie. Les chercheurs disent toutefois être incapables de se prononcer sur le sujet, mais admettent qu’il est impossible d’écarter l’impact d’Internet et des médias sociaux sur la vie des jeunes Canadiens.

Ils rappellent que si l’accès à Internet permet de consulter des sites faisant la promotion du suicide, paradoxalement, le Web et les médias sociaux peuvent aussi aider à combattre le phénomène.

«Le terme »cybersuicide« a évolué pour décrire les nombreux sites Internet, salles de clavardage et blogues faisant la promotion du suicide et des idées suicidaires. De tels sites sont bien entendu troublants : malgré tout, paradoxalement, Internet et les médias sociaux ont également le potentiel de prévenir le suicide», a déclaré la Dre Skinner, une épidémiologiste de l’Agence de la santé publique du Canada.

Du côté des autochtones, le taux de suicide des jeunes est de trois à cinq fois plus élevé que chez les non-autochtones, et le fait de se pencher sur les disparités régionales pourrait permettre de régler le problème chez ce groupe de Canadiens, estime pour sa part le Dr Laurence Kirmayer, un psychiatre de l’Université McGill.

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Un ado britannique de 15 ans condamné à la prison à vie


Qu’est ce qui peut se passer dans la tête de certains ados qui choisissent de devenir des criminels, des meurtriers ? Est-ce que certains films seraient un bouton déclencheur ? L’accusation est grave et la peine est exemplaire …
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Un ado britannique de 15 ans condamné à la prison à vie

 

 

Daniel Bartlam au moment de son arrestation, alors qu’il avait 14 ans.

PHOTO: AFP

Agence France-Presse
Londres

Un adolescent britannique de 15 ans qui avait tué sa mère à coups de marteau en s’inspirant d’une série télévisée a été condamné lundi à la prison à vie.

Le juge Julian Fox a indiqué à Daniel Bartlam, qui n’avait que 14 ans au moment du crime, qu’il accomplirait une peine incompressible de 16 ans, au tribunal de Nottingham.

Daniel Bartlam avait frappé sa mère Jacqueline à sept reprises avec un marteau arrache-clous avant de mettre le feu à la maison.

L’adolescent se serait inspiré pour commettre son crime du scénario de la série télévisée Coronation Street, dans laquelle un des personnages tue une femme à coups de marteau.

Jacqueline Bartlam n’avait pu être identifiée que grâce à son dossier dentaire après que sa dépouille eut été retrouvée dans les décombres de la maison incendiée.

Les jurés avaient reconnu Daniel Bartlam coupable de meurtre à l’unanimité en février.

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