Dire n’importe quoi ne veut rien dire, mais penser vraiment a nos paroles se veut le mérite d’être réfléchis et soupesés
Nuage
La franchise
« La franchise ne consiste pas à dire ce qu’on pense, mais à penser ce qu’on dit. »
Coluche
Nous pouvons être le meilleur ou le pire compagnon pour nous-même, ce ne sont pas les autres qui décident pour nous … mais bien nous .. Cela ne sert a rien de mettre la faute sur les autres quand notre vie a du brouillard c’est a nous de prendre les choses en main
Nuage
Accepter d’être un meilleur compagnon pour soi
C’est vous qui êtes au coeur de toutes vos relations, ce qui ne veut pas dire au centre…
Vous êtes donc responsable de l’estime, de l’amour et du respect que vous portez.
Vous êtes responsable aussi de l’amélioration possible de vos relations, ce qui ne veut pas dire que vous êtes responsable de toute la relation.
Vous avez la charge ou le plaisir de votre épanouissement et de votre bonheur.
Ne comptez plus sur l’autre pour vous prendre en charge, pour assurer et combler vos besoins, pour apaiser vos craintes ou protéger vos peurs.
N’attendez pas de l’autre la réponse; interrogez vos questions, prolongez vos perceptions, écoutez votre ressenti et faites ainsi confiance à l’imprévisible qui vous habite.
Osez vous définir et marquer la différence quand l’autre tente de vous définir… à partir de sa vision à lui.
Expérimentez en créant du réel au-delà de vos croyances. Vous ne produisez rien que vous ne puissiez résoudre.
Prenez soin de vous réellement, journellement. Vous êtes unique et extraordinaire… même si vous l’avez oublié. Vivez comme si vous étiez seul et acceptez de vous relier aux autres chaque fois que cela vous paraît possible…
Voyez les autres comme des cadeaux et, mieux encore, comme des présents qui enrichissent votre vie.
La pire des solitudes n’est pas d’être seul, c’est d’être un compagnon épouvantable pour soi-même… en s’ennuyant en sa propre compagnie.
Alors n’hésitez plus, soyez un bon compagnon pour vous…
Votre vie vous le rendra au centuple
Jacques Salomé
Ceux qui n’aime pas trop le lait peuvent toujours boire du lait de soya, Si vous aimez les deux pas de problèmes le calcium s’équivaut …
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Boisson de Soya et Calcium ? L’importance de brasser.
Une étude publiée en 2010 dans le Journal of Clinical Nutrition a démontré que le taux d’absorption du calcium dans la boisson de soya est le même que celui du lait de vache. Il est cependant important de bien brasser le contenant de boisson de soya, car le calcium peut rester au fond.
La Semaine/Santé Prévenir/Anne-Marie Roy Nutritionniste/Février 2012
De beau chat, un peu gros pour aller sur mon sofa et de toute façon ce sont des chats qui méritent leur liberté et vivre comme ils ont toujours vécu .. Alors que présentement, ils sont en grand danger ..
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Les félins à l’honneur
En février 2012, c’était le mois qu’a choisi National Geographic pour mettre en avant le projet Big Cats, une initiative destinée à protéger les félins sauvages. De son côté, Disney Nature vient de sortir au cinéma Félins, un documentaire sur les guépards et les lions. Leur but ? Nous faire redécouvrir ces animaux majestueux pour mieux les défendre.
Panthère nébuleuse originaire d’Asie du sud-est.
Le guépard, le plus rapide
Le tigre, le plus gros des félins
La puissance du jaguar
Le léopard
Le lion, roi en danger
Les derniers lions
Combat de lionnes
Dans un autre monde
Du côté des « Félins »
Rugissez pour et avec eux
C’est aberrant mais sachant que cette loi viens de la famille Bush, ce n’est guère surprenant. Mais je ne comprend pas que sachant que cet imbécile a appelé le 911 n’a pas obéi au répartiteur lui a dit de ne pas poursuivre le soi-disant suspect . La police a mal fait son travail … En tout cas pour moi, c’est loin d’être de la légitime défense mais bel et bien un meurtre au 1 er degré
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Une loi qui donne le droit de tuer
Trveor Martin, élève exemplaire de 17 ans, a été tué par un de ses voisins qui le trouvait «louche». Le tueur n’est accusé de rien à cause d’une loi américaine permettant la légitime défense.
