Cette petite voix qu’on essaie trop souvent de taire est beaucoup plus forte quand on veut faire le contraire de notre nature profonde
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La petite voix
La voix humaine ne pourra jamais couvrir la même distance que la petite voix silencieuse de la conscience
Gandhi
Quand on veut atteindre un but, on se fait des objectifs .. mais parfois la situation change, des imprévus arrivent, l’objectif peut prendre plus de temps que prévus .. mais ce n’est pas une raison pour baisser les bras
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Vers l’objectif
Lorsque vous vous fixez un objectif, ne soyez pas trop strict envers vous même tant sur le temps que sur vos actions.
Etre trop strict risque de vous déprimer ou vous mettre en colère face au manque de progrès. Faites preuve de souplesse.
Vous êtes sur la bonne route, ne vous sentez pas obligé de filer à 200km/h, profitez du voyage !
Michel Poulaert
Pas évident, d’avoir un pansement sur le doigt quand il faut faire la vaisselle, se laver les mains etc …
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Protéger un pansement au doigt
Un pansement à un doigt ne doit pas vous empêcher de mettre les mains dans l’eau!
Prenez un petit ballon gonflable et enfilez-le par-dessus votre pansement. Ce dernier sera protégé et vous pourrez prendre un bain sans risquer de l’abîmer .
La semaine/aout 2011/ Trouvailles et astuces/ Séverine Galus
Voyons qui en douterais .. surtout chez les plus vieux .. ??? Quoique la différence c’est que grâce a l’imagerie médicale, ils peuvent mieux voir les régions du cerveau qui sont sollicité
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Le cerveau des aînés plus «sage» que celui des jeunes
© Shutterstock
Le cerveau des personnes âgées n’est pas plus lent, mais plus avisé que celui des jeunes, ce qui lui permet d’atteindre un niveau de performance équivalent, indique une étude menée à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal.
«Le cerveau âgé a acquis de l’expérience et sait qu’il ne sert à rien de se mettre en action trop tôt. On savait déjà que le vieillissement n’est pas nécessairement associé à une perte significative des fonctions cognitives. Le cerveau des plus âgés peut, pour certaines tâches, réaliser les mêmes performances à peu près aussi bien que celui des plus jeunes», explique le Dr Oury Monchi, auteur principal de ces travaux.
Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont fait passer des tests à 24 personnes âgées de 18 à 35 ans et 10 âgées de 55 à 75 ans encore actives professionnellement. Les participants ont été soumis à diverses expériences d’association de mots.
Cette étude démontre également qu’un cerveau jeune réagit davantage qu’un cerveau âgé au renforcement négatif. Ainsi, lorsque l’un des jeunes participants se trompait et qu’il devait planifier et exécuter une nouvelle stratégie pour trouver la bonne réponse, diverses régions de son cerveau étaient sollicitées avant même que le test suivant démarre.
«Lorsqu’un participant plus âgé se trompait, ces régions n’étaient sollicitées qu’au début du test suivant, ce qui indique qu’avec l’âge, on décide de réajuster le tir seulement lorsque cela est absolument nécessaire. Comme si le cerveau âgé était plus imperméable à la critique et plus confiant que le cerveau jeune», précise le Dr Monchi.
La situation des contaminations résultant au Sida au Québec est alarmant surtout sachant que l’éducation au près des jeunes ne passent pas … C’est comme si cela ne les concernent pas .. et ce pour n’importe quelle maladies transmissent sexuellement ..
J’ai profiter pour mettre aussi une carte du monde de la situation de cette maladie .. Bien sur que l’Amérique n’est pas au premier rang, mais étant donné que nous sommes une société ayant des moyens de communications quasi illimité et ce dans divers domaine (l’école, les parents, les intervenants de la santé, les témoignages, les revues, télévision et internet) il est quand même surprenant que nous ne soyons pas parmi les plus bas
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Crédit photo : Agence QMI
Même si on en entend moins parler, le sida continue de faire des ravages au Québec.
De plus, les médecins observent une recrudescence de la maladie chez les personnes âgées en 30 et 49 ans qui ne se protègent pas assez.
L’Agence de la santé publique du Canada dénote entre 500 et 1200 nouveaux cas par année au Québec.
Entre 14 500 et 21 300 personnes sont atteintes de la maladie à travers la province. Ce qui est le plus inquiétant est que 6% des nouveaux cas touchent des jeunes de 15 à 24 ans.
Selon Jacques Fallu, infirmier, au Centre universitaire de santé McGill, la maladie est toujours aussi tabou et il est aussi difficile de convaincre les gens de se protéger.
Plusieurs fois par semaine, cet infirmier se rend chez des patients atteints du VIH. Il s’assure que ses 70 patients prennent tous leurs médicaments.
C’est aussi lors de ces moments personnels qu’il apprend sur la vie de ces sidéens.
Il a, entre autres, rendez-vous avec un homme de 43 ans qui est infecté depuis 1997.
