Ce qui fait marcher le monde …


C’est un constat que nos société a basé ses valeurs sur l’argent .. bien sur sans argent on ne peut pas survivre, mais la gratuité doit pourtant etre mit de l’avant
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Ce qui fait marcher le monde …

Ce qui marche le mieux, ce qui pousse avec la plus grande violence les gens à se dépasser, c’est encore le pur et simple besoin d’argent.
 

Michel Houellebecq

Ma tête est un jardin de fleurs


Ma maison, mon jardin … ne pas le laisser envahir par de mauvaises pensées, de changer le pessimiste vers l’optimiste .. pour refléter la joie de vivre
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Ma tête est un jardin de fleurs

Bien oui! Ma tête est un jardin à parcourir pour y découvrir les plus belles fleurs qui sont:

l’Espérance, le Positivisme et l’Ouverture d’esprit…
 
Je dois prendre un soin jaloux de ce jardin car, si je le laisse à l’abandon, bien vite les mauvaises herbes viendront y prendre pension!

Il en est de même pour la maison qui m’abrite… Si je prends le temps à chaque jour, d’y accomplir quelques tâches, rien ne pourra l’envahir! Ma maison est à l’image de mon intérieur. Claire et ordonnée ou sombre et désordonnée… Comment alors faire la paix avec moi-même si le lieu où je vis est laissé à l’abandon?

 Aujourd’hui, je commence à faire reluire mon âme en même temps que mes fenêtres… puis j’arracherai les mauvaises herbes du "négatif" en même temps que je ferai la chasse à la poussière…

Il en est de même avec les personnes qui cherchent à nous envahir… Qui de nous n’a pas déjà croiser une personne indiscrète ou une autre qui prend un malin plaisir à semer le doute en nous? Vite, il faut s’éloigner, reprendre SA PROPRE VIE en mains et surtout ÊTRE SOI-MÊME!

 Aujourd’hui, rien que pour cet Aujourd’hui, je prends le temps d’aérer mes idées, de cueillir les fleurs de la BONTÉ et de jeter un regard nouveau à l’horizon de mon paysage intérieur pour RECONQUÉRIR ma JOIE DE VIVRE…


Jovette Mimeault

Le saviez-vous ► Pourquoi les chiens tirent la langue


Tant qu’a parler de chien … Les chiens ont souvent la langue bien pendue .. non pas pour dévoilée les secrets de leur maitre, ni vous faire une grimace …
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Pourquoi les chiens tirent la langue

Non, ce n’est pas une grimace !

Si les chiens tirent la langue parfois, c’est pour eux un moyen de refroidir leur température corporelle quand ils ont trop chaud !

Souvent quand il a couru, le chien tire la langue, c’est sa façon de transpirer et de se rafraîchir, au moyen de l’évaporation de sa salive !

Il arrive cependant que le chien tire la langue quand il voit la gamelle arriver !

Il s’agit alors d’un réflexe qui lui vient du cerveau, qui montre son excitation.


http://www.pourquois.com

Cristal meth à Montréal La police sur le qui-vive


Des drogues de plus en plus dangereuses viennent s’ajouter dans le domaine des produits illicites .. Malheureusement trop de gens vont payer le prix fort pour avoir des sensations que ces drogues procures … Dire que des gens font des millions avec la détresse des autres me répugnent
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Cristal meth à Montréal La police sur le qui-vive

La police sur le qui-vive

Crédit photo : Agence QMI

Le cristal meth, cette drogue dure qui fait des ravages dans l’ouest du pays, frappe aux portes de Montréal. La police, qui surveille la situation de près sur ses écrans radars, parvient à repousser l’invasion, mais pour combien de temps?
 
En mai dernier, la police de Montréal a réalisé les deux plus importantes saisies de cristal meth de son histoire. Plus de deux kilos, du jamais vu.
 
Dans les deux cas, les responsables seraient des membres d’un gang du crime organisé asiatique de la Ville-Reine qui tentaient une incursion dans la métropole.
 
