Comment vouloir être bien avec les autres si nous avons le mal-être …
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L’harmonie
Pour être en harmonie avec les autres, il faut être en harmonie avec soi.
Martin Gray
Pour se connaitre vraiment, il faut voir l’effet que nous faisons sur les autres .. font-ils un air exaspéré ou s’il sont bien avec nous .. Ce n’est pas de faire comme veut l’autre, mais plutôt voir si notre vie intérieur a de bonnes morales, une belle identité
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Le miroir
Jamais vous ne pourrez vous voir vous-même dans un miroir. Un miroir peut être utile à votre toilette, voire indispensable, mais ce n’est pas dans un miroir que vous trouverez la révélation de vous-même. Vous ne pouvez pas vous regarder priant dans un miroir, vous ne pouvez pas vous voir comprenant dans un miroir. Votre vie profonde, celle par laquelle vous vous transformez vous-même, c’est une vie qui s’accomplit dans un regard vers l’autre.
Dès que le regard revient vers soi, tout l’émerveillement reflue et devient impossible. Quand on s’émerveille, c’est qu’on ne se regarde pas. Quand on prie, c’est qu’on est tourné vers un autre ; quand on aime vraiment, c’est qu’on est enraciné dans l’intimité d’un être aimé. Il est donc absolument impossible de se voir dans un miroir autrement que comme une caricature si l’on prétendait y trouver son secret.
La vie profonde échappe à la réflexion du miroir ; elle ne peut se connaître que dans un autre et pour lui. Quand vous vous oubliez parce que vous êtes devant un paysage qui vous ravit, ou devant une oeuvre d’art qui vous coupe le souffle, ou devant une pensée qui vous illumine, ou devant un sourire d’enfant qui vous émeut, vous sentez bien que vous existez, et c’est même à ces moments-là que votre existence prend tout son relief, mais vous le sentez d’autant plus fort que justement l’événement vous détourne de vous-même. C’est parce que vous ne vous regardez pas que vous vous voyez réellement et spirituellement, en regardant l’autre et en vous perdant en lui. C’est cela le miracle de la connaissance authentique. Dans le mouvement de libération où nous sortons de nous-mêmes, où nous sommes suspendus à un autre, nous éprouvons toute la valeur et toute la puissance de notre existence…
Dans ce regard vers l’autre, nous naissons à nous-mêmes.
M. Zundel
Quand les jeans fut permis a l’école, je me souviens que papa disait qu’on s’habillait pour aller tirer les vaches … Quand on adopte les jeans c’est pour la vie, peut importe la classe sociale, il y en a pour tous les gouts et pourtant ses débuts fut très modestes, il était utilisé pour sa robustesse et sa durabilité
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L’histoire du jeans : de son origine à nos jours…
Objet au pouvoir mythique, le jeans traverse les siècles avec un succès inégalé, ayant su s’adapter et se renouveler. Aurait-on trouvé le tissu qui traverse le temps ? Petit retour dans le temps au pays de naissance d’une pièce maîtresse des garde-robes du 20e et du 21 e siècle.
Un peu d’histoire
Le jeans tire son nom du bleu de Gênes, dans sa version anglicisée des mots italiens blu di Genova. C’est un vêtement qu’ont porté les esclaves des plantations aux 18e siècle.
On le retrouvaille utilisé comme vêtement de travail porté par les travailleurs américains à la fin du 19e siècle. Longtemps symbole du style de vie américain, il n’intègre pas toutes les classes sociales et tous les pays. Il est avant tout confortable et robuste.
En 1853, alors que l’Amérique connaît encore le phénomène de la ruée vers l’or, ayant appris que les travailleurs ont besoin de pantalons solides pour effectuer leurs travaux, l’entrepreneur Oscar Levi Strauss confectionne une salopette dans de la toile de tentes et de bâches à chariots.
En 1860, il va remplacer la toile de tente par un tissu demin, originellement tissu de coton fabriqué à Nîmes et coloré par de l’indigo car son tissu de base est rêche, lourd à porter et difficile à travailler. Il est possible que le denim soit issu d’une étoffe faite de laine et de déchets de soie employée dans la région depuis le douzième siècle.
Au 19e siècle en tout cas il s’agit d’un tissu de coton solide teint à l’indigo qui porte le nom de denim. A cette époque là les jeans pour homme sont de teinte brune. Il n’existe alors des jeans que pour homme. En 1885, un consommateur doit payer 1,25 dollar pour s’acheter un Levi’s.
