Si nous voulons nous rappeler du passé, alors apprenons quelques leçons pour éviter de les reproduire
Nuage
Apprends
Ne perds pas de temps à ruminer tes erreurs passées. Apprends ta leçon puis passe à autre chose.
inconnu
C’est exactement cela que j’ai fait hier dans la journée, une conversation des souvenirs du passés me dérangeaient et comme je ne pouvait rien y faire, rien y changer alors j’ai opté pour me changer les idées a autre chose
Nuage
Ne créez pas vous-même votre souffrance
"Le pire des bourreaux est parfois nous-même."
Certaines souffrances psychologiques sont inévitables, mais d’autres sont créées de toutes pièces. Trop souvent nous souffrons inutilement en alimentant mentalement nos blessures intérieures, particulièrement lorsque nous nous sentons persécutés ou victime d’injustices.
Ressasser nos malheurs ne fait qu’augmenter notre ressentiment. Cela peut donner inutilement à notre existence une note dramatique. En effet, certaines personnes se rendent malheureuses parce qu’elles revivent en pensée à répétition des événements négatifs.
Exemple :
Quand une idée négative se présente à votre esprit, elle n’est pas encore une pensée puissante pour vous. Et elle ne peut vous faire aucun mal sans votre consentement.
Par exemple, la pensée suivante vient à l’esprit de Pierre : "J’en veux à mon épouse parce qu’elle m’a abandonné". S’il garde cette pensée active, il se fait du mal. En continuant avec ce sujet à l’esprit, il donne du poids à cette pensée. Il la rend valide à ses yeux, jusqu’à se persuader que son épouse a tous les torts et qu’il n’est qu’une victime.
Une meilleure approche est de prendre conscience que son esprit s’apprête à ressasser une mauvaise pensée et préférer repousser cette dernière. Cela ne signifie pas que son mariage n’a pas été difficile ; mais dans l’instant présent, il prend la décision de ne pas se laisser désharmoniser par cette pensée négative.
Autre exemple :
Vous découvrez que quelqu’un tient des propos déplaisants à votre sujet. Si vous réagissez en vous sentant blessé ou furieux, et vous détruisez votre paix d’esprit. Par contre, si vous ignorez la calomnie en faisant la sourde oreille, vous vous protégerez contre cette blessure.
Bien sûr, il est impossible d’éviter toute situation déplaisante, mais il est possible d’atténuer la souffrance en réagissant de la bonne façon. Trop souvent, nous aggravons notre souffrance en ayant une mauvaise attitude et en revivant à répétition en pensée des situations déplaisantes.
Lorsque nous éprouvons momentanément du ressentiment ou de la colère à l’égard de quelqu’un, si nous traitons ce sentiment avec indifférence, il est peu probable que cela s’envenime.
Mais si nous repensons constamment aux "injustices" qui nous sont faites ou aux "mauvais traitements" qui nous sont infligés, alors nous nourrissons la haine.
C’est en alimentant nous-mêmes ces émotions négatives que nous leur permettons de survire longtemps dans nos pensées et de nous faire plus de mal. Impossible d’être en harmonie avec soi-même lorsqu’on a la tête pleine de telles pensées.
"Ce que nous devenons est le résultat direct de nos pensées."
Denis St-Pierre (Qc)
Semer a tout vent .. pour avoir une progéniture.. on peut imager cela pour le calmar qui a une vie adulte pas très longue …
Nuage
Dans le doute, le calamar féconde tout ce qui bouge, mâle ou femelle
Comment faire pour trouver l’âme soeur et être sûr de procréer lorsqu’on nage en eaux profondes ?
Une espèce de calamar du Pacifique a trouvé la solution pour multiplier ses chances: féconder tout ce qui bouge, mâle ou femelle, en espérant que ce ne sera pas un coup dans l’eau.
La vie sexuelle de l’Octopoteuthis deletron, qui évolue entre 400 et 800 mètres de profondeur, n’a pourtant rien de très réjouissante.
Une fois atteinte sa maturité sexuelle, le calamar ne connaît qu’une brève période de reproduction puis meurt rapidement, qu’il ait ou non réussi à transmettre son matériel génétique à une femelle.
Le pauvre céphalopode ne peut même pas espérer connaître un instant de plaisir puisqu’il ne copule pas réellement: il se contente de déposer des "spermatophores", petits paquets contenant sa semence, sur le corps de sa partenaire à l’aide d’un appendice allongé qui ne ressemble que vaguement à un pénis. Les petits sacs libèrent alors la semence qui s’implantent dans les tissus de la femelle, et voilà sa descendance assurée.