Ce sont des informations fournies par des sources qui ont permis aux policiers de les arrêter avant qu’ils aient eu le temps d’écouler la drogue dans la rue.
 
En 2004, les médias ont commencé à parler des ravages que cette drogue cause ailleurs au pays, notamment à Vancouver.
 
Mais depuis sept ans, l’invasion appréhendée à Montréal n’a pas eu lieu et s’est arrêtée à Toronto. On peut toutefois se demander si cette fois-ci est la bonne.
 
Une priorité

Selon les chiffres de la police, les saisies de cristal meth se comptent encore sur les doigts de la main à Montréal. Cependant, elles sont en hausse depuis 2009.
 
Pour la police, ce sont les cas de possession simple de cristal meth qui seraient symptomatiques d’une tendance et pour le moment, ils représentent une goutte parmi les 3 500 dossiers de possession simple de stupéfiants traités chaque année.
 

«Actuellement, c’est très marginal, mais on voit les dommages que cette drogue fait dans l’Ouest et on n’est pas à l’abri de ça», affirme l’inspecteur-chef Bernard Lamothe de la police de Montréal.

«Nous sommes en alerte depuis 2004 et aussitôt que l’on entend parler de cristal meth, on en fait une priorité»,
assure-t-il.

Au Laboratoire des drogues de Santé Canada à Longueuil, on se fait également rassurant. Sur les 4 000 échantillons reçus jusqu’à maintenant en 2011, 19 étaient du cristal meth, soit environ 0,3 %, nous a dit un gestionnaire, Benoit Archambault.

Plus d’adeptes

Mais le cristal meth gagnerait de plus en plus d’adeptes parmi les communautés chinoises et gai surtout, mais aussi dans la population en général.

«Depuis cinq ans, j’ai commencé à voir des cas de dépendance», affir me le docteur Marie-Ève Morin de la clinique 1851.

«À force de faire des questionnaires, on réalise que le cristal meth est à l’origine de la transmission du VIH ou de l’hépatite C», ajoute la spécialiste en toxicomanie.

«Jusqu’à maintenant, nous avons été épargnés au Québec», dit Claude Rouillard, chercheur à l’Université Laval.

«Ce ne sont pas tous les consommateurs de méthanphétamine qui vont se tourner vers le cristal meth mais c’est là qu’on va voir s’il va s’implanter ou si cela va s’arrêter là»,
conclut l’expert en drogues.

Comme jouer à la roulette russe

Essayer le cristal meth, c’est devenir son esclave, préviennent à l’unisson les spécialistes.

«Le cristal meth est encore plus dangereux lorsqu’il est fumé ou inhalé. Ses effets débutent après 10 secondes et provoquent une euphorie qui mène à une dépendance quasi instantanée», explique le docteur Marie-Ève Morin, de la clinique 1851.

Les effets du cristal meth peuvent durer de 10 à 12 heures et même plus.

«Des consommateurs font ce que l’on appelle un binge. Ils sont sur le cristal meth durant 30h et arrêtent parce qu’ils sont épuisés. Ils se réveillent déprimés et ont besoin de consommer de nouveau», illustre Claude Rouillard, chercheur à l’université Laval.

À long terme, le cristal meth peut avoir des effets sur la santé cardiovasculaire, causer des hémorragies cérébrales et même des problèmes psychiatriques.

Explosif

«Consommer des drogues chimiques, c’est comme jouer à la roulette russe», renchérit Benoit Archambault.

Le gestionnaire de Santé Canada rappelle aussi que les trafiquants de cristal meth, qui fabriquent la drogue dans des laboratoires de fortune, s’exposent à des dangers.

«Les ingrédients de base du cristal meth sont des produits chimiques».

