Ils ont failli mourir de soif…


Nous avons tous des problèmes et quelques fois, nous ne voyons pas de solution. Peut-être qu’échangeant notre vision ou nous partageons avec une autre personne pour un conseil, nous verrons la clé pour la solution
Nuage

 

Ils ont failli mourir de soif…

 

Ils étaient 5 sur un bateau, partis à
l’aventure sur la rivière Amazone.

Pris dans une tempête, ils furent
projetés au large, en pleine mer.

Presque plus de vivres, plus d’eau
potable, complètement déshydratés, ils
commençaient à vivre les affres de la
soif.

Soudain, ils voient au loin un
bateau, font des signes.

« A boire, A boire! » Se mettent-ils à
crier au capitaine du bateau qui
s’approchait. »Nous n’avons plus d’eau
potable »…

« Mes amis, plongez vos seaux dans
l’eau autour de vous: vous êtes
ENTOURES d’eau potable!!! »

Ils ne savsient pas que la rivière
Amazone est un fleuve si puissant que
son eau douce s’étend sur des dizaines
de kilomètres dans la mer…

 Nous sommes tous comme ces naufragés.
 « De l’argent, de la prospérité,
donnez-nous des idées pour nous
enrichir!!! »

 « Mes amis, plongez vos regards dans
ce qui vous entoure: vous êtes ENTOURES
d’opportunités et de richesses que vous
ne voyez pas ».

 Un homme voit de la salade à laver,
le travail pénible que cela donne.
Un
autre y voit l’idée de livrer de la
salade déjà lavée et préparée.

Un autre se plaint d’avoir à laver
ses vitres.
Son voisin y voit une idée
d’affaire.

Chaque problème porte en lui une idée
de richesse.

Il suffit de chausser les lunettes de
la prospérité au lieu de chausser
celles du manque
.

Auteur inconnu

Le saviez-vous ► Expression : Ménager la chèvre et le chou


Cela faisait longtemps que je n’avais pas entendu (ou lu) cette expression. Cependant mieux vaut ne pas être pris entre la chèvre et le chou, car on fini toujours par décevoir quelqu’un …. et cela peut être une situation très désagréable
Nuage

 

Ménager la chèvre et le chou 

 

Ménager des intérêts contradictoires.

 
Le verbe ménager est ici pris dans le sens « traiter avec égards, ne pas déplaire, prendre soin de », comme dans « ménager la susceptibilité ».

Des esprits éveillés (ceux du premier rang) ou ceux qui vont chercher la petite bête diront que, dans les endroits plutôt secs où on élève des chèvres, il n’y a pas de cultures de choux.


C’est vrai, mais qu’importe ? Lorsqu’une chèvre se trouve face à un chou, que fait-elle ? Eh bien elle le mange !

Si les deux sont ainsi opposés depuis le XIIIe siècle (« savoir passer la chèvre et le chou »), c’est simplement pour montrer la difficulté qu’il y a et l’habileté qu’il faut à une tierce personne pour obtenir que le chou reste intact et la chèvre peu revendicative ou, plus généralement, pour satisfaire deux parties ayant des intérêts opposés.

http://www.expressio.fr

Pompier en Drag-Queens en train d’éteindre un camion


Il semblerait que ces pompiers étaient déguisé en femme avec des robes de bal pour une quelconque activité, cependant il eu un appel au feu et sans y penser a la manière qu’ils étaient habillés ils  se sont mit a l’ouvrage Le devoir avant tout, mais franchement … pourquoi se ridiculiser autant ?
Nuage

Pompier en Drag-Queens en train d’éteindre un camion

Il échappe à des crocodiles en grimpant sur la table de billard


Si on peut trouver quelque chose de positif avec les inondations que l’on peut vivre ici, au moins il n’y a pas de crocodile, donc pas de visiteur qui serait intéressé a manger notre petite personne
Nuage

 

Il échappe à des crocodiles en grimpant sur la table de billard

 

Il échappe à des crocodiles en grimpant sur la table de billard

© Shutterstock

Un Australien a échappé à des crocodiles de quatre mètres, qui encerclaient sa cabine inondée, en grimpant sur une table de billard, où les secours sont venus le chercher au bout de trois jours, a rapporté vendredi la presse australienne.

