C’est une bien grande piscine .. avec plus de vie qui grouille dedans
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La plage
« En vacances, alors que nous arrivions à la plage avec mon cousin,contemplant les alentours, il me dit :
"
La mer, c’est comme la piscine mais y a pas de coins ! " »
Sasha 3 ans
Quelques fois la colère aide a faire bouger les choses, mais ce n’est pas toujours le cas … quand nous sommes trop colérique il est important de chercher des moyens pour déplacer cet état une émotion plus constructive pour soi et pour les autres. Sinon mieux vaut se taire ou s’écarter de la cause pour un certains temps … cela peut faire toute la différence
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La colère est parfois nécessaire à la survie.
Mais si elle nous détruit (et les autres) ?
Ne faudrait-il alors pas évaluer le sens réel de ces colères, peut-être mal maîtrisées ?
Elle mène à des comportements désordonnés et nous pouvons devenir destructeurs. Reconnaissez votre colère et sachez qu’il n’est pas toujours …nécessaire d’extérioriser nos pensées. Nous pouvons décider de communiquer différemment
Michel Poulaert
Un autre bon truc qui la première fois sera un peu plus de travail, mais les fois suivante, nettoyer les murs et côtés des comptoirs de cuisine qui entourent la cuisinière sera un jeu d’enfant
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Derrière la cuisinière
Des vilaines surprises se cachebt derrière la cuisinière lorsque vous la déplacez pour un ménage un peu plus approfondi que d’habitude !
Lavez d’abord soigneusement, avec un nettoyant dégraissant, le mur et le côté des comptoirs de cuisine qui entourent la cuisinière.
Appliquez ensuite sur ces surfaces une bonne couche de cire destinée aux meubles.
Au prochain nettoyage, les taches de graisse disparaîtront facilement à l’aide d’un simple essuies-tout, car la cire aura servi de répulsif
7 jours/Les meilleurs truc de Madame Chasse-taches/Louise Robitaille/sept 2011
Avant de manger de la viande synthétique je deviendrais végétarienne voir végétalienne, il y a une ligne qu’on en doit pas dépasser .. On voit bien que vouloir changer la nature elle même ont fini qu’on paie le prix assez fort
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Ça fait au moins une quinzaine d’années que les chercheurs (surtout aux États-Unis, aux Pays-Bas et en Norvège) planchent sur une viande artificielle, et il semblerait que la réalité rattrape tranquillement la science-fiction.
D’après le magazine New Scientist, des scientifiques hollandais de l’Université Maastricht ont récemment affirmés qu’ils seront capables de faire des saucisses synthétiques à l’aide de cellules de cochon d’ici six mois. Quant à la viande pour hamburgers, elle est prévue pour l’an prochain!
Seriez-vous prêts à manger de la viande de synthèse? L’idée, que je trouve farfelue, aurait comme but de contribuer à nourrir les pays émergents et de diminuer l’empreinte écologique de l’industrie du bétail. Selon le journal britannique The Telegraph, cette industrie ne sera bientôt plus en mesure de fournir la population mondiale toujours en croissance… Mais du point de vue éthique, une viande de laboratoire comestible reste discutable. Le journal Le Parisien affirme que la fabrication du premier hamburger de synthèse coûtera plus de 250 000 euros (346 00 cad) De plus, le goût et la couleur restent un problème pour les scientifiques, la commercialisation n’est donc pas pour tout de suite!
La question que je me pose: alors qu’on assiste à l’émergence de supermarchés bio, qu’on prône le végétarisme et qu’on pointe du doigt les produits génétiquement modifiés, pourquoi s’acharner sur une viande synthétique? L’une des solutions ne serait-elle pas de diminuer notre consommation?
Qu’en pensez-vous? Seriez-vous prêts à abandonner la viande plutôt qu’en manger une version synthétique?
Ceux qui utilisent Facebook ou même d’autres réseaux sociaux … il y a des règles a suivre pour profiter positivement ce genre d’outils de rencontre. Il faut faire attention a ce qu’ont dit et ce que l’ont met sur nos pages personnelles .. afin que d’autres ne profite pas de nos informations ..
