Succès, Échec


Nous voulons tous réussir mais pour réussir il faut connaitre des échecs et la réussite atteint permet d’aller encore plus loin
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Succès, Échec

 

« Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal : c’est le courage de continuer qui compte. »
 
Winston Churchill

La haine


On ne peut pas aimer tout le monde c’est un fait, mais on ne doit pas aller jusqu’haire des personnes car cela nous fait perdre des énergies, et engendre des rides au coeur
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La haine

 

La haine vous ronge et vous détruit à petit feu si vous n’y prenez garde !

 Essayez de résoudre la colère qui vous anime, de vous détacher de cette haine qui pourrait finir par vous maîtriser. Sachez qu’elle ne forme aucune solution.

Ne cherchez pas à justifier votre haine. Cessez de vous focaliser sur sa cause et de la nourrir. Utilisez cette énergie pour vous recentrer sur vous-même et relativisez

Michel Poulaert

Un bouton «urgence pizza»


Quand t’es rendu a peser sur un bouton pour commander une pizza, imaginez comment la malbouffe essaie de rentré par tous les moyens dans les maisons malgré les bonnes intentions de vouloir manger santé
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Un bouton «urgence pizza»

image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/branchezvous/vieux_1.jpg

À une époque lointaine, il fallait décrocher le téléphone pour commander une pizza. On devait alors faire tourner le cadran rotatif un numéro à la fois; en sacrant à chaque fois qu’il fallait faire le tour du cadran pour composer le zéro.

Puis, il y a eu Internet et les commandes en ligne.

Et même le iPad, où on peut créer soi-même sa pizza.

Mais tout ça, c’est encore trop d’étapes qui séparent l’homme de son repas, semble-t-il.

Alors, une pizzéria de Dubai a eu une idée de génie.

Red Tomato Pizza a créé un bouton intégré dans un aimant à accoler sur le réfrigérateur.

Après avoir enregistré votre pizza préférée, il vous suffira d’un clic pour envoyer votre commande instantanément.

Le tout fonctionne via Bluetooth, qui envoie la commande à travers votre téléphone intelligent.

Bon, vous me direz, on aurait pu mettre la commande directement sur le téléphone grâce à une application qui aurait offert une sélection plus variée.

Mon Dieu que vous êtes difficiles…

 

 

http://www.branchez-vous.com

Les New-Yorkais invités à boire de l’eau polluée


Au Canada on devrait être sensibilisé sur l’eau potable. Nous avons la chance de vivre dans un pays ou l’eau est une ressource naturelle abondante mais elle n’est pas sans limite. Quoi de plus choquant de voir des gens laver avec le tuyau d’arrosage a grande eau fraiche les cours d’entrée, les autos, même les ruelles. L’eau est la condition pour que la vie existe … il ne faut pas l’oublier
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Les New-Yorkais invités à boire de l’eau polluée

 

 

Avoir accès à de l’eau potable, c’est un privilège qui n’est pas donné à tous. On le réalise peu tant il est facile pour nous d’y avoir accès…

Toutefois, la réalité est bien différente pour 1,1 milliard de personnes qui ont la malchance d’être nés dans des pays moins bien nantis. 1,8 millions d’entre eux décéderont cette année suite à la consommation d’une eau impure.

La Journée Mondiale de l’Eau était soulignée le 22 mars dernier.

Une boîte de publicité new-yorkaise a eu l’idée d’une campagne de sensibilisation plutôt inusitée: mettre des distributeur de verres en carton à proximité de sources d’eau non-potable à travers la ville : une puise d’égoût, une fuite d’eau dans le métro, etc.

Sur chacun des verres se trouvaient des faits sur le manque d’eau potable et ses effets sur les populations du tiers monde.

http://www.francoischarron.com

Budget fédéral ►Finis les sous noirs


L’ère des sous noirs tire à sa fin, mais ne vous pressez pas pour vous débarrassez de vos sous noirs qui trainent dans le fond de vos tiroirs, dans les tirelires, ou les vides poches, car même après la fin de la distributions des sous noirs dans les banques ils pourront encore être changé
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Budget fédéral ►Finis les sous noirs

 

Finis les sous noirs

Crédit photo : Agence QMI

Les sous noirs seront éliminés

Par Taïeb Moalla | Agence QMI

Ottawa a invoqué dans son budget déposé jeudi des arguments économiques et écologiques pour justifier sa décision de retirer progressivement de la circulation la bonne vieille pièce, dont le coût de production s’élève à 1,6 cent.

Dès le mois prochain, la Monnaie royale canadienne cessera de produire les pièces d’un cent et, dès l’automne, elle arrêtera de les distribuer aux institutions financières. Cela ne signifiera cependant pas la mort automatique du sou noir, puisqu’on pourra malgré tout continuer à l’utiliser «indéfiniment».

«Les pièces d’un cent prennent trop de place sur la commode. Les entreprises qui cherchent à prendre de l’expansion et à créer des emplois y consacrent bien trop de temps», a affirmé le ministre des Finances, James Flaherty, dans son discours du budget.

Pas de hausse des prix

Citant l’exemple de plusieurs pays comme l’Australie et le Brésil, le gouvernement fédéral jure que la disparition de la «pièce de monnaie ayant la plus petite valeur nominale » ne se traduira pas par une hausse des prix à la consommation. «L’effet inflationniste de l’élimination de la pièce d’un cent serait modeste, voire nul», assure-t-on dans les documents budgétaires.

Voulant éviter de légiférer, le gouvernement dit compter sur la bonne foi des commerçants et sur la vigilance des consommateurs.

«On s’attend à ce que les entreprises arrondissent les prix de manière équitable, uniforme et transparente», espère-t-on.

Pour justifier sa mesure, le gouvernement fédéral soutient que la disparition des sous noirs réduira l’utilisation des ressources naturelles et permettra le recyclage du métal contenu dans les pièces existantes.

Ottawa voit également une occasion pour les organismes de bienfaisance de récolter des fonds en organisant des collectes de pièces d’un cent.

Le sou noir en quelques données

– Après la disparition des sous, le prix de vente – après calcul de la taxe fédérale et provinciale – devra être arrondi. Un bien qui vaut 1,02 $ sera payé 1 $. Un autre article, qui coûte 1,03 $, sera réglé à hauteur de 1,05 $.

– Chaque année, le gouvernement fédéral perd 11 millions $ à cause de la mise en circulation des pièces d’un cent. Pour les institutions financières, le coût économique, direct et indirect du maintien de cents était de 150 millions $, en 2006, selon une étude privée.

– Pour les transactions par chèque, carte de débit ou de crédit, il n’y aura aucun changement. La transaction sera réglée au cent près.

– Il sera toujours possible pour les consommateurs de regrouper les pièces d’un cent dans des rouleaux et de les faire échanger dans leurs institutions financières.

– Chaque année, la Monnaie Royale canadienne produit et distribue quelque 7000 tonnes de pièces d’un cent.

http://tvanouvelles.ca

Lire le passé dans l’empreinte des gouttes de pluie


Quelle idée d’étudier les gouttes d’eau pour en apprendre un peu plus sur le passé environnemental de notre planète. Enfin surement que malgré tout cette lecture est beaucoup plus sur quoiqu’hypothétique que de lire dans l’avenir a travers les cartes, la boule de cristal ou encore l’horoscope …
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Lire le passé dans l’empreinte des gouttes de pluie

 

Les géologues ont la preuve formelle que de l’eau liquide existait en abondance sur notre planète il y a 2,7 milliards d’années, et même probablement déjà il y a quatre milliards d’années.

PHOTOTHÈQUE LA PRESSE

Laurent Banguet
Agence France-Presse
Paris

Certains affirment lire l’avenir dans le marc de café. Des chercheurs américains, eux, se sont penchés sur les empreintes laissées au sol par les gouttes de pluie pour lire le passé: celui de la Terre voici 2,7 milliards d’années.

À l’époque, le Soleil était encore jeune et brillait plus faiblement qu’aujourd’hui, jusqu’à 30% de moins. En théorie, ses rayons n’étaient même assez puissants pour que la température dépasse 0° C à la surface de la Terre.

Et pourtant, les géologues ont la preuve formelle que de l’eau liquide existait en abondance sur notre planète à cette date, et même probablement déjà il y a quatre milliards d’années.

Comment sortir de ce «paradoxe du jeune Soleil faible»? Les scientifiques avancent traditionnellement plusieurs théories pour expliquer une température compatible avec de l’eau à l’état liquide, principalement une atmosphère beaucoup plus dense qu’aujourd’hui, une forte concentration de gaz à effet de serre (GES) ou une combinaison des deux.

Pour tenter de résoudre cette contradiction, des spécialistes en sciences de la Terre et en exobiologie de l’Université de Washington à Seattle (États-Unis) ont choisi une autre méthode: observer les impacts de gouttes d’eau fossilisés voici 2,7 milliards d’années, retrouvés sur des roches volcaniques en Afrique du Sud, pour en déduire la nature de l’atmosphère qui prévalait à l’époque.

Aussi originale qu’elle puisse paraître, l’idée est simple: plus l’atmosphère est dense, plus une goutte de pluie peine à la traverser. La vitesse à laquelle la goutte touche le sol est donc inversement proportionnelle à la pression atmosphérique.

En étudiant la taille des impacts des gouttes, les chercheurs peuvent donc en déduire leur vitesse, et par extension la nature de l’atmosphère.

Mais l’impact d’une goutte dépend aussi d’autres paramètres, notamment la taille de cette goutte.

«Des recherches ont montré qu’une goutte de pluie dépasse rarement six millimètres à la surface de la Terre», indépendamment de la pression atmosphérique, expliquent les auteurs de l’étude dans un communiqué.

«Dans l’atmosphère d’aujourd’hui, ces grosses gouttes de pluie tombent à une vitesse d’environ 9 mètres par seconde, mais si l’atmosphère ancienne était plus épaisse, cette vitesse aurait été plus faible et par conséquent la taille des empreintes au sol plus petites», ajoutent-ils.

Pour résoudre cette équation à multiples inconnues, Sanjoy Som et son équipe ont donc tout simplement fait tomber des gouttes de différentes tailles dans une cendre volcanique de même composition que les roches sud-africaines renfermant les impacts fossiles.

Il ne leur restait plus alors qu’à comparer les deux séries d’empreintes.

Selon l’étude, publiée mercredi dans la revue britannique Nature, «si les plus grosses empreintes ont été effectivement laissées par les plus grosses gouttes, la pression atmosphérique voici 2,7 milliards d’années ne pouvait pas dépasser deux fois celle que nous subissons actuellement».

Mais ces très grosses gouttes étant relativement rares, il est plus probable que l’atmosphère ancienne était comparable à celle d’aujourd’hui, et peut-être même moitié moins dense, estiment les chercheurs.

Une forte concentration en gaz à effet de serre serait donc la principale explication à cette température élevée de la Terre à l’époque, concluent-ils.

Ces recherches sur l’atmosphère terrestre sont également riches d’enseignements pour la recherche de planètes propices à l’apparition de la vie et elles bénéficient d’ailleurs à ce titre de financements de la Nasa et de la Commission européenne.

«La Terre d’aujourd’hui et la Terre antique sont comme deux planètes différentes», résume Sanjoy Som, qui travaille désormais pour la Nasa.

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Contenants consignés: 20 millions gaspillés


Nous voulons préserver l’environnement, mais quand il s’agit de faire certains efforts, c’est moins intéressant, Comment de canettes, bouteilles qui polluent l’environnement faute de les rapporter chez soi en attendant d’aller les revendre pour en retirer un petit bénéfice.
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Contenants consignés: 20 millions gaspillés

 

Sur les quelque 1,5 milliard de contenants consignés mis en circulation chaque année, 400 millions ne sont jamais rapportés, en dépit des 5 cents de dépôt.

PHOTO: MARC GALLICHAN, COLLABORATION SPÉCIALE

20 millions. C’est la somme que les Québécois envoient aux ordures chaque année en négligeant de rapporter les contenants consignés.

Sur les quelque 1,5 milliard de contenants consignés mis en circulation chaque année, 400 millions ne sont jamais rapportés, en dépit des 5 cents de dépôt.

Le taux de récupération de 67% pourrait s’améliorer, affirme l’organisme Boissons Gazeuses Environnement (BGE), qui gère le système de consigne pour les contenants à remplissage unique.

«Les gens sont bien sensibilisés, mais beaucoup de contenants sont utilisés hors du domicile, dit Normand Bisson, de BGE. Il y a déjà 25 000 boîtes de récupération de contenants consignés dans les entreprises, commerces, arénas, campings, golf, écoles, etc. Il faudrait que plus d’endroits où il y a des points de vente de boissons, comme les machines distributrices, installent de ces boîtes.»

On peut obtenir gratuitement une boîte en composant le 1-877-CANETTE (1-877-226-3883).

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Des millions sur l’autoroute


J’ai comme l’impression quand la zone bouclé sera de nouveau accessible, il y aura beaucoup de randonneurs opportunistes iront vérifier si tout l’argent a été ramassé Pour ce qui est de l’argent en papier, s’il a eu du vent … les dollars se sont sûrement envolée plus loin ..
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Des millions sur l’autoroute

 

Un camion-remorque de la société de transport de fonds Brinks a heurté un rocher, mercredi matin, au bord d’une autoroute du nord de l’Ontario. Sa cargaison s’est renversée sur la chaussée.

PHOTO: PC/ FOURNIE PAR LA POLICE PROVINCIALE DE L’ONTARIO

Agence France-Presse
Montréal

Entre trois et cinq millions de dollars canadiens se sont éparpillés mercredi matin sur une autoroute du nord de l’Ontario à la suite d’une collision, a rapporté la police.

Un camion-remorque de la société de transport de fonds Brinks a heurté vers 4 heures du matin un rocher au bord d’une autoroute près de Ramore, déclenchant une série de collisions avec trois autres véhicules.

Les deux occupants du camion de Brinks, grièvement blessés, ont été hospitalisés, a indiqué à l’AFP un porte-parole de la police provinciale, Marc Depatie.

Certains conducteurs des autres véhicules n’ont subi que des blessures légères et d’autres sont sortis complètement indemnes de l’accident.

La police a bouclé une vaste zone pour collecter la cargaison, «éparpillée sur tout le périmètre» et représentant entre 3,5 et 5 millions de dollars, selon de premières estimations.

Une partie de l’argent, en pièces d’un et de deux dollars s’est dispersée jusqu’aux arbres bordant l’autoroute, a dit M. Depatie. Une entreprise privée spécialisée a été appelée à la rescousse et devait utiliser de puissants aimants pour récupérer les pièces.

«Ce sera un travail difficile», a reconnu le porte-parole interrogé par téléphone sur les lieux de l’accident.

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