PHOTO: AP
Nicolas Bérubé
La Presse
(Los Angeles) Trayvon Martin, 17 ans, a été tué à 20 mètres de sa maison, en Floride, par un homme qui disait avoir des «doutes sur ses intentions». La police ne compte pas arrêter le tueur, qui affirme avoir agi en vertu d’une loi controversée sur la légitime défense.
«J’appelle pour signaler la présence d’un gars vraiment suspect, confie une voix d’homme au répartiteur du 911. Il marche sous la pluie et regarde autour de lui. Il a l’air drogué… Il s’agit d’un individu mâle, de race noire…»
George Zimmerman, 28 ans, était assis à bord de sa voiture à Sanford, banlieue d’Orlando, quand il a passé cet appel au 911, le 26 février dernier. Quelques minutes plus tard, et contre les recommandations du répartiteur, Zimmerman est sorti sous la pluie à la poursuite de l’individu.
Trayvon Martin, 17 ans, revenait du dépanneur avec un sac de Skittles et un thé glacé Arizona dans la poche de son manteau. Il allait finir de regarder la partie de basketball NBA All-Star avec son père et était à 20 mètres de la maison quand Zimmerman est arrivé à sa hauteur.
Un affrontement a éclaté. Des voisins ont dit avoir entendu un coup de feu. Trayvon Martin est mort, face contre terre, une balle de pistolet semi-automatique 9 mm dans le dos.
Après une brève enquête, la police de Sanford a laissé partir Zimmerman, qui dit avoir tiré par légitime défense sur Martin, qui n’était pas armé. Zimmerman, qui est blanc, s’était autoproclamé gardien de son quartier de Sanford, frappé par des vols au cours des derniers mois. Il avait passé 46 appels au 911 depuis janvier 2011.
Rapportée dans les médias, la semaine dernière, l’affaire a soulevé l’indignation aux États-Unis. Les parents de Trayvon Martin, un élève exemplaire qui n’a jamais eu affaire à la justice, ont récolté plus de 450 000 signatures dans une pétition en ligne pour que des accusations soient déposées contre Zimmerman. Les parents ont aussi demandé au FBI de faire enquête.
La loi Bush
La tâche s’annonce difficile: en 2005, le gouverneur de la Floride de l’époque, Jeb Bush, a promulgué la loi «Tenez votre bout» (Stand Your Ground), qui stipule que les gens armés n’ont pas à tenter de fuir un affrontement avant d’utiliser leur arme et d’invoquer la légitime défense. Depuis, 17 États américains ont adopté des lois semblables.
Ladd Everitt, directeur des communications de la Coalition to Stop Gun Violence, organisme situé à Washington, estime que la loi floridienne ouvre la porte à des abus.
«Cette loi donne de la latitude aux policiers, qui peuvent décider de boucler une affaire et de ne pas faire d’enquête approfondie, a-t-il dit en entrevue, hier. C’est une loi extrêmement dérangeante, et ça encourage une escalade de la violence.»
En soirée, hier, le Caucus noir du Congrès a demandé au département de la Justice de faire enquête sur la mort de Trayvon Martin.
«Ce dossier compromet l’intégrité de notre système de justice et crée un précédent horrible, écrit le président du Caucus, le représentant démocrate Emanuel Cleaver. Trayvon avait une famille, des amis et un avenir, et tout cela est perdu en raison de la couleur de sa peau.»
Quand l’espace viens apporter des images du passé grâce a la technologie informatique, beaucoup de temps, d’argent peuvent être économiser .. et probablement plus de découvertes des ancêtres qui ont eut aussi sans le savoir fait l’histoire de la Terre.
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© Jason Ur
L’analyse d’images satellites à l’aide d’un programme informatique a permis de découvrir environ 14 000 sites en Syrie ayant abrité d’anciens peuplements humains au cours des 7000 à 8000 dernières années.
Le logiciel, né de la collaboration entre l’anthropologue Jason Ur de l’Université Harvard et des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology, s’appuie sur un ensemble d’indices, dont certaines décolorations du sol et des monticules particuliers à l’effondrement de maisons de briques de terre séchée.
Selon le Pr Ur, cette méthode d’analyse permet d’identifier des lieux comme aucune autre ne l’a fait à ce jour.
