Valeur morale


Malgré tout dans l’ensemble de la société, nous avons de bonnes valeurs, enfin disons qu’a comparer de certains pays qui font des enfants soldats, des enfants obligé de se prostitués .. des enfants qu’on laisse mourir de faim, de misère …
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Valeur morale

" Pour tester les valeurs morales d’une société, il suffit de regarder comment elle traite ses enfants"

Dietrich Bonhoeffe

Chercher……La Voie


Nous vivons et recherchons tous une manière de vivre en harmonie avec nous même .. certains croient que le bonheur est dans toutes sortes de choses alors qu’il est d’abord et avant tout une question d’être bien avec nous même
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Chercher……La Voie

Rendu au milieu de ma vie,

J’ai cherché à savoir «À quoi ça sert la vie?»
J’ai cherché dans les sports et les voyages,
J’ai cherché dans la politique et les performances,
J’ai cherché dans les religions et les livres,
J’ai cherché dans le travail acharné et le luxe,
J’ai cherché de toutes les façons,
J’ai même cherché des façons de chercher.

Un beau jour, j’ai trouvé sans chercher.

J’avais cherché trop loin, à l’extérieur, dans les autres.
J’avais cherché l’impossible pour m’apercevoir qu’il n’y avait rien à trouver.

On le possède tous à l’intérieur de nous.

Maintenant que je sais que la vie est faite de petits et de grands moments présents.
Maintenant que je sais qu’il faut se détacher pour aimer plus fort.
Maintenant que je sais que le passé ne m’apporte rien.
Maintenant que je sais que le futur me fait parfois souffrir d’angoisse et d’insécurité.
Maintenant que je sais qu’on n’a pas besoin de voyager dans l’astral pour être heureux sur cette terre.
Maintenant que  je sais que la bonté et la simplicité sont essentielles et que pour rendre les autres heureux je dois l’être d’abord.
Maintenant que je sais qu’on peut aider les autres surtout par l’exemple et le rayonnement.
Maintenant que je sais que l’acceptation est un gage de bonheur et que la nature est mon meilleur «Maître».
Maintenant que je sais: la réponse vient du même endroit que la question.

Maintenant que je sais que je vis,
Alors maintenant je vis tout simplement.

Marcel Gagnon

Traduction .plus ou moins bizarres


Attention .. certains produits semblent plus dangereux qu’ils ne paraissent .. du moins d’après certaines traductions plus ou moins louches
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Hein?

Modes d’emploi hilarants, erreurs de traduction, étiquettes absurdes… Le rire est parfois là où les consommateurs ne l’attendent pas. Voici les meilleurs exemples soumis par nos internautes et nos lecteurs.

Envoi de Pierre Desroches

On trouve toutes sortes de choses dans la grange de Pôle.

Envoi de Marie-Eve Bouffard, Montréal

Car Dieu sait qu’il faut en avoir pour se démarquer sur la patinoire!

Envoi de Pierre Desrochers, Shefford

Ben quoi? Les égouts regorgent d’une multitude de saveurs insoupçonnées.

Envoi de J-F Maurice

Visiblement, les noms Ikea de type ALÄNG et GRÖNSKA ne se limitent pas aux meubles!

Envoi de Sébastien Poitras, Montréal

Non merci, un peu trop violent pour moi…

Envoi de Robert Descôteaux

Congélateur avec porte qui ouvre VERS L’EXTÉRIEUR??? Qui l’eût cru?

Envoi de Valérie Murray, Québec

Bref, étouffez votre victime et enroulez-la dans le tapis.

Envoi de Nabil Andraos

Car tout le monde sait que les Canadiens vivent DEHORS, dans des IGLOOS.

Envoi de Gaston Drouin

Compris? Essuyez-vous comme il faut en sortant de la douche.

Envoi de Jacques Demers, Saint-Bruno-de-Montarville

Bref, ce logiciel est une arnaque, c’est bien ça?

Envoi de Sébastien Côté, Québec

Si c’est l’utilisation que vous désirez en faire…

Envoi de Caroline Marin, Montréal

On est jamais trop prudent.

Envoi de Tanya Desrochers

Si telle était la dernière volonté d’Hervé…

Envoi de Christine Métayer, Saint-Nicolas

Ah, les fées! Elles sont si gentilles qu’elles nous aident dans le repassage!

Envoi de Joëlle Tremblay, Montréal

Allez, brutalisez-le!

Envoi d’Anne Bellefeuille, Québec

C’est ce qu’on appelle des oeufs «brouillés» !

Envoi de Sylvain Briand, Laval (Sainte-Rose)

Bravo! Prochaine étape: faire une phrase cohérente.

Envoi de Marc, Kanata

Sentez-vous «libre» d’en manger ou non.

Envoi de Christian Roussel, Saint-Jean-Sur-Richelieu

Parlez-moi d’une banane qui sait se défendre!

Envoi de Jean-Claude Daoust, Brossard

Troisième rangée à gauche, à côté vernis tandoori.

Envoi d’Anna-Lyn Di Paolo, Toronto

Deuxième étape: lancez-le au bout de vos bras.

Envoi d’Eric Simard, Blainville

Payer 4288,99 $ au lieu de 3999 $? J’arrive en courant!

Envoi de Hugo, Sherbrooke

«Only pour les Canadians bilingual dans les deux langues.»

Envoi de Jason, Québec

«Ils sont finis, c’est tu clair?», s’écrie notre lecteur.

Envoi de Guy Desruisseaux, Saint-Hyacinthe

En effet, si vous réussissez à faire pénétrer une pile de 9 VOLTS dans votre nez, consultez un médecin.

Envoi de Maude Simard, La Prairie

En bonus: odeur de moisi.

Envoi de Vickie Gagnon, Rouyn-Noranda

Bref, nager est un véritable supplice.

Envoi de Roger Laliberté, Sainte-Thérèse

Crise de nerfs? d’angoisse? d’adolescence? Ce matelas est pour vous.

http://www.protegez-vous.ca

Des engins rose bonbon, ça économise des millions


Même au Québec des gros engins se font voler dans la chantier de construction On se demande qui a assez de culot de partir avec des machines qui pèsent des tonnes … Ca serait intéressant de savoir si le rose serait une dissuasion pour les voleurs. En tout cas, cela ne passera pas inaperçu même en pleine nuit

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Des engins rose bonbon, ça économise des millions

Le rose fluo contre le vol de matériel de chantier -  The Guardian, Londres

© Birmingham City University

Le rose fluo contre le vol de matériel de chantier – The Guardian, Londres

Le rose fluo : rien de tel, selon des chercheurs britanniques, pour lutter contre le vol de matériel de chantier – un fléau qui, en Grande-Bretagne, coûte 1,6 million d’euros par semaine.

Selon les Prs David Edwards et Gary Holt, il suffirait de peindre les machines d’une couleur fluorescente pour décourager les voleurs. Ces deux chercheurs ont travaillé des années dans le bâtiment avant de se pencher sur ce problème.

Professeur d’innovation industrielle à l’université de Birmingham, David Edwards a débuté sa carrière comme maçon avant de gravir les échelons et d’entrer dans le milieu universitaire. Gary Holt a travaillé comme maître d’œuvre dans le BTP et le génie civil avant de suivre l’exemple de David Edwards. Mais il aura fallu qu’ils rencontrent le Groupe d’action contre le vol de matériel de chantier – réunissant des délégués des fabricants de matériel, des assureurs et des représentants de la police et du gouvernement – pour qu’ils découvrent l’ampleur du phénomène au Royaume-Uni et se mettent en quête de solutions.

“Les vols sont monnaie courante sur les chantiers de BTP et de génie civil – et ce n’est pas seulement le fait de voleurs à la petite semaine, mais aussi de bandes organisées qui se servent de leur butin pour financer la traite d’êtres humains, la prostitution, la drogue, ou même le terrorisme”, explique David Edwards.

“Une grande partie du matériel volé est démontée pour être revendue en pièces détachées, dans le pays et à l’étranger.”

Les voleurs n’ont visiblement aucun mal à exporter le matériel subtilisé car, en dépit de l’ampleur du phénomène, la plupart des entreprises de BTP ne prennent pas de véritables mesures de protection.