 

Terry Donovan, 65 ans, effectuait l’entretien d’une cabine sur pilotis louée aux pêcheurs, dans le Queensland (nord), lorsque l’eau a commencé à monter, isolant la maisonnette, sans moyen pour lui de repartir, a-t-il raconté au Cairns Post.

«Le premier (crocodile) que j’ai vu était derrière la véranda, dans une trentaine de centimètres d’eau, peut-être un peu plus», a-t-il dit. «Je me suis dit « il faut que je fasse attention, il y a un crocodile. S’il y en a un, il y en a forcément deux ou trois autres, voire plus »».

L’homme a ensuite aperçu par la fenêtre un deuxième crocodile, qui est allé se placer sous la cabine sur pilotis.

Il a alors emmené toutes ses provisions sur une table de billard, où il s’est installé, alors que l’eau continuait à monter.

L’eau «ne cessait de monter et elle est arrivée au-dessus des filets où sont collectés les boules de billard sur les côtés de la table», a poursuivi Terry Donovan.

Il a finalement été secouru par un pêcheur parti à sa recherche, à la demande des autorités.

Les crocodiles marins (appelés salties) sont fréquents dans les régions tropicales et sauvages du nord de l’Australie. Ils tuent en moyenne deux personnes par an.

http://fr.canoe.ca

Les jeunes sont des surconsommateurs de textos


Est-ce que les jeunes ados utilisent trop l’option texto ? La psychologue prétend que les jeunes le font quand ils n’ont rien a faire, en attendant quelque chose .. pourtant, je suis a peu près sur que des ados plus futés utilisent le textos même en classe. Sans compter que surement des ados, comme des adultes d’ailleurs, ne sont pas sécuritaire quand ils marchent en textant
Nuage

 

Les jeunes sont des surconsommateurs de textos

 

Téléphone - Les jeunes sont des surconsommateurs de textos

Les jeunes sont les rois du texto.

© AFP / NATALIA KOLESNIKOVA

Kevin Marcil, du SuperClub Vidéotron de Saint-Constant est d’avis que les jeunes du secondaire font une utilisation abusive des textos.

SAINT-CONSTANT – Les ados envoient entre 4000 et 4500 messages textes chaque mois, soit une moyenne de 133 à 150 textos par jour selon deux détaillants de cellulaires en Montérégie.

«Les jeunes sont vraiment portés vers ça. Nous avons différents forfaits pour les messages textes et ils se vendent comme des petits pains chauds. De plus, les consommateurs sont de plus en plus jeunes. J’ai l’impression qu’ils veulent être les plus cools de leur école», soutient celui qui envoie plusieurs factures avoisinant les 4000 textos par mois.

Recommandation des experts
Alors que les compagnies de téléphonie cellulaire n’ont pas le droit de vendre des contrats à des mineurs sans le consentement de leurs parents, elles considèrent que le premier appareil devrait être de base. Plusieurs essaient d’éviter de vendre des téléphones intelligents aux moins de 15 ans. Dans plusieurs cas, ils essaient aussi d’interdire la vente de cellulaire aux moins de 13 ans.

Un représentant d’une compagnie de la région préférant garder l’anonymat recommande même l’utilisation de cartes prépayées pour les mineurs.

«Puisqu’à l’âge mineur, les utilisateurs doivent être accompagnés de leurs parents, nous essayons de les conscientiser, assure-t-il. Il vaut mieux acheter une carte prépayée avec un forfait textos illimités que d’y aller avec un véritable contrat. À cet âge, les jeunes ne réalisent pas leur surconsommation», évalue le représentant.