«J’ai eu des relations non protégées parce que j’ai été un junkie, mais je ne suis pas gai…», explique l’homme, tentant de briser les stéréotypes entourant la maladie.
Il ne se doutait pas d’être infecté, jusqu’au jour où il réalise que sa santé s’était détériorée.
«Je faiblissais de jour en jour sans savoir ce que c’était. Je n’ai pas demandé d’être ca. Si j’avais le diabète, si j’avais le cancer des testicules, il n’aurait pas de problème. Si tu dis que t’as ça, il y en a un paquet qui ne veut plus te parler.»
Manon Gagné avait 33 ans quand elle a contracté le VIH. Elle la contracté la maladie avec la drogue et les aiguilles, admet-elle. Sa vie s’est lentement détériorée et elle a vu plusieurs de ses amis mourir du sida.
Photo: TVA Nouvelles
Sans l’aide de M. Fallu, Manon Gagné ne croit pas qu’elle aurait passé à travers.
«J’avais besoin de lui, mais j’avais besoin de ce monsieur là.»
La recherche progresse
Ces deux personnes ne savent pas combien de temps ils vivront, mais ils comptent beaucoup sur la recherche et la médication. Le taux de mortalité est 1 sur 100 000 personnes.
La recherche a progressé à un rythme fulgurant. La trithérapie sauve de nombreux patients. Il y a quelques années, l’homme devait prendre de nombreux médicaments. Aujourd’hui, deux pilules par jour lui donnent une vie presque normale.
Ses médicaments, qui coûtent plusieurs milliers de dollars mensuellement, lui sont remboursés par le gouvernement du Québec. L’an dernier, Québec a défrayé 81 millions de dollars.
«Ce ne sont pas des personnes qui ne viennent pas dans les cliniques, explique M. Fallu. Quand ils sont en consommation, ils ne viennent pas voir leur médecin ou ils vont à l’urgence.»
Une question d’éducation
Mme Gagné et l’homme avertissent les gens d’être prudents. Le VIH ne discrimine pas, rappellent-ils. Ils ont choisi de témoigner pour avertir les jeunes que le VIH est toujours très dangereux et qu’il faut, entre autres, avoir des relations protégées.
«Protégez-vous», plaide l’homme. «On pense qu’il ne faut que peser sur reset puis on recommence. Mais la vie ce n’est pas ça.»
«Tu ne peux pas seulement l’attraper, mais le donner à d’autres et ça n’arrête plus. Peut-être que le personne qui me l’a donné ne le sait même pas…»
http://tvanouvelles.ca/lcn/infos
La carte du VIH dans le monde
Le virus du VIH, responsable de la maladie du Sida, atteint 33,4 millions de personnes dans le monde, c’est à dire environ 1% de la population des 15- 49 ans. Oui, c’est beaucoup.
Vous vous en doutez, on en entend toujours parler, c’est en Afrique que le virus est le plus répandu. Manque de moyens, manque d’éducation, des déclarations parfois consternantes, comme celle du président sud africain Jacob Zuma, qui déclarait qu’il suffisait de se laver pour éviter l’infection… Bref.
On retrouve ensuite l’Asie, L’amérique du sud puis la région Russie – Europe de l’est.
Voici donc la carte du VIH dans le monde, pour vous rendre mieux compte de tout ca!
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Les chiens peuvent être sensible a l’automne de réaction face a l’herbe a poux et cela peut causer bien des problèmes de peau
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© Shutterstock
Par Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire
Chaque année, exactement au moment où mes symptômes apparaissent, des centaines de propriétaires de chiens prennent rendez-vous d’urgence chez leur vétérinaire, car Fido ou Médor se gratte sans arrêt, parfois même jusqu’au sang. Est-ce un hasard?
Je souffre de la fièvre des foins. Eh oui! Cette fameuse et déplaisante allergie à l’herbe à poux. Chaque année, au moment de la rentrée scolaire, c’est la même période difficile pour moi et on dirait qu’elle empire d’année en année depuis l’interdiction d’utilisation d’herbicides…
J’ai le nez plein et je mouche sans cesse, à en avoir les bords du nez rouges et irrités. J’ai des crises d’éternuements à tout moment, la larme à l’oeil, la gorge qui pique, etc. Et ça dure comme ça, quasiment jusqu’à l’arrivée du froid ou de la neige…
Bref! Ce n’est pas la joie, mais je me débrouille quand même assez bien avec les antihistaminiques que je prends quotidiennement, sans me poser de question. Comme bien d’autres, j’assure un certain revenu régulier et saisonnier à la pharmacie du coin!
Chaque année, exactement au moment où mes symptômes apparaissent, des centaines de propriétaires de chiens prennent rendez-vous d’urgence chez leur vétérinaire, car Fido ou Médor se gratte sans arrêt, parfois même jusqu’au sang. Est-ce un hasard?
