Depuis le meurtre de Diane Grégoire comment la science pourrait démontré que certains des os qui peuvent être découvert (car la police n’a pas encore annoncé le contenu de ses trouvailles) seraient des os humain et lui appartenant. L’anthropologie est une science qui a beaucoup évoluer et qui peut aider a conclure une enquête
Nuage
Meurtre de Diane Grégoire ►La science des ossements
Crédit photo : Agence QMI
Alors que les fouilles se poursuivent sur la ferme Shefford, à Saint-Valérien-de-Milton, et que les policiers affirment avoir trouvé des «éléments pertinents» concernant le meurtre de Diane Grégoire, plusieurs se questionnent toujours sur l’importance des indices qui pourraient être trouvés sur place.
Or, il semble que le moindre fragment d’os pourrait être en mesure de faire progresser l’enquête. En entrevue à l’émission Mongrain, l’anthropologue judiciaire Guy Gauthier a expliqué ce que les restes humains, si petits soient-ils, pouvaient révéler au sujet de la victime, mais aussi du meurtrier.
Un anthropologue judiciaire peut non seulement découvrir l’identité de la victime dont il ne reste que les os, mais il peut également établir avec une certaine précision la date de la mort, sa cause, voire même le métier qu’exerçait la personne.
Des indices sur le meurtrier
Loin de s’arrêter aux renseignements concernant la victime, les ossements peuvent également révéler d’importants indices concernant le meurtrier, selon Guy Gauthier.
«Selon l’angle de la plaie, on peut savoir si l’assassin était gaucher ou droitier. Selon la profondeur de la plaie, on peut estimer la taille de l’agresseur et la force utilisée par celui-ci. En plus, plus de 800 produits laissent des traces sur les os», explique-t-il.
«Il reste toujours quelque chose»
Toujours selon l’anthropologue, il est absolument impossible d’éliminer en entier un corps: «Il reste toujours quelque chose.»
Pour illustrer ses propos, Guy Gauthier parle notamment du cas du tueur en série Robert Pickton, qui a sévi en Colombie-Britannique.
«Il était producteur porcin, il avait son propre abattoir et il vendait sa viande. Il pensait avoir commis le crime parfait. Il a tué 32 femmes, il broyait les femmes, il mélangeait les restes à de la moulée destinée aux porcs. Les 52 anthropologues judiciaires qui ont tamisé le terrain ont trouvé dans les excréments de porc, mélangés à des résidus de terre, de petits bouts d’os de quelques millimètres. Ils ont réussi à y extraire de l’ADN.»
Le crime parfait n’existe donc pas?
«C’est une question d’y mettre toute la technologie disponible… […] Et il n’y a pas de fin à l’anthropologie», tranche l’expert.
Pour illustrer ses propos, Guy Gauthier parle notamment du cas du tueur en série Robert Pickton, qui a sévi en Colombie-Britannique.
«Il était producteur porcin, il avait son propre abattoir et il vendait sa viande. Il pensait avoir commis le crime parfait. Il a tué 32 femmes, il broyait les femmes, il mélangeait les restes à de la moulée destinée aux porcs. Les 52 anthropologues judiciaires qui ont tamisé le terrain ont trouvé dans les excréments de porc, mélangés à des résidus de terre, de petits bouts d’os de quelques millimètres. Ils ont réussi à y extraire de l’ADN.»
C’est hot, c’est quelque chose qui me fascine, l’investigation criminel, je pense que j’aurai été pas pire la dans.
si tu aimes ce genre de technologie, je t’invite à regarder les CSI, tu as New York, Los Angeles, Miami et Las Vegas. moi je suis une mordue de ce genre d’émissions.
j’écoute effectivement ces programes … et j’ajoute NCIS a historia .. l’autre NCIS a tva je crois ne m’interresse pas .. plus esprit criminelle a addick meme si c’est du réchauffé et on apprend pas mal de chose car ils tirent souvent sur des faits réels
moi non j’aime pas trop les experts , mais la technologie est tres importante dans les progres d’enquete
La technologie évolue tellement vite là dedans….capotant ce qu’on peut trouver avec si petit…
et c,est tant mieux !!!