Parole d’enfant ► Le tonnerre‏


Tonnerre de tonnerre pourvu que le ciel ne nous tombe pas sur la tête
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Le tonnerre





Entendant le tonnerre gronder, Mathieu pointe le ciel et s’exclame :

« Le ciel craque. »




Mathieu, 2 ans, Bécancour (Québec)

J’ai honte, j’ai honte


On dit que les vieux coûtent cher pour la société et pourtant … ils donnent de l’emploi, font marcher le commerce et sont bien plus utiles que l’ont pense a la société
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J’ai honte, j’ai honte




J’ai honte!

Dans quelques semaines, j’aurai 70 ans.
Je n’ose plus lever la tête.
Vous rendez-vous compte de ce que je coûte à la société?

Ma pension de vieillesse, mes visites chez le médecin, un prix réduit au cinéma!
Et si je tombais malade en plus.
Une mauvaise grippe.

Non la société m’a offert un vaccin.
Ouf! Mais si j’avais un cancer?
Allez aux USA, ça coûte cher!

Et mon cholestérol?
Si j’avais besoin d’un pacemaker?
Il est vrai que je ne suis pas loin du moment où,
l’on me dira que je suis trop…. (usagé peut-être?)

J’ai vraiment honte d’avoir vécu si longtemps.
Et j’ai peur aussi.

D’accord, j’ai une petite voiture bien entretenue,
avec ses changements d’huile, ses pneus d’hiver, etc.
Mon garagiste est bien content, Esso et Ultramar aussi.


J’ai renouvelé mon contrat de déneigement et Sylvain n’en finissait plus de dire merci.
Il est si gentil!
Il va venir déneiger le toit aussi, pour quelques dollars…
C’est terminé pour moi de grimper aussi haut.

Mais, avec le temps, je suis devenu frileux et je monte le thermostat d’un ou deux degrés.
C’est Hydro qui rigole!

Puis les enfants sont loin, les amis aussi, et Bell encaisse.

L’été dernier, vous savez combien il a fait beau.
Je me suis payé une tournée au Québec.
Les Iles-de-la-Madeleine, l’Ile-aux-Coudes, quelques jours à Québec. Un bien bel été.

C’est devenu une tradition, le samedi je vais au centre commercial avec mes petits-enfants.
C’est fou ce qu’ils ont envie de tout!
Et je craque! Je les aime tant.

J’aime aussi le bon vin.
A la SAQ, on commence à me connaître.
Ils ont toujours une bonne bouteille à me recommander.

Puis il faut aussi payer les taxes, les impôts, les lunettes neuves, les cadeaux de Noël et d’anniversaires, quelques livres, du chocolat, le cinéma, le vétérinaire pour mon chien …

Il faut bien vivre un peu!
Mais c’est fou ce que je coûte cher à la société!

Auteur inconnu

La pauvreté est un facteur d’obésité


C’est certains que le manque d’exercices est une des grandes causes, mais a voir le prix de la note d’épicerie, il n’est pas surprenant que les que les gens choisissent des aliments beaucoup moins nutritifs .. Car il ne faut pas se le cacher ,.. manger santé coûte très cher .. et les problèmes relier a l’embonpoint coute aussi très cher ..
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La pauvreté est un facteur d’obésité


La pauvreté est directement liée aux problèmes d'embonpoint de nombreux jeunes, conclut une étude.

La pauvreté est directement liée aux problèmes d’embonpoint de nombreux jeunes, conclut une étude.

Photo: Archives La Presse

Marie Allard

La Presse

Trois fois plus susceptibles que les autres de faire de l’embonpoint. C’est l’inquiétante réalité des enfants qui vivent de l’insécurité alimentaire à la maison, au Québec. C’est surtout vrai chez les filles, qui ont cinq fois plus de risques de dépasser leur poids santé dans les familles qui manquent d’argent pour bien s’alimenter, selon une étude qui vient de paraître dans BMC Public Health.


«C’est un peu contre-intuitif,
a dit à La Presse Lise Dubois, auteure principale de l’étude et professeure à la faculté de médecine de l’Université d’Ottawa. On se dit que les gens qui n’ont pas de nourriture tous les jours devraient être plus minces. Mais on s’aperçoit que le type d’aliments que les gens très pauvres mangent leur donne plutôt des problèmes d’obésité. Ce sont des aliments très caloriques, qui n’ont pas beaucoup de vitamines et de minéraux.»

