Ton univers


On ne peut pas changer une personne mais seulement être un outil pour qu’il s’aide a se découvrir
Nuage

Ton univers

Je ne peux rien te donner qui n’ait déjà son existence à l’intérieur de toi. Je ne peux te proposer d’autres images que les tiennes… Je t’aide à rendre visible ton propre univers.

Hermann Hesse

La vie renaît


Une poème d’été, quand la canicule assèchent la terre, laissant planer l’ombre de la mort, la pluie est souvent salutaire repoussant la stérilité pour faire renaitre la nature
Nuage

La vie renaît

Les nuages s’assemblent formant une toile dense
Bercés par le vent invitant à la danse
Abaissant la chaleur torride de la journée
La fête commence, la pluie tombe sur le sol desséché

La vie reprend laissant encore une fois la mort à son compte
La terre savoure toute gorgée de ce nectar sans honte
L’ivresse coulant dans chaque fissure du terrain
Abreuve les racines et les graines pour donner regain

Doucement, la brise pousse les nuages vers d’autres horizons
Des rayons indiscrets miroitent sur une flaque surprise par un frisson
La nature ainsi rassasiée se couvrent des ses plus beaux atours
Acclamant la vie, la résurrection à leur tour

Rachel Hubert (Nuage)
25 Juillet 2001

Le saviez-vous ► Expression : Mi-figue, mi-raisin


Mi figue, mi raisin, un état de contraste, bon et mauvais en même temps mais cette expression a fait du chemin pour se rendre jusqu’a nous
Nuage

 

Mi-figue, mi-raisin



D’un air à la fois satisfait et mécontent, ou à la fois sérieux et en plaisantant.

 
Voilà une expression qui remonte à loin et qui a subi de nombreuses variations de sens.

Au XIVe siècle, les figues et les raisins étaient les fruits secs préférés au moment du carême, ce qui explique leur apparition et leur rapprochement dans une locution.

Mais cela n’explique pas pourquoi les deux fruits y sont opposés.

Au XVe siècle, l’expression, avec ‘moitié’ au lieu de ‘mi’, voulait dire soit ‘mêlé de bon et de mauvais’, soit ‘tant bien que mal’.

Au XVIe siècle, elle contenait aussi une notion de réciprocité, lors d’un partage de tâches pour arriver à une oeuvre commune, l’un s’occupant de la figue, l’autre du raisin.

C’est au XVIIe siècle qu’elle prend le sens utilisé encore aujourd’hui en y ajoutant aussi la signification ‘moitié forcé, moitié consentant’.

L’apparition du ‘mi’ au lieu de ‘moitié’ est plus récente et daterait du XVIIIe siècle.

Pendant un moment, vers le XVIe siècle, il a pu aussi y avoir opposition entre le raisin savoureux et sucré et la figue, qui avait le sens de crotte ou fiente, comme l’atteste un proverbe de l’époque : "Figue de chat et marc d’argent serait tout un au jugement", ou ‘figue de chat’ est aussi remplacé par ‘fiente de chien’.

Il existe une explication actuellement réfutée de l’origine de la locution (elle est sans preuves écrites et supposée imaginée a posteriori) :
Elle serait liée aux corinthiens qui, de temps en temps, lorsqu’ils livraient des raisins à Venise, y mélangaient ‘par inadvertance’ des figues, moins chères et plus lourdes, histoire de gruger un peu leurs clients.

http://www.expressio.fr

L’aspirine quotidienne : plus de mal que de bien pour les coeurs en santé


Pourquoi prendre des médicaments quand on est pas malade ? Si on veut prévenir des maladies du coeur, il faudrait commencer par de bonnes habitudes de vie et de consulté un médecin s’il faut prendre d’autres mesures
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L’aspirine quotidienne : plus de mal que de bien pour les coeurs en santé

Prendre une faible dose d’aspirine quotidiennement n’est pas une bonne chose pour des personnes dont le coeur n’est pas malade.

Le Dr Rao Sehasai et ses collègues de l’Université de Londres estiment que les risques posés par la consommation d’une faible dose d’aspirine chaque jour dépassent les bénéfices en ce qui concerne la prévention d’un accident cardiaque.

Afin de l’établir, l’équipe de recherche a analysé les dossiers de 100 000 personnes.

La conclusion? Il existe bel et bien une diminution de 10 % du risque de maladie cardiovasculaire. Cette baisse n’est toutefois pas associée à une baisse importante des décès dus à un accident cardiovasculaire ou à un cancer.

Toutefois, de l’autre côté, prendre régulièrement une aspirine à faible dose entraîne 30 % de risques en plus de saignements internes qui peuvent mettre en danger l’individu. L’aspirine à long terme peut entraîner des saignements de type ulcère, mais aussi des saignements oculaires.

L’aspirine est reconnue pour prévenir la formation de caillots. Elle est administrée aux patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire. Certains médecins avaient cependant commencé à prescrire la prise de faibles doses d’aspirine à titre préventif, sans pathologie connue.