« Je pourrais parvenir aux mêmes résultats sur le terrain, mais cela me prendrait le reste de ma vie pour faire un relevé topographique d’une zone de cette superficie. » — Pr Jason Ur
Ce travail de dépistage de sites permettra aux archéologues qui se rendent dans cette zone géographique pour des fouilles d’aller exactement aux bons endroits. Le chercheur estime qu’il n’est plus nécessaire de faire un travail de reconnaissance comme avant, ce qui permet d’optimiser le temps passé sur le terrain pour les fouilles.
Une tragédie qui s’est passé au Québec, mais aussi en France et en Suisse a laissé des marques ineffaçables. Se rappeler des faits pour peut-être éviter que d’autres sectes refasse surface et emportent avec eux des innocents a l’esprit
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Ordre du temple solaire → Vivre dans la maison du drame
«Ça venait de partout pendant des mois, de la Suisse, de la France. J’en ai fait des entrevues; c’était l’enfer», se rappelle le chef pompier, Clément Godin.
© Archives / Journal de Québec
Agence QMI
Nicolas Saillant
QUÉBEC – Le 22 mars 1997, les yeux du monde se sont braqués sur la petite localité de Saint-Casimir de Portneuf pour tenter de comprendre pourquoi cinq membres de l’Ordre du temple solaire se sont enlevés la vie dans une répétition des drames survenus en 1994 et 1995 en France, en Suisse et au Québec.
«Une maison comme les autres»
Aux premières loges du drame qui a secoué Saint-Casimir, le 22 mars 1997, René Perreault a tout de même acheté la résidence dans laquelle cinq personnes se sont donné la mort et il l’habite depuis.
Pompier volontaire pour la municipalité, René Perreault a été la première personne à se rendre sur place, il y a 15 ans, après avoir vu, par sa fenêtre, le feu embraser la maison voisine.
Malgré le film d’horreur qui s’est joué devant chez lui, M. Perreault a tout de même décidé d’acheter la petite maison où a eu lieu le drame, après que la succession de Didier Quèze eut mis en vente le 70, rang Notre-Dame.
Nombreux curieux
L’homme a ensuite rénové la résidence incendiée avant de l’habiter. S’il ne voit rien de particulier à vivre dans cette tristement célèbre résidence, M. Perreault avoue que de nombreux curieux se sont arrêtés chez lui afin de visiter la funeste maison, lui offrant même de l’argent pour une visite, ce qu’il a toujours refusé.
Plusieurs étaient également intrigués de savoir si la maison abritait des «esprits». L’homme balaye toutefois cette question du revers de la main.
«Il n’y a aucune présence ici; je l’habite depuis 2000, c’est une maison comme les autres», réfute-t-il.
Tous n’ont cependant pas le même détachement par rapport au drame qui s’est joué à cet endroit. Le frère de René Perreault, Luc, avoue avoir eu de la difficulté à mettre les pieds dans la maison des Quèze.
«Je n’ai pas aimé ça, entrer, au début.»
Le tuteur des enfants
Le voisin connaissait bien les enfants Quèze en raison du lien d’amitié qui existait avec ses propres enfants.
D’ailleurs, M. Perreault était un des rares de Saint-Casimir à savoir que ses voisins avaient été membres de l’Ordre du temple solaire, mais croyait que cette secte n’existait plus.
«Je ne savais même pas qu’ils étaient encore là-dedans», indique-t-il.
Après le drame, René Perreault a donc été le tuteur de Tom, 13 ans, Fannie, 14 ans, et Julien Quèze, 15 ans, orphelins et sans famille au Québec, jusqu’à ce que les enfants retournent rejoindre leurs grands-parents en France.
«C’est moi qui les connaissais le mieux ici. Je les ai accompagnés jusqu’à ce qu’ils partent pour la France, pendant deux mois de temps environ», raconte l’homme qui a accepté pour la première fois en 15 ans de parler de cette histoire publiquement.
La famille Perreault a gardé contact avec les trois enfants, 15 ans après les faits.
«J’ai gardé des liens avec les enfants. Ils vont très bien; ça fait 15 ans de ça et ils s’en sortent bien. La vie continue et ils sont heureux en France avec leur famille», conclut celui qui leur a rendu visite l’an dernier.
La fin de l’OTS?
«Saint-Casimir, c’est le dernier voyage des derniers fanatiques; c’est ceux qui étaient frustrés de ne pas être partis avec les autres. Il ne reste plus rien sauf des anciens qui sont revenus dans la vie réelle; ils ne sont plus dans l’idéologie, ils se revoient comme des amis autour d’une pizza. Il n’y a plus de dangerosité.»