La crise de 1929 secoue l’Amérique et le blue jeans se voit adopté par les paysans et les travailleurs.
Phénomène, en 1933, des salopettes en denim sont distribuées aux plus déshérités dans le cadre du New deal.
En 1935, continuant sa percée dans les strates de la population, le jeans devient le pantalon fétiche des étudiants et des artistes qui voient de suite en lui un vêtement de contestation. On le voit pour la première fois entrer dans les garde robes féminines. Bien après le jeans pour homme Levis crée le premier jeans pour femme baptisé Lady Levi’s.
A la fin des années 1940 une marque américaine concurrente de Levi Strauss et qui sera la future Wrangler, Blue Bell, crée un jeans à taille haute ajustée, zippée et aux hanches rondes, un jeans spécialement fait pour femme. A la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec les GI’s le jeans arrive en Europe où il est vendu plus cher qu’en Amérique mais où l’on peut l’acheter en noir. Arrivent les années 50 et le jeans, le jeans pour homme et le jeans pour femme, qui se voient associés aux blousons noirs et aux motos. De même le cinéma s’en empare et, après les westerns des acteurs comme James Dean, Elvis Presley et Marlon Brando contribuent à insuffler une image sexy aux jeans, Marylin y contribuera dans les années soixante.
Le mouvement hippie bat son plein dans les années 70 et la forme des pantalons évolue. On voit apparaître le pantalon patte d’eph. Autre changement pour le jeans, on le personnalise en le peignant, le brodant de strass, de coquillages, de fleurs ou des mots peace and love ainsi que du célèbre sigle des hippies. C’est à cette même époque que les créateurs de mode Gaultier, les couturiers Chanel et Yves Saint Laurent s’approprient le jeans et font monter les jeans pour hommes et les jeans pour femmes sur les podiums. La créativité est à son apogée. Le jeans s’offre une seconde jeunesse.
Le baggy est créé en 1974 par Marithé et François Girbaud mais il est interdit à l’école en 2008.
Il faut attendre l’année 1973 pour qu’à la suite du choc pétrolier, le jeans, le jeans pour homme et le jeans pour femme devienne un vrai bien de grande consommation. Le marché connaîtra un succès croissant jusque dans les années 80.
En 1978, c’est la révolution dans le jeans, le jeans pour homme et le jeans pour femme grâce à l’apparition du stone washed. Il s’agit d’un jeans délavé par des jets de pierres ponces projetées sur le tissu. Ce type de jeans pour homme et pour femme remporte un grand succès.
Dans les années 1980 le jeans pour homme et pour femme perd du terrain au profit de pantalons de toile plus légers et plus habillés.
C’est en 1986 que le jeans devient un vrai produit de mode que chacun veut avoir dans sa garde robe.
En 1990, avec l’emploi du surteint le jeans voit sa vie rallongée et en 1994 le jeans Lycra qui fait son apparition sur le marché connaît un véritable engouement de la part des consommatrices.
Date clé, durant l’année 1996 les fabricants enregistrent autant d’achats de jeans pour homme que d’achats de jeans pour femme. Les créateurs s’emparent des jeans, en créent et en proposent tels que Guess, Calvin Klein ou Giorgio Armani.
Le jeans a été durant de nombreuses années un symbole vestimentaire de la contestation. Dans les années 70, il devient aussi l’un des symboles du mouvement hippie.
A notre époque, avec les différentes formes de jeans proposées sur le marché, les jeunes peuvent donner des images à leur communauté. Le jeans réalise un travail identitaire selon que l’on est adepte du slim, du baggy, du boot cut, du relax ou du regular, sans oublier que les marques font aussi office de signes de ralliement pour un stéréotype social. La mode s’inspire des mouvements musicaux et culturels tels que le grunge, le punk, les rappeurs, et chacun adopte une différente coupe de jeans pour se montrer appartenant.
L’aventure Levi Strauss, un pionnier au pays du jeans
En 1872, Oscar Levi Strauss prend pour associé Jacob W. Davis, un tailleur de Reno. Celui-ci a eu l’idée de réaliser des pantalons pour les bûcherons portant sur l’arrière des poches à rivets. En 1870, même si tous les jeans Levi Strauss sont bleu indigo, ils ne portent pas encore la garantie grand teint. L’instabilité de la teinture sera une étape de son succès puisque celui qui porte le jeans, un jeans pour homme ou un jeans pour femme, voit son pantalon changer de couleur au fil des lavages, lui donnant ainsi un statut de matière vivante. Il faudra attendre une dizaine d’années pour que les progrès de la chimie autorisent une stabilité de la teinture. A partir de là, les fabricants de jeans essaieront de délaver les jeans pour homme et les jeans pour femme de façon artificielle.