L’effet bénéfique de l’aspirine dans la prévention des maladies cardiovasculaires pour des personnes ayant fait des attaques ou des AVC (accident vasculaire cérébral) est indiscutable, rappelle le Dr Sehasai.

En outre, les travaux n’ont pas permis de trouver de preuve que l’aspirine pouvait prévenir des décès par cancers.

D’autres recherches ont pourtant montré des effets protecteurs de l’aspirine contre plusieurs cancers courants (côlon, prostate, poumon).

Le détail des présents travaux est publié dans les Archives of Internal Medecine .

Radio-Canada.ca avec AFP

http://actualites.ca.msn.com

Une espèce de tortue géante réapparaît aux Galapagos


C’est une nouvelle intéressante qui peut-être l’histoire, a fait en sorte que l’homme aurait provoquer cette naissance sans le savoir en déplaçant des tortues d’une ile a l’autre provoquant ainsi des espèces hybrides de façon naturelle
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Une espèce de tortue géante réapparaît aux Galapagos

Photo 20minutes.fr

Agence France-Presse

WASHINGTON – Une espèce rare de tortue géante des îles Galapagos que l’on croyait éteinte il y a plus de 150 ans aurait fait sa réapparition en très petit nombre, selon des travaux publiés lundi aux États-Unis.

Les chercheurs américains sont parvenus à cette conclusion après avoir retrouvé la signature génétique de cette tortue, dite Chelonoidis elephantopus, dans l’ADN de ses descendants hybrides.

«À notre connaissance, c’est la première fois que l’on redécouvre une espèce d’animal éteinte en traquant son empreinte génétique laissée dans les génomes de ses progénitures hybrides», souligne Ryan Garrick de l’Université de Yale (Connecticut), l’un des auteurs de l’étude parue dans la revue américaine Current Biology datée du 10 janvier.

«Cette découverte donne un nouveau souffle aux efforts de protection des tortues menacées des îles Galapagos», estime-t-il.

Les tortues des Galapagos sont célèbres pour avoir inspiré les idées du naturaliste britannique Charles Darwin sur la théorie de l’évolution par la sélection naturelle, lors de son passage dans cette région.

Ces tortues peuvent peser près de 400 kilos, mesurer plus de 1,80 mètre de long et vivre plus de cent ans. Aujourd’hui, plusieurs des treize espèces restantes de tortues des Galapagos sont considérées comme en grand danger d’extinction.

La tortue Chelonoidis elephantopus, ou C. elephantopus, se trouvait à l’origine uniquement sur l’île Floreana et s’était, croyait-on, éteinte peu après le voyage historique de Darwin aux Galapagos en 1835.

Le groupe de chercheurs de Yale a détecté les toutes premières traces génétiques de ces tortues dans l’ADN de onze tortues appartenant à une autre espèce, dite C. becki et vivant sur l’île Isabela à proximité d’un volcan actif.

Le transport de tortues d’une île à l’autre par des pirates ou des baleiniers n’était en effet pas rare dans les années 1800, relèvent ces chercheurs.

Ryan Garrick pense ainsi que des spécimens de la tortue C. elephantopus ont été transportés vers le nord de l’île Isabela avant qu’elles ne s’éteignent sur l’île Floreana, considérée comme leur habitat d’origine.

Cette découverte a encouragé Ryan Garrick et ses collègues à se pencher de plus près sur la population des tortues de l’île Isabela, pour la plupart des C. becki, estimées à près de 7000.

Les prélèvements génétiques effectués sur 2000 d’entre elles ont permis de découvrir de nouveaux indices laissant penser que de véritables C. elephantopus pourraient encore vivre sur l’île.

La comparaison avec des tortues vivantes ou avec des spécimens conservés dans les musées d’histoire naturelle montre en effet que les génomes de 84 de ces tortues de l’île Isabela sur lesquelles ont été effectués les prélèvements ne peuvent s’expliquer que si l’un de leurs deux parents était une tortue C. elephantopus.

Ces géniteurs C. elephantopus existeraient cependant en nombre si faible que les chercheurs devront avoir beaucoup de chance pour parvenir à en trouver ne serait-ce qu’un seul.

Mais même si les chercheurs ne parviennent pas à mettre la main sur l’une de ces tortues, leurs descendants directs pourraient être la clé de la préservation des tortues géantes des Galapagos.

