Partage


On ne peut pas s’isoler dans un coin en ermite, nous avons tous besoin d’une épaule un jour ou l’autre
Nuage

Partage

« Nous avons besoin les uns des autres. L’être humain n’est pas fait pour s’isoler, mais pour partager.  »

Alice Parizeau

Les maladresses


Il y a bien des tensions causés par des maladresses, que ce soit familiale ou par des amis. Souvent nos proches ne comprennent pas pourquoi que les distances se sont creusés .. Alors il n’a que nous qui vivons avec les rancunes
Nuage

Les maladresses

Avez-vous envisagé que vos proches n’ont peut-être pas conscience de vous avoir fait du mal ?

Peut-être est-ce juste une maladresse. N’est-il pas possible qu’elle vous ait blessé sans le savoir ?

Quand vous "décidez" de prendre cela comme une agression, vous êtes probablement la seule personne à en souffrir alors que l’autre n’en sait rien. Ne laissez pas les malentendus et les maladresses vous toucher !

Michel Poulaert

Le vieux truc de l’oeuf


Quand l’oeuf cuit n’est pas écalé il est plus difficile de faire la différence avec un oeuf cru
Nuage

Le vieux truc de l’oeuf

Avez-vous déjà cassé un oeuf sur le comptoir de la cuisine, croyant que c’était celui que vous aviez fait cuire quelques jours plutôt ?

Pour éviter de répéter votre gaffe, observez bien: un oeuf cru tourne lentement sur lui-même, tandis qu’un oeuf dur pivotera comme une toupie après une simple poussée des doigts

7 Jours/Les Meilleurs trucs de Madame Chasse-taches/Louise, Robitaille/Décembre 2010

Des golden retrievers qui aident les généticiens


S’il existe autant de race de chien, c’est que l’être humain a fait plusieurs croisement pour arriver a des grands, petits chiens avec chacun leurs atouts mais aussi leurs problèmes santés spécifiques aux races .. Bon ou mauvais, cela a aider a mieux comprendre une maladie orpheline chez l’être humain tel que les bébés arlequins
Nuage

Des golden retrievers qui aident les généticiens

Des golden retrievers qui aident les généticiens

© Shutterstock

Le chien est le meilleur ami de l’homme même quand il s’agit de génétique: c’est grâce à des golden retrievers que des chercheurs ont réussi à remonter la piste d’une maladie de peau congénitale rare qui affecte certains bébés dès la naissance.

Par Laurent Banguet

Ce n’est pas le flair des chiens qui a joué en l’occurrence mais le fait que les golden retrievers, comme toutes les «races canines», ont été «artificiellement créés par les humains à partir de quelques ancêtres communs et possèdent donc une histoire génétique bien connue et lisible, souligne l’étude parue dimanche dans la revue Nature Genetics.

Or les golden retrievers présentent la même forme d’ichthyose congénitale récessive que celle qui touchent quelques familles. L’étude de leurs chromosomes a ainsi permis aux généticiens de débusquer le gène déficient à l’origine de la manifestation de cette maladie chez les bébés humains.

Causes génétiques

Chez les humains comme chez les animaux, les ichthyoses regroupent diverses maladies provoquant un épaississement et un durcissement de la peau, qui forme des écailles sur tout le corps et peut s’accompagner parfois de graves lésions, comme celles qui touchent les «bébés arlequins».

À ce jour, une quarantaine de gènes impliqués dans différentes formes d’ichthyoses ont été décrits, mais les mutations de ces gènes ne les expliquent pas toutes, relève l’étude, dirigée par Catherine André (CNRS, Institut de Génétique et Développement de Rennes) et Judith Fischer (Institut de Génomique du CEA).

«Chez les humains, identifier les causes génétiques de maladies rares reste un défi en raison des difficultés pour réunir suffisamment de familles touchées (…) Parmi les modèles génétiques disponibles, les chiens semblent pertinents car chaque race pure représente un groupe d’animaux génétiquement semblables, descendant de seulement quelques ancêtres communs», expliquent les chercheurs.

Les croisements consanguins permettent d’obtenir les caractéristiques et qualités voulues chez les chiens, mais ces pratiques sont aussi responsables du grand nombre de maladies spécifiques à chaque espèce.

Chez les golden retrievers, le premier cas d’ichthyose congénitale a été diagnostiqué en 2007. Et comme cette affection n’est pas mortelle, les éleveurs n’ont pas cherché à l’éliminer par la sélection chez les reproducteurs et elle s’est rapidement transmise à leurs descendants. Selon Catherine André, 70% des golden retrievers seraient aujourd’hui porteurs d’au moins une copie du gène mutant.