Près de 1200 enfants québécois de 10 ans ont été pesés et mesurés dans le cadre de l’étude, faite en collaboration avec l’Institut de la statistique du Québec. Leurs mères ont répondu à des questionnaires sur l’insécurité alimentaire. Ces données ont été comparées à d’autres obtenues auprès de 1700 enfants de 10 et 11 ans en Jamaïque, par la University of the West Indies.

Les résultats ne sont pas à notre avantage: 26% des enfants du Québec font de l’embonpoint ou sont obèses contre 11% des Jamaïcains.


Ces taux «démontrent clairement que l’obésité est un problème de santé critique dans les deux pays»,
notent les chercheurs. Mais «en Jamaïque, qui est un pays à développement rapide, on voit que ce sont les personnes plus riches qui mangent plus et qui sont plus obèses, a indiqué Mme Dubois. On aimerait qu’ils n’en viennent pas à avoir les mêmes problèmes d’obésité que nous, parce que c’est un fardeau assez élevé.»

Plusieurs données sont peu reluisantes: plus de 30% des enfants mangent des pâtisseries au moins une fois par jour, tant au Québec que dans l’île des Antilles. Près d’un tiers des Québécois (et 42% des Jamaïcains) consomment moins d’un fruit par jour. Environ 27% des Québécois consomment moins d’un légume par jour (incluant la pomme de terre), contre 59% de Jamaïcains (excluant la pomme de terre).


Tous bougent peu. La majorité des enfants jamaïcains font «peu ou pas» d’activité physique, alors que 68% de leurs congénères québécois en font «autant, moins ou beaucoup moins» que les autres enfants, de l’avis parental. «De plus, la monoparentalité augmente de 63% la probabilité de souffrir d’embonpoint ou d’être obèse chez les enfants du Québec»,
précisent les chercheurs.

Donner le goût du sport aux filles

Mais pourquoi les filles du Québec sont-elles plus touchées que les garçons, sur qui le fait d’être issu d’une famille vivant dans l’insécurité alimentaire n’a pas d’impact?


«Les garçons ont probablement un niveau d’activité physique plus élevé»,
a avancé Mme Dubois, aussi chercheuse à l’Institut de recherche sur la santé des populations. Leur puberté arrive moins vite, a-t-elle ajouté. Et ils sont moins influencés que les filles par leurs mères, parfois elles-mêmes obèses.
«C’est important de se préoccuper de ce que nos enfants mangent et de prêter une attention particulière aux filles à la préadolescence, a recommandé Mme Dubois. Il faut aussi les approcher pour qu’elles fassent plus d’activité physique.»


Au lieu de n’offrir que du football ou du
soccer, les écoles devraient également organiser des cours de danse. «Il faut offrir des activités qui vont plaire aux filles»,
a suggéré la chercheuse.

http://www.cyberpresse.ca

Les débris en orbite posent problème


Il en parlait en début d’année Le saviez-vous ► Combien de morceaux de satellites flottent dans l’espace ? alors qu’est ce qu’ils attendent pour faire quelque chose avant d’envoyer des navettes dans l’espaces pour explorer …ils devraient d’abord dépolluer l’espace …
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Les débris en orbite posent problème

WASHINGTON – Il y a tellement de débris en orbite autour de la Terre qu’il faudra bientôt s’attaquer au problème, affirme un nouveau rapport américain rendu public jeudi.

Le président du comité d’experts qui a rédigé le document prévient que ce nettoyage nécessitera de nouvelles technologies, comme des filets cosmiques, des aimants ou des parapluies gigantesques.


Il y a actuellement en orbite 22 000 objets suffisamment gros pour être suivis depuis la Terre, et une quantité incalculable d’objets plus petits mais potentiellement dangereux. La Station spatiale internationale doit, de temps à autre, s’écarter de la trajectoire de l’un d’eux.

L’auteur du rapport publié par l’Académie nationale des sciences, Donald Kessler, affirme que «nous avons perdu le contrôle sur notre environnement».

Les débris s’accumulent en orbite depuis le début de l’ère spatiale, il y a 54 ans. Des accords mis en place pour limiter l’ampleur du problème fonctionnaient plutôt bien, mais deux événements survenus au cours des dernières années ont fait déborder le vase.

En 2007, par exemple, la Chine a procédé à un test antisatellite en pulvérisant un satellite métérologique désuet avec un missile. Quelque 150 000 morceaux d’une taille supérieure à un centimètre sont depuis en orbite, en plus de quelque 3000 morceaux suffisamment gros pour être suivis depuis le sol. Une collision en orbite entre deux satellites survenue en 2009 a aussi compliqué la situation.