«Les trafiquants vont le fabriquer en quantité astronomique, dans des endroits mal ventilés. Les solvants laissent échapper des gaz qui vont s’enflammer, comme si une station-service prenait feu», expose-til.

http://tvanouvelles.ca/


Coincée entre Bell et Hydro


Sais pas mais c’est de mauvaise augure les compteurs a distances .. peut-être qu’ils ne seront pas relier a des lignes téléphoniques mais choses certaines c’est rien de rassurant .. En tout cas cette femme en a vue des vertes pis des pas mures

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Coincée entre Bell et Hydro

Montréal - Coincée entre Bell et Hydro

Louise Rondeau a dépensé des milliers de dollars depuis décembre dernier pour résoudre son problème de ligne téléphonique avec Bell.

© Héloïse Archambault
Héloïse Archambault
Le Journal de Montréal

Aux prises avec un problème de ligne téléphonique, une Montréalaise a dû se battre contre Bell Canada durant six mois et dépenser des milliers de dollars, pour finalement se faire dire que c’est son compteur électrique qui était la source de ses ennuis.

«C’est incroyable, déplore Louise Rondeau, désespérée. Je pourrais écrire un livre avec tout ce qui m’est arrivé. C’était le chaos.»

Depuis décembre dernier, la femme qui demeure au même en-droit depuis 20 ans doit composer avec un soudain problème de ligne téléphonique.

«Les gens disaient qu’ils m’appelaient et que je ne répondais pas. Mais, j’étais là, et ça ne sonnait pas ! raconte celle qui gère une compagnie depuis sa résidence. Je manquais tous mes rendez-vous et je perdais des clients sans le savoir. Ça empoisonnait ma vie.»

Pire avec le temps

En mars dernier, la cliente reçoit la visite d’un premier technicien de Bell Canada, qui ne décèle aucune anomalie.

Pourtant, les problèmes s’aggravent. En plus de sa ligne téléphonique, voilà que son ordinateur ne fonctionne plus.

«J’ai vérifié toutes les lignes, j’ai acheté un nouvel ordinateur, j’ai changé mes téléphones, j’ai tout fait, énumère-t-elle. J’étais au désespoir.»

Au total, six techniciens sont venus à son domicile en quatre mois.

«Ils étaient tous plus incompétents les uns que les autres, souligne Louise Rondeau. Une téléphoniste m’a même dit que j’avais un problème dans la tête tellement ils ne savaient plus quoi faire.»

Problème de rouille

Cette dernière raconte aussi que Bell Canada la menaçait de lui faire payer 90 $ l’heure pour une visite résidentielle.

Puis, en juillet dernier, le technicien qui se présente à son domicile décide d’aller faire un tour dans la cave de la maison. Il constate que le compteur électrique est branché à la boîte téléphonique, et que la rouille accumulée sur le fil cause de l’interférence.

«Je ne savais même pas qu’Hydro-Québec utilisait ma ligne de téléphone pour lire mon compteur», souffle la dame.

Compteurs qui «fonctionnent»

Selon le porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie, 30 000 compteurs de ce type, qui calculent à distance, ont été installés dans la région de Montréal, dans des endroits difficilement accessibles pour les releveurs de compteur.

«On n’utilise plus cette technologie aujourd’hui, mais ça fonctionne bien, assure-t-il. On n’a pas d’autre cas défectueux documenté.»

Trois ans sans facture

Pourtant, Louise Rondeau a déjà eu des problèmes avec son compteur. Entre 2007 et 2009, la femme dit n’avoir reçu aucune facture d’électricité. Puis, Hydro-Québec lui a envoyé un avis de coupure de courant, à moins qu’elle ne débourse 3 300 $ pour factures non payées.

«Ces deux compagnies-là contrôlent tout le système, et nous ne sommes que des pions qu’ils manipulent, dénonce-t-elle. C’est sûr que d’autres personnes ont eu le même problème que moi. On est tellement impuissants devant eux. C’est scandaleux.»

Au moment de publier, Bell Canada n’avait toujours pas rappelé le Journal.

À partir de janvier 2012, Hydro-Québec procédera à l’installation de 3,8 millions de compteurs de «nouvelle génération», qui permettent la lecture à distance de la consommation énergétique des abonnés.

http://fr.canoe.ca

Avez-vous peur de la mort ?


