Persévérer malgré les erreurs


Tout le monde se trompe tôt ou tard … personne n’est a l’abri de l’erreur, mais ce qui compte ce n’est pas vraiment l’erreur c’est de se reprendre pour arriver a corriger et réussir ce que nous avons entrepris ..
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Persévérer malgré les erreurs

«Le problème n’est pas de se tromper mais de persévérer dans l’erreur en la reconduisant, une fois qu’on a pu tirer les leçons de l’Histoire.»


Jean-François Revel

Le courage


Avoir du courage malgré la peur, malgré la crainte permet d’aller au delà de nos appréhensions pour faire face aux problèmes
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Le courage



Le courage ne se définit pas comme une absence de peur. C’est quand on continue à agir en dépit de sa peur. Le héros a peur, mais il agit quand même.


Paradoxe :
plus nous agissons en dépit de la peur, plus la peur diminue. Et plus nous laissons la peur nous paralyser, plus elle a d’emprise sur nous.

Michel Poulaert

Truc express ► Enlever des taches de jus sur une moquette


Qu’on ai ou non un compagnon qui utilise la crème a raser, c’est un produit très utile pour nettoyer le tapis
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Enlever des taches de jus sur une moquette

Un verre de jus de fruits a été renversé sur votre moquette?

Épongé le jus et appliquez de la mousse à raser sur la tache. Puis nettoyez avec une éponge humide.

Aucune auréole ne devrait subsister..

La semaine/aout 2011/ Trouvailles et astuces/ Séverine Galus

Pour échapper aux vampires, rien ne vaut les vieilles recettes


Il y a des pratiques bizarres et étranges qui persistent a travers les siècles .. La croyances au vampires demeurent fortes dans certaines régions du globe .. Alors on pratiquent encore des moyens inusités pour faire cesser la malédiction
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Pour échapper aux vampires, rien ne vaut les vieilles recettes


Cimetière communal du village de Celaru, Roumanie
Cimetière communal du village de Celaru, Roumanie
Cristina Lica /Evenimentul Zilei


Dans un village du sud du pays, une ancestrale coutume conduit toujours les villageois à planter un pieu dans le cœur des morts pour qu’ils ne reviennent pas les hanter.


Amărăştii de Sus est un village aride d’Olténie [une région du sud du pays], bâti, comme n’importe quel village des plaines, autour d’une longue route centrale bordée de maisons soignées, d’un stade "européen" et de quelques tavernes braillardes. La quiétude du village est cependant troublée par une tradition ancestrale : celle de "tuer" les morts qui se sont transformés en moroi (comme on appelle ici les strigoi, les revenants)
et reviennent hanter leurs proches. En Olténie, ce genre de pratiques ancestrale est plus courante que dans toute autre région.

En 2003, plusieurs villageois du village voisin de Celaru ont déterré un mort qu’ils soupçonnaient s’être transformé en revenant, ils ont arraché son cœur, l’ont brûlé, puis ont bu les cendres avec de l’eau.

L’affaire a fait grand bruit, six personnes ont été reconnues coupables de profanation de sépulture et ont été condamnées à une peine de prison et à payer des dommages moraux à la famille. Aujourd’hui tous les morts d’Amărăşti sont piqués "préventivement" dans le cœur ou le ventre avec des pieux durcis au feu, pour qu’ils "
ne sortent pas de leurs tombes".

Ce dimanche après-midi, quelques voisins d’une partie pauvre du village papotent sur un banc. Le travail ne presse pas, la récolte de blé a été riche, les provisions pour l’hiver sont engrangées et les animaux somnolent. Lorsque les ragots communaux sont épuisés, les discussions prennent un chemin "underground".

"Moi, je n’ai jamais été hantée par les morts parce que je leur ai piqué le cœur à tous, c’est bien comme ça", lance Dumitra, une femme de 71 ans.

Elle ne l’a pas fait elle-même, mais a fait appel à des "intermédiaires" plus habitués, qui savent faire preuve de sang froid. Après la mort, on dit que parfois l’âme du défunt ne se contente pas d’être pleurée durant 40 jours, ou de boire le verre d’eau ou de vin que la famille lui a laissé sur le rebord de la fenêtre, puis de monter au ciel. Dans ces cas, disent les villageois, l’esprit sort de la tombe, devient moroi et retourne à la maison tourmenter sa famille.

