Sachons admirer la nature et la protéger, il n’y a pas plus beau que le spectacle qu’il nous donne saison après saison
Nuage
La nature
La nature n’est qu’un spectacle de bonté.
Arthur Rimbaud
Sachons admirer la nature et la protéger, il n’y a pas plus beau que le spectacle qu’il nous donne saison après saison
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La nature
La nature n’est qu’un spectacle de bonté.
Arthur Rimbaud
C’est un fait vécu qui enseigne une belle moral .. Ces enfants qui vont a l’école, certains vivent en silence des drames personnelles .. et éprouvent des difficultés a l’école .. Leur apparence ne plait pas ni leur comportement alors qu’il suffit juste de donner une chance que ces enfants peuvent faire toute la différence dans la société
Nuage
Théodore Stoddard
C’était la première journée d’école pour sa classe de 5e année.
Comme beaucoup d’enseignants, elle dit une demi-vérité à ses élèves.
Elle les regarda et leur dit qu’elle les aimait tous de la même façon. Cependant, cela fut impossible car là, dans la première rangée, tout affaissé, était un petit garçon du nom de Teddy Stoddard.
Mme Thompson avait remarqué Teddy l’année auparavant et voyait qu’il ne jouait pas beaucoup avec les autres enfants, que ses vêtements laissaient à désirer et qu’il avait besoin d’un bon bain.
En plus, Teddy pouvait être déplaisant. C’en était venu à un point où Mme Thompson prenait un malin plaisir à corriger ses travaux avec un marqueur rouge large, à écrire des gros X à côté de ses fautes et à y inscrire un gros F en rouge comme note finale.
A cette école, elle devait faire l’analyse du dossier de chaque élève.
Elle remettait sans cesse à plus tard l’étude du dossier de Teddy. Mais lorsqu’elle le fit, elle eut toute une surprise.
L’enseignant de première année de Teddy avait écrit: Teddy est un enfant brillant avec un rire communicatif. Il fait ses travaux avec soin et a des bonnes manières. C’est un plaisir de lui enseigner.
Son enseignant de deuxième avait écrit :
Teddy est un élève remarquable. Les autres étudiants l’aiment tous. Cependant il est troublé car sa mère a une maladie grave et la vie chez lui doit sûrement être une épreuve.
Son enseignante de troisième avait écrit:
La mort de sa mère l’a beaucoup ébranlé. Il essaie de faire de son mieux mais son père ne lui montre pas beaucoup d’intérêt. Sa vie familiale va l’affecter tôt ou tard si des correctifs ne sont pas apportés chez lui.
L’enseignant de quatrième avait écrit :
Teddy est renfermé et ne montre pas beaucoup d’intérêt à l’école. Il n’a pas beaucoup d’amis et parfois il dort en classe.
Mme Thompson comprit le problème et elle eut honte d’elle-même.
Elle se sentit encore pire lorsque ses élèves lui apportèrent des petits cadeaux de Noël enveloppés dans du beau papier tandis que Teddy lui apporta un cadeau enveloppé maladroitement dans du gros papier brun de sac d’épicerie.
Quand elle l’ouvrit, certains enfants se sont mis à rire lorsqu’elle y trouva un bracelet bon marché ayant des morceaux manquants et une bouteille de parfum remplie au quart. Mais elle a fait taire les rires des enfants lorsqu’elle dit qu’elle adorait le bracelet, l’enfila et se mit du parfum au poignet.
Teddy Stoddard est resté ce jour-là après la classe, juste assez longtemps pour dire :
– Mme Thompson, aujourd’hui, vous avez senti pareil comme ma mère le faisait.
Une fois les enfants partis, elle pleura pendant plus d’une heure. A partir de ce jour, elle arrêta d’enseigner à lire, à écrire et à calculer. A la place, elle commença à vraiment enseigner aux enfants. Elle donna une attention particulière à Teddy.
