On doit apprendre de nos peines et misères et non se laisser guider par eux …
Nuage
La tragédie
»La tragédie doit nous permettre d’atteindre la sagesse. Elle ne doit pas nous servir de guide"
Robert Kennedy
On doit apprendre de nos peines et misères et non se laisser guider par eux …
Nuage
La tragédie
»La tragédie doit nous permettre d’atteindre la sagesse. Elle ne doit pas nous servir de guide"
Robert Kennedy
On vit tous des moments pénibles et émotionnellement cela peut être difficile a gérer C’est sur qu’on ne peut pas nécessairement changer les choses qui surviennent mais nous pouvons changer la façon de voir les choses pour atténuer les effets désagréable
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"La vérité est disponible seulement à ceux qui ont la sagesse de raisonner."
Beaucoup de circonstances apparemment désagréables peuvent être améliorées simplement en percevant la situation d’une façon différente.
Chacun a terminé son enfance avec une certaine conformation psychique qui le pousse à voir les choses d’une certaine manière. C’est normal. Maintenant que nous sommes adultes, il est utile de questionner les opinions héritées de notre passé.
La vie nous présente régulièrement des épreuves, petites et grandes. Nos "opinions automatiques" (héritées en grande partie de notre enfance) ne sont pas nécessairement appropriées pour bien réagir à ces épreuves. Face à l’adversité, il est donc utile de questionner nos positions afin de définir nous-mêmes notre propre vérité plutôt que de laisser l’influence de notre environnement le faire à notre place.
"Il n’y a qu’une seule vérité, mais elle a plusieurs facettes."
Quand une épreuve se présente à moi, au lieu de me décourager, j’essaie de raisonner:
"bon, je perçois les choses en fonction d’un certain angle ; mais il existe peut-être une autre perspective qui peut régler ou amenuiser cette épreuve. Après tout, j’ai eu tort à plusieurs reprises dans le passé. Je vais donc explorer d’autres façons de voir cette situation."
Cette approche fait en sorte que je considère l’épreuve comme une matière première sur laquelle je dois travailler. Et je réussis souvent à trouver une perspective qui réduit, au moins un peu, l’inconfort de mes épreuves et frustrations.
Exemple de raisonnement 1 : file d’attente
Vous attendez depuis longtemps dans une file à la banque. Et vous percevez que cette situation commence à vous stresser, mais plutôt que de poursuivre dans cette direction, vous vous questionnez.
"Est-ce que je me stresse pour rien ? Qui a dit que je dois nécessairement être servi dès mon arrivée à la banque ? De plus, faire la queue n’est-il pas une excellente occasion de planifier le reste de ma journée ?”
Avec cette façon différente de percevoir la file d’attente, vous cessez d’en être victime et vous pouvez même en faire un avantage en utilisant ce moment de calme pour planifier mentalement votre journée.
Exemple de raisonnement 2 : ralenti par une voiture
Vous êtes ralenti sur la route par une voiture devant vous qui roule à 100 km/h, alors que vous voulez rouler à 115 km/h. Votre désir de rouler à plus de 100 km/h est déterminé par une attente arbitraire selon laquelle la vitesse adéquate dans cette situation est 115 km/h.
Mais il est possible que vous ayez tort. Peut-être qu’il est préférable de rouler à 100 km/h. L’automobiliste qui vous ralentit, vous a peut-être évité un accident mortel que votre plus grande vitesse aurait causé.
Exemple de raisonnement 3 : votre enfant pique une colère terrible.
Dans un lieu public, votre enfant pousse à répétition des cris de colère. Inspirez profondément pour modérer votre réaction initiale d’impatience sévère, et dites-vous "Voici une bonne occasion de développer ma patience.". Voyez la colère de votre enfant comme un défi personnel, comme une opportunité d’améliorer votre tolérance et le contrôle de vos émotions.
Le simple fait de détourner votre attention vers ce défi personnel vous calmera déjà un peu. Un même évènement a différents impacts sur différentes personnes. Certaines personnes sont peu affectées par les cris d’un enfant en colère.
Pourquoi ne pas utiliser la situation pour explorer comment vous pouvez devenir (au moins en partie) une telle personne ?
Exemple de raisonnement 4 : retard à un rendez-vous
Vous attendez impatiemment votre ami qui arrive toujours une dizaine de minutes en retard à vos rendez-vous. Et vous imaginez les différentes façons de le réprimander pour son retard excessif. Puis vous essayez de mieux raisonner :
"est-ce que je me m’impatiente pour rien ?