M. Kessler affirme que ces deux événements a doublé la quantité de débris en orbite autour de la Terre.

http://techno.ca.msn.com

Découverte d’un fossile de rhinocéros laineux


Dans des milieux très arides ou le froid et la glace sont maitre, de nouvelles découvertes sont mis a jours pour que la terre nous raconte de nouvelles histoires d’une époque révolue
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Découverte d’un fossile de rhinocéros laineux

Le Coelodonta thibetana, un rhinocéros laineux primitif qui aurait été présent au Tibet bien avant le début de l'ère glaciaire.

Le Coelodonta thibetana, un rhinocéros laineux primitif qui aurait été présent au Tibet bien avant le début de l’ère glaciaire.

Illustration: Julie Naylor, Science/AFP

Agence France-Presse
Washington

Le crâne entier et une mâchoire inférieure fossilisés d’un rhinocéros laineux primitif datant de 3,6 millions d’années ont été découverts pour la première fois dans les contreforts de l’Himalaya au Tibet, ont annoncé jeudi des paléontologues américains et chinois.

Cette découverte laisse penser que ces mammifères étaient présents dans cette région du globe bien avant le début de l’ère glaciaire il y a environ 2,6 millions d’années, soulignent les chercheurs, dont les travaux paraissent dans la revue américaine Science datée du 2 septembre.


Ces fossiles ont été trouvés en 2007 par une équipe de géologues et de paléontologues menée par Xiaoming Wang, du Musée d’histoire naturelle du comté de Los Angeles, et Qiang Li, de l’Institut de paléontologie des vertébrés et de paléoanthropologie de l’Académie chinoise des sciences.


Cet animal
(Coelodonta thibetana) a développé des traits particuliers lui permettant de s’adapter à son environnement de haute altitude avec des hivers très froids.


Il était ainsi pourvu d’une corne aplatie permettant de balayer la neige pour avoir accès à la végétation, ce qui était très utile pour survivre dans le dur climat tibétain.


Ces rhinocéros vivaient à une période durant laquelle le climat terrestre était beaucoup plus chaud et les continents du nord pas encore recouverts de glace.


Quand l’ère glaciaire a commencé, ces animaux, préparés au climat froid, sont descendus des montagnes du Tibet pour se propager dans le nord de l’Asie et de l’Europe.


La mise au jour de ces fossiles du Tibet apporte ainsi un nouvel éclairage sur l’origine de la mégafaune de mammifères et de leur adaptation au froid du Pléistocène
(moins 1,8 million d’années à moins 10 000 ans), marqué par des périodes glaciaires et interglaciaires.


Jusqu’alors, les origines de ces mammifères aujourd’hui éteints, comme le mammouth et rhinocéros laineux, le cerf géant ou le tigre à dents de sabre
(Smilodon), qui sillonnaient l’Europe et l’Asie, étaient plutôt recherchées dans la toundra arctique ou les steppes froides d’Asie centrale.


Le plateau tibétain pourrait de ce fait avoir été un autre berceau de ces mammifères géants de l’âge de glace.

«Cette découverte clarifie l’origine de ces rhinocéros laineux et peut-être aussi de la plupart des mammifères d’Eurasie éteints qui vivaient au Pléistocène et dont l’adaptation au froid remonterait à l’environnement de haute altitude du bassin de Zanda dans l’Himalaya», relève Richard Lane, de la Fondation nationale américaine des Sciences (NSF), un des membres de l’équipe de recherche.

Pour Xiaoming Wang, «les régions froides comme le Tibet, l’Arctic et l’Antarctic sont les endroits où l’on peut s’attendre à faire des découvertes inattendues dans l’avenir car elles restent largement inexplorées».


Outre ce nouveau rhinocéros laineux jusqu’alors inconnu, ces paléontologues ont aussi découvert sur le même site des fossiles d’une espèce éteinte d’équidé, l’Hipparion; de bharal tibétain
(Pseudois) encore connu sous le nom de mouton bleu; de chiru, une antilope du Tibet; de léopard des neiges (Uncia); de blaireau ainsi que de 23 autres espèces de mammifères.

http://www.cyberpresse.ca

Attention aux faux billets de 20 $


De faux billets seraient en circulation en Abitibi et comme les gens voyagent .. cela pourrait surement s’étendre dans d’autres régions … alors profitons-en pour apprendre a déceler du vrai du faux

Nuage

 

 

 

Attention aux faux billets de 20 $

 

Canadian Journey (Security Features)

 

«On parle d’un dossier à La Sarre et d’un autre à Amos. Cela reste donc assez mineur. Toutefois, nous invitons les gens à faire preuve de vigilance. Toute personne qui croit avoir entre les mains un faux billet est prié de contacter la centrale de l’information criminelle, au 1 800 659-4264», a mentionné Marie-Josée Ouellet, responsable des communications à la SQ.