Dans les années 1890 comme la patente juridique et commerciale de la société Lévi Strauss ne protège plus les jeans, d’autres marques de jeans apparaissent sur le marché fortement concurrentiel.
Ainsi, Lee, sur le marché depuis 1911, lance le premier jeans à fermeture Eclair en 1926. C’est une petite révolution dans le jeans.
En 1936, afin d’être plus reconnaissable et d’éviter que le client ne la confonde avec une autre marque, Levi Strauss sort des jeans qui portent désormais une petite étiquette rouge à son nom cousue sur la poche arrière droite de chacun de ses jeans. Ainsi, les clients reconnaîtront un authentique jeans Levi Strauss. Levi Strauss fait œuvre de pionnière encore une fois, puisque les autres marques ne s’affichent pas encore sur un vêtement.
Isaac Newton a dit : « Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts. » Ces ponts que l’homme construit pour se rejoindre les uns aux autres ainsi facilité les échanges … Les ponts symboles de rapprochement, d’union entre deux monde, entre le passé passant par le présent et vers l’horizon pour entrevoir l’avenir
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Les ponts mythiques dans le monde
Pont de Brooklyn New York
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L’inévitable pont Charles à Prague
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Le pont de l’Île de Ré, au-dessus de la mer
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Sur le pont d’Avignon, on y danse on y danse
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Le célèbre pont du Rialto à Venise
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Le Harbour Bridge, emblème de Sydney
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Le fastueux pont Alexandre-III à Paris
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Le néo gothique Tower Bridge à Londres
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Le célèbre Golden Gate à San Francisco
Le Pont du Gard, passage obligé en Provence
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Le diabolique pont Valentré à Cahors
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L’historique pont de Québec
Le Stari Most de Mostar en Bosnie-Herzégovine
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Le futuriste pont Juscelino Kubitschek au Brésil
Croire que certaines parties du pays seront exemptés d’un tremblement de terre modéré ou fort serait présomptueux. Qu’on cache certaines informations importantes sur les risques de la centrale nucléaire est pas nouveau …
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Crédit photo : archives Agence QMI
Agence QMI
Une étude du physicien nucléaire Michel Duguay indique que la centrale nucléaire Gentilly-2 ne résisterait pas à un tremblement de 5 à 7 à l’échelle Richter.
Cette analyse a été rendue publique par le mouvement Sortons le Québec du nucléaire mercredi, à quelques jours du premier anniversaire de la catastrophe de Fukushima au Japon. Dans «Danger nucléaire au Canada, séisme ou tsunami?»,
M. Duguay explique qu’à la suite d’un séisme de modéré à fort, qui surviendrait à proximité et dont l’épicentre serait près de la surface, le risque d’une fonte du cœur du réacteur de Gentilly-2 n’est pas négligeable.
«La conclusion prudente que je crois valable pour Gentilly-2 est la suivante : un séisme caractérisé par une accélération maximum du sol pourrait causer des bris de tuyaux et entraîner une perte importante de caloporteur.
Dans un tel cas, la documentation de la Commission canadienne de sûreté nucléaire prévoit une fonte partielle du cœur du réacteur», a écrit le scientifique.
Selon l’auteur, la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) cache toutefois des faits dans son rapport INFO-0824.
M. Duguay explique que la CCSN, sous prétexte que le rapport était destiné au grand public, a gommé des valeurs d’accélération maximum sur des cartes de la Commission géologique du Canada.
Il déplore également que la CCSN ait conclu que le danger qu’un séisme majeur se produise à une centrale nucléaire canadienne est négligeable.
Il dénonce cette attitude qui selon lui se veut rassurante envers le public.
M. Duguay estime qu’à Gentilly-2, les risques de tremblement de terre majeurs (de 7 à 9 à l’échelle Richter) sont envisageables
Si c’est payant, me semble que le recyclage des rx pourraient servir a financer des projets dans les hôpitaux au lieu que des fraudeurs puissent en profiter,. En tout cas, tant que le prix du nitrate d’argent soit payant
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Un médecin regarde une radiographie de poumons.
PHOTOTHÈQUE LA PRESSE
Agence France-Presse
Ottawa
La police canadienne a annoncé mercredi avoir arrêté un homme ayant obtenu frauduleusement auprès d’hôpitaux et de cliniques des milliers de clichés radiographiques, probablement pour en extraire le nitratre d’argent qu’ils contiennent.