Dans certains pays, une demi-heure de retard n’est même pas considérée comme un retard significatif.
Est-ce que je suis moi-même toujours à temps à tous mes rendez-vous. Non. Alors qui suis-je pour m’impatienter ainsi". Quelques minutes plus tard, votre ami arrive, et vous l’accueillez avec un sourire plutôt qu’avec une réprimande.
Exemple de raisonnement 5 : conflit personnel
Pierre en veut à son épouse parce qu’elle l’a abandonné. Il est fermement persuadé qu’elle a tous les torts et qu’il n’est qu’une victime. Cette pensée le harcèle constamment depuis plusieurs mois. Puis, enfin lorsque sa colère a diminuée un peu, il essaie de se raisonner. Et il reconnaît qu’il n’était pas un mari parfait.
En réfléchissant bien, il réalise que son épouse a tenté de sauver leur mariage, mais la relation était déjà morte. Après un certain temps, il commence à vraiment reconnaître que les torts sont partagés. Ce raisonnement n’efface pas la mémoire d’un mariage qui s’est mal terminé. Mais cet exercice mental a réussit à rétablir en partie sa paix d’esprit.
Limite de cette approche : l’épuisement
L’approche de raisonnement décrite dans cette page web, devient peu efficace lorsque nous sommes épuisés. En particulier, la fatigue profonde fait en sorte que notre conditionnement prend le dessus sur notre logique et nous fonctionnons dans ce contexte selon notre "pilote automatique".
En résumé, si vous êtes épuisés, vaut mieux prendre un peu de repos avant d’appliquer l’approche présentée dans cette page web.
Limite de cette approche : ne pas ignorer ses sentiments
L’approche de raisonnement présentée ci-dessus ne suggère aucunement d’ignorer ses sentiments. Il s’agit plutôt de les changer un peu ou de les tempérer. Nos sentiments sont parfois basés sur des réalités discutables ou partiellement fausses. Il peut donc être utile d’explorer d’autres perspectives. Ceci afin d’orienter notre perception de la réalité vers un sentiment plus adéquat.
Limite de cette approche : une partie de la vérité
Chaque raisonnement ne représente qu’une partie de la vérité, laquelle est dans certains cas très complexe. L’objectif n’est pas tellement de trouver le raisonnement miracle qui résume toute la vérité. L’objectif initial est plutôt d’explorer des raisonnements qui améliorent notre état d’âme et nous permettent ainsi d’avoir une meilleure attitude face à la situation.
"Mes épreuves sont en fait des défis fascinants à résoudre."
L’approche de raisonnement présentée ici n’a rien de magique. Le fait d’explorer les différentes façons de voir un problème le fait rarement disparaître. Mais à tout le moins, cette approche me fait cheminer vers une meilleure compréhension de la situation et de la vie en général. Elle me permet en particulier d’augmenter mon objectivité. Et ceci me débarrasse souvent de mon sentiment de victime ; pour faire de moi quelqu’un qui grandit au moins un peu avec chaque épreuve.
"Tout est dans la façon de considérer les êtres et les choses."
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Denis St-Pierre (Qc)
Une petite danse avec ça !!!
Un petit truc pour éviter que le plancher craque .. C’est très embarrassant quand on marche sur la pointe des pieds pour passer inappercu et crack !!!
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Plancher de bois qui craque
Si votre plancher de bois craque au moindre pas, saupoudrer-le de poudre pour bébés.
Allez-y pour une petite gigue pour faire bien pénétrer la poudre dans les fissures et entre les planches, puis enlever l’excédent avec un linge humide ou l’aspirateur
7 jours/Les meilleurs trucs de Madame Chasse-taches/Louise Robitaille/Juin 2011
L’automne est la saison des champignons. Aller a la cueillette de cette plante mais il faut être un connaisseur, car certains champignons se ressemblent et peuvent être toxiques voir même mortel .. alors pour les profanes mieux vaut les acheter a l’épicerie
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Les drôles de champignons de l’automne
Le bolet, aussi appelé cèpe,
La calocère visqueuse
Coprin noir d’encre
Le cortinaire violet
L’anthurus d’archer
Un beau bouquet de mycènes
Le clathre rouge porte également le nom de "cœur de sorcière"
Mucidule visqueuse
Le bolet Satan a la couleur du diable
A l’ombre des clitocybes
Le laccaire améthyste : un champignon atomique !
La pleurote en forme d’huître
L’amanite tue-mouche, reine des champignons
La coulemelle est aussi appelée lépiote élevée
La mycène rosée
Les nyctalis parasitent… de plus gros champignons.
La mélodie de la trompette de la mort
Rond comme une vesse-de-loup
La fragile chanterelle
Je suis aller voir la page en question et voici un exemple : on voit des informations … comme la collecte des déchets
Pour connaître les horaires de collecte des déchets
dans votre quartier téléphonez au point de service de votre arrondissement ou
demandez à un voisin
Ortograf altêrnativ
Kolêkt dê déchê
Pour konêtr lê z’orêr de kolêkt dê déchê
dan votr kartié
téléfoné o pouin de sêrvis de votr arondiseman
ou
demandé a un vouazin .
c’est sur que c’est pas toujours évident pour nous de lire comme eux entends mais cela leur permettras surement a s’intéressé un peu plus a la lecture et aux informations dont ils sont besoin
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Déficience intellectuelle Un site internet adapté
Crédit photo : TVA Nouvelles
Par Mélanie Colleu | Agence QMI
cliquer sur l’image pour aller au site
Les visiteurs du site internet Accès simple, mis en ligne par la Ville de Montréal, ne cessent de se multiplier. Depuis six ans, il poursuit le même objectif: celui de rendre accessible un maximum d’informations aux personnes atteintes de déficience intellectuelle.
«Se sit s’adrês o pêrsone ki on dê z’inkapasité intélêktuêl».
Voilà le type de phrases que le lecteur rencontre lorsqu’il navigue sur le portail web de l’institution. Deux formes d’adaptation, le texte simplifié et l’«ortograf altêrnativ», permettent aux personnes ayant des capacités intellectuelles réduites de s’informer et de participer à la vie citoyenne montréalaise.
Depuis sa création, la Ville de Montréal et le Comité régional des associatifs pour la déficience intellectuelle (CRADI), qui ont travaillé de concert avec un module de recherche de l’Université de Montréal sur l’accessibilité pour offrir ce service, notent une croissance nette de la fréquentation.
«Pour les 12 derniers mois, nous enregistrons plus de 75 000 visiteurs avec une moyenne de 200 par jour», précise Renée Pageau aux communications de la Ville.
Au sein des associations, le site apporte aux membres un véritable sentiment d’autonomie et de fierté.
«Ils ont des opinions sur plein de choses et ont envie eux aussi de les exprimer, avance Julie Cadieux, chargée de projets au CRADI. C’est merveilleux de les voir naviguer sur le site et avoir accès aux informations sur les conseils municipaux ou les évènements culturels.»
L’adaptation, un vrai défi
Issu du module de recherche de l’UdM, l’organisme Simplicom est en charge de l’adaptation des documents de la Ville. Celle-ci s’effectue en deux étapes. Dans un premier temps, les phrases sont raccourcies et les idées clarifiées pour aboutir à un texte simplifié.
Puis l’« rtograf altêrnativ» est utilisée dans le cas de déficiences plus lourdes.
«Tout un défi!», s’exprime Marise Duquette, la présidente de Simplicom.
«Nous essayons également de repenser toute l’arborescence du site, pour faciliter au maximum la navigation», ajoute Julie Cadieux, qui espère adapter dans les prochaines années l’ensemble des informations diffusées par la Ville.
L’«ortograf altêrnativ»
L’«ortograf altêrnativ» dispose de 35 correspondances entre graphèmes et phonèmes alors qu’il en existe plus de 4000 dans la langue française. Si elle peut paraître choquante, Mme Duquette précise qu’il ne s’agit en aucun cas d’une nouvelle façon d’écrire.
«Elle est accompagnée d’une formation et les personnes qui la suivent n’ont plus d’autres options, après avoir essayé d’apprendre à lire pendant des années sans succès. Cette méthode change véritablement leur vie», explique-t-elle.
Montréal a été la première ville au monde à offrir un tel service. Des informations concernant la vie politique, culturelle et associative sont accessibles.
Quand on voit des personnes qui prônent la légalité des drogues c’est a mon avis irresponsable. Les drogues sont de plus en plus dangereuses pour la santé comparer aux années 80-90 et affectent aussi le jugement des personnes qui y sont accros .. Les drogues ne doivent jamais être légalisé car cela hypothèque grandement la santé d’une personne et même de son entourage
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Les drogues il y a 20 ans à aujourd’hui
© Shutterstock
Les années ont passé, les drogues ont changées, évoluées et certaines sont devenues plus puissantes
Daniel Boisvert, intervenant en dépendance au Centre Normand depuis 20 ans, a établi le portrait de l’évolution de la drogue au travers des années.
Ainsi, il y a 20 ans, la drogue de choix en Abitibi-Témiscamingue, tout comme ailleurs, et qui rejoignait un peu toutes les populations, c’était la cocaïne.
«Elle coûtait, à l’époque, autour de 80$ du gramme. Il n’y a pas eu beaucoup d’inflation sur le prix des substances, c’est à peu près toujours la même affaire au prix de la rue», a-t-il informé.
Pour les gros consommateurs et les usagers de drogues injectables, on retrouvait également l’héroïne.
«Ça, c’était des gens qui avaient été à Montréal et qui revenaient ou c’était autour des milieux de prostitutions. C’était assez restreint», a-t-il ajouté.
Toutes deux sont des drogues qui sont encore présentes en région de nos jours tout comme le cannabis, qui était une drogue d’importance en 1991, «mais qui n’était pas démocratisée comme elle l’est maintenant. C’est-à-dire qu’il y avait du cannabis, mais les gens étaient identifiés. Un fumeur de «pot», ça faisait partie d’un certain groupe», a-t-il dit.
En 20 ans, on a pu voir un changement de la relation avec ces substances.
«La cocaïne a perdu du terrain ce qui explique probablement le peu d’inflation sur son prix ou même pas du tout», a renchéri M. Boisvert.
«L’héroïne n’a jamais pris plus de terrain. Elle est toujours dans le même petit groupe, a-t-il continué. Le cannabis s’est démocratisé et est devenu très présent, mais vraiment un peu partout. C’est assez fascinant la quantité de cannabis qui se fume et combien de gens peuvent en fumer, que ce soit dans des partys ou dans des endroits publics».
Malheureusement, que le cannabis soit utilisé en médecine pour soigner des gens, ça a aidé à dédramatiser la dangerosité liée au cannabis pour le commun des mortels.
«Quand on se dit qu’on ne touchera pas à quelque chose parce c’est illégal, donc dangereux, et qu’on voit que ça peut être prescrit, la notion de «c’est très dangereux» part», a mentionné l’intervenant en dépendance.
«Les gens se disent que si Santé canada peut en faire pousser et le distribuer en pharmacie, cette plante n’est pas si pire que ça finalement», a expliqué M. Boisvert tout en précisant que ce n’est pas parce que le cannabis peut être prescrit qu’il n’est pas dangereux, il le reste.
On avait des drogues d’origines biologiques et organiques qui provenaient de plantes. On a maintenant des drogues qui proviennent des laboratoires; On avait les drogues dites fortes qui coûtaient plus cher et maintenant, elles coûtent beaucoup moins cher; Le cannabis s’est maintenu sur la période de 20 ans, mais il est 20 fois plus fort que le cannabis d’origine. Il est beaucoup moins biologique aussi; Les substances n’ont pas beaucoup augmenté de prix, ils ont augmenté en effet addictif. Ils ont aussi augmenté en conséquence négatives sur les gens et sur l’environnement.
Impact sur la santé
© Shutterstock
La consommation de drogue amène les consommateurs dans un état d’euphorie, de bien-être et le temps semble passer beaucoup plus rapidement, mais ses effets ont leur lot de conséquences.
En 1970, les gens fumaient des feuilles de cannabis. Ces feuilles étaient à peu près 20 fois moins puissantes que le cannabis d’aujourd’hui. Maintenant, les gens ne fument plus ou presque plus la feuille, mais bien la cocotte, soit l’organe reproducteur de la plante.
«Les variantes de la plante et la génétique ont beaucoup changé, donc on a une plante beaucoup plus puissante qu’avant et c’est un profond dépresseur», a informé Daniel Boisvert, intervenant en dépendance au Centre Normand.
En effet, la consommation du cannabis peut entraîner des effets de psychose et surtout de dépression.
«Il y a un principe que tout ce qui monte doit redescendre et, effectivement, sur le cannabis, il peut y avoir un état très agréable, mais le retour à la normale ne revient pas à l’état précédent, il revient une petite coche plus basse», a-t-il continué.
Également, cette substance crée des dommages au cerveau.
«Il y a un goudron qui s’en va dans le système nerveux et qui s’installe sur le bout des neurones. Le cerveau reste avec des traces de ça plusieurs semaines après la consommation. Ça ralentit la pensée et les réflexes. Donc, on augmente le risque d’accident, même si l’on n’est pas en état de consommation», a dit M. Boisvert.
Toutes substances psycho actives, toutes drogues, ont un effet sur le système nerveux central.
«À partir du moment où on ajoute un produit extérieur qui vient modifier le fonctionnement du système nerveux, on prend un risque de l’endommager. Il n’est pas fait pour fonctionner avec ça. C’est une partie qui ne se régénère pas, donc les dommages causés sont permanents», a mentionné M. Boisvert.
La consommation de drogue a également son lot d’effets collatéraux sur la personnalité,
«puisqu’aucune drogue ne donne le goût de se prendre en main», a-t-il affirmé avec un petit sourire.
Je n’avais jamais remarquer que les bornes fontaines avaient des couleurs différentes, et qu’en plus elles indiquent aux pompiers la pression de chaque bornes-fontaine … Mais quelle idée stupide de faire ce genre de vandalisme ..
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Plateau-Mont-Royal Des bornes-fontaines en or
Crédit photo : Agence QMI
Depuis près d’une semaine, un vandale a recouvert une dizaine de bornes-fontaines du nord du Plateau-Mont-Royal d’une épaisse peinture dorée, une situation qui nuit aux activités du Service de sécurité incendie de Montréal(SSIM).
Les pompiers se fient à la couleur des bornes pour connaître la pression d’eau de celles-ci.
«Ça permet de savoir rapidement quel est le type d’alimentation en eau et le type de conduite, si elle est principale ou secondaire. C’est une problématique», a indiqué Louise Desrosiers, chef de section à la prévention du SSIM.
Pour l’instant, près d’une dizaine de ces bornes ont été vandalisées dans les secteurs du Mile-End et de la limite nord du Plateau, selon le bureau du maire Ferrandez.
Certaines ont été aperçues sur les rues Laurier et Clark, par exemple. Les pompiers ont commencé à faire des inspections et à informer les travaux publics, qui auront la tâche de remettre les bornes en bon état.
«Ça peut paraître inoffensif comme geste. Certains peuvent trouver ça drôle et cute, mais ça a des conséquences. Lorsqu’on va attraper la personne qui fait ça, elle va avoir une amende et elle se verra facturer les frais de remise en état», a dit Michel Tanguay, porte-parole de l’arrondissement du Plateau Mont-Royal.
«N’oublions pas que c’est un service essentiel. La personne qui fait ça pose un geste inconscient. J’espère que ça ne va pas se répandre», a-t-il ajouté.
Selon la police de Montréal, une attaque de vandale contre les bornes-fontaines est rarissime. Normalement, ce sont plutôt les bancs de parcs, abribus et autres matériels urbains qui sont visés.
Un beau chat, différent certes mais qui s’aura se faire aimer par celle qui l’a sauvé d’une mort certaine … Quoi demander de plus qu’en plus c’est un chat qui aura la même espérance de vie que n’importe quel autre chat surtout dans les main d’une personne qui soigne les animaux
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Record Guinness : Frank & Louie, le chat à deux faces
Crédit photo : CNN
Frank & Louie
TVA Nouvelles selon CNN
Frank & Louie vient de battre un record Guinness aux États-Unis: à 12 ans, il est le plus âgé des chats à deux faces.
Il s’en est pourtant fallu de peu pour que le chat du Massachussetts n’entre pas dans l’histoire. À peine 24 heures après que Frank & Louie ait vu le jour, il a été abandonné et il se dirigeait tout droit vers l’euthanasie. C’était sans compter sur l’infirmière vétérinaire Marty, charmée d’un simple regard – ou deux, c’est selon – et qui a décidé d’adopter la bête unique sur-le-champ.
Le chat à deux faces ne laisse personne indifférent, comme en témoigne celle qui l’a adopté.
«Généralement, à leur premier regard, les gens disent: »Oh, quel beau chat! » Puis, aussitôt que Frank & Louie se retourne, je peux voir l’horreur dans leurs yeux.»
L’infirmière assure que son chat ne se soucie pas de son apparence et qu’il vit bien avec son fonctionnement «à l’unisson».
«Quand il mastique d’un côté, l’autre côté va parfois de haut en bas», explique-t-elle. Le félin pas comme les autres peut voir avec les deux yeux situés de part et d’autre de sa tête, «mais l’œil central n’est pas fonctionnel.»
Frank & Louie s’est épanoui et il est devenu un adorable compagnon, en santé par-dessus le marché. Son espérance de vie est évaluée entre 13 et 15 ans. Mais sa maîtresse, pleine d’espoir, espère qu’il franchira les 20 ans.
Les chats à deux faces sont également appelés les «chats Janus», en référence au dieu romain Janus, qui avait deux visages.