On ne va bien loin en restant toujours sur nos positions sans explorer d’autres idées
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Idée fixe
La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe.
Jacques Prévert
On ne va bien loin en restant toujours sur nos positions sans explorer d’autres idées
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Idée fixe
La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe.
Jacques Prévert
Une des tradition de la nouvelle année est de prendre des bonnes résolutions. Sont-elles tenue tout au cours de l’année ? Des fois les résolutions sont difficile a tenir mais je pense qu’en tout temps la meilleur résolution est d’abord et avant tout d’avoir une bonne attitude dans les bons et mauvais moments
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L’attitude
Et si vous commenciez l’année avec l’envie d’en faire une réussite ?
Tout commence par sa propre attitude !
Changez votre vision, votre attitude et vous verrez que, comme par enchantement, tout vous semblera différent !
Michel Poulaert
Il est courageux arrivera-t-il au bout de sa corde ?
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Chat funambule enfin presque
Avant toute chose, on désigne les autochtones en Amériques du Nord des amérindiens et non indien qui sont en fait ceux qui viennent des Indes Probablement causé par Christophe Colomb qui cherchait la route des Indes et s’est perdu dans le Nouveau Monde. Quoique bien des gens d’ici les appellent encore des Indiens. Mais une chose de sur tout le monde sait ce que veux dire a la queue leu leu
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A la queue leu leu
En file indienne, l’un derrière l’autre.
Après le XIe siècle, en ancien français, la syntaxe était très différente de celle d’aujourd’hui.
On pouvait s’y passer d’article, écrire un complément de nom sans préposition ou rejeter le verbe en fin de proposition.
Ainsi le nom du village de Bourg-la-Reine n’avait rien à voir avec les frasques sexuelles du roi, comme aurait dit Coluche, mais signifiait simplement "(le) bourg (de) la reine"
"à la queue leu leu" était un raccourci de "à la queue (du) leu (le) leu" ou, en moins compact encore, "c’est à la queue d’un leu qu’on trouve un autre leu".
Quand on sait que :
leu est l’ancien nom du loup, que les petites bandes de loups avaient pour habitude, paraît-il, de se déplacer les uns derrière les autres, donc chaque loup derrière la queue du congénère qui le précédait,et que le loup comme le renard était très présent dans l’imaginaire des gens de l’époque,on comprend que cette expression soit apparue pour désigner une file indienne, bien avant que l’Amérique et les indiens soient découverts.
Je suis contre les drogues et la légalisations sauf thérapeutiques mais devraient etre dans des milieux protéger telle que les cliniques ou enfin plus sécuritaire que dans les maisons surtout s’il y a des enfants, des animaux de compagnie car les risques sont grands pour qu’ils soient intoxiqués souvent a notre insu ou par stupidité de faire fumer volontairement un animal
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L’usage de marijuana en hausse… chez les chats et les chiens
Photos.com
par Arnaud Aubron
Les vétérinaires du Colorado sont confrontés à une étrange épidémie chez les chiens et chats de l’Etat. De plus en plus d’animaux de compagnie leur sont en effet amenés… totalement défoncés à en croire un article du San Francisco Weekly. Depuis que l’Etat a légalisé la marijuana médicale, en 2000, chiens et chats ont une fâcheuse tendance à vouloir goûter à la production de leurs maîtres, soit en se servant directement sur les plantes, soit en mangeant des préparations culinaires à base de cannabis laissées sans surveillance.
« Nous avions l’habitude voir au maximum un cas par an, affirme dans le Durango Herald la vétérinaire Stacee Santi. Maintenant nous en avons plusieurs par mois. »
Et de rapporter le cas d’un gros chien arrivé en titubant, avec les pupilles dilatées, qui a fini par vomir un morceau de tissu qui avait servi à enrober du beurre de cannabis. A en croire le témoignage de Jennifer Schoedler, une autre vétérinaire intérrogée dans le même article,
« les chiens adorent ça. J’en ai vu manger des fleurs de cannabis, des plantes, des joints ou des préparations culinaires ».
Seulement voilà, met en garde le docteur, relativement inoffensive chez les humains, la marijuana est un poison pour ces animaux, au même titre que le café.