«C’est dans ces moments-là que les factures grimpent rapidement et que ça tourne à l’horreur pour les parents. Parfois, ils peuvent recevoir des factures de plusieurs centaines de dollars. C’est pourquoi nous conseillons des cartes prépayées pour que les jeunes apprennent à gérer l’utilisation de leur cellulaire. Ça évite aussi les gros débordements», renchérit-il.

Les tendances
D’après les deux compagnies interrogées, les contrats les plus en demande chez les adolescents sont ceux comprenant les messages textes illimités avec les appels soir et week-end illimités. Ces forfaits varient entre 25 et 40 $, selon le mode de paiement et le fournisseur.

Concernant les forfaits internet et textos pour les téléphones intelligents, ils se situent généralement entre 60 et 75 $.

Un phénomène pas si inquiétant
La psychologue Marie-Ève Lacasse n’est pas surprise du nombre de textos que peuvent s’expédier quotidiennement les ados.

«Lorsqu’on parle de textos, il peut s’agir d’envoyer une icône émotion, un clin d’œil par exemple, dont l’envoi constitue un message. Et bien souvent on va texter lorsqu’on se trouve dans une situation d’attente. Par exemple, texter en attendant que l’autobus arrive. Dans ce contexte, le nombre de textos peut rapidement être élevé au cours de la journée.»

Pour Mme Lacasse, «tous ces nouveaux modes ont suscité de l’inquiétude, que ce soit la télévision, l’apparition du cellulaire, des réseaux sociaux. On se demande toujours de quelle manière ces nouveautés vont s’intégrer dans notre vie, quelle place elles vont prendre.»

L’enthousiasme des jeunes envers les textos peut s’expliquer par la relative nouveauté de ce mode de transmission.

«Je crois que les textos représentent une autre façon de communiquer, dit la psychologue. C’est une autre forme qui s’ajoute à celles existantes. C’est une nouvelle façon de se parler.»

Texter, un loisir avant tout
Simon, 15 ans, de Saint-Constant, texte en moyenne une trentaine de messages par jour.

« Je texte mes amis, ma mère, mon frère, confie-t-il. La fin de semaine, c’est plus calme. Quand j’ai quelque chose à dire de sérieux, je téléphone. Quand c’est léger, je texte. Parfois c’est moins gênant de texter son message que de le dire au téléphone. C’est un passe-temps et, même si on dit qu’on serait capable de se passer de notre cellulaire, on sait que ce n’est pas vrai », souligne-t-il en ajoutant que sa mère texte plus que lui.

Limites
Concernant les ados qui ne semblent jamais vouloir s’arrêter de texter, c’est aux parents et aux personnes qui ont autorité, à l’école par exemple, de fixer les limites.

«On peut encadrer la communication et mettre des règles, assure Marie-Ève Lacasse. Lors du souper familial, on exige de notre enfant qu’il mette de côté son cellulaire, à la condition que papa ou maman donne l’exemple.»

Sexting
Les filles qui se prennent en photo nues ou dans des poses suggestives avec leur cellulaire et qui envoient ses images à leurs chums ne réalisent pas les conséquences de leur geste, selon la psychologue. Elles ne s’attendent pas à retrouver ces photos sur le web.

«Il y a à la fois un manque d’information et une attitude naïve de leur part, explique Mme Lacasse. La pensée magique les habite. Elles croient qu’elles sont invulnérables et que jamais leur chum ne poserait un tel geste. Sur le coup, elles le font par audace, mais après elles regrettent.»

http://fr.canoe.ca

Gatineau ► Un réseau de fraudeurs sévit


Ils sont plusieurs a suivre des personnes vulnérables comme les personnes âgées, ils sont muni qu’un cellulaire et sont organisé a plusieurs pour avoir le NIP et cartes de crédits, ou de débits de leur proie potentielle. C’est vraiment décevant que ce genre de personne qui n’ont aucun scrupule de dévaliser ainsi des personnes .. Si cela se passe a Gatineau, ca peut se passer aussi ailleurs
Nuage

 

Gatineau

Un réseau de fraudeurs sévit

 

Par Doug Hempstead | Agence QMI

Des dizaines de fraudeurs vident des comptes bancaires de personnes âgées peu méfiantes de Gatineau, au Québec.