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Facebook, le temple de l’amitié virtuelle. Plaisant, ludique, pratique? Oui, mais attention, tout n’est pas permis sur les réseaux sociaux. Voici 7 règles pour être une amie virtuelle en or.
On a demandé à Diane Bourque, spécialiste des réseaux sociaux, de nous aider à établir quelques règles à respecter pour être une amie agréable et avertie dans nos amitiés virtuelles.
1. On ne publie pas les photos de nos amis sans leur permission
De la même façon qu’il ne nous viendrait pas à l’idée d’envoyer une photo de notre copine Marie à tous les gens qu’on connaît sans la consulter! On n’oublie pas que la Marie en question a sûrement envie d’avoir un droit de regard sur la photo que l’on veut publier.
Ça s’appelle le droit à l’image et il est important que chacun garde le contrôle de la sienne.
2. On fait attention aux documents que l’on partage
Envie de partager une vidéo de vacances en famille ou des photos de notre nouvelle maison?
Libre à nous, mais Diane Bourque nous rappelle que même si les photos et les vidéos que nous partageons sur le réseau nous appartiennent en tant qu’auteur, Facebook détient une sous-licence qui lui permet d’utiliser éventuellement ce contenu!
Ce qui signifie que le jour où on décide de supprimer notre photo ou vidéo, elle n’apparaît plus sur notre page; par contre, il suffit qu’un de nos amis l’ait partagée pour qu’elle reste dans les mannes du réseau…
3. On reste respectueux et décent.
Même en blague, les insultes et les photos qui en dévoilent un peu trop sont susceptibles d’être immédiatement supprimées par Facebook, voire de mener à un bannissement du réseau pour infraction à la politique d’utilisation.
Diane Bourque précise que le réseau interdit la publication de contenu haineux, diffamatoire, pornographique ou incitant à la violence et à la consommation de stupéfiants. Elle invite les utilisateurs à aider l’équipe de sécurité du réseau en signalant les contenus qui paraissent suspects.
Facebook n’est pas plébiscité que par les adultes, de plus en plus de jeunes (de moins de 15 ans) ont un compte et sont donc susceptibles d’être exposés à ces contenus
4. On limite le dévoilement d’informations privées
Diane Bourque recommande la prudence:
«On ne partage rien qu’on considère "top secret", même si on interagit sur des forums privés et sécurisés. Les renseignements qu’on y divulgue peuvent être recopiés par d’autres (amis, amis de vos amis).»
Elle nous rappelle aussi que les seules informations requises à l’ouverture d’un compte Facebook sont le nom, l’adresse courriel, le sexe et la date de naissance. Rien ne nous oblige à remplir les autres champs comme les opinions politiques, la religion, le lieu de résidence, etc.
5. On respecte la vie privée de ses enfants
On demande à son ado d’être notre ami Facebook?
Cas numéro 1: il refuse! Bon, on respire par le nez et on rationalise. Oui, il nous aime toujours, non, il ne nous raie pas complètement de sa vie! L’utilisation du réseau par les adolescents est souvent bien plus active et personnelle que celle de l’adulte averti. Sa page Facebook devient une sorte de journal intime public, auquel il est légitime qu’il ne nous laisse pas accéder.
Cas numéro 2: il accepte! On savoure cette petite victoire qui nous fait nous sentir plus proche de lui, mais on ne lui fait pas regretter sa décision en laissant des commentaires sous chacune de ses photos (du type: « C’est ça que tu fais la fin de semaine avec tes amis ? Je ne te félicite pas!») ou chacun de ses statuts («Ça va pas mon chou? Tu sais que tu peux tout dire à maman…»). On lui fait confiance et on le traite en adulte! On évite de l’infantiliser publiquement ou, pire, de la jouer «ami-ami». Et on n’oublie pas que même si on est son ami sur Facebook, on reste un parent.
Diane Bourque souligne que les adolescents sont ceux qui utilisent le plus (et le mieux!) les paramètres de confidentialité du réseau…
6. On accepte uniquement des gens que l’on connaît comme amis
Ça paraît logique dit comme ça, et pourtant, la politesse peut parfois pousser à accepter l’invitation d’un ami d’ami… qu’on a même jamais rencontré!
Même si on n’interagit pas avec cette personne, dès qu’elle fait partie de notre cercle «d’amis», elle a accès à tout ce que l’on partage. Il est donc préférable de décliner ce type d’invitations.
Autrement, on peut limiter l’accès de cet «ami» à nos publications (statuts, photos, vidéos, etc.) en allant modifier les paramètres de confidentialité de notre compte, en haut à droite de la page.
7. On contribue à l’esprit convivial de Facebook
«Facebook est un endroit vraiment sympathique pour suivre la vie des gens que l’on aime.
C’est un réseau où l’on peut s’amuser, s’informer et recevoir des nouvelles de toutes sortes», souligne notre spécialiste. Il est important de le rappeler, car si ce réseau permet de retrouver plus facilement des gens qu’on aime, il permet, à l’inverse, de retrouver la trace de personnes qui ne nous ont pas laissé un bon souvenir… Inutile de ruminer une vieille colère et d’utiliser Facebook pour régler un différend qui pourrait raviver des tensions «virtuelles», mais dégénérer pour vrai! On reste léger et positif vis-à-vis de ce média.
C’est dans cet esprit qu’il a été conçu et c’est ainsi qu’il est le plus agréable à utiliser.
Moi, qui a peur du feu et avec raison .. pour avoir subit 2 feux en pleine nuit dont un des feux étaient après avoir allumer une lampe un coup circuit dans les fils au mur il y a plus de 20 ans, le moindre doute j’en dors pas de la nuit …Alors, une ampoule qui fume voir se carbonise, c’est rien pour me rassurer
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Une ampoule qui carbonise, c’est normal!
Photo: Réjean Poudrette
Par Stéphan Dussault
À la fin de sa vie, une ampoule flucompacte peut fumer, jaunir, carboniser ou se déformer.
Récemment, le photographe Réjean Poudrette a eu toute une frousse chez lui. Il a d’abord senti une odeur de brûlé provenant du sous-sol. En s’y rendant, il a cru voir une flamme au plafond. C’était l’ampoule fluocompacte qui rendait l’âme de bien étrange façon.
«J’ai éteint la lumière, retiré l’ampoule avec une guenille et écrit au fabricant», relate-t-il.
La réponse de Globe Electric l’a presque aussi secoué que sa mésaventure avec l’ampoule.
«Ces caractéristiques peuvent paraître dangereuses, mais sachez que ce ne sont pas des risques d’incendie, lui a-t-on répondu. Ces ampoules, quel que soit le manufacturier, peuvent émettre une fumée ou une odeur de plastique. De plus, leur base peut jaunir, carboniser ou même se déformer quelque peu.»
Habituellement sans danger
Pas de quoi fouetter un chat, en somme. La plupart du temps en tout cas. Car il est vrai que les ampoules fluocompactes peuvent parfois émettre de la fumée et noircir à la fin de leur vie utile. Il s’agit d’une caractéristique connue, et même un organisme de certification comme Underwriters Laboratories(UL), qui évalue entre autres la sécurité des produits, n’y voit généralement pas de risques d’incendie.
Sauf dans les cas où… il y a réellement danger d’incendie. En 2004, Globe Electric a rappelé des ampoules fluocompactes qui risquaient justement de mettre le feu. Une de leurs pièces n’avait pas obtenu la certification des UL. Mais il s’agissant d’ampoules de 13 watts, alors que celle de Réjean Poudrette était de 23 watts. Aux États-Unis, plusieurs rappels d’ampoules fluocompactes dangereuses de d’autres fabricants ont eu lieu depuis quelques années.
Cela dit, aux yeux du simple utilisateur, la question demeure sans réponse: à quel degré de carbonisation faut-il commencer à s’inquiéter? Le mieux est encore de rapporter tout incident aux UL. Et surtout, de ne pas placer d’éléments combustibles près de ces ampoules sous prétexte qu’elles émettent peu de chaleur pendant leur durée de vie utile.
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