Je crois que demander si on a peur de la mort quand elle n’est pas attendue, c’est une chose, mais lors d’un danger ou d’une longue maladie les réponses peuvent a mon avis divergés ..
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Avez-vous peur de la mort ?

Avez-vous peur de la mort ?

Crédit photo : Agence QMI

La moitié des Québécois n’appréhendent pas la mort, selon une récente étude commandée par la Corporation des thanatologues du Québec.

Seulement 27 % d’entre eux admettent qu’ils en ont peur, alors que près de 45 % croient qu’il y a quelque chose qui nous attend «de l’autre côté».

Mais la mort, c’est aussi un ensemble de pratiques sociales qui font partie de coutumes profondément ancrées, comme le rituel funéraire, et qui évoluent au fil du temps.

Ces dernières années, trois tendances principales se sont démarquées dans le monde de la thanatologie, discipline qui a pour objet d’étudier les signes, les conditions, les causes et la nature de la mort.

L’environnement arrive en tête de liste, alors que 94 % des répondants de l’étude affirment qu’il est important que la préparation du défunt aille de pair avec la conscience écologique.

Sans surprise, la seconde concerne la religion, qui se veut de moins en moins présente dans la croyance populaire.

Ainsi, 69 % des répondants sont d’avis que la religion n’a pas sa place dans le rituel funéraire, ce qui amène de plus en plus les gens à personnaliser les funérailles de leurs proches.

«Les personnes endeuillées prennent plus de temps pour préparer la cérémonie funéraire aujourd’hui, a expliqué René Goyer, président de la Corporation des thanatologues du Québec. Avant, elle avait lieu très souvent le lendemain du décès, ou le jour d’après. Maintenant, ça peut prendre deux semaines avant qu’elle se tienne. Ça permet aux gens de réfléchir à ce qu’ils veulent et, souvent, ça concerne l’endroit. Par exemple, nous avons déjà eu une cérémonie qui se déroulait sur un traversier, car la famille souhaitait jeter les cendres du défunt dans l’eau. »

Par contre, le rituel funéraire a évolué, il ne semble pas encore avoir atteint le monde virtuel, puisque dans 80 % des cas, les répondants de l’étude se disent peu ou pas du tout favorables à la création d’une page Facebook pour rendre hommage à la personne défunte.

Un registre commun

Par ailleurs, la Corporation aimerait voir s’implanter au Québec un registre unique contenant les informations des préarrangements funéraires.

Les familles et les maisons funéraires ont souvent de la difficulté à retracer les arrangements que les personnes décédées ont pris de leur vivant, particulièrement si ceux-ci datent de plusieurs années.

À ce titre, 86 % des répondants se disent favorables à la création d’un tel registre.

Quelques statistiques

87 % ont une opinion favorable des thanatologues ce qui les placent juste après les médecins et devant les notaires, les

psychologues et les avocats.

89 % admettent ne pas avoir planifié leurs funérailles.

89 % des répondants ayant organisé les funérailles d’un proche dans les dix dernières années se sont dits satisfaits des services obtenus eu égard au montant déboursé.

5 633 $ est la somme moyenne que les répondants sont prêts à dépenser pour leurs propres funérailles.

64 % estiment insuffisante la prestation de décès de 2 500 $ versée par la Régie des rentes du Québec.

64 % croient que le nombre de jours de congés prévus à la Loi sur les normes du travail en cas de décès d’un proche est insuffisant.

86 % sont favorables à la création d’un registre unique permettant de retracer un contrat d’arrangements préalables.

80 % sont peu ou pas du tout favorables à la création d’une page Facebook pour rendre hommage à une personne défunte.

94 % affirment qu’il est important de respecter l’environnement dans la préparation du défunt.

69 % sont d’avis que les rituels funéraires ne doivent pas être reliés à la religion.

50 % soutiennent ne pas avoir peur de la mort contre 27 % qui admettent que oui.

45 % soutiennent qu’il y a quelque chose après la mort alors que 16 % pensent que non.

http://tvanouvelles.ca

Une vraie «résurrection»


Ce n’est pas une erreur médicale mais vraiment un miracle de la vie … apres de nombreux mois une femme qui était probablement vouer a un état végétif, mais son mari n’a pas pu se résigner a faire débrancher l’appareil pour au cas z’ou .. mais le cas z’ou est arrivé … Cette dame revenu dans le monde des vivants et ce en ayant presque pas de séquelles
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Une vraie «résurrection»

Johanne Roy

Madeleine Poitras a toutes les raisons de goûter à la vie. Après avoir été à un cheveu d’être débranchée, à la suite d’une rupture d’anévrisme au cerveau, la femme de 54 ans a, contre toutes attentes, recouvré ses facultés.

Cette résidente du secteur Saint-Jean-Chrysostome, à Lévis, est la preuve vivante que la science n’a pas toujours réponse à tout.

Alors qu’on la vouait à un état végétatif, Mme Poitras savoure maintenant chaque jour sa "résurrection". Presque trois ans plus tard, celle-ci conserve encore une paralysie partielle du côté gauche, mais elle réapprend à marcher avec l’aide de son chien Mira.

Déjouer les statistiques

Mme Poitras a, en plus, retrouvé toute sa mémoire et sa capacité d’élocution. Elle poursuit sa réadaptation et son état ne cesse de s’améliorer.

"C’est exceptionnel. Madeleine a déjoué toutes les statistiques", glisse fièrement son conjoint, Benoît Poitras, qui s’est dévoué corps et âme, mois après mois, au rétablissement de sa femme.

Un ami du couple, Raymond Arsenault, résume dans cette phrase touchante leur courage et la ténacité à toute épreuve de M. Poitras:

"C’est une histoire d’amour!", dit-il.

Hémorragie cérébrale

Le 15 décembre 2008, Madeleine Poitras s’est écroulée dans sa salle de bains, victime d’une hémorragie cérébrale sévère. Conduite à l’Hôtel-Dieu de Lévis, celle-ci a été rapidement transférée en sciences neurologiques, à l’hôpital de l’Enfant-Jésus, afin d’y être opérée sans délai.

"Des complications sont survenues le lendemain de l’opération. Les médecins ont tout essayé. Madeleine ne montrait pas de signes d’éveil ; elle était gavée et sous assistance respiratoire", raconte son mari.

Après un mois, soit à la fin de janvier 2009, le pronostic médical allait dans le sens qu’il n’y avait pas de réhabilitation possible, affirme M. Poitras.

Lourde décision

Ce dernier s’est alors retrouvé face à la terrible décision qu’on débranche sa conjointe.

"C’était tellement dur. Après en avoir discuté avec nos deux filles, on a décidé de se donner encore du temps. Cela fait 35 ans qu’on est ensemble, Madeleine et moi. C’est alors que, dans les quinze jours suivants, j’ai vu de petits signes d’éveil", se rappelle avec émotion M. Poitras.

Dirigée en mars 2009, à l’Hôtel-Dieu de Lévis, Madeleine Poitras ne semblait pas faire plus de progrès.

"On m’a dit : votre conjointe ne retournera pas à la maison. Malgré l’avis des spécialistes, je voulais qu’on donne à Madeleine une chance d’aller en réadaptation."

D’autres obstacles

La détermination de Benoît Poitras a porté fruit, puisque sa conjointe a été admise, en avril 2009, à l’unité de réadaptation de l’hôpital de Charny.

À la fin août 2009, Mme Poitras était de retour chez elle. Son conjoint n’était pas au bout de ses efforts, puisque l’aide du CLSC s’est révélée insuffisante.

M. Poitras a dû devancer sa retraite et multiplier à nouveau les démarches pour obtenir davantage de soutien et un meilleur accès aux services de réadaptation.

"Il ne faut pas se décourager. Il y a toujours une porte de sortie quelque part", philosophe Madeleine Poitras.


http://fr.canoe.ca