Reste encore à trouver la partenaire adéquate, ce qui n’est pas chose aisée dans les eaux sombres du Pacifique oriental, d’autant plus que mâles et femelles de cette espèce vivent isolés les uns des autres et ne présentent que très peu de caractéristiques physiques leur permettant de se différencier.
Dans le doute, et pour optimiser ses chances de procréer, il semble que le mâle féconde systématiquement un membre de la même espèce passant à sa portée, qu’il s’agisse d’une femelle ou d’un mâle comme lui, indique une étude publiée mardi par la revue Biology Letters de la Royal Society britannique.
C’est la découverte de cadavres de calamars mâles portant des spermatophores qui a mis la puce à l’oreille d’Hendrik Hoving, biologiste à l’Institut de recherches de l’Aquarium de Monterey, en Californie.
Il a donc décidé d’utiliser un robot sous-marin télécommandé (ROV) pour aller directement observer le comportement de l’Octopoteuthis. Sur 108 membres de cette espèce filmés par le ROV, seuls 39 ont pu être sexués par les scientifiques. Parmi ces spécimens, 19 étaient porteurs de spermatophores: neuf mâles et dix femelles.
Chez les mâles, ces sacs de semence étaient implantés dans des zones hors d’atteinte du "pénis" ce qui exclut la possibilité qu’ils se les soient eux-mêmes implantés, relève l’étude.
"Apparemment, il est moins coûteux pour cette espèce de perdre du sperme sur un autre mâle que de développer des mécanismes de discrimination sexuelle et de parade amoureuse, ou encore de renoncer à s’accoupler", concluent les chercheurs.
Un serpent dangereux qu’on ne sait pas comment il a pu arriver en Montérégie. Est-ce qu’il a immigré incognito ? S’est-il échappé de chez une personne qui le prenait comme un animal de compagnie ? Chose de sur c’est que la région normalement n’est pas un endroit ou il vit …
Nuage
Un crotale des bois débusqué : Serpent à sonnette venimeux en Montérégie
Par Étienne Laberge | Agence QMI
Un visiteur impromptu s’est installé en Montérégie cet été, un serpent à sonnette venimeux d’une race agressive qu’on retrouve habituellement aux États-Unis et dont la morsure peut entraîner la mort.
C’est Santé publique Canada qui aurait averti les professionnels de la santé de la Montérégie à l’effet qu’un crotale des bois aurait été débusqué dans le secteur.
Il n’a pas été possible de savoir où et dans quelles circonstances le reptile a été vu ou capturé puisque personne, à l’agence, n’était disponible pour répondre à nos questions, samedi.
La notice interne rédigée par Santé Canada avise simplement les professionnels qu’il existe un sérum antivenimeux et qu’il faut contacter le centre antipoison suivant une morsure. Mais contacté par 24H, le centre antipoison baignait lui-même en plein mystère lorsque nous avons voulu en savoir plus.
Venin causant la mort
«Leur morsure peut causer une enflure douloureuse, une paralysie musculaire et la destruction des tissus et peut entraîner la mort», peut-on lire dans l’Encyclopédie canadienne, propos qui ont été corroborés par des spécialistes de la question.
«Ça me surprend qu’on ait trouvé ça ici, a expliqué Hervé Marandat, fondateur de l’Exotarium, un centre de reptiles de Saint-Eustache. C’est un serpent assez gros, au venin assez virulent.»
L’ex-étudiant en herpétologie de l’Université McGill le définit comme un serpent «agressif qui peut atteindre 1 mètre et demi [quatre pieds]», mais qui attaque seulement s’il se sent menacé.
Le Département de l’environnement et de la conservation de l’État de New York décrit le crotale des bois comme étant «le serpent le plus dangereux d’Amérique du Nord», peut-on lire sur leur site web.
.
Ce type de serpent se trouve habituellement dans le sud de l’Ontario et dans l’Ouest canadien et dans plusieurs États américains.
Comment peut-on fermer les yeux devant l’ampleur des dégâts causés par les fuites de pétrole qui ont changer pour le pire le mode de vie des habitants ? C’est tout l’écosystème et l’économie de ce pays qui est en péril et ce depuis des années
Nuage
La marée noire dont personne ne parle
Deux enfants jouent sur un bateau abandonné près du village de Bidere, dans le delta du fleuve Niger où se sont déversés neuf…
Reuters
La Presse
Depuis 50 ans, 9 millions de barils de pétrole brut se sont déversés dans le delta du Niger. En mai dernier, au moment où les yeux du monde étaient tournés vers le golfe du Mexique et la fuite de la plateforme de forage Deep Horizon, une énième rupture d’oléoduc a provoqué une autre marée noire à l’autre bout du monde.
Alors que les dégâts causés par la société British Petroleum au large de la Louisiane ont fait l’objet de centaines de reportages dans les médias du monde entier, les fuites à répétition de Shell au Nigeria passent pratiquement inaperçues.
Pourtant, on le constate avec notre photoreportage, cette marée noire quasi permanente a d’énormes effets sur l’écologie, mais aussi sur les populations qui vivent aux abords de ces cours d’eau.
L’ONU estime que l’ampleur de la pollution pétrolière dans le sud du Nigeria, après 50 ans d’extraction de brut, est telle qu’elle pourrait…
Photo: AP
Un coquillage couvert de pétrole brut récolté dans le delta du fleuve Niger en août dernier.
Reuters
Un petit garçon du village d’Ikarama, dans le delta du fleuve.
Reuters
Cet homme du village de Bodo tente d’isoler le pétrole brut de l’eau qui s’est accumulée dans sa barque.
AFP
L’Ogoniland est quadrillé d’oléoducs et jonché de puits et autres installations pétrolières. Sur cette photo de 2010, on distingue bien les rives souillées…
Des hommes pêchent au filet au bord d’une rivière polluée par le pétrole près du village de Bidere.
Reuters
Sur cette photo de 2010, un homme marche sur les rives souillées près d’un village de la région de l’Ogoniland.
AFP
Quelle histoire .. s’il n’y avait pas eu de témoin de la scène, cette personne serait disparus a jamais sans savoir ce qui s’est passé vraiment. Il aurait rester probablement incognito dans la vie et dans la mort
Nuage
Québec ►Sauvé in extremis d’un camion d’ordures
Par Dominique Hardy | Journal de Québec
Un jeune homme de 23 ans peut s’estimer heureux d’être encore en vie, car il a été extirpé d’un camion à ordures hier matin dans le quartier Saint-Roch à Québec.
Le jeune avait décidé un peu avant 8 h samedi d’aller dormir dans un conteneur à déchets près de la bibliothèque Gabrielle-Roy, dans le quartier Saint-Roch, à Québec. Bien emmitouflé dans son sac de couchage, il n’était sans doute pas conscient du risque qu’il courait.
Un passant a toutefois été témoin de l’endroit où le jeune homme avait décidé d’élire domicile pour dormir. Un camion à ordures est passé peu de temps après et l’employé du camion a vidé le conteneur dans lequel le jeune homme se trouvait.
Inconscient
Le témoin de la scène a immédiatement appelé les policiers de Québec. Après des recherches, le camion a été retracé près d’un kilomètre plus loin et le jeune homme a été extirpé non seulement du camion, mais d’une mort certaine.
«Il a été compressé quelques fois à l’intérieur», a indiqué le lieutenant Stéphane Dufresne de la police de Québec.
Il n’a pas été conscient de l’incident. «Il était inconscient à l’arrivée des ambulanciers, a souligné le lieutenant Dufresne. Il s’est par la suite réveillé.»
Le miraculé, si on peut l’appeler ainsi, a été conduit à l’hôpital. Il se plaignait de douleur aux côtes.
Vulnérabilité
Si ce jeune homme a trouvé refuge dans un conteneur à déchets, c’est sans doute pour se protéger des risques de vivre dans la rue.
« Pour une personne en situation d’itinérance, le moment où tu es le plus vulnérable, c’est lorsque tu dors », a expliqué le coordonnateur du Regroupement pour l’aide aux itinérants de Québec, Frédéric Keck, qui a déjà entendu parler de situations similaires.
«Forcément, ça te prend un lieu pour te mettre à l’abri. Passer la nuit dans le quartier Saint-Roch, ce n’est pas évident, a ajouté M. Keck. Pour dormir, ils ont besoin de s’éloigner des regards. Les gens se mettent dans des situations plus à risques.»
Débordement
Cet incident démontre un problème quant à l’accès aux refuges pour les itinérants.
«Il y a un débordement, a précisé le coordonnateur. On le voit à Montréal et à Québec.» Les besoins sont grandissants dans la Vieille Capitale, mais les lits manquent.
La réalité de l’itinérance est difficile pour les jeunes, selon Frédéric Keck.
«L’absence de logements disponibles au centre-ville et les prix des loyers imposants sont aussi la source du problème. Quand tu vis des difficultés, ça devient complexe de trouver un logement adéquat», a-t-il ajouté.