En travaillant plus avec lui, son esprit sembla s’éveiller. Plus elle l’encourageait, plus vite il répondait. A la fin de l’année, Teddy était devenu l’un des enfants les plus brillants de la classe. Malgré son mensonge qu’elle aimerait tous les enfants pareillement, Teddy était devenu son préféré.
Un an plus tard, elle trouva sous sa porte, une note avec une rose de Teddy lui disant qu’elle était la meilleure enseignante qu’il n’avait jamais eue.
Il se passa six ans avant qu’elle ne reçoive une autre note avec une rose de Teddy.
Il lui a alors écrit qu’il avait fini le secondaire, le troisième de sa classe, et qu’elle était toujours la meilleure professeure qu’il n’ait jamais eue.
Quatre ans plus tard, elle reçut une autre lettre avec une rose disant que, même si la vie était parfois dure pour lui, il était resté aux études et qu’il graduerait bientôt du cégep avec les notes les plus hautes et avec distinction.
Il lui assura qu’elle était toujours la meilleure professeure qu’il n’avait jamais eue.
Ensuite quatre autres années ont passé et une autre lettre avec une rose arriva. Cette fois il expliquait qu’il avait reçu son baccalauréat à l’Université de Montréal et qu’il décidait de continuer à étudier.
La lettre expliquait qu’elle était toujours la meilleure professeure et de loin sa préférée. Maintenant son nom était un peu plus long.
Il signa : Théodore Stoddard MD.
L’histoire ne se termine pas ici, car je tenais vraiment à en mettre un peu plus 😉
Il y eut une autre lettre cet hiver, toujours avec une rose. Teddy écrivit qu’il avait rencontré une fille et qu’ils allaient se marier au printemps. Il expliqua que son père était décédé il y avait de cela quelques années et il demanda si Mme Thompson voudrait bien prendre la place de sa mère lors de la noce.
Bien sûr qu’elle accepta. Et savez-vous quoi ? Elle porta le fameux bracelet et aussi le parfum que sa mère portait le dernier Noël que Teddy avait passé avec elle.
Ils s’enlacèrent et Dr. Stoddard chuchota à l’oreille de Mme Thompson :
– Merci, Mme Thompson, d’avoir cru en moi. Merci énormément de m’avoir fait sentir important en me montrant que je pouvais faire une différence.
Mme Thompson, les larmes aux yeux, chuchota à son tour :
– Teddy, tu te trompes. Tu étais celui qui m’a enseigné que je pouvais faire une différence. Tu vois, je ne savais pas comment enseigner avant de te connaître.
J’ai reçu cette lettre par courriel. Je l’ai trouvée si belle et si touchante tout en me faisant réfléchir sur les valeurs de la vie que j’ai eu envie de la partager avec vous tous.
Auteur inconnu
Tomber dans le panneau … tout le monde connait cette expression et la vécu une ou plusieurs fois .. cette expression nous viens des animaux lors de la chasse
Nuage
Tomber dans le panneau
Se faire avoir, être piégé
Cette expression se rapporte métaphoriquement à la chasse.
En effet, un panneau, pour un chasseur, est un filet tendu sur le passage du gibier.
Sur tout un espace repéré préalablement comme emprunté par des oiseaux, ou du petit gibier (lapins, lièvres…), on tend un filet à l’aide de piquets. Lorsque le gibier convoité est arrêté par le filet, on le fait retomber pour qu’il emprisonne les animaux malchanceux qui n’avaient rien repéré.
Ainsi, une personne qu’on dit être tombée dans le panneau n’aura pas vu le piège vers lequel on l’a adroitement mené.
Celui-ci peut avoir des conséquences légères et relever d’une bonne blague, comme être de nature bien plus dramatique… à l’image du gibier…
http://www.francparler.com
Pendant que la majorité d’entre nous dors .. des animaux en profitent pour errer ici et là évitant surement des prédateurs
Nuage
Ces animaux qui vivent la nuit
La chouette hulotte
© Fabrice Simon – Galerie Photo
Plutôt discret, le blaireau ne quitte son terrier que la nuite venue.