Le malheur des chiens aura malgré tout fait le bonheur des généticiens et des malades: il ne leur aura fallu que 40 individus pour localiser et identifier le gène responsable, PNPLA1. Forts de cette découverte, ils ont trouvé des mutations touchant le même gène chez six humains (provenant de deux familles distinctes) affectés par cette ichthyose congénitale récessive autosomique.

Une maladie est dite à transmission autosomique récessive lorsque le gène impliqué n’est pas porté par un chromosome sexuel (X ou Y) et qu’il doit être donné à la fois par le père et la mère pour que la maladie puisse apparaître.

bébé arlequin

http://www.dermatomaroc.com

http://fr.canoe.ca/

Vous pétez? C’est normal


Voici un sujet tabou et nous rend mal à l’aise si par malheur nous avons des flatulences en public avec un parfum  euhhhh douteux ? Quoi qu’il en soit, si les flatulences sont vraiment un problèmes il serait bon, pour l’environnement et pour notre propre personne d’essayer de limité ce petit moment gênant ..
Nuage

Vous pétez? C’est normal

Vous pétez? C'est normal

© Shutterstock

Nous expulsons tous des gaz et, en moyenne, plus d’une dizaine de fois par jour. Cependant, certains en expulsent plus. Une situation embarrassante qui peut toutefois être contrôlée.


Par Ronald Denis, docteur en médecine, chirurgien et traumatologue – Collaboration spéciale

Contrôler ses flatulences permet d’éviter certaines situations gênantes qui, parfois, refroidissent l’atmosphère… Paradoxalement, en les contrôlant, vous contribuerez à combattre le réchauffement de la planète, car au nombre des gaz que nous expulsons, il y a du méthane, un gaz à effet de serre!

Les flatulences

Les aliments, dans leur parcours dans notre organisme, sont d’abord digérés par l’estomac et l’intestin grêle. Ils atteignent par la suite le gros intestin qui en absorbe les sels minéraux et l’eau. Toutefois, certains aliments riches en hydrates de carbone, dont le sucre, l’amidon et les fibres, ne sont pas digérés par l’estomac, parce que nous ne disposons pas d’enzymes pour les assimiler. À leur arrivée dans la partie de l’intestin qualifiée de«côlon», des bactéries, qui y sont présentes de façon normale, attaquent ces aliments. Cette charge fait en sorte de produire différents gaz, dont de l’hydrogène et du méthane, qui seront éventuellement expulsés vers l’extérieur par le rectum. L’odeur déplaisante qui les accompagne est provoquée par le soufre contenu dans le méthane. Quant au bruit caractéristique produit lors de l’échappement, il est provoqué par la vibration du sphincter et varie en fonction de sa fermeture et de la vitesse à laquelle le gaz est propulsé.

D’autres bactéries, présentes dans l’intestin, permettent d’éliminer l’hydrogène produit par les bactéries qui attaquent les aliments. Toutefois, l’équilibre entre les deux types de bactéries – celles qui produisent l’hydrogène et celles qui l’éliminent -varie d’une personne à l’autre. Les personnes pour lesquelles cet équilibre est inadéquat ont plus de flatulences.

Contrôler les flatulences

La solution la plus efficace pour les restreindre est d’éviter les aliments qui les provoquent (voir plus bas) ou de les consommer en quantités moindres. Plusieurs de ces aliments sont cependant des composants importants d’une saine alimentation. Retirez de votre alimentation, progressivement, l’un après l’autre, ceux que vous croyez être la source de flatulences afin de repérer ceux qui sont la principale cause de votre inconfort. Vous avez choisi d’avoir une saine alimentation en y ajoutant des fibres alimentaires? Faites-le progressivement pour permettre à votre organisme de bien s’y adapter.

Effectuez des rinçages répétés des légumineuses avant de les cuire pour en éliminer le plus possible l’amidon qu’elles contiennent, source de flatulences. Mangez lentement, mastiquez bien les aliments et évitez d’avaler de l’air pendant que vous mastiquez.

Vous n’arrivez toujours pas à contrôler vos flatulences? Parlez-en à votre pharmacien, un produit contenant une enzyme capable de digérer les hydrates de carbone, responsables des flatulences, est disponible. Offert en vente libre, ce produit est facile d’usage, il suffit d’en ajouter quelques gouttes aux aliments générateurs de flatulences avant de les consommer.