Au moment de son arrestation, à 75 km à l’ouest d’Ottawa, Bill Dimitro, 37 ans, un habitant de Toronto, transportait dans un camion de location 30 000 clichés collectés dans au moins sept établissements en affirmant représenter une entreprise de recyclage, a indiqué le sergent Kevin McCaffrey.
La police avait été alertée par le personnel d’un hôpital visité par le suspect.
«Nous pensons qu’il s’intéressait à l’argent qu’on peut retirer des clichés et qui peut valoir une jolie somme», a expliqué M. McCaffrey à l’AFP.
Les radiographies contiennent du nitrate d’argent et on peut retirer entre cinq et douze grammes d’argent par kilogramme de clichés. Le prix du métal précieux a grimpé récemment jusqu’à 30 dollars l’once : un gramme vaut environ un dollar.
Ainsi, l’argent contenu dans le stock saisi pourrait valoir jusqu’à 25 000 dollars, selon une estimation approximative.
Non, il n’est pas question d’interdire la crème glacée mais juste une démonstration qu’il est possible d’être dépendant et que cette dépendance est similaire a consommer une drogue. Il y a donc toujours le juste milieu qui est la meilleur solution
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La crème glacée crée autant de dépendance que la drogue
La crème glacée peut créer autant d’envie que certaines substances nocives.
Des chercheurs de l’Oregon viennent de démontrer que la crème glacée peut provoquer une dépendance aussi forte que la drogue.
Les scientifiques ont observé le cerveau de personnes qui consommaient de la crème glacée à l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique (IRM). Ils ont constaté que cela cause le même genre d’envie que celle associée à la toxicomanie. Le cerveau perçoit la crème glacée comme une récompense, rapporte l’American Journal of Clinical Nutrition.
Ainsi, une surconsommation peut éventuellement causer une sensation de manque pour une personne qui souhaite réduire sa consommation par la suite.
«Ce modèle de régulation à la baisse est observé chez les consommateurs de drogues. Plus un individu consomme de drogue, moins il éprouvera de plaisir. Ainsi, l’individu en prendra plus encore pour atteindre le niveau de satisfaction qu’il a connu. Beaucoup de personnes essaient de fumer, de boire ou de jouer, mais ils ne développent pas de dépendance. D’autres, en revanche, ne peuvent plus s’en passer. C’est ce qui arrive avec la nourriture. Répétée, la consommation de ce type d’aliment peut aussi amener à un excès de calories» explique le Dr. Kyle Burger.
Aujourd’hui, il se peut que nous avons ou nous aurons quelques problèmes avec la technologie a cause d’une tempête solaire … une tempête très forte semble t’il mais rien de directement dangereux pour l’être humain …
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Une éruption solaire menace la Terre
WASHINGTON – Une puissante éruption se dirige vers la Terre et pourrait perturber les réseaux électriques, les systèmes GPS et les déplacements en avion.
Des représentants d’une agence américaine, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), ont indiqué qu’une éruption solaire s’est produite mardi soir. Les effets pourraient être ressentis sur Terre tôt jeudi. Cette éruption serait la plus puissante des cinq dernières années et n’aurait pas fini de prendre de l’ampleur.
La tempête magnétique pourrait court-circuiter les réseaux électriques. Ses émissions radio pourraient interférer avec les systèmes de positionnement par satellite et les rendre moins précis. Elle pourrait aussi endommager les satellites.
Les scientifiques ont ajouté que des problèmes de communication et la radiation générée par la tempête forceront probablement les avions à éviter de survoler les pôles Nord et Sud.
Des aurores boréales plus colorées pourront enfin être visibles.
Les scientifiques affirment que la tempête magnétique, qui s’est amorcée par une imposante éruption solaire au début de la semaine, prend de l’ampleur, gonflant comme une énorme bulle de savon. Quand elle frappera tôt jeudi, les particules voyageront à 6,4 millions de kilomètres à l’heure.
«Elle se dirige droit sur nous», a soutenu Joe Kunches, un scientifique de la NOAA à Boulder, dans le Colorado.
Les astronomes affirment que le soleil s’est fait relativement discret depuis un bon moment. Et cette tempête, quoi qu’elle soit forte, pourrait sembler plus virulente étant donné que la Terre a connu bon nombre d’années de faible activité solaire.
La tempête fait partie du cycle normal de 11 ans du soleil, qui doit atteindre son sommet en terme de tempêtes l’année prochaine. Les tempêtes solaires ne peuvent blesser les êtres humains, mais elles perturbent sans nul doute les technologies.