© Gaetan Marcel Martinez – Galerie Photo
Le crapaud, son chant caractéristique s’entend à la tombée de la nuit,
© Stéphane Marx – Galerie Photo
Le rat des moissons
© Stéphane Marx – Galerie Photo
Le hibou Grand Duc
© Gilles Oster – Galerie Photo
Le lapin de Garenne sort de son terrier principalement la nuit, ou au crépuscule.
© Marc Hérisson – Galerie Photo
La rainette verte est en pleine activité la nuit
© Stéphane Marx – Galerie Photo
Forestier et discret, le lynx est crépusculaire et nocturne
© Stéphanie Archambault – Galerie Photo
Plutôt solitaire, le tatou est strictement nocturne
© Jean -Claude Alary – Galerie Photo
Le tarsier, nocturne il dort une bonne partie de la journée et part en chasse à la tombée de la nuit.
© Alice Aubert – Galerie Photo
Bien que le diable de Tasmanie soit un animal nocturne, il aime se reposer au soleil pendant la journée
Je suis septique avec ce genre de procéder pour soigner les chats et les humains du Sida …Ajouter des gènes d’une espèce animale complètement différente m’apparait risqué pour l’avenir
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Clinique Mayo
Chats lumineux pour lutter contre le sida
Crédit photo : Clinique Mayo
Des chats luminescents pourraient devenir des éléments-clés dans la recherche sur le sida des chats et des humains.
Des chercheurs de la Clinique Mayo aux États-Unis ont modifié les gènes de ces félins en introduisant des gènes de singe dans les ovules d’une chatte avant la fécondation.
Ces gènes de primates sont reconnus pour bloquer les infections du VIH des chats similaire au VIH humain.
L’équipe de scientifiques a aussi introduit un gène de méduse afin de suivre l’évolution du virus, et c’est ce gène qui rend les chats phosphorescents dans le noir.
Les chercheurs ont fait savoir que les tests
montrent que les gènes modifiés chez les félins empêchent le virus de se répandre.
Ce genre d’aventure pour des jeunes ayant des problèmes, des décrocheurs, et autres .. qui mérite d’être soutenue .. car passer 6 mois dans une forêt a l’état brute c’est d’apprendre la vie avec ses embuches, ses aléas sans être en mesure de les contournés .. malheureusement ce genre de projets le gouvernement veut couper les vivres … alors que je pense que c,est un moyen de redonner une chance aux jeunes pour évitez de rentré dans le système carcéral et sociaux … Un jeune qui se prend en main .. c’est payant même pour le gouvernement
Nuage
Jeunes en difficulté: dans le bois pour sortir de la forêt
L’expédition En marche est un projet créé par la coopérative Vallée Bras-du-Nord de Portneuf. L’activité en forêt, d’une durée de cinq jours, a un effet sur les jeunes, elle les rend plus forts, ça agrandit leur zone de confort, et ils se connaissent davantage.
Richard Boucher
Sophie Gall
Le Soleil
(Québec) La forêt de la Seigneurie-du-Triton, en Mauricie, a été le terrain d’une sacrée expédition cet été. Huit jeunes un peu malmenés par la vie et quelques accompagnateurs y ont passé cinq jours en autarcie pour une aventure thérapeutique. Au programme : canot, portage et pieds mouillés. Il y aurait même eu une chicane au milieu d’un lac. L’histoire ne dit pas si c’était à coups de rames ou à coups de noms d’oiseaux.
Joé Juneau faisait partie de cette équipée. Le Triton, il le connaît bien. Non seulement, il le foulait du pied quand il était enfant, mais avec quelques concitoyens, il s’est battu pour que cette forêt, dernier territoire vierge et mixte du Québec abritant une biodiversité remarquable, soit déclarée aire protégée par le gouvernement du Québec.
C’était en 2006. Aujourd’hui, 400 km2 sont protégés provisoirement, «jusqu’à ce qu’il y ait une officialisation par le Conseil des ministres» précise M. Juneau.