Quand consulter

Normalement, les gaz intestinaux surviennent entre 3 et 5 heures après l’ingestion des aliments qui les favorisent, et la période au cours de laquelle ces gaz se produisent dure plus ou moins 2 heures. Ces gaz sont expulsés sans douleur, mais il peut arriver qu’ils soient précédés d’une sensation de ballonnements ou de crampes abdominales. Toutefois, si ces gaz sont persistants, qu’ils sont accompagnés de douleurs à l’abdomen ou d’autres symptômes inhabituels comme la perte de poids par exemple, vous devriez consulter votre médecin pour en discuter et en identifier la cause.

Si les flatulences sont accompagnées de crampes sévères et de diarrhée, une intolérance au lactose en est peut-être la cause et devrait également être l’objet d’une consultation médicale pour un traitement.

Les aliments générateurs de flatulences

Certains aliments participent plus que d’autres à la formation des gaz intestinaux. Ce sont les aliments riches en sucre, en amidon ou en fibres. Des substances qui ne sont pas digérées par l’estomac et l’intestin grêle.

Les principaux sucres concernés sont le fructose (artichaut, blé, boissons gazeuses, oignon); le lactose (crème glacée, fromage, lait, margarine, pain et pâtisseries); le raffinose (asperge, céréales à grains entiers, chou, légumineuses, navet); et, le sorbitol (gomme à mâcher sans sucre, pêche, poire, pomme, prune).

L’amidon qui n’est pas digéré se retrouve principalement dans le maïs, le pain blanc, les pâtes et pâtisseries faites à partir de farine blanche et les pommes de terre.

Quant aux fibres, les aliments qui en sont riches incluent, entre autres, les asperges, le brocoli, la betterave, les carottes, le chou et les choux de Bruxelles, les fruits séchés, les légumineuses, le navet et les pommes de terre, le son d’avoine et le son de blé.

http://fr.canoe.ca

Taire le sexe des foetus pour sauver des filles au Canada


Qu’on soit pour ou contre l’avortement, il demeure qu’une telle pratique de la sélections des sexes lors d’une grossesses m’apparait personnellement inadmissible. C’est de diminuer l’impact positive d’une naissance féminin dans une famille
Nuage

Taire le sexe des foetus pour sauver des filles au Canada

Une femme passe une échographie.

Photo: Martin Tremblay, La Presse

Agence France-Presse
Montréal

Un important journal médical canadien a proposé lundi d’interdire de révéler le sexe de l’enfant à naître avant la 30e semaine de la grossesse afin d’éviter des avortements de foetus féminins, fréquents dans certains groupes d’immigrants asiatiques.

Certes, le foeticide en fonction du sexe de l’enfant «touche des millions d’individus en Inde et en Chine», alors qu’il est beaucoup plus rare en Amérique du Nord, mais «ce n’est pas une raison de l’ignorer», déclare dans un éditorial le rédacteur en chef par intérim du Journal de l’Association médicale canadienne (CMAJ), le Dr Rajendra Kale.

Il cite des recherches confirmant que ce genre de sélection existe au Canada dans les communautés d’origine indienne, chinoise, coréenne, vietnamienne et philippine.

«De nombreux couples qui ont deux filles et pas de fils se débarrassent sélectivement de foetus féminins jusqu’à ce qu’ils soient sûrs que leur troisième enfant est un garçon», écrit le médecin né à Mumbai.

Des études basées sur le recensement de 2000 aux États-Unis ont confirmé des ratios déséquilibrés en faveur des garçons dans les familles d’origine asiatique, ajoute-t-il.

Interrogé par l’AFP, il a estimé le nombre d’avortements au Canada motivés par le sexe féminin du foetus à «quelques centaines par an, ce qui fait des milliers avec les années qui passent».

L’interdiction de révéler le sexe du foetus avant la 30e semaine de grossesse «est un prix modeste à payer pour sauver des milliers de filles au Canada», souligne le médecin.

«Si le Canada est incapable de contrôler cette pratique répugnante, quel espoir peut-on avoir en Inde et en Chine?», a-t-il dit à l’AFP, insistant sur le fait que l’information sur le sexe du foetus est «médicalement sans importance».

Des organisations de femmes américaines et canadiennes, interrogées par l’AFP, ont réagi avec prudence, estimant qu’il fallait chercher d’autres moyens de combattre ce phénomène plutôt que de limiter de facto le droit à l’avortement, alors que des forces conservatrices dans les deux pays utilisent cette question précisément dans ce but.

http://www.cyberpresse.ca/

Naufrage du Costa Concordia : La peur d’une «bombe écologique» fait trembler


Le sauvetage continue pour essayer de trouver de nouveaux survivants mais une autre ombre semble planer si les efforts pour dégager le pétrole que contient le bateau le plus rapidement possible qui pourrait être un désastre écologique que cette petite ville aurait bien des misères sans doute a se relever
Nuage

Naufrage du Costa Concordia : La peur d’une «bombe écologique» fait trembler

Italie | Naufrage du Costa Concordia - La peur d'une «bombe écologique» fait trembler

Enlever le navire de près de 115 000 tonnes pourrait prendre des semaines.