Pas du tout, au contraire! Plusieurs chiens ont, comme nous, la «fièvre des foins» et souffrent d’allergiques saisonnières dont celle de l’herbe à poux.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les chiens n’ont généralement pas les mêmes symptômes d’allergies que nous. Ils ne se mouchent pas et ils n’éternuent pas. Leurs symptômes ne sont pas associés à ceux d’un «rhume», mais plutôt à une maladie de peau. Ils souffrent de démangeaisons intenses au niveau de la peau.
Le chien qui souffre d’une allergie saisonnière comme la «fièvre des foins» a une tendance «maladive» à se mordiller, se frotter ou se gratter à cause de démangeaisons intenses. Sa peau est souvent rouge et semble irritée. Les démangeaisons peuvent être partout sur le corps, mais peuvent aussi se concentrer à un endroit plus particulier:
À force de grattements, de frottements et de mordillement, la peau peut parfois s’infecter. Elle pourra alors sembler humide et suinter ou se couvrir de quelques gales, de croûtes ou encore de petits boutons, selon le cas.
Croyez-le ou non, cette surinfection de la peau amplifie alors les démangeaisons et complexifie le traitement, évidemment ! Une bonne raison de ne pas attendre trop longtemps avant de consulter votre vétérinaire après le début des premiers symptômes.
Bien sûr, tous ces «charmants» symptômes peuvent aussi être causés par d’autres choses que la fièvre des foins! La liste est surprenante: différents parasites, infections cutanées variées, allergie alimentaire à différents ingrédients et allergie à d’autres allergènes«aériens» tels que pollens variés, spores de moisissures, poussières, etc.
Il faut consulter son vétérinaire! Le plus tôt sera le mieux, car votre chien n’est pas du tout confortable dans sa peau! Le vétérinaire vous questionnera, procédera à un examen physique et vous proposera sans doute certains tests pour éliminer d’autres causes potentielles et vous offrir un traitement approprié.
Certains antihistaminiques et des anti-inflammatoires contenant de la cortisone pourront alors être prescrits pour soulager votre animal et diminuer ses symptômes. Si une surinfection est détectée, des antibiotiques seront aussi prescrits. On pourrait même modifier la diète de votre animal afin d’améliorer la santé de sa peau!
Il faut savoir aussi qu’une thérapie d’hyposensibilisation peut être tentée pour améliorer les choses à long terme. Des tests d’allergie intradermique peuvent être faits par un dermatologue vétérinaire
On voit de plus en plus de personnes sur internet qui met en péril leur réputation, Il ne faut jamais oublier qu’il y a des comportements, des commentaires, même des photos qu’ils faut éviter de dire ou de faire … On ne sait jamais quand cela peut nous retomber dessus ..
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Veiller à sa e-réputation sur internet
L’e-réputation désigne l’image ou la réputation d’une personne sur Internet. Il s’agit de tout ce qui se dit à propos d’une personne sur Internet.
L’e-réputation se cultive et se construit au fil du temps à partir des informations que l’on partage sur le net. Elle est cependant très fragile : avec la vitesse de transmission des informations sur le web, de simples ragots, de mauvais commentaires, ou des publications embarrassantes (photos, vidéos, …) peuvent nuire à l’e-réputation.
Bien que l’e-réputation concerne aussi bien les adultes que les enfants, ces derniers s’exposent plus facilement aux risques d’une mauvaise e-réputation. Cela est dû principalement à leur présence sur les réseaux sociaux, où les enfants partagent bon nombre d’informations (confidences, commentaires, photos, vidéos, etc.), sans se soucier de leurs conséquences futures.
En effet, ces publications vont rester longtemps accessibles sur le web. Elles seront associées à l’e-réputation de leur auteur, et permettront à tous ses interlocuteurs (en quelques clics, à partir d’un moteur de recherche) de se faire une idée sur sa vie, sa personnalité, et son caractère. Plus tard, elles peuvent même devenir un handicap lors de recherche d’emploi ou lors de nouvelles rencontres.
Il appartient aux parents d’enseigner aux enfants les valeurs d’une bonne e-réputation. Il s’agit alors de leur enseigner les règles de conduite à tenir sur le net (pour les commentaires par exemple), et de leur faire comprendre les possibles implications de leurs publications. Pour cela, les parents ont besoin de connaître ce que les enfants font sur Internet. Le logiciel de controle parental LogSafe (contrôle parental windows ) peut aider les parents dans cette démarche.
Il s‘agit d’un outil de contrôle parental innovant, qui au lieu de bloquer du contenu, prône le dialogue Parents-enfants. Logsafe vous tient au courant des activités Internet de vos enfants, et vous offre ainsi une base d’information solide, sur laquelle vous pouvez discuter avec eux.
Concrètement, Logsafe envoie chaque jour, à vous et vos enfants, un mail récapitulatif des navigations internet de vos enfants, avec une notification d’Alerte en cas d’usage inadapté. Celui-ci pourra ensuite servir de guide pour entamer avec eux un dialogue constructif, et les responsabiliser dans leurs navigations internet. Il vous permettra, entre autres, de leur apprendre l’importance d’une bonne identité numérique.
par François-P B
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