Et lors du dernier sommet d’activité autour de 2002, les experts ont pu constater que les systèmes GPS sont vulnérables aux éruptions solaires.
Puisque des nouvelles technologies ont émergé depuis ce temps, des scientifiques pourraient découvrir que de nouveaux systèmes sont aussi à risque, a soutenu Jeffrey Hughes, spécialiste des phénomènes de l’espace à l’université de Boston.
Il y a dix ans, ce type de tempête solaire survenait quelques fois par année, a souligné M. Hughes.
par La Presse Canadienne
Il y a des manifestation de la part des étudiants pour contesté les hausse des frais d’étude .. et sur ce côté je suis d’accord mais il est aberrant que beaucoup de ces étudiants se paient des vacances durant la semaine de relâche, sont capable de se payer une automobile souvent mieux que les profs, sont équipés en ordinateurs et autres gadgets .. alors que d’autres vont vraiment souffrir de ces hausses car ils travaillent, les soirs, fins de semaine et congé tout en étudiant . Mais bon je trouve que leur messages, leur contestations passent mal ..,.
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Crédit photo : archives TVA Nouvelles
Sarah-Maude Lebebvre | Journal de Montréal
Pendant que des milliers d’étudiants sortent dans la rue pour protester contre la hausse des droits de scolarité, d’autres profitent de leur semaine de relâche pour se prélasser sur les plages.
Les agences de voyages ont été plus qu’occupées dans les dernières semaines, alors que des centaines de cégépiens et d’universitaires ont réservé des voyages dans des forfaits tout inclus, question de profiter du soleil pendant leur semaine de relâche.
«Les étudiants constituent 50% de notre clientèle à la fin février et au début mars», confirme Geneviève Lemaire, directrice de l’agence Voyages à prix fous.
«Juste à notre agence, on parle de plusieurs centaines d’étudiants qui partent à Cuba et au Mexique.»
Alcool et party
«Le mandat qu’ils nous donnent est clair, poursuit Mme Lemaire. Ils veulent un spring break comme on en voit dans les téléréalités : pas cher, avec ben du fun et de l’alcool.»
New York semble également être une destination de prédilection pour beaucoup d’étudiants, notamment parce que ce voyage est moins cher (450 $ en moyenne) qu’une semaine tout inclus dans le Sud ( environ 1000 $).
«Mais les destinations soleil demeurent très populaires. Et, c’est le cas année après année», confirme Laeticia, de Voyages à Super Prix, qui évalue à 1150 le nombre d’étudiants qui ont réservé un voyage au soleil dans son agence.
Prêts à mettre le prix
Même si une hausse des frais de scolarité sera vigueur dès l’automne prochain, l’attrait envers les tout inclus ne se dément pas auprès des étudiants.
«La demande est très forte, autant que les années passées» affirme Nadine Francis, propriétaire et directrice de Voyages Destination.
«C’est certain que les étudiants font toutefois attention au prix de leur voyage. La destination la plus populaire demeure Cancún, au Mexique, mais plusieurs se tournent vers Cuba, qui est un peu moins cher.»
Selon les différentes agences contactées par le Journal, il est très rare qu’un étudiant se contente d’un hôtel bas de gamme. Les établissements trois ou quatre étoiles sont très prisés.
«Cette année, nous avons eu beaucoup de demandes pour des voyages dits de dernière minute, parce qu’ils sont moins chers. Mais, il est très rare qu’un étudiant réserve un hôtel de catégorie deux étoiles», assure la porte-parole de Voyages à Super Prix.
La fin du spring break?
Les traditionnels spring break organisés par l es bureaux de voyage étudiants, semblent toutefois avoir moins la cote.
Ces voyages, qui rassemblent des étudiants de plusieurs écoles en un seul endroit pour quelques jours de party, souvent en Floride, souffrent de la popularité des tout-inclus.
Les divers bureaux de voyage contactés par le Journal ont confirmé cette tendance.
«Seulement une quinzaine d’étudiants se sont inscrits à ce voyage cette année, qui se déroulera à Daytona Beach, en Floride», révèle Dean Yagouni, du bureau de voyage L’escapade, au Collège Ahuntsic.
«Ces voyages sont beaucoup moins populaires depuis quelques années», dit- il.
«Ça fait au moins deux ou trois ans que le spring break est en baisse de popularité, confirme aussi Nancy Prévost, de Voyage Tour Étudiant. Les étudiants achètent directement des tout inclus en ligne.»