© AFP PHOTO / ANDREAS SOLARO

ÎLE DU GIGLIO, Italie – Sous un ciel plombé et de fines gouttes de pluie, les sauveteurs s’affairaient lundi autour de l’épave du Costa Concordia pour retrouver des rescapés mais aussi éviter l’explosion d’une véritable «bombe écologique» dans une superbe région protégée.

«Nous avons une bombe écologique à l’intérieur du navire», a déclaré à l’AFP Sergio Ortelli, le maire de la petite île toscane où s’est échoué le luxueux navire de croisière.

«D’après les premières constatations, le navire semble assez stable, il n’y aucune fuite, tout est sous contrôle pour l’instant», a toutefois ajouté le maire.

Après la recherche d’éventuels survivants ou les corps des victimes, la mise en sécurité du navire, qui cache dans ses réservoirs 2380 tonnes de carburant, est la deuxième préoccupation des sauveteurs, qui ont dû toutefois interrompre leurs recherches à la mi-journée en raison du mauvais temps.

«J’espère que le carburant pourra être pompé et que le paquebot pourra être déplacé car il gêne la navigation», a ajouté le maire.

«C’est très compliqué ce que nous faisons, nous travaillons toujours en couple, deux plongeurs liés l’un à l’autre par une corde de 2-3 mètres, avec des combinaisons étanches doublées de kevlar pour éviter de se blesser sur tous les objets dispersés dans le navire», a expliqué Rodolfo Raiteri, coordinateur des opérations sous-marines des gardes-cotes.

Ses hommes inspectent toute la partie immergée du navire, à raison d’une plongée de 50 à 60 minutes, une fois par jour seulement «car c’est éprouvant physiquement, l’eau étant à 11 ou 12 degrés C».

L’Île du Giglio est célèbre pour ses minuscules criques rocheuses et son charme rustique. La population, qui ne dépasse pas 800 habitants en hiver, bondit à 5000 personnes durant l’été, avec l’afflux des touristes.

La zone maritime autour de l’île est également un sanctuaire pour les baleines. Les responsables locaux réclament de nouvelles règles imposant des limites plus strictes à la navigation dans cette région et surtout la fin de la tradition de l’«inchino» (la révérence) qui fait passer de grands navires à proximité de l’île.

Les garde-côtes ont ordonné au propriétaire du navire, la compagnie Costa Crociere, d’«enlever l’épave du navire et d’éviter ne serait-ce qu’une goutte de pétrole dans la mer», a déclaré Filippo Marini, responsable du service de presse de la garde côtière locale.

Le naufrage comporte «un très haut risque» pour l’environnement de l’île du Giglio, entourée d’une réserve naturelle protégée, et «une intervention est urgente», a également déclaré le ministre de l’Environnement, Corrado Clini.

«L’objectif est d’éviter que le carburant ne s’écoule du navire: nous travaillons sur cette question», a-t-il ajouté.

«C’est un gazole dense, lourd, qui pourrait se sédimenter dans les fonds, ce serait un désastre», a-t-il déclaré, imaginant le pire, «avec les effets, connus en pareil cas, sur la faune marine et les oiseaux».

Une équipe d’experts de la société néerlandaise Smit&Salvage et une seconde de la société américaine Titan Salvage se trouvent sur place pour étudier les moyens de mettre le navire en sécurité.

L’un d’entre-eux a déclaré, sous couvert de l’anonymat, que le pompage du carburant ne pourra débuter que plus tard dans la semaine lorsque l’équipement nécessaire sera sur place.

Selon lui, enlever le navire de près de 115 000 tonnes pourrait prendre des semaines, mais il exclut la possibilité de le découper sur place.

«Ils ont eu de la chance de ne pas avoir une seule goutte de carburant en mer. Avec le trou seulement 4 ou 5 mètres plus loin sur la coque du bateau, les réservoirs de carburant aurait pu être endommagés», a-t-il ajouté.

«Les conditions sont encore bonnes mais nous devons agir rapidement avant que la météo ne devienne mauvaise», a-t-il dit, rappelant que le navire se trouvait au bord d’une falaise et que les vagues pourraient le pousser vers une mer plus profonde et le faire couler complètement.

http://fr.canoe.ca