Les principaux symptômes seraient la dépression, le manque de coordination des membres et la baisse du rythme cardiaque. Certains médecins font également état de vomissements, de diarrhées, de tachycardie, d’incontinence et même de comas. Selon un vétérinaire de San Francisco, en Californie, qui affirme lui aussi traiter régulièrement des chiens défoncés:
« On ne parle jamais des conséquences graves à long terme et même des morts liées à l’intoxication à la marijuana. Pourtant, les animaux domestiques exposés à l’herbe peuvent faire des crises d’angoisse et des bad trips. Ils risquent aussi de ne plus pouvoir se déplacer pour trouver de l’eau ou de la nourriture, faute de coordination des membres. »
Tout adolescent fumeur de joints ayant déjà fait la (mauvaise) blague de faire une « soufflette » à son animal favori a en effet pu constater que ce dernier éprouve par la suite quelques difficultés à se mouvoir. Au vu des affirmations des vétérinaires, l’expérience n’est pas à tenter si vous aimez votre animal. Selon un sondage totalement non-représentatif du site marijuana.com, 40% des usagers (28 réponses) affirmaient faire fumer leur animal.
Pas de panique toutefois. Selon une étude de la Société américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux publiée en 2002, sur 250 cas répertoriés en quatre ans, seuls deux furent fatals. Un chat et un cheval qui avaient des antécédents médicaux. Impossible de dire si le cannabis était directement responsable de ces décès, faute d’autopsie complète. On apprend également dans cette étude que les chiens sont beaucoup plus amateurs de cannabis que les chats, puisqu’ils représentaient 96% des cas recensés.
De manière plus générale, l’Association américaine de médecine vétérinaire a récemment mis en garde contre l’ingestion de toute sorte de médicaments par les animaux de compagnie et sur la nécessité pour les maîtres de garder ces substances hors de portée de leurs compagnons. Conseil, enfin, du San Francisco weekly si malgré ces précautions votre chien ou votre chat ingère du cannabis:
« Baissez la lumière et le son de la stéréo, et laissez-le kiffer. »
Avant on ne se posait pas trop de question sur la nourriture de chien, les restes de tables étaient un leur repas quotidien mais faut dire qu’avant les aliments étaient plus simple. Sans compter que les animaux bougeaient beaucoup plus qu’aujourd’hui. Quoiqu’il en soit, un poids santé pour les chiens est important si on veut le garder longtemps
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Portions trop grosses : Les animaux souffrent aussi d’obésité
Crédit photo : archives Agence QMI
Par Michael Lea | Agence QMI
Il n’y a pas que chez les humains que l’obésité atteint des sommets, notamment en cette période de l’année où les excès de table sont coutume. La tendance est également observable chez nos animaux de compagnie, qui accumulent les masses graisseuses.
C’est le constat que fait Monica Snedden, vétérinaire et spécialiste en nutrition à la Princess Animal Hospital de Kingston, en Ontario.
«Ça devient un très gros problème chez les animaux. Nous observons de plus en plus de cas de diabète et d’arthrite et des problèmes de mobilité», a-t-elle expliqué.
Selon Mme Snedden, le fait de toujours laisser le bol de nourriture plein n’est pas une bonne idée. D’autant que les portions de nourriture sur le marché sont maintenant très élevées en calories et en graisses. Une seule tasse de nourriture équivaut parfois à près de 500 calories, a indiqué la vétérinaire.
En revanche, ne donner qu’une portion réduite pour faire perdre du poids à l’animal n’est pas suffisant puisque certains de ses besoins nutritionnels pourraient ne pas être remplis.
Valeur alimentaire inconnue
«Il ya tant d’entreprises qui font tellement de nourritures qu’il est difficile pour les gens de savoir celles qui nourrissent adéquatement», a-t-elle souligné.
Selon la vétérinaire, les produits sont annoncés comme étant frais et biologiques, mais il est difficile pour les consommateurs de savoir ce qu’ils achètent et de se fier sur ce qu’on retrouve dans les rayons.
Il est également difficile d’en savoir plus sur la valeur nutritionnelle d’une marque de nourriture parce que le détail et la composition ne sont pas imprimés sur l’emballage.