«C’est une aire protégée, c’est pas un parc, pas une zone d’exploitation contrôlée, c’est la forêt à l’état brut, y a pas de barrière, pas besoin de payer pour y aller!»
Voilà la fierté de Joé Juneau. «Et y en a qui ont compris qu’un arbre à la verticale peut être aussi rentable qu’un arbre à l’horizontale.»
Cette rentabilité verticale de l’arbre se mesure par l’effet social et éducationnel que l’expédition de cinq jours en forêt a eu sur les jeunes en difficulté. Tout un pied de nez aux forestières.
L’expédition En marche est un projet de la coopérative Vallée Bras-du-Nord, un organisme de Portneuf qui, depuis 2002, oeuvre pour la réinsertion socioprofessionnelle de jeunes entre 16 et 25 ans qui connaissent diverses problèmes.
Les jeunes sont accueillis pendant six mois, période pendant laquelle ils travaillent dans le domaine récréoforestier et se frottent aux contraintes du monde du travail tout en étant épaulés par des professionnels de l’éducation.
Aventure thérapeutique
L’expédition est une parenthèse au milieu de ces six mois.
«C’est une aventure thérapeutique, mais c’est pas une thérapie», précise Étienne Beaumont, directeur adjoint de la Coop Vallée Bras-du-Nord. Y a pas de psychologue avec nous, on se sert de la nature comme levier d’intervention. On a fait un parcours linéaire de lac en lac en canot-portage. C’était difficile, fallait porter tout notre stock et les canots. Ça n’a pas été long que les jeunes se sont ennuyés de leur iPod!»
Le niveau de difficulté élevé de cette expédition est important, car ces jeunes ont souvent l’habitude d’appréhender la vie en prenant des chemins de traverse pour esquiver les embûches.
«Dans la forêt, y en pas, de chemin plus facile», raconte Joé Juneau, qui participait au projet pour la première fois. «Notre zone de confort est loin derrière nous, alors pour affronter tout ça, faut avancer en équipe, et ça, ça s’apprend.»
Les deux premiers jours de l’expédition ont été éprouvants.
De l’aveu d’Étienne, «c’était le chaos, c’était pas une équipe, c’était un paquet de nombrils.»
Et Joé confirme : «Certains se disaient incapables de porter le canot et le déposaient sur le bord du chemin, d’autres boudaient, un portage qui devait durer 15 minutes en a pris 45. Mais fallait pas qu’ils s’attendent à ce que ce soit facile, ça ne l’est pas, c’est comme la vie.»
À l’issue des deux premières journées, le groupe s’est réuni, et les langues se sont déliées. Les expériences, les inquiétudes, les frustrations, les peurs ont été verbalisées. La fatigue était là. Mais au fil des discussions, tous ont compris que la fatigue des uns et des autres pouvait être diminuée si l’équipe prenait le dessus sur l’individu.
«Le lendemain, au réveil, il y avait une autre dynamique. Ça prenait ces deux jours d’adaptation. Puis il y a eu une gradation dans le plaisir, la satisfaction et la fierté», se souvient Joé Juneau.
Pour ce dernier, aider les jeunes à raccrocher à l’école, à raccrocher à la vie est un but. Son projet de hockey pour les jeunes du Nunavik pour les inciter à raccrocher à l’école en est un bon exemple. Et ça fonctionne bien.
«C’est important, parce que les jeunes, c’est le futur», dit Joé Juneau. Le raccrochage par une immersion en forêt, c’était une première, et il espère que l’expérience perdure. «Ça a été très positif.»
Pour Étienne Beaumont, une chose est essentielle : cette expédition doit outiller les jeunes pour leur quotidien.
«La vie, c’est une grande expédition. Là où les jeunes auront puisé pour surmonter les difficultés vécues lors de l’expédition, c’est là qu’ils iront puiser quand ils vivront des moments plus durs dans la vie», ajoute Étienne.
L’expédition rend les jeunes plus forts, ça agrandit leur zone de confort, ils se connaissent davantage.
«Ce qu’ils accomplissent lors de l’expédition, ce n’est pas forcément des acquis, précise Étienne, mais c’est une référence de succès. Des succès, ils en ont pas eu beaucoup dans leur parcours. Parfois ils se réfèrent très vite à ce bagage, parfois ça prend quelques années.»
Ce bagage que les jeunes se constituent est bien rempli : effort, émerveillement, patience, confiance en soi, confiance en l’autre, détermination, persévérance, rencontre et gestion de nouvelles émotions. Des ressources précieuses au cours d’une vie.
Des résultats
À l’issue de l’expédition et des six mois de travail à la Vallée Bras-du-Nord, certains ados retournent à l’école, diminuent ou cessent leur consommation, s’éloignent d’un mauvais entourage… Tout ça en plus des différentes compétences professionnelles acquises.
Malgré cela, le gouvernement fédéral vient de couper les vivres à l’organisme.
«On travaille avec des jeunes qui sont d’éternels décrocheurs ou qui sont déjà sur le bien-être social, on en fait des gens travaillants, compétitifs, on en fait des payeurs de taxes. Parce qu’on a été coupés, on n’a pu encadrer que huit jeunes cette année, alors qu’à la réunion d’information, y avait une vingtaine de jeunes pockés, tempête Étienne. Qu’on vienne pas me dire que c’est pas un investissement!» C’est ça la fameuse valeur socioéconomique de l’arbre à la verticale…
Au troisième jour de cette aventure estivale, une équipe de tournage de TV5 a rejoint l’expédition pour faire un reportage. Elle est arrivée en retard, retardant de trois heures le trajet prévu ce jour-là. Ça a agacé un peu tout le monde, mais tous sont passés par-dessus ce contre-temps. Les caméras ont filmé. Allumez vos télés à partir du 16 novembre à 19h30, pour l’émission Les guérisseurs.
Je n’aime pas vraiment faire mention de produits spécifiques, mais sachant que le sujet pourrait intéressé certaines personnes … j’ai même mit la vidéo de Vichy. Même, si je n’ai jamais vraiment eu ce genre de problème autant adolescente qu’adulte du moins pour le moment, je sais que ce problème occasionne des malaise chez la femme
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L’acné adulte
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Isabelle Dallaire, est à la barre du blogue Secrets ID
Comme ce n’est pas drôle de faire de l’acné passé l’adolescence. On se demande pourquoi ces maudits boutons continuent de nous pourrir la vie alors qu’on n’est plus une gamine, on est une femme!
Et le pire, c’est que certaines femmes n’ont eu absolument aucune acné plus jeune, et que tout à coup ça bourgeonne.
Voici ce qu’il y a à savoir sur ce type d’acné, qui préoccupe beaucoup plus qu’avant, et des exemples de gammes spécifiques.
Pas encore de solution miracle
Le problème avec l’acné adulte, c’est qu’on ne connaît pas parfaitement sa cause principale. Il existe des facteurs certes, mais comme il n’y a qu’une dizaine d’années qu’on se penche plus en profondeur sur la question en termes scientifiques, on devra attendre encore un peu avant d’avoir la solution miracle.
En attendant, les facteurs en question sont l’hygiène, le stress, le type de peau et les variations hormonales.
Côté hygiène, quelqu’un qui ne se lave pas bien le visage, ou par exemple qui se démaquille mal, ou pire, qui ne se démaquille pas avant d’aller au lit, peut aggraver l’acné adulte. Les choix de produits cosmétiques entrent aussi dans cette catégorie. Une crème mal adaptée, ou encore de mauvaise qualité, peut faire réagir la peau, qui va faire des boutons.
L’hygiène de vie entre aussi dans cette catégorie. Une bonne nuit de sommeil d’au moins huit heures peut faire une différence sur la qualité de notre peau. Boire suffisamment de liquide et manger santé. Par contre, à ce jour, aucune étude ne prouve que la malbouffe aggrave les cas d’acné. Cependant, c’est différent pour la caféine et les cigarettes. La caféine peut dans certains cas aggraver les poussées d’acné, tandis que la cigarette est prouvée comme facteur de l’acné. Les cas d’acné sont plus sévères chez les fumeurs, et les traitements contre l’acné sont moins efficaces chez ceux-ci.
Quand au stress, il est le mal du siècle, alors comme il est responsable de bien des maux, on n’est pas surprise de savoir qu’il peut influencer l’état de notre peau.
Les hormones
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Au niveau hormonal, c’est facile à vérifier. Plusieurs femmes vont avoir de quelques boutons à une poussée d’acné avant ou pendant leurs règles, et le reste du mois, tout baigne. Donc, tout ce qui peut faire varier les hormones peut donner de l’acné si vous êtes prédisposée: contraception, grossesses, règles, etc.
Le type de peau, c’est simple: les peaux grasses ont plus tendance à faire des comédons et boutons que les peaux plus sèches.
L’acné adulte est différente de l’acné juvénile. Les boutons poussent à des endroits différents, et sont eux-mêmes différents. Ils seront en général plus rouges et auront tendance à se concentrer au niveau du menton et des mâchoires, et ce même s’il en apparaît ailleurs sur le visage et le corps.
La bonne nouvelle, c’est qu’avec de la patience, l’acné disparaîtra avec l’âge: plus on est vieux, moins on a d’acné. Pourquoi? Parce qu’en vieillissant, les glandes sébacées (qui produisent le sébum, le gras dans notre visage) vont s’atrophier, et ainsi produire de moins en moins de sébum. C’est donc assez rare qu’on retrouvera une personne âgée avec de l’acné. Alors, passé la cinquantaine, vous pourrez probablement oublier ces indésirables que sont les boutons.
Que faire en attendant?
Une chaîne de pharmacies (un peu comme les parapharmacies en France) québécoise a créé une vidéo, en partenariat avec Vichy, et je trouve qu’elle résume bien les traitements. La voici:
Donc effectivement, il est possible de traiter l’acné. Pour la faire disparaître à jamais, pas nécessairement, mais pour la contrôler, c’est tout à fait possible.
Les meilleurs traitements pour l’acné adulte sont ceux qui contiennent des agents efficaces contre l’acné, tout en n’étant pas agressifs pour la peau.
Ce qu’il faut faire
◦ Nettoyer la peau deux fois par jour avec un gel nettoyant ou une mousse nettoyante qu’on rince à l’eau, sans savon, conçu pour les peaux acnéiques. On évite les laits nettoyants, car ils peuvent laisser des résidus à la surface de la peau.
◦ On évite d’exfolier agressivement ou de trop frotter la peau (ou de la laver trop souvent). Cela peut aggraver l’acné, en stimulant les glandes sébacées et en dispersant les bactéries sur une plus grande surface.
◦ Faire suivre d’un tonique (ou lotion), qu’on passe dans le visage avec une rondelle de coton ou une ouate, toujours deux fois par jour.
◦ Terminer avec un soin hydratant traitant, conçu pour les peaux acnéiques. Même une peau très grasse et acnéique a besoin d’être hydratée et protégée.
◦ L’idéal est de demander de l’aide afin de trouver un soin qui convient aux peaux adultes, tout en traitant l’acné, c’est à dire un soin qui n’est pas trop agressif pour la peau. Les plus fréquents sont ceux à base d’acide salicylique, de trétinoïde, de lipohydroxyacide, d’acide glycolique, de rétinol ou de peroxyde de benzoyle.
◦ Si vous aves besoin d’un traitement plus intense, utilisez-le le soir. Le jour, optez pour un soin plus doux pour la peau.
◦ N’allez jamais au lit sans avoir parfaitement nettoyé votre peau. Assurez-vous d’avoir une taie d’oreiller propre également.
◦ Si vous vous maquillez, choisissez du maquillage sans huile, non parfumé, non comédogène, hypoallergène et qui ne contient pas d’agents occlusifs. Et dans un monde idéal, conçu pour les peaux acnéiques. Hé oui, ça existe… ;o) D’ailleurs, en parlant de Vichy, on retrouve le Fond de teint Normaderm en plus des soins visage.
◦ Si vous avez une acné sévère et que les traitements topiques ne fonctionnent pas après quelques mois (2-3 pour commencer à voir une différence), consultez un dermatologue, il se peut que des traitements sous prescription soient nécessaires.
Exemples de gammes de produits en vente libre contre l’acné convenant aux adultes:
◦ Vichy Normaderm
◦ Bioderma Sébium
◦ La Roche-Posay Effaclar
◦ Avène Cleanance
◦ Etc.
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Crédit photo : Agence QMI
Rebondissement majeur dans l’enquête portant sur la mystérieuse disparition de Diane Grégoire: la mère de famille de 51 ans aurait été assassinée et son corps pourrait avoir été brûlé dans un incinérateur de carcasses animales, en Montérégie.
En point de presse lundi après-midi, le Service de police de Longueuil a confirmé que le dossier de Diane Grégoire, dont la disparition remonte au 31 janvier 2008, est maintenant traité comme une histoire d’homicide.
Des recherches sont actuellement menées sur la ferme porcine Shefford, à Saint-Valérien-de-Milton, en Montérégie, relativement à cette affaire.
Les enquêteurs s’affaireront à «tamiser manuellement la terre des champs» situés près de cette ferme, a déclaré Gaétan Durocher, responsable dans le dossier. M. Durocher a ajouté que les fouilles risquent de durer plusieurs semaines, lors d’un point de presse qui s’est tenu lundi après-midi. Tracteurs et pelles mécaniques ont été déployés pour les recherches.
Les policiers portent également une attention particulière à un bâtiment où se trouve un incinérateur à carcasses d’animaux. Ils ont des raisons de croire que le meurtrier de Diane Grégoire aurait peut-être voulu se débarrasser du corps en l’incinérant. «C’est une forte possibilité», a admis l’agent Durocher.
Selon l’agent Durocher, de la police de Longueuil, les fouilles ont pour but de trouver des particules de vêtements ou des morceaux d’ossements pour fins d’analyse.
Une information transmise par un témoin important aurait fait progresser le dossier dans cette voie.
(Crédit photo: Agence QMI)
Le Service de police de Longueuil a précisé que «rien ne laisse croire qu’un employé ou un responsable de cette ferme soit responsable de cette disparition».
(Crédit photo: Agence QMI)
Un corps retrouvé?
La nature des nouvelles informations transmises aux policiers est inconnue pour le moment.
(Crédit photo: Agence QMI)
Diane Grégoire a été vue pour la dernière fois par son mari, Paul Laplante, dans le stationnement des Promenades Saint-Bruno. Le couple s’était donné un point de rencontre en fin d’après-midi, mais Mme Grégoire, alors âgée de 51 ans, ne s’est jamais présentée.
Les policiers ont rencontré à plusieurs reprises M. Laplante, un témoin important dans ce dossier, et ils lui auraient demandé de se soumettre au test du polygraphe, ce qu’il aurait refusé.
Depuis trois ans, plus de 300 informations ont été recueillies tant par les enquêteurs que par le comité de recherche qui s’est formé à la suite de la disparition. Les autorités ont notamment effectué des recherches à proximité des Promenades Saint-Bruno et à Saint-Liboire, près de Saint-Hyacinthe en Montérégie, où demeurait le couple.
Les proches de la famille Grégoire n’ont pas souhaité commenter les nouveaux développements dans ce dossier, mais disent espérer que le corps soit retrouvé et que justice soit faite pour pouvoir faire un deuil plus serein.
(Crédit photo: Agence QMI)
(Crédit photo: Agence QMI)