L’agent Pierre Lanthier de la police de Gatineau a expliqué que c’est dans les stationnements de magasins à grande surface que les voleurs opèrent depuis plus d’un an.

En 2011, plus d’un cas par semaine a été signalé et près de 20 cas ont été répertoriés seulement depuis le début de cette année. Les suspects seraient des gens de Montréal.

En octobre dernier, huit personnes originaires de Roumanie ont été arrêtées (quatre à Montréal et deux à Brossard), lors d’une frappe policière orchestrée par les enquêteurs de la division des crimes économiques après des perquisitions à Montréal et à Brossard.

Le procédé est souvent le même. Un suspect suit une victime, généralement une femme plus âgée, dans un supermarché ou un grand magasin et les regarde magasiner. Lorsque la victime va passer à la caisse et va utiliser sa carte de débit ou de crédit, le suspect filme le numéro d’identification avec l’appareil photo de son téléphone intelligent.

À l’extérieur du magasin, deux complices du premier suspect accostent la victime, et le plus souvent, ils sortent une carte routière et demandent de l’aide. Lorsque la victime est distraite, on lui subtilise sa carte sans qu’elle s’en rende compte.

Selon Pierre Lanthier, les victimes ne courent aucun danger.

« Ils ne sont pas violents, a-t-il dit. Ils sont très polis et ils parlent français. Après avoir obtenu les directions, ils remercient la dame.»

Le policier a ajouté que les suspects sont bien habillés et ont généralement entre 25 et 35 ans.

Une enquête d’un autre corps de police a conduit à l’arrestation de quatre personnes et a permis de savoir que près de 80 personnes seraient impliquées.

«C’est un travail à plein temps pour eux, a déclaré M. Lanthier. Il est difficile de dire combien ils sont.»

Le policier a recommandé aux personnes âgées de faire attention, notamment lorsqu’elles font leurs achats et particulièrement lorsqu’elles composent leur code d’identification personnel (NIP).

http://tvanouvelles.ca

Température record → Les producteurs de pommes inquiets


Le beau temps que nous vivons au Québec est exceptionnelle … On se souviendra longtemps de cette fin d’hiver et début de printemps 2012 mais ce beau temps peut provoquer des problèmes, comme pour le sirop d’érable, les inondations et ici, les pommiers pourraient ne pas fleurir
Nuage

 

Température record → Les producteurs de pommes inquiets

 

Température record - Les producteurs de pommes inquiets

Le pomiculteur et cidriculteur Michel Jodoin nous fait prendre la mesure de ce qui s’en vient si la chaleur perdure.

© André Corbeij / Agence QMI

 

ROUGEMONT – «C’est du jamais vu! Mon père et son père n’ont rien vu de tel de toute leur vie.»

C’est Michel Jodoin qui s’exclame ainsi à propos de la vague de chaleur qui sévit ces jours-ci au Québec.

«Regardez ici, les feuilles vertes commencent à sortir des bourgeons, a-t-il dit. C’est pas bon car les pommiers vont fleurir trop tôt. Si on connaît ensuite une période de gel pendant que les pommiers sont en fleurs, ce sera foutu pour la saison. Il n’y aura pas de pommes. Présentement, ça ne regarde pas bien. Comme mon père le dit : p’tite saison de sucre, petite saison de pommes.»

Selon M. Jodoin, seul un refroidissement de la température dans les prochains jours pourrait ralentir le processus de floraison hâtif.

Ce pomiculteur, qui produit du cidre, avoue que de se plaindre de la belle température peut paraître bête pour certains, mais pour son entreprise ça pourrait devenir une catastrophe.