Une fois que la boîte de Pandore est ouverte, le flot d’histoires ne tarit plus. La voix du village raconte que c’est pendant les six premières semaines après l’enterrement qu’on voit si le mort est ou non un strigoi. Pendant cette période, si son cœur n’a pas été piqué et qu’il se transforme, il revient la nuit et prend le lait des vaches, la vigueur des hommes, apporte la grêle ou la sécheresse, et va même jusqu’à "se nourrir des siens", c’est-à-dire qu’il entraîne avec lui ceux qui lui sont liés par le sang. Si un parent entend le mort l’appeler, il ne doit surtout pas répondre, car il y perdrait au moins la voix. Si le mort ne donne pas signe de vie pendant quarante jours, alors la famille peut dormir tranquille.

Ioana Popescu, directeur de recherche au
Musée du Paysan Roumain, à Bucarest, dit que de telles pratiques persistent dans les campagnes, où le monde est étroitement concentré autour de la communauté.

"Dans les sociétés traditionnelles, il arrive souvent que pour une raison ou pour une autre, après qu’un membre de la famille ou de la collectivité décède, quelque chose de mauvais se produise. On fait ainsi le rapport avec le mort, pensant qu’il entraîne avec lui les vivants dans l’autre monde ou qu’il revient se venger de ses ennemis". La chercheuse estime que "nous ne pouvons pas juger avec notre mentalité contemporaine une pratique traditionnelle, créée à un moment donné par une mentalité collective".


Avec des particularités suivant la région, la tradition dit que sont destinés à se transformer en strigoi ceux qui sont nés avec un "chapeau"[
des croûtes de lait sur le cuir chevelu], ceux qui ont les yeux bleus, les enfants non baptisés, les morts qui ont fait du mal dans la vie, ceux qui meurent pendus, noyés ou fusillés ou les morts non-veillés sur lesquels passent des chats, des chiens, des souris, des poulets ou d’autres drôles d’oiseaux. D’où la tradition de garder le mort dans la maison et, dans certains endroits, d’enfermer tous les chats pendant ce temps.

Pour empêcher la métamorphose du mort en strigoi, les gens ont développé toutes sortes de pratiques. Au Bihor, dans l’ouest du pays, les veuves dormaient avec des chiffons entre les jambes pour que le strigoi ne revienne pas dans le lit. Ailleurs, on pose sur la poitrine du défunt une pochette de tissu contenant des graines de pavot, ou des cailloux, dans l’idée que les strigoi seront occupés à les compter et ne penseront pas à retourner à la maison. A d’autres, on plantait des clous dans les talons pour qu’ils ne puissent plus marcher ou on leur en remplissait la bouche. Mais la méthode la plus sûre reste de percer le cœur avant l’enterrement…

http://www.courrierinternational.com

N’ajustez plus votre appareil


Qu’est est plus enrageant de mettre le son a un niveau pour écouter une émission et que certaines publicités soient préalablement programmer pour faire valoir leurs produits .. C’est stressant et peut occasionner divers problèmes .. Plusieurs enregistrent tous leurs émissions pour passer par la suite les publicités et d’après moi cela fait perdre l’écoute de ses pubs.. Et de toute façon il y en a trop, nous sommes bombarder de publicité partout  que ce soit dans les médias, internet, journaux, revues, panneaux publicitaires .. c’est rendus une pollution autant pour la vue que pour l’ouïe
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N’ajustez plus votre appareil

 

 

Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes a ...

La Presse Canadienne

Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes a ordonné hier aux télédiffuseurs de baisser le volume des publicités trop criardes.

La décision survient après que le CRTC eut reçu des milliers de plaintes concernant des publicités assourdissantes. Plus de 7000 citoyens ont ainsi répondu par l’affirmative à une question posée en février par le CRTC à savoir si les publicités étaient trop fortes.

Le nombre de réponses était anormalement élevé pour une demande de commentaires du CRTC, et 10 fois plus important que le nombre de plaintes reçues au cours des trois années précédentes.

L’organisme fédéral a donc annoncé hier que les télédiffuseurs devront se plier à sa décision d’ici le 1er septembre prochain.