«Si vous regardez sur vos étiquettes, vous n’allez pas trouver un contenu en calories, a déclaré Mme Snedden. En fait, souvent, si vous appelez le numéro du service à la clientèle, ils ne le diront pas et vous feront languir.»
«Nous avons essayé de le faire pour certains de nos clients et on s’est fait crier dessus par les entreprises alimentaires», a-t-elle ajouté.
La spécialiste est également d’avis que les propriétaires d’animaux ont une part de responsabilité dans cette situation, notamment en leur donnant des restes de table.
«Les gens ne réalisent pas combien ils ont réellement donné comme portion à leur animal», a-t-elle dit, ajoutant que, selon la taille de l’animal, une croustille peut être équivalent d’un hamburger entier.
Qui plus est, les gens font de moins en moins d’exercice, et forcément, leur animal aussi. La clé, selon Monica Snedden, est d’essayer d’empêcher l’animal de prendre du poids, en premier lieu.
«Lorsque nous diagnostiquons une surcharge pondérale, les gens disent qu’au contraire, leur animal est en forme», a déclaré Snedden.
Chaque race étant différente, il n’est pas évident pour un propriétaire de repérer toute surcharge de son animal. Perdre une demi-livre pour un chihuahua correspond à une perte de poids de 35 livres pour un homme.
De tel propos sont alarmants, si ceux qui essaient de gagner des votes pour devenir président des États-Unis vont a l’encontre des études de l’environnement sur les changements climatiques cela peut avoir de graves répercussions sur les efforts pour minimiser les conséquences de l’être humain sur le climat. Pourquoi que la religion renierait la science car même très croyants tout gestes a des effets sur ce qui nous entourent. C’est d’après moi enlever notre propre responsabilité en tant que personne ce qui est aberrant
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Le réchauffement climatique, ça n’existe pas?
Le candidat Rick Perry, gouverneur du Texas, accuse ouvertement «nombre de climatologues de manipuler les données pour continuer à percevoir les subventions de recherche» et défend l’enseignement du néo-créationnisme dans les écoles publiques, en parallèle avec la théorie de l’évolution.
Photo: AFP
Jean-Louis SANTINI
Agence France-Presse
WASHINGTON
La plupart des candidats républicains à la Maison-Blanche mettent en doute la science, balayent le changement climatique d’un revers de la main et affichent une foi religieuse inébranlable, fidèles au discours que veut entendre l’électorat le plus conservateur.
Seul un des prétendants républicains, le modéré Jon Huntsman, dit croire à la responsabilité des activités humaines dans le changement climatique et condamne l’hostilité de son parti à la science.
«Je crois à la théorie de l’évolution et fais confiance aux scientifiques à propos du réchauffement», a-t-il écrit sur Twitter.
Il a aussi attaqué ses rivaux, déclarant qu’à partir du moment «où le parti républicain devient antiscience, on a un énorme problème». Mais M. Huntsman ne décolle guère du seuil des 2% d’intentions de vote dans les sondages…
Michael Bloomberg, le maire de New York, républicain devenu indépendant, a déploré début novembre ce manque de foi scientifique des adversaires potentiels de Barack Obama en novembre 2012.
«Nous avons des candidats présidentiels qui ne croient pas à la science», a-t-il lancé lors d’un forum économique. «Pouvez-vous imaginer une entreprise, quelle que soit sa taille, dont le PDG dirait qu’il ne croit pas à la science? Eh bien il ne finirait pas la journée à son poste», a poursuivi M. Bloomberg.
L’influence des ultras conservateurs, dont bon nombre pensent que Dieu a créé le monde en sept jours, ne laisse guère le choix aux candidats républicains.
«Le parti républicain a une solide base religieuse et le mouvement évangélique en est une composante importante», relève Andrew Kohut, directeur du Pew Research Center, un institut de recherche indépendant.
Dans l’Iowa (centre), dont les «caucus» donnent mardi le coup d’envoi des primaires qui se dérouleront dans les États de l’Union lors des prochains mois, seuls 21% des électeurs républicains croient au réchauffement climatique et 35% à la théorie de l’évolution, selon l’institut de sondage Public Policy Polling.