«Je vends mon cidre sur les terrasses à Montréal comme jamais, a-t-il indiqué. Je n’ai pas à me plaindre de ce côté. Mais j’imagine mal une saison où les pommiers fleurissent un mois avant leur temps et une prochaine saison sans récolte de pommes. C’est toute une industrie qui va en souffrir.»

La vigne en état d’alerte

On cultive aussi la vigne à Rougemont. Chez Francis Lavoie, du vignoble du même nom, l’inquiétude est aussi bien présente. M. Lavoie nous confiait que la vague de chaleur lui rappelle celle de 2010, à la différence que celle-ci s’était présentée en avril et n’avait pas compromis la récolte du fruit.

«C’est exceptionnel cette chaleur en mars, a dit M. Lavoie. On demeure sur le qui-vive et on ne peut qu’espérer que dame Nature ne nous fera pas trop de mal. On n’a pas le contrôle là-dessus.»

Ce dernier possède 72 000 plants de vigne et 17 000 pommiers. La vigne connaît plusieurs stades de bourgeonnement. Un débourrage hâtif du bourgeon le fragilisera. Exposé au froid, il mourra.

«Si la température ne baisse pas d’ici une semaine, nous sommes cuits», a conclu M. Lavoie.

http://fr.canoe.ca

Un embâcle cède sur la rivière aux Saumons Le zoo de Saint-Félicien perd plusieurs animaux


Nous avons profité de cette vague de chaleur printanière tout à inhabituel pour notre province. Bien des régions ont même battus des records de température qui date de plusieurs années. Mais voilà, il y a aussi des conséquences qui sont catastrophiques surtout si en plus les animaux sont pris au pièges dans un zoo
Nuage

 

Un embâcle cède sur la rivière aux Saumons

Le zoo de Saint-Félicien perd plusieurs animaux

 

Le zoo de Saint-Félicien perd plusieurs animaux

Crédit photo : Courtoisie

TVA Nouvelles

Plusieurs animaux du Zoo sauvage de Saint-Félicien ont été blessés grièvement lorsqu’un embâcle sur la rivière aux Saumons a cédé, à deux kilomètres de ses installations.

Vers 17h mercredi, un embâcle s’est formé sur la rivière aux Saumons. Lorsqu’il a cédé, toutes les glaces ont été emportées d’un seul coup. Plusieurs morceaux d’un volume impressionnant ont envahi le site, blessant et tuant plusieurs animaux sur leur passage.

Les employés du zoo ont fait des heures supplémentaires afin de secourir plusieurs petites bêtes complètement affolées. Parmi les 22 animaux décédés, on dénombre deux ânes, deux chinchillas, quelques poules et des lapins.

Neuf animaux, plus chanceux ceux-là, ont été rescapés. Ainsi, des chevaux miniatures, plusieurs petits animaux de la ferme et un carcajou, qui se trouvait en état de choc, ont pu bénéficier de l’assistance des employés restés sur place bénévolement.

Juliette, une petite chèvre, avait de la glace jusqu’au cou et de l’eau dans les poumons. Un employé lui a porté secours et lui a administré des antibiotiques.

Fermeture du Zoo

Le Zoo sauvage de Saint-Félicien sera fermé jusqu’à nouvel ordre. Outre les pertes et blessures causées à ses animaux, plusieurs installations ont subi des dommages importants. La section des enfants est la plus touchée. La petite ferme et toute la partie de jeux d’eau sont complètement ravagées. La crèmerie est aussi presque entièrement détruite.

L’heure est au bilan pour l’administration du populaire zoo. La municipalité pourrait offrir son aide afin de déloger les immenses bouts de glaciers qui jonchent le sol. Pour l’instant, les conséquences du bris de cet embâcle s’élèveraient à plusieurs centaines de milliers de dollars.

Toutefois, une inquiétude règne: si la température devient plus clémente, les nombreuses glaces pourraient causer d’importantes inondations.

http://tvanouvelles.ca