«Les hybrides pourraient permettre de ressusciter des espèces éteintes par le biais d’efforts ciblés de reproduction», estime Ryan Garrick.

http://fr.canoe.ca

Pentes enneigées avec de l’eau potable Une station de ski pointée du doigt


A la lecture de ce billet, je me rends compte que la gestion de l’eau potable de façon responsable est loin d’être gagnée  On nous fait des publicité que l’eau n’est pas un acquis, que nous devons diminuer notre consommation personnelle d’eau potable, que l’été en plus des piscines, nous devons arroser les jardins entre certaines heures et certains jours … sous peine d’amende et que dire ceux qui lavent leur autos au tuyau d’arrosage, des entrée de cours .. c’est un scandale .. mais plusieurs villes ont accès a l’eau potable pour les patinoire, l’enneigement des pentes de skis ..avec les changement climatique cela va empirer. Doit-on absolument protéger certains sports d’hiver et gaspiller cette eau … ?
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Pentes enneigées avec de l’eau potable
Une station de ski pointée du doigt

Par Éliane Thibault | TVA Nouvelles

L’attitude d’une station de ski locale, qui utilise de l’eau propre à la consommation pour enneiger ses pentes, déplaît aux citoyens de la ville.

«Ça fait 25 à 30 ans qu’il n’y a presque pas de neige. Ça tombe en février, une tempête ou deux, mais le reste c’est de la pluie et beaucoup de redoux. Si on n’avait pas de neige artificielle, la montagne serait complètement fermée», s’est défendu Claude Adam, gestionnaire du Mont Bellevue.

Aujourd’hui, la survie des stations de ski passe donc par l’enneigement des pistes. Au Québec, la majorité d’entre elles enneigent leurs pentes grâce à des plans d’eau situés à proximité.

Même si la rivière Magog passe à proximité du site, c’est la Ville de Sherbrooke, via son système d’aqueduc, qui alimente les canons à neige du Mont Bellevue.

La Ville, qui est aussi propriétaire du Mont Bellevue, dit préférer alimenter directement la station de ski, pour des raisons économiques.

«Monter une conduite à partir de la rivière coûterait plusieurs centaines de milliers de dollars en coût de construction. Après ça il faudrait aussi une station de pompage, l’entretien, éviter le gel… Donc plusieurs milliers de dollars par année pour cette eau-là », explique Michel Cyr, chef de la division Gestion des eaux pour la Ville.

Chaque année, le Mont Bellevue utilise 3,5 millions de litres d’eau pour ses canons à neige, pour une somme d’environ 1000$. Cela représente une infime partie de ce qui est traité annuellement à l’usine d’épuration des eaux.

«Le seul changement, c’est que l’eau est traitée, à un coût économique de 1000$ versus elle serait pompée à un coût économique de 5000 à 10 000$ par année», ajoute M. Cyr.

Il semblerait également qu’utiliser l’eau de la rivière ne serait en rien plus écologique.

«Pour usage égal, si on prenait de l’eau de surface qui elle est déjà plus chargée en polluants, en bout de ligne, c’est sûr que l’eau potable a moins d’impact», explique Julie Grenier, coordonnatrice du Conseil de gouvernance de l’eau des bassins versants de la rivière Saint-François (COGESAF).

Loin de vouloir débattre sur la question, Claude Adam estime que la station du Mont Bellevue n’est pas la seule dans cette situation.

«Si on calcule l’arrosage de toutes les patinoires de la Ville, le Plateau Sylvie-Daigle, le tour du Lac des Nations, les pompiers qui prennent l’eau, les citernes qui arrosent les rues. C’est tout pris à la même place. Alors, je ne crois pas qu’on doive crier au scandale pour le peu d’eau qu’on utilise.»

Bien que certains imaginent un système d’aqueduc parallèle, l’idée est loin d’être implantée. En effet, l’arrosage d’une patinoire coûte à la Ville une cinquantaine de dollars, alors qu’un tel réseau coûterait des centaines de millions de dollars à mettre en place.

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Records météo ►L’Alaska enseveli sous la neige


Cette année on peut dire qu’on a pas battu des records de neige au Québec mais en Alaska c’est autre chose sans compter que la température est atrocement froide certains jours …
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Records météo ►L’Alaska enseveli sous la neige

L'Alaska enseveli sous la neige

Crédit photo : Reuters

Les chutes de neige en Alaska ne font généralement pas les manchettes, mais l’état américain a enregistré au cours des dernières semaines des chutes de neige jamais vues, rapporte CNN.

(photo: Reuters)
La ville côtière de Cordova, où habitent 2000 personnes, située à 241 km d’Anchorage, est l’une des villes les plus frappées par les tempêtes.

(photo: Reuters)

Lundi, après des semaines de précipitations la Garde nationale a annoncé l’envoi de ressources pour aider les habitants de cette petite ville isolée, désormais enterrée sous presque 6 mètres (18 pieds) de neige. Selon les autorités, la plus récente tempête a laissé plus d’un mètre de neige.


D’autres records ont également été enregistrés dans cet état depuis le début de l’hiver.

– Le 3 et le 4 janvier dernier, des températures de -37 et de -38 degrés Celsius ont été enregistrées, battant des records de décennies.

-Il a fait -54 degrés Celsius samedi, battant un record de 1997 où il fait -52.

– Pour une 22e journée consécutive, il a neigé à Fairbanks, battant ainsi un record de 1992.

– À Valdez, 40 cm de neige sont tombés dimanche, battant le record de 2001 de 26 cm.

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