Mitt Romney, favori dans l’Iowa, n’a pas hésité à revenir sur ses convictions pro-science. En 2007, lors d’un débat, ce mormon avait défendu la théorie de l’évolution de Darwin et la réalité du réchauffement et de ses causes humaines. Mais désormais, il évite de parler science et a modifié sa position, disant qu’on «ne sait pas ce qui provoque le changement climatique».
L’ex-président de la Chambre des représentants Newt Gingrich, catholique converti, au coude-à-coude dans les sondages nationaux avec Mitt Romney, est muet sur le sujet, d’ailleurs rarement évoqué dans les débats entre les candidats républicains ou dans les réunions électorales.
En 2008, il avait pourtant participé à une campagne dénonçant les dangers du changement climatique avec Nancy Pelosi, alors présidente démocrate de la Chambre et bête noire des conservateurs.
Le candidat Rick Perry, gouverneur du Texas, accuse ouvertement «nombre de climatologues de manipuler les données pour continuer à percevoir les subventions de recherche» et défend l’enseignement du néo-créationnisme dans les écoles publiques, en parallèle avec la théorie de l’évolution.
Pour l’ultra conservatrice Michele Bachmann, qui joue sa survie dans l’Iowa,
«toutes ces questions climatiques devraient être réglées sur de véritables bases scientifiques, pas des inventions».
Ron Paul avait qualifié en 2009 le réchauffement «du plus grand canular depuis de nombreuses années», une opinion partagée par le très dévot ex-sénateur Rick Santorum, également en lice.
Si la science et la religion divisent les républicains, ces derniers sont en revanche «unis pour dénoncer ce qu’il considèrent comme le rôle excessif de l’État fédéral», analyse M. Kohut.
Ce n’est pas ma petite fille qui est le bébé de l’année même si la date prévue était le 1 er janvier .. Comme a dit sa mère « c’est normal de se laisser désiré lorsqu’on est une princesse» Nous l’attendons toujours avec impatience de voir ce poupon. Enfin bref, le premier bébé de l’année au Québec a été dans deux hôpital différents 1/4 seconde de différences. Bravos aux nouveaux parents . et dans le fond ce qui compte c’est d’avoir un beau bébé en santé
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Crédit photo : CUSM
Le petit Tyler Stephen dans les bras de sa mère, peu après sa naissance.
TVA Nouvelles
Deux hôpitaux montréalais se disputent la première place pour le bébé de l’année 2012, puisqu’il semble que deux garçons soient nés à une fraction de seconde près.
Bébé Tyler Stephen est né à minuit et un quart de seconde au Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Le petit garçon serait donc le premier bébé de l’année, selon le CUSM.
L’hôpital Maisonneuve-Rosemont n’est toutefois pas d’accord avec cette interprétation. Entre ses murs, le petit José est né officiellement un quart de seconde plus tard. Mais dans son cas, insistent les médecins, c’est plus précis: on s’est fié sur l’heure du téléphone cellulaire, non pas celle de la montre comme l’ont fait les praticiens du CUSM.
«À minuit, le bébé est sorti, et voilà! Tout le monde est très content et moi aussi. Très, très contente», a témoigné la mère de bébé José, Isabel Palacios.
Le petit José, un des deux premiers bébés de l’année nés à Montréal en 2012. (Crédit: TVA Nouvelles)
On s’entend tout de même sur un point: les équipes médicales des deux centres étaient très excitées à l’idée de voir naître les premiers bébés de 2012 dans leurs hôpitaux.
Et dans la Vieille Capitale…
Sandra Sénéchal et Maxime Ouellet sont les heureux parents du premier bébé de l’année de Québec. James Ouellet-Sénéchal, un gros garçon de 10 livres 7 onces, est né à 12h02 le 1er janvier.
Le poupon a pris sa première bouffée d’air au Centre mère-enfant de Québec, implanté au Centre hospitalier de l’Université Laval.
James Ouellet Sénéchal est le premier bébé de l’année 2012 à Québec. (Crédit: Maxime Ouellet)
«Le bébé est né par accouchement naturel et tout s’est bien passé», raconte Dr Lyne Blackburn, qui était de service à ce moment.
La maman et son bébé étaient tous deux en parfaite santé après l’accouchement.
Il s’agit d’un premier enfant pour le couple Sénéchal-Ouellet. Il s’est d’ailleurs fait attendre, puisque la naissance était prévue une semaine plus tôt.