— Arnaud Bédat, journaliste suisse expert de l’OTS
Saga médiatique à Saint-Casimir
QUÉBEC – À la suite du drame, Saint-Casimir a été le théâtre d’un cirque médiatique sans précédent, en plus de devenir involontairement une attraction pour des centaines de visiteurs.
La quiétude de Saint-Casimir a été dérangée de bien des façons par le drame de l’OTS. En plus des médias québécois qui ont abondamment couvert la nouvelle dans les jours suivant le drame, les échos que cette tragédie a eus en Europe en raison des trois suicides collectifs survenus en 1994 et 1995 en Suisse et en France, a attiré de nombreux médias internationaux.
«Ça venait de partout pendant des mois, de la Suisse, de la France. J’en ai fait des entrevues; c’était l’enfer», se rappelle le chef pompier, Clément Godin.
Attiré par la résidence des Quèze, qui a longtemps porté les marques de l’incendie, un tourisme morbide de curieux désirant voir de leurs propres yeux où avait eu lieu le suicide collectif, a fait en sorte de créer une atmosphère particulière dans le village, au cours de l’été 1997.
La famille de Didier Quèze, qui habitait en France, s’est retrouvée elle aussi au milieu d’une énorme tempête médiatique qui a duré près d’un mois.
«Vous ne pouvez pas vous imaginer ce que ça a été. On a été traumatisé par ça», a commenté Mathilde Quèze, la mère de Didier Quèze rejointe par leJournal de Québec. «Il y avait des journalistes devant notre porte; on ne pouvait même plus sortir», se rappelle-t-elle.
Aide psychologique
Pour leur part, les pompiers qui ont eu à intervenir sur les lieux ont finalement suivi une thérapie de groupe un mois après les événements.
«J’ai demandé à des psychologues de venir et, finalement, ça a fait du bien. On a tout sorti ce qu’il y avait à sortir», raconte le chef pompier.
Ce dernier a aussi été touché directement par le drame.
«C’est moi qui ai rempli les bidons d’essence. Je me souviens, il (Didier Quèze) était bien poli, il m’a dit: »Salut à la prochaine ». Jamais il n’a laissé voir quelque chose», se souvient M. Godin, également propriétaire de la station-service.
C’est le printemps aujourd’hui, mais avec hier et aujourd’hui, c’était plutôt une journée chaude d’été. Autant l’hiver a été spécial que le printemps en est tout autant. Ces chaleurs font plaisirs par contre certains y laisseront leur plumes au passage car le la fin de l’automne laissait prévoir une récolte d’eau d’érable extraordinaire .. le printemps efface pour plusieurs acériculteurs leur espoirs d’une bonne saison ..
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La chaleur inattendue a des effets variés sur des entreprises de la région.
Dans la Petite-Nation, c’est la première fois en vingt-cinq ans que l’acériculteur Raymond Beauchamp, voit un temps des sucres aussi court. Le temps doux qui se poursuit limite la production des érables. À sa cabane à sucre, après six jours d’évaporation, il n’y a que 116 gallons de sirop d’érable, contrairement à plus de 150 en saison normale.
La situation est d’autant plus préoccupante que Raymond Beauchamp venait d’acquérir un évaporateur. Il souhaitait en amortir l’achat avec une bonne production cette année de sirop d’érable. Il doit maintenant s’attendre à une baisse de revenus.
On est assez inquiet. Si ça termine comme on pense cette semaine, ça va être une année record, mais de façon négative.Raymond Beauchamp, acériculteur
Les terrasses ouvrent plus tôt
Le malheur des uns fait le bonheur des autres. De nombreux clients ont profité du temps doux pour manger ou se prélasser aux terrasses du Marché By. Un bar laitier a même ouvert ses portes deux semaines plus tôt qu’à l’habitude.
Le mercure à Ottawa-Gatineau a grimpé jusqu’à 24 degrés Celsius, sans le facteur Humidex, fracassant le record de 2010 de 16 degrés. Le temps clément se maintiendra jusqu’à jeudi.
Le mercure descendra ensuite à 16 degrés, alors que la moyenne saisonnière est d’environ six degrés. Selon plusieurs météorologues, c’est du jamais vu depuis 65 ans