Tu peux tout faire


 

Nous avons des rêves .. il en tiens qu’a nous de les rendre réalisables
Nuage

 

Tu peux tout faire

 

« Tu peux tout accomplir dans la vie si tu as le courage de le rêver, l’intelligence d’en faire un projet réaliste, et la volonté de voir ce projet mené à bien. »

 
Sydney A. Friedman

La gratitude


 

Savoir remercier, c’est pas sorcier mais c’est quelque chose qu’on oubli facilement car on prend souvent pour acquis que cela nous reviens, ou que l’autre sait que nous apprécier .. mais il y a une grande différence entre le dire et le penser
Nuage

 

La gratitude

 

Essayez de faire preuve de gratitude pour tout ce que vous avez, pour ceux qui vous aiment, pour ce que vous vivez, aussi peu cela vous semble-t-il, la reconnaissance vous mettra dans un état positif et vous verrez, beaucoup de choses vous sembleront déjà plus belles et agréables !

 

Michel Poulaert

Le saviez-vous ► Manger son pain blanc le premier‏


 

Je préfère la mie du pain que la croute … mais personnellement quand j’aime quelque chose, je commence par ce que j’aime moins pour mieux profiter de ce qui est meilleur et ce dans n’importe quoi …
Nuage

Manger son pain blanc le premier

 

 

 

Commencer par ce que l’on sait agréable

Aujourd’hui, notamment avec le Programme National Nutrition-Santé (PNNS), et la mode des fibres à tous prix, le pain blanc n’est plus tout à fait celui que les professionnels de santé conseillent, préférant justement les pains complets et autres pains aux céréales diverses et variées pour un apport glucidique moins rapide.


Mais au XVIème siècle, le pain blanc n’était pas le quotidien de la population française : seules les classes aisées pouvaient prétendre à cette "couleur" de pain, obtenue par le raffinage répété des farines utilisées.
Les classes moins favorisées ne mangeaient, lorsqu’elles avaient les moyens de s’offrir du pain, que des pains de qualité inférieure, voire des pains noirs.

Soit dit en passant, la couleur réellement blanche de la mie de pain ne fut pas obtenue avant le début du XXième siècle, donc la "blancheur" que laisse entendre l’expression à ses origines était probablement bien loin encore de ce qu’on peut voir dans nos boulangeries de nos jours…

Le coût du pain n’a d’ailleurs cessé d’augmenter jusqu’à la révolution Française, qui, abolissant les privilèges, permit aux paysans de pouvoir utiliser les fours et les moulins sans devoir payer de redevance aux seigneurs… faisant du même coup baisser le prix du pain…

Bref, aux origines de l’expression, toujours est-il que le pain blanc était considéré comme un aliment délicat, précieux, réservé aux classes aisées du fait du coût important d’un tel raffinement : la métaphore est alors aisément identifiable…

 

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Rencontre avec les mammifères de la forêt


La forêt parait souvent calme .. avec le vent qui balancent les branches des arbres, les oiseaux jouant chacun leur air de chanson, tout un monde parfois caché a nos yeux vivent grâce a cette forêt
Nuage

 

Rencontre avec les mammifères de la forêt

 

Un groupe de daims

forêt

© Christelle Milesi / Galerie Photo

L’écureuil roux

écureuil
© Jean-Pierre Petit / Galerie Photo

Le loup

loup

© Servane Pauchenne / Galerie Photo

Groupe de chevreuils

chevreuils

© Servane Pauchenne / Galerie Photo

Le blaireau

blaireau

© Christian Demussy / Galerie Photo

Les faons

faon

© Philippe Leprince / Galerie Photo

Le lynx boréal

lynx boréal

© Corine Lundqvist / Galerie Photo

La martre

martre

© Catherine Gay / Galerie Photo

Le hérisson

hérisson

© Christian Pajany / Galerie Photo

Le chat sauvage

chat sauvage

© Christian Demussy / Galerie Photo

La belette

belette

© Michel Guenanten / Galerie Photo

Le putois

putois

© Christian Demussy / Galerie Photo

Le mulot à collier

mulot à collier

© Pierre Wautier / Galerie Photo

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Il vole le commerce voisin pour payer son resto


 

Un drôle de façon de régler sa note de restaurant .. D’un côté il est honnête mais de façon très malhonnête
Nuage

Il vole le commerce voisin pour payer son resto

L'homme a commis son vol à main armée avec un tournevis.
L’homme a commis son vol à main armée avec un tournevis.

Photo: photos.com

Agence France-Presse
Montréal
 

Un Canadien sans-le-sou a trouvé une façon plutôt inhabituelle de régler sa note au restaurant: il a traversé la rue, commis un vol à main armée à la station-service voisine, puis est retourné payer son repas, a indiqué lundi la police locale.

Cory Henderson, 21 ans, quittait vendredi soir le restaurant Browns Social House de Vancouver-Nord sans payer sa facture de 38$, lorsqu’il a été apostrophé par le personnel. Le jeune homme a suggéré aux employés d’appeler la police et leur a dit qu’il serait à la station-essence dans la rue voisine.

Quelques minutes plus tard, le commissariat de Vancouver-Nord a reçu un appel concernant un vol à main armée à cette même station-service. M. Henderson a menacé l’employé avec un tournevis et a quitté les lieux avec l’argent de la caisse, selon la police.

Comme promis, le jeune homme est retourné au restaurant, a honoré sa facture, puis a été interpellé sans surprise par la police, a indiqué lundi dans un communiqué l’antenne locale de la Gendarmerie Royale du Canada (GRC).

«Ce n’est pas tous les jours qu’un criminel explique à une victime ce qu’il va faire et qu’il met aussitôt son plan à exécution», a ironisé Richard De Jong de la police locale, précisant qu’il n’y avait eu aucun blessé.

Cory Henderson a été accusé de vol, «d’obtention frauduleuse de nourriture» et de possession d’arme dans le but de commettre un acte violent lors d’une audience lundi à la cour de Vancouver-Nord. Il a été libéré sous caution et doit se présenter à nouveau devant la justice la semaine prochaine.

http://www.cyberpresse.ca

Cellulaires en classe «Une plaie» selon les professeurs


 

Ca bien changer la technologie dans les écoles .. avant on était distrait par nos crayons qui poussait la mine .. les effaces de toutes de toutes formes aux diverses aromes
Nuage

 

Cellulaires en classe «Une plaie» selon les professeurs

 

«Une plaie» selon les professeurs

Crédit photo : Agence QMI

Par Isabelle Maher | Le Journal de Montréal

Même si les téléphones cellulaires sont interdits dans la plupart des salles de classe du primaire à l’université, des étudiants complètement accrocs à «leur jouet» irritent de plus en plus les profs, a constaté le Journal de Montréal.

«Le cellulaire en classe, c’est une plaie», lance Béatriz Médiaville, professeure de cinéma au Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue.
 

Après 15 ans d’enseignement, la dame en a pourtant vu d’autres. Mais selon elle, la dépendance de certains étudiants à leur cellulaire devient de plus en plus difficile à gérer.

 
«C’est pire que la réforme de l’éducation elle-même, tranche-t-elle. C’est une bataille à chaque cours. C’est plus fort qu’eux, ils textent en cachette, mais je le vois. Parfois je confisque l’objet. Je dois faire de la discipline à des adultes de 20 ans comme s’ils étaient au primaire», déplore l’enseignante.
 

Source de distraction

Textos, tablettes, réseaux sociaux, téléphones intelligents… Les enseignants assistent à l’évolution technologique directement dans leur classe. Mais pour certains, ces outils de «travail» sont surtout une grande source de distraction.
 

«Les jeunes commencent à avoir un cellulaire dès la première année du secondaire. L’année suivante, ils en ont tous un, même dans certains milieux défavorisés», observe Marc-André Viens, directeur adjoint à l’École secondaire Monseigneur-Richard.
 

Dans les écoles primaires, où l’utilisation du cellulaire est encore marginale, l’objet est interdit. "Ça fait partie du code de vie des écoles", explique Alain Perron, responsable des communications à la CSDM.
 

«Dans la majorité des cas, le cellulaire a été remis par un parent, fermé et dans le sac d’école de l’enfant», ajoute Chantal Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions des établissements.
 

Plus souple à l’université

La situation se complique à mesure que les jeunes avancent en âge, observe-t-on. Dans la plupart des cégeps, le cellulaire est strictement interdit en classe.

 
«Le ministère de l’Éducation nous oblige à nous soumettre à certaines normes d’apprentissage. Être présent en classe est une exigence et le cellulaire distrait, alors on l’interdit», explique Louise Lavallée, directrice des communications au Cegep St-Laurent.
 

Les étudiants de niveau universitaire sont soumis à des règles plus souples en ce qui concerne l’utilisation du cellulaire. À l’Université de Montréal par exemple, il n’existe aucune politique au sujet du cellulaire.

"Mais ils sont interdits lors des examens pour éviter le plagiat", explique Julie Gazaille, responsable des communications.
 

Interdit, toléré ou…incontournable

«Pour plusieurs enseignants, le cellulaire est un problème récurrent», confirme Gérald Boutin, professeur en éducation à l’UQAM.
 

«Au début de mes cours, je dis à la blague à mes étudiants d’écrire sur Twitter et sur Facebook qu’ils ne doivent pas être dérangés parce qu’ils sont en classe», raconte Sorel Friedman, professeure d’Anglais langue seconde à l’Université de Montréal.
 

Selon elle, la salle de classe est encore ce lieu privilégié d’apprentissage où l’étudiant ne doit pas être distrait. Son arme contre les textos en classe: l’humour.

«Mais j’avoue que ça me fâche», confie madame Friedman.
 

Il faut tout de même s’adapter au tsunami technologique, ajoute-t-elle. «C’est aussi un outil pédagogique. Par exemple, j’enseigne également la culture américaine. Dans ce cours, j’invite mes étudiants à suivre Obama…sur Twitter.»
 

* * *
 
CELLULAIRE CHEZ LES JEUNES

  • Les plus grands utilisateurs du cellulaire sont les 12 à 24 ans,
     

  • 54 % l’utilisent quotidiennement.
     
  • 50 % des ménages de 18 à 34 ans utilisent exclusivement le téléphone cellulaire
     
  • