L’endurance


Cette endurance, cette capacité doit servir pour faire avancer les choses de façon positive que ce soit personnelle ou sociale
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L’endurance

Ce que l’homme a le plus d’authentique, c’est sa capacité à créer, se dominer, endurer, se transformer, aimer et dépasser ses propres souffrances. "


Ben Okri
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Les cicatrices


Les coups dure que la vie nous apporte sont difficile au moment qu’ils se présentent mais nous passons au travers vue que la vie continue son chemin. Ces cicatrices peuvent servir de tremplins pour aller au devant .
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Les cicatrices

Lorsque vous êtes couvert de « cicatrices » et de « blessures » de la vie, essayez de leur donner aujourd’hui un sens positif qui vous aidera à vous construire.

Elles vous disent, par exemple, que vous avez surmonté toutes ces épreuves là et qu’elles vous ont rendues plus fort. Vous avez eu, vous aussi, vos petites et grandes victoires ! Ne vous apitoyez pas sur elles, elles sont les symboles de votre courage !

Michel Poulaert

Truc express ► Eau gazeuse, bon détachant


Heu !!! Je ne sais pas si c’est encourageant de boire de l’eau gazeuse mais bon .. comme le citron et le soda est souvent utilisé pour nombre de tache alors pourquoi pas !
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Eau gazeuse, bon détachant



L’eau gazeuse sans sucre est un des meilleurs détachants connus et se révèle souvent plus efficace que n’importe quel autre détachant commercial.

La meilleure façon de l’utiliser est de remplir une bouteille dont on aura remplacé le bouchon par quelques épaisseurs de velours blanc propre bien fixées au goulot par un élastique. C’est avec ce petit coussin de velours qu’on enlèvera la tache.

Cette méthode peut faire disparaître n’importe quelle tache à condition de ne pas avoir utilisé d’autres produits sur celle-ci auparavant.

http://www.trucsmaison.com

Enfants : concours de beauté► Guidounes en herbe


J’ai trouvé quelques photos de ces fillettes un peu partout sur le web qui participent a des concours de beauté pour complété ce billet et démontrer la stupidité des parents, des producteurs, des revues qui y participent bref ceux qui font des fillettes, des femmes fatales.  Amy Winter est la vice-présidente exécutive de TLCGuidounes en herbe ose dire que c’est pas sa faute ..C’est tellement simpliste de dire on approuve pas mais on ne juge pas .. Voyons donc, ces enfants sont devenus des poupées a regarder sous toutes les coutures alors qu’on essaie de donner a nos enfants des enseignement moraux pour se faire respecter et se respecter eux même

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Guidounes en herbe



CHRONIQUE DE SOPHIE DUROCHER

Comment allez-vous habiller votre petite fille de 3 ans pour l’Halloween? Escorte de luxe, avec des faux cils et un t-shirt bedaine?
NON, BIEN SÛR!

C’est pourtant ce genre de costumes de mauvais goût qu’on a pu voir récemment aux États-Unis à l’émission Toddlers & Tiaras. Diffusée au réseau TLC, cette téléréalité suit des petites filles qui participent à des «concours de beauté».

Mia, deux ans, portant un soutien-gorge doré à la Madonna;

Au cours des dernières semaines, on a pu voir à l’émission: la petite Mia, deux ans, portant un soutien-gorge doré à la Madonna; Paisley, trois ans, habillée en prostituée comme Julia Roberts dans Pretty Woman; et Madisyn, quatre ans, avec une brassière double D et un faux derrière rebondi comme Dolly Parton.
Bref, des petites couche-tôt équipées pour veiller tard.

Paisley, trois ans, habillée en prostituée comme Julia Roberts dans Pretty Woman

Madisyn, quatre ans, avec une brassière double D et un faux derrière rebondi comme Dolly Parton

HYPERPÉDOPHILIE

 

 

Les petites qui participent aux «beauty pageants» sont tellement bronzées, maquillées, coiffées et couvertes de bijoux bling-bling qu’elles finissent toutes par ressembler à la drag queen Mado Lamotte, l’humour en moins.

Si un extraterrestre se posait sur la Terre et écoutait Toddlers & Tiaras, il penserait qu’il a atterri sur la Planète des fous.

D’un côté, on n’arrête pas de dire aux parents qu’il faut protéger les enfants des pédophiles et des cyberprédateurs. De l’autre, deux millions de personnes sont collées devant leur télé pour regarder des bouts de chou échanger leurs Pull-Ups contre des G-Strings.

ATTAGIRL!

Les costumes de Pretty Woman et de Dolly Parton ont tellement fait scandale aux États-Unis que même le magazine People a consacré sa une à cette controverse en posant la question: «Est-ce que ça va trop loin?»


Il me semble qu’on est déjà rendu bien plus loin que trop loin! Sinon, c’est quoi la prochaine étape? Une fillette de deux ans flambant nue avec un tatouage dans le bas du dos qui fait une danse poteau pendant que Joe Cocker chante You Can Leave Your Hat On? Au moins elle n’aurait pas besoin de se faire une épilation bikini pour ressembler à une vraie danseuse du Solid Gold.

Comme le disait un travailleur social interviewé par People, «Les petites filles sont censées jouer avec des poupées, pas s’arranger comme des poupées».


C’EST PAS MA FAUTE!

Amy Winter est la vice-présidente exécutive de TLC. Elle s’est défendue dans le magazine People en affirmant que sa station ne faisait que diffuser Toddlers & Tiaras, et n’était qu’un observateur du phénomène des concours de beauté.

«Nous n’approuvons pas, mais nous ne portons pas de jugement non plus».

C’est bien ça le problème. Un diffuseur qui montre à la télé des comportements complètement indécents et perturbés ne peut pas s’en laver les mains en disant: «ce n’est pas ma responsabilité». C’est trop facile. Si tu montres des petites filles habillées comme Samantha Ardente, aie au moins le courage d’admettre que tu contribues toi aussi au voyeurisme.


Les parents affirment que s’ils inscrivent leurs petites dans des concours des beauté, c’est parce que leurs filles en exprimaient leur désir. Alors il faudra bien m’expliquer pourquoi certaines de ces petites beautés ont été inscrites à des «beauty pageants» dès l’âge de six mois…

http://fr.canoe.ca

Un jeune atteint d’une maladie rare : L’école sur un téléviseur


Quelle belle initiative autant pour ce jeune qui n’auras pas perdues d’école toutes ses années a l’attente d’un rein .. et ce professeur qui a eu le soucis d’aider ce garçon en passant par le technicien qui a réussi un coup de maître pour faire accepter ce projet a l’hopital et la mère qui enfin voit son fils prendre une vie un peu plus active même dans des conditions difficile
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Un jeune atteint d’une maladie rare : L’école sur un téléviseur

 

L'école sur un téléviseur

Crédit photo : Ewan Sauves / Le Journal de Montréal

Tous les lundis, mercredis et vendredis, Alex Stattropoulos est soumis à une dialyse. Afin qu’il ne manque pas de cours, l’enseignante Marie Bellon a installé une caméra dans sa classe, directement reliée à la télévision de la chambre d’hôpital du jeune garçon.

Par Ewan Sauves | Le Journal de Montréal

À l’aide d’une caméra installée dans la salle de classe de son école, le jeune Alex peut assister à ses cours depuis l’Hôpital de Montréal pour enfants (HME), où il doit subir des traitements de dialyse trois fois par semaine. Une première au Québec.

Alex Stattropoulos n’est pas plus haut que trois pommes. Il a tout juste 12 ans. Malgré son jeune âge, le jeune garçon a déjà suivi tout un parcours du combattant.

Allongé sur son lit, écouteur à l’oreille et micro branché, il s’adresse à une télévision placée devant lui.

«Oui, je vais bien, fait-il savoir à ses camarades. Je suis fatigué, mais je vais bien.»

Trois fois par semaine, l’adolescent doit se rendre à l’HME pour effectuer une dialyse. Il y passe une bonne partie de la journée avec sa mère à ses côtés.

«Sa maladie est apparue il y a six ans. Alex a perdu ses deux reins, raconte Vassiliki Marki. Il a eu une première transplantation en 2008, mais il a perdu son greffon en juin 2009. Maintenant, tout ce qu’on fait, c’est attendre.»

Le plus difficile pour elle, c’est de voir son fils manquer ses classes. Inscrit à un programme spécial à l’école primaire Souvenir de Laval, le jeune Alex est entre les niveaux 4, 5 et 6.

Avec une pression artérielle instable et les traitements fréquents, la routine d’un écolier normal s’avère impossible à suivre.

«Il subissait plusieurs accidents, j’allais donc souvent le chercher à l’école pour l’amener à l’hôpital», indique Vassiliki Marki.

Devant cette désolation, la professeure du bonhomme, Marie Bellon, a décidé de prendre les choses en main.

Après une discussion avec le principal de l’établissement et avec le consentement de tous les parents, une caméra a été ajoutée dans la salle de classe en février 2010.

Depuis ce moment, lorsqu’Alex est à l’hôpital, il peut assister à la classe via webcam et même répondre aux questions grâce à un micro.

«Il peut être à l’école cinq jours par semaine, même s’il n’est pas là physiquement, se réjouit Marie Bellon. La première fois qu’on a essayé la webcam, j’avais les larmes aux yeux.»

Du jamais vu au Québec

Si le projet a pu voir le jour, c’est aussi grâce à l’aide d’Alexandre Tom, un technicien en dialyse de l’HME. Il se remémore les nombreux coups de fil qu’il a dû faire pour convaincre la direction de l’établissement de se doter d’une nouvelle connexion téléphonique.

«J’ai fait plus de 100 demandes et elles ont toutes été refusées, car la direction avait peur que les systèmes de l’hôpital soient ralentis.» Finalement, une deuxième ligne, reliée à celle de la clinique, a été installée.

«C’est la première fois au Québec qu’une vidéo-conférence de ce genre est consacrée à l’école, à la formation continue, et en plus disponible toute l’année pour le patient», ajoute Alexandre Tom.

Selon lui, c’est une innovation qui a toute son importance. Il espère sincèrement que cette méthode n’est que la première de tant d’autres à venir.


http://tvanouvelles.ca

Mieux vaut faire tomber les vieux satellites


Vue de cette façon il est vrai qu’il est mieux de ramener nos déchets sur Terre que laissé polluer l’espace qui est d’ailleurs assez pollués par des débris et qui a long terme peut nous causer des problèmes .. Il faut souligner que grâce a l’étude spatial, nous avons beaucoup d’invention qui nous sert dans la vie de tous les jours .. si ce n’est que l’internet pour n’en donner qu’un exemple
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Mieux vaut faire tomber les vieux satellites

Mieux vaut faire tomber les vieux satellites

En décembre 2005, la NASA a abandonné son Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), lancé en septembre 1991 pour étudier la chimie de l’atmosphère.

Archives Reuters

Pierre-André Normandin
La Presse
 

Malgré le risque posé par la chute d’un satellite de la NASA, samedi, il est plus sécuritaire de faire tomber sur Terre les vieux engins spatiaux, estime le gestionnaire des opérations de vol à l’Agence spatiale canadienne (ASC), Michel Doyon.

Plus de 48 heures après la chute de l’engin Upper Atmosphere Research Satellite (UARS), l’incapacité de la NASA à localiser ses débris a alimenté les craintes de plusieurs sur la sécurité de ces opérations.

«C’est quand même la chose responsable à faire, assure Michel Doyon. L’espace est déjà surpeuplé de débris.»

L’homme en sait quelque chose, lui qui est avisé tous les mois qu’un objet spatial menace de percuter le satellite canadien RADARSAT-1, sous sa responsabilité. La NASA suit à la trace plus de 22 000 objets de plus 10 cm flottant autour de la Terre, dont seulement un millier sont des satellites opérationnels. L’agence évalue à un demi-million le nombre de débris de 1 à 10 cm et à des dizaines de millions les plus petits débris. Or, voyageant à sept kilomètres par seconde, sept fois la vitesse d’une balle de fusil, même le plus petit objet peut provoquer d’importants dégâts.

 

Le nombre de débris est d’ailleurs particulièrement élevé depuis deux incidents dans lesquels des satellites ont été détruits. En 2009, un vieil engin russe abandonné en orbite en a heurté un autre, projetant des milliers de pièces en orbite. Deux ans plus tôt, la Chine avait contribué à la pollution spatiale en détruisant l’un de ses vieux satellites à l’aide un missile balistique dans une démonstration de sa puissance militaire.

«Ça nous cause beaucoup de problèmes», confie aujourd’hui Michel Doyon.

Abandonné depuis 2005 dans l’espace, l’UARS serait retombé dans l’atmosphère samedi soir vers 0 h 16, heure de Montréal. L’engin se serait désintégré en plein océan Pacifique, au large de la côte ouest américaine.

Mais, il se peut «qu’on ne sache jamais où ce satellite» est retombé, a admis l’expert en débris orbitaux de la NASA, Nick Johnson. Avant de se désintégrer, l’UARS a survolé les océans Indien, Atlantique et Pacifique ainsi que le Canada et l’ouest de l’Afrique.

Dans sa traînée, une rumeur s’est propagée sur l’internet selon laquelle des débris auraient terminé leur course en Alberta, dans la petite municipalité d’Okotoks, au sud de Calgary. La Gendarmerie royale du Canada a toutefois indiqué qu’aucune chute de débris spatiaux n’avait été rapportée. En conférence téléphonique, Nick Jonhson a dit que la NASA n’avait reçu aucun témoignage crédible indiquant que des débris auraient touché le sol.

La NASA estime que 26 morceaux de satellite, totalisant 1200 livres, ont pu survivre à l’entrée dans l’atmosphère et s’éparpiller sur une distance d’environ 750 kilomètres.

Lors de l’annonce de la chute de ce satellite, il y a trois semaines, la NASA avait évalué à 1 sur 3200 les risques qu’une personne soit tuée par des débris, un risque extrêmement faible pour une planète de 7 milliards d’habitants. L’UARS, qui pesait 5,7 tonnes, est le plus gros satellite de la NASA à plonger dans l’atmosphère depuis 1979.

– Avec l’Agence France-Presse et La Presse Canadienne


http://www.cyberpresse.ca

La mère de Joleil Campeau brise le silence


Comment faire un deuil d’un enfant qui a été sauvagement assassinée par une personne qui était déjà reconnu comme meurtrier et qui en plus lors de sa sortie était considéré comme dangereux ?  Joleil Campeau a eu le malheur de se trouver sur son chemin et a payer de sa vie ..
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La mère de Joleil Campeau brise le silence

La mère de Joleil Campeau brise le silence

Crédit photo : TVA Nouvelles

Donna Senécal

Pour la première fois depuis le meurtre de sa fille, il y a 16 ans, la mère de Joleil Campeau brise le silence.

Donna Senécal a accepté de se confier à TVA Nouvelles afin, entre autres, de dénoncer le système judiciaire.

Le présumé meurtrier de sa fille, qui subira bientôt son procès, est un multirécidiviste notoire en matière d’agressions sexuelles. Tout juste avant le meurtre de Joleil, Éric Daudelin venait de sortir de prison après avoir purgé la totalité d’une sentence pour un crime violent. La Commission des libérations conditionnelles savait qu’il avait des fantasmes meurtriers, mais il n’a jamais été déclaré délinquant sexuel à contrôler.

Donna Senécal croit que si la justice avait été plus sévère à l’époque, sa fille serait encore en vie aujourd’hui.

«Qu’est-ce je peux faire de plus?», se demande la mère de Joleil Campeau, qui précise par ailleurs qu’elle suivra le procès du présumé meurtrier de sa fille.

En ce qui concerne le fait de pardonner au présumé meurtrier, Donna Sénécal estime qu’il faudrait avant tout que cette personne lui demande pardon. Elle n’écarte pas la possibilité de rencontrer Éric Daudelin, si ce dernier est reconnu coupable.

Considérée comme suspecte

Donna Senécal soutient qu’à l’époque des faits, elle a été considérée comme suspecte dans ce dossier et a dû passer le détecteur de mensonges.

Elle a ajouté que le fait de savoir que les autorités aient pu envisager une telle possibilité la «dépassait royalement» et lui a apporté un grand stress.

«Je tremblais par en dedans », a-t-elle ajouté.

Lors de l’annonce qu’un homme avait été interpellé quant à la mort de sa fille, la mère de famille dit avoir accueilli la nouvelle avec un mélange de choc et de soulagement.

«Je suis tombée en bas de ma chaise, je ne m’attendais pas à ça du tout».

Une lettre en honneur à sa fille

Donna Senécal a aussi accepté de lire une lettre écrite à Joleil 10 ans après sa mort.

«C’était un trop beau et grand rêve de la voir vivre et c’était aussi la réalité. Joleil, tu as «enjoleillé» ma vie. Malgré toutes les difficultés de la vie, je l’aime ma vie», a-t-elle notamment écrit.

Éric Daudelin, 37 ans, a été arrêté en juin dernier à Montréal et a ensuite été accusé du meurtre prémédité de la petite Joleil Campeau, survenu en 1995 à Laval. Des traces d’ADN ont permis d’identifier ce suspect.

Joleil Campeau, 9 ans, avait été portée disparue le 12 juin 1995. Son corps avait été retrouvé quatre jours plus tard dans un marais près de son domicile, dans le secteur d’Auteuil.

http://tvanouvelles.ca