Plusieurs éléments de sécurité permettent de distinguer un vrai billet de banque d’un faux.

Patrick Rodrigue  
AbitibiExpress
http://www.abitibiexpress.ca

L’épopée canadienne

Série L’épopée canadienne (2001–2006)

Les billets de cette série étaient dotés d’éléments de sécurité jamais vus auparavant sur des billets de banque canadiens. Les billets de la série L’épopée canadienne se distinguaient non seulement par leurs éléments de sécurité améliorés, mais aussi par un graphisme de calibre international et l’introduction d’un élément tactile visant à aider les personnes aveugles ou ayant une vision partielle à identifier les différentes coupures

Sûreté

Vérification des billets

Canadian Journey (Security Features)

$20 (back) - 2001-2004, Canadian Journey

Il est facile de vérifier les éléments de sécurité des billets de banque. Voici un rappel de la façon de vérifier les billets de la série L’épopée canadienne.

L'épopée canadienne (Éléments de sécurité)


Billets de la série
L’épopée canadienne (2004-2006)

Les billets de 20 $, de 50 $ et de 100 $ ont été introduits en 2004, et ceux de 5 $ et de 10 $ ont été améliorés en 2005 et 2006 pour faire en sorte que la même série d’éléments de sécurité apparaissent sur les cinq coupures.

1. Bande métallique

Inclinez le billet. Les chiffres et les feuilles d’érable changent de couleur.


2. Image fantôme
  • Tenez le billet devant une source de lumière et examinez-le. Une petite image fantôme du portrait apparaît. Elle est visible des deux côtés du billet.


3. Traits

Tenez le billet devant une source de lumière et examinez-le. Les traits forment une ligne pleine qui est visible des deux côtés du billet.

Inclinez le billet.

Les traits passent du doré au vert. Les caractères de petite taille (p. ex., CAN 20) correspondent à la valeur du billet.

4. Chiffre en morceaux

Tenez le billet devant une source de lumière et examinez-le. Les motifs irréguliers figurant au recto et au verso du billet forment un chiffre complet qui est visible des deux côtés du billet.

5. Encre en relief

Touchez la surface du billet pour sentir l’encre en relief sur les épaules du portrait, le gros chiffre et les mots « Banque du Canada • Bank of Canada ».


6. Élément ultraviolet

Examinez le billet sous une source de lumière ultraviolette. Assurez-vous que les mots « BANQUE DU CANADA – BANK OF CANADA » et le chiffre qui correspond à la valeur de la coupure brillent d’un rouge et d’un jaune imbriqués. Des fibres rouges et jaunes sont disséminées au hasard des deux côtés du billet.

Conseil

: Ne vous fiez pas uniquement à cet
élément. Vérifiez toujours au moins deux éléments de sécurité.


Billets originaux de 5 $ et de 10 $ de la série
L’épopée canadienne (2001-2002)

Les billets originaux de 5 $ et de 10 $ de la série L’épopée canadienne (2001-2002) comportaient des éléments de sécurité différents. Par exemple, ils n’étaient pas dotés d’une bande métallique, d’une image fantôme, de traits ni d’un chiffre en morceaux.

  • 1. Feuilles d’érable

    Inclinez le billet. Trois feuilles d’érable dont l’éclat doré passe de pâle à brillant.

  • 2. Chiffre caché

    Inclinez légèrement le billet à la hauteur des yeux. Le chiffre « 5 » ou « 10 » apparaît.

  • 3. Encre en relief

    Touchez la surface du billet pour sentir l’encre en relief sur les épaules du portrait, le gros chiffre « 5 » ou « 10 » et les mots « Banque du Canada • Bank of Canada ».

4. Élément ultraviolet

Examinez le billet sous une source de lumière ultraviolette. Les armoiries et les mots FIVE • CINQ (ou DIX • TEN) et BANQUE DU CANADA – BANK OF CANADA, d’un bleu fluorescent, se superposent au portrait. Des fibres rouges sont disséminées au hasard des deux côtés du billet.

Conseil

: Ne vous fiez pas uniquement à cet élément. Vérifiez toujours au moins deux éléments de sécurité.


http://www.banqueducanada.ca/