Le président du CRTC, Konrad von Finckenstein, a expliqué que les plaintes s’étaient accumulées au cours des années.

Selon lui, « les télédiffuseurs ont laissé les téléspectateurs endurer le volume excessif de la publicité », et n’ont pas donné d’autre choix à l’organisme de réglementation que « de fixer des règles précises » pour mettre fin à cette pratique.

« La technologie existe, utilisons-là », a déclaré M. von Finckenstein.

Selon la nouvelle norme, les télédiffuseurs devront s’assurer que les émissions et les publicités sont diffusées au même volume.

Assez de temps

Lors d’une entrevue, M. von Finckenstein a expliqué que le CRTC avait décidé de ne pas aller de l’avant avec une approche volontaire, puisque les diffuseurs avaient eu deux ans pour s’adapter aux normes internationales et n’avaient pas fait grand-chose depuis.

« Ils ont eu amplement de temps », a-t-il dit en entrevue. « Il y a eu un groupe de travail qui s’est penché sur la question pendant plus d’un an, et les diffuseurs n’ont jamais présenté ce qui pourrait ressembler à une solution. »

Le conseil précise que les normes internationales de 2009 pour mesurer et contrôler les signaux télévisuels seront appliquées pour minimiser les variations de volume entre la programmation et les publicités.

Une première version de la nouvelle réglementation sera publiée d’ici la fin de l’année pour que le CRTC puisse recevoir les commentaires de l’industrie et du public.

D’autres pays agissent également dans le même sens. Les États-Unis ont adopté une loi forçant les distributeurs et les diffuseurs à s’adapter d’ici la fin de l’année aux normes du Advanced Television Systems Committee (ATSC).

Mark Richer, président du groupe de Washington, affirme que la plupart des distributeurs américains avaient déjà adopté les normes ATSC avant l’entrée en vigueur de la loi fédérale.

Rogers a écrit au CRTC pour expliquer qu’il tentait de régler le problème avant l’entrée en vigueur des normes, comme l’a fait Radio-Canada.


http://www.cyberpresse.ca

Impôts : Une conférence coûteuse


Une conférence de presse pour annoncer des travaux majeurs a faire c’est normal mais de la a faire des dépenses aussi dispendieuses, pour en faire un spectacle c’est carrément exagérer .. La sécurité, photos, schémas peut-etre raisonnable mais le reste des coûts aurait pu aller a bien d’autres endroit encore plus importants ..
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Impôts : Une conférence coûteuse

Impôts - Une conférence coûteuse

Le 9 novembre 2010, le ministre des Transports de l’époque, Sam Hamad, a participé à une conférence de presse à grand déploiement qui visait à présenter le nouveau projet de reconstruction de l’échangeur Turcot.

© Archives

Jean-Louis Fortin

La conférence de presse-spectacle du ministère des Transports du Québec (MTQ) pour annoncer le projet de réfection de l’échangeur Turcot, le 9 novembre 2010, a coûté près de 100 000$ aux contribuables québécois, a appris le Journal.

Pour l’occasion, Transports Québec avait aménagé un véritable village temporaire au beau milieu de l’immense cour Turcot, qui est d’ordinaire un terrain vague situé à quelques pas de l’échangeur.

Plusieurs chapiteaux avaient été installés, dont l’un pouvait accueillir plusieurs centaines de personnes, là où s’est déroulée la conférence de presse.

Écrans de projection, service de traiteur, agents de sécurité, rien n’a été ménagé pour impressionner les 200 personnes invitées, révèlent des documents obtenus en vertu de la Loi sur l’accès aux documents des organismes publics.

Une vidéo de promotion qui présente le concept retenu par Québec, avec d’impressionnantes animations tridimensionnelles du futur échangeur, avait également été préparée pour l’occasion. Au total, il y en a eu pour 96 442,77 $, et ces frais n’incluent pas les coûts de déplacement des employés gouvernementaux et des élus venus de Québec.


«Inacceptable»

Nicolas Girard, député de Gouin et critique de l’opposition officielle en matière de transports, s’indigne de cette facture.

 

«Le gouvernement Charest s’est surpassé. Il était plus préoccupé par l’image que par l’action», estime-t-il, en entrevue au Journal.

«C’est cher payé pour entretenir le culte de la personnalité de Sam Hamad [qui n’est plus ministre des Transports depuis la semaine dernière]», juge l’élu du Parti québécois.

«Une telle dépense est inacceptable, surtout dans le contexte où l’on invite les Québécois à se serrer la ceinture»,

ajoute Nicolas Girard.

Deuxième version


Selon Guillaume Paradis, porte-parole du MTQ, les coûts ne sont pas exagérés, compte tenu de l’importance de la reconstruction de l’échangeur, qui coûtera 3 milliards de dollars.


«C’était important de faire la conférence de presse à proximité de l’échangeur pour bien expliquer le projet»,
précise-t-il.

Le porte-parole indique aussi que la vidéo de présentation et les animations audiovisuelles ont été réutilisées sur le site Web de Transports Québec par la suite.

La conférence de presse du 9 novembre avait permis au gouvernement de présenter une version revisitée de son projet de nouvel échangeur Turcot, dont la première version avait été sévèrement jugée par le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE).

Ce n’est pas la première fois que le gouvernement Charest s’offre une coûteuse conférence de presse. En avril dernier, l’annonce du plan d’action sur les véhicules électriques, au Centre des congrès de Québec, avait occasionné une dépense de 43000$.

La construction du nouvel échangeur Turcot doit commencer l’an prochain. Le MTQ finalise actuellement les plans et devis définitifs.


* * *

Facture salée

Équipement, traiteur, reprographie, photographe et sécurité: 36 178,77 $

Fond de scène pour la conférence de presse: 2 500 $

Production vidéo, placement, recherche et évaluation, ainsi que frais des firmes de communication: 57 764$

TOTAL: 96 442,77 $


http://fr.canoe.ca

Diane Grégoire vue chez Home Depot


Je ne comprends pas comment il se fait que ca fait depuis 2008 que cette femme est disparu est que c’est juste maintenant qu’un témoin parle … mais qu’est ce qu’on a au Québec de se taire ainsi .. peut etre que ca aurait pu faire une différence
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Diane Grégoire vue chez Home Depot

Diane Grégoire vue chez Home Depot

Crédit photo : Gracieuseté de la famille

Consultez la chronologie de cette affaire


Le jour de sa disparition Diane Grégoire a été vue chez Home Depot aux Promenades St-Bruno par une femme qui affirme qu’elle se comportait comme si elle était droguée et apeurée.

«On a vu une drôle de dame, avec un drôle de comportement qui marchait d’un pas rapide pas loin des caisses. Elle regardait droit devant elle. Elle portait un manteau style Kanuk jaune, ça ne passe pas inaperçu», a relaté la femme à Claude Poirier, mercredi matin, lors du Vrai négociateur sur les ondes de LCN.


Cette dernière est certaine que c’est bien le 31 janvier 2008 qu’elle a croisé à deux reprises Diane Grégoire chez Home Depot, car elle note tout.

«Ça me tracassait et mardi soir, j’ai retrouvé mon agenda 2008. […] J’étais bien dans le magasin avec mon conjoint de 10h30 à 13h15 [ce jour-là] pour faire plusieurs achats.»


Un air bizarre

La femme a raconté qu’elle a reconnu Diane Grégoire aux nouvelles lorsque sa disparition a été médiatisée

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«Mon conjoint et moi avons reconnu la madame
bizarre vue chez Home Depot. J’ai voulu appeler la police ou vous [Claude Poirier], mais mon mari m’a dit:

“On n’a pas le temps, on est dans les rénovations, et elle est peut-être en fuite”.»

«La première fois que je l’ai vue, elle avait l’air droguée pour marcher aussi vite. Elle avait l’air effrayée. La deuxième fois, elle marchait dans une autre allée et un monsieur la suivait à quelques mètres. […] Il n’avait pas l’air d’être un couple qui magasinait, ça m’a sauté aux yeux. Il avait les cheveux gris, 5,8 pi (1,72 m) et il portait un manteau de cuir noir.»


La femme qui s’est entretenue avec Claude Poirier, et qui n’a pas communiqué avec la police à l’époque, a déclaré qu’elle était maintenant prête à parler avec les enquêteurs du Service de police de la Ville de Longueuil pour «faire avancer les choses».


http://tvanouvelles.ca