D’autres poèmes de la peine de cet ami a suivi, car cela a duré plusieurs mois voir plus d,un an, avant qu’elle s’atténue A tous les soirs sur MSN, il racontait quelques fois d’espoir mais souvent ce fut son désespoir que cet amour n’aboutisse point
Nuage
Lettre à mon cœur
Cet amour était signe d’un destin
L’éclat du tonnerre se fige en vain
Puis, deviens lumière blanche dans les cieux
J’ai surpris la tristesse dans ses yeux
Mon amour aurait sans doute vaincu
Cet état de solitude vécu
Je créais des palais en papier
Agrémenté de jardins princiers
Espoir qu’un jour des fontaines de marbres
Jaillissent au milieu de centaines d’arbres
Peut-être que le mur des amertumes
Reste un cauchemar décrit par ma plume
Respirant à même son souffle errant
À la vue d’images de rires d’enfants
Que l’aquarelle colore ses joues rouges
J’ai cru que son cœur, pour moi seul bouge
Pour cette âme solitaire, j’ai juré
Donnant ma folie pour l’enivrer
Celui qui offre sa vie à une âme
Donne à l’humanité tout un charme
Cette destinée, je cherchais refuge
Car mes sentiments étaient déluge
Ma vie, reflétait que des tourments
A perdre l’esprit de discernement
Cette romance a réduit mon sommeil
A chercher souvenirs de merveille
Tout n’était que simple magie de lune
Par sa voix musique de ma fortune
Laissant mes nerfs pincés à ses cordes
Que son influence en moi déborde
Malgré le temps, son hypocrisie
M’a aveuglé à croire au sursis
La faveur des sales jeux de ce monde
Par méprise a étouffé ma ronde
Mon cœur maintenant est divisé
Ma peau trouer, mes forces épuisées
Je ne cesse de seriner des mots
Sans trouver des remèdes à mes maux
Mon intérieur s’est trop révolté
Devant la déception récolté
Comment ai-je pu croire en cet amour !
Et me conduire comme un troubadour
En fait n’était que suicide d’une flamme
Donnant grande douleur devant ce drame
Mon cœur tu murmures de si grands signes
De ton ire à ma faiblesse indigne
Montrant à ton tour le désespoir
Je ne peux adoucir mes déboires
Gavé en tout sens par les génies
Cette vérité en moi, je renie
Ma vision demeure dans ce mirage
Scruter le regard de cette image
Me laissant errer dans ce désert
Sans eau, sans amour a découvert
Je brûle par ma grande perte, d’un brasier
Qui consume mon destin humilié
Rachel Hubert (Nuage)
21 Janvier 2003
J’adore ton poème Nuage on n’y ressens l’émotion ,
c’est magnifique tu écris divinement bien , merci de ce
beau partage de ta poésie … C’est bon de te lire …
Bonne-Soirée Gros bisous Gigi xxx
milles merci Gigi
Bonne et douce nuit 🙂
pffft que dire de plus derriere ma gigi
Nuage tu as le don d’écriture poetique
j’aime tes mots là….bisous
Toujours de très beaux poèmes.
beau et triste
merci pour vos encouragements … j’apprécie
super j’aime bcp les poemes tristes 🙂