“La plupart des engins de chantier se monnaient très cher, ajoute Gary Holt. Une pelleteuse de 20 tonnes peut se revendre jusqu’à 110 000 euros, et il est beaucoup plus facile de voler ce genre de machine qu’une voiture d’occasion à 5 000 euros.”

Il est difficile d’évaluer précisément le coût des vols de matériel de chantier au Royaume-Uni, mais les universitaires avancent qu’il pourrait atteindre entre 1,2 et 1,5 million d’euros par semaine. Les engins volés sont fréquemment utilisés pour commettre d’autres délits, comme l’attaque de distributeurs de billets.

En 2006, David Edwards et Gary Holt ont entamé une étroite collaboration avec les victimes, les constructeurs de matériel de BTP et les fabricants de systèmes antivol, et se sont lancés dans l’étude de cas concrets pour analyser le modus operandi des voleurs de matériel de chantier. Leurs études ont montré que le meilleur moyen de dissuader les voleurs était de verrouiller les machines dans des positions malcommodes, le bras articulé déployé, par exemple ; d’apposer le logo de l’entreprise sur les engins, et de les peindre de la couleur préférée de Barbie.

“Peindre une machine en rose ne revient pas cher, mais l’effet dissuasif est très fort, assure Gary Holt. Les couleurs vives ont un effet psychologique dissuasif sur le voleur, tout en compliquant la revente du matériel volé – il faudrait d’abord qu’ils le repeignent. Pourquoi voler une machine rose quand il en existe des milliers de jaunes pour lesquelles il y a déjà un marché de l’occasion ?”

Les universitaires reconnaissent que leur dispositif pourrait être victime de son propre succès.

“Si tout le monde se met au rose, les machines roses ne dépareront plus, concède David Edwards. L’idée, au fond, c’est de rendre le matériel aussi voyant que possible en le peignant aux couleurs de l’entreprise – en somme, de pousser les voleurs à aller voir ailleurs.”

Le bon sens reste de mise. “Par un contact, nous avons appris que des voleurs ciblant les générateurs portables comptaient s’en prendre à un chantier, raconte Gary Holt. A la fin de la semaine de travail, le chef de chantier a décidé d’attacher les générateurs ensemble et de les suspendre à la grue – en se disant que cela empêcherait les voleurs de les dérober. Quand il est revenu le lundi matin, la grue – qui valait plus de 2,2 millions d’euros – avait disparu elle aussi. On ne l’a pas retrouvée.”

“Apparemment, les membres du gang portaient des bleus de travail et ils avaient posé des logos sur leurs véhicules pour faire croire qu’ils appartenaient à une société de location de matériel. Personne ne leur a posé de question et les types de la sécurité leur ont même préparé une tasse de thé.”

Les chercheurs pensent que le vol aurait peut-être pu être évité si le matériel avait été peint en rose.

(L’article original du Guardian)

http://www.courrierinternational.com

Les fugues en hausse


C’est clair que les centres jeunesses n’ont pas les outils nécessaires pour aider les jeunes en difficultés et il est dommage que ces enfants ne soient pas pris en charge adéquatement .. c’est l’avenir qui aura des répercussion dans la société plus tard .. Ce qui me fâche un peu c’est de voir de beaux projets comme Jeunes en difficulté: dans le bois pour sortir de la forêt et que le gouvernement coupe les vivres … et qui pourtant semble avoir fait ses preuves
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Les fugues en hausse

Sarah-Maude Lefebvre

Le nombre de fugues répertoriées au Québec est à la hausse, et c’est la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) qui est en partie responsable de cette augmentation, dénonce l’organisme Enfant-Retour Québec.

«Plus de la moitié des cas qui nous sont rapportés sont des jeunes qui s’échappent des centres jeunesse. Parfois, cinq, six, dix fois de suite. Ce n’est pas normal. Va-t-on enfin se pencher un jour là-dessus?», demande Pina Arcamone, directrice générale d’Enfant-Retour Québec.

Selon elle, même si la hausse des signalements observée est liée en partie à la visibilité accrue de son organisme au cours des derniers mois, le nombre de disparitions recensées pourrait être «beaucoup plus bas» si on «réglait le cas» des centres jeunesse.

«Nous sommes plusieurs organismes au Québec qui épaulent les familles d’enfants disparus. On se rend de plus en plus compte que retrouver l’enfant n’est pas la solution finale. Souvent, il fugue à nouveau. Il faut trouver une façon de mettre fin à ce cycle vicieux.»

Rencontrée dans les locaux d’Enfant-Retour, Julia (nom fictif) en avait long à dire sur les méthodes de la DPJ qui, croit-elle, ont causé en partie les fuites à répétition de sa fille de 16 ans.

«Avant de fuguer, ma fille souffrait énormément, raconte-t-elle. Elle avait des idées noires et était très malheureuse dans son centre. Ce n’est pas normal qu’elle se soit enfuie à sept reprises. Ça me tue à chaque fois.»

Le Journal révélait en août dernier que le nombre d’évasions est en augmentation pour la troisième année consécutive au Centre jeunesse de Montréal, une situation qualifiée de «préoccupante » par la direction.

Depuis que des modifications ont été apportées à la Loi sur la protection de la jeunesse, en 2007, les portes des chambres et des unités des centres jeunesse ne peuvent plus être barrées et le nombre de fugues est en croissance chaque année.

Pour Pina Arcamone, il est temps plus que jamais «d’analyser la manière dont sont traités les jeunes à la DPJ».

Appel au dialogue

Mme Arcamone en appelle donc au «dialogue» et souhaite que soit mise en place une table de concertation avec des représentants du centre jeunesse, des organismes communautaires ainsi que les services policiers pour «régler enfin ce problème».

«Que veut-on pour l’avenir de nos jeunes ? Il faut parler des vraies choses et développer des stratégies efficaces».

«Clientèle à risque»

Du côté de la DPJ, la directrice adjointe Michelle Dionne reconnaît que la problématique est «importante et préoccupante», et croit que «tous les intervenants qui oeuvrent auprès des jeunes ont à se remettre en question, y compris la DPJ».

«Personne ne prétend détenir la vérité absolue. Nous tentons d’innover tous les jours pour améliorer la situation, dit-elle. Mais si nous sommes dans la vie de ces jeunes, ce n’est pas pour rien. Ils ont des problèmes importants et c’est une clientèle à risque pour les fugues.»

43 nouveaux cas de disparition ont été déclarés à Enfant-Retour Québec entre juin et août dernier, comparativement à 16 pour la même période en 2010.

Si vous avez des informations, à ce sujet, écrivezmoi à sarah-maude.lefebvre@journalmtl.com.

http://fr.canoe.ca

«Le locataire a été réveillé par son chat»


On dirait que l’automne fait souvent étalage d’incendie résidentielle, l’importance de vérifier si le détecteur d’incendie est toujours en fonction .. Ici ce qui a pu virer en tragédie humaine … a été sauver par un chat .. Les animaux de compagnie font bonne figure en cas de danger !!!
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«Le locataire a été réveillé par son chat»

«Le locataire a été réveillé par son chat»

Un incendie a ravagé un logement de l’arrondissement Verdun, à Montréal, tôt mardi matin.

Les flammes auraient pris naissance un peu avant 5 h dans le salon de l’appartement situé sur la rue de Verdun, mais la cause exacte de l’incendie demeurait inconnue mardi matin.

Crédit photo: Agence QMI.

Le logement, qui est une perte totale selon les pompiers, était au troisième étage d’un bâtiment résidentiel et commercial. Au rez-de-chaussée, la clinique d’optométrie n’a été endommagée que par l’eau.

«Le locataire a été réveillé par son chat et non par le détecteur de fumée, qui n’était pas fonctionnel,

a indiqué Sylvain Cuillerier, porte-parole du Service incendie de Montréal. Il a dit voir des flammes dans le salon et il est sorti par la porte arrière.»

Crédit photo: Agence QMI.

Quelque 40 pompiers ont mis un peu plus d’une heure pour maîtriser le brasier.

L’incendie ne s’est pas propagé aux immeubles
voisins. Personne n’a été blessé. Le logement situé au deuxième étage n’était pas habité.
Les dommages sont évalués à près de 50 000 $.

Crédit photo: Agence QMI.

http://tvanouvelles.ca

Meurtre de Diane Grégoire Un message envoyé au tueur?


Est-ce que cette stratégie marchera ? Le tueur a t’il une conscience qui le fait regretter son geste ? Espérons que les choses évoluerons assez vite pour qu’enfin la famille et les proches puissent mettre un terme a l’incertitude

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Meurtre de Diane Grégoire Un message envoyé au tueur?

Un message envoyé au tueur?

Crédit photo : Maxime Landry TVA Nouvelles

 En annonçant la découverte d’«éléments importants» au cours de leurs recherches au cours de leurs recherches à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, les policiers souhaitent mettre de la pression sur le meurtrier de Diane Grégoire et l’inciter à commettre d’autres erreurs, croit l’ex-commandant des crimes majeurs de la police de Montréal, Richard Dupuis.

Moins d’une semaine après le début des fouilles aux abords d’un incinérateur de carcasses animales, sur le terrain de la ferme Shefford, les autorités ont confirmé mardi matin avoir trouvé des éléments pertinents susceptibles de faire progresser l’enquête.

«Nous avons trouvé quelques items sur le site grâce au tamisage manuel de la terre, a indiqué l’agent Gaétan Durocher, porte-parole de la police de Longueuil. Ils ont été envoyés au laboratoire médico-légal et de sciences judiciaires pour des analyses plus sophistiquées et plus approfondies.»

M. Durocher n’a toutefois pas voulu révéler la nature exacte des éléments trouvés ni le moment de la découverte.

Le porte-parole a également refusé de dire si les éléments en question étaient des restes humains.

«Ces informations sont gardées confidentielles afin de ne pas nuire à l’enquête», a tenu à préciser l’agent Durocher.

Un message au tueur

En entrevue avec Jean-Luc Mongrain à LCN, Richard Dupuis s’est dit persuadé que les policiers tentent actuellement d’envoyer un message clair au meurtrier de Diane Grégoire.

«Si les policiers ont laissé coulé aux médias qu’ils ont trouvé quelque chose, cette information-là ne vise pas le public en général, elle vise essentiellement le tueur», a affirmé l’ancien commandant.

Lorsqu’une personne commet un meurtre, elle pense à son crime «23 heures et demie sur 24», mais quand le crime remonte à plus de trois ans, le meurtrier est uniquement hanté par ce qu’il a fait une dizaine de minutes par mois, selon M. Dupuis.

«Le message que les policiers envoient au tueur, c’est: "On a trouvé des choses, on fait des fouilles et tu sais très bien qu’on cherche à la bonne place", a soutenu le spécialiste. De cette façon, ils vont faire tourner son petit hamster et lui faire penser au meurtre 15, 17 ou 18 heures par jour. Ils souhaitent ainsi qu’il commette d’autres erreurs.»

Du côté de la police de Longueuil, on persiste à dire qu’il est encore trop tôt pour parler d’un suspect potentiel dans cette affaire.

«Pour le moment, on se concentre sur les recherches», s’est limité à dire l’agent Gaétan Durocher.

Travail colossal

Depuis jeudi, les policiers de Longueuil et ceux de la Sûreté du Québec ont entrepris de passer au peigne fin une parcelle de terrain de un kilomètre carré (10 000 pieds carrés) sur laquelle se trouve un incinérateur à carcasses d’animaux, ainsi que des bâtiments agricoles.

Deux anthropologues judiciaires se sont joints aux recherches mardi matin. Selon la police, leur expertise devrait permettre de faire «parler» les débris qui pourraient être trouvés.

Diane Grégoire n’a pas été revue depuis le 31 janvier 2008. Son mari, Paul Laplante, est la dernière personne à l’avoir vue vivante, dans le stationnement du centre commercial des Promenades Saint-Bruno.

La semaine dernière, la police de Longueuil a confirmé que la disparition de Mme Grégoire était désormais traitée comme une affaire de meurtre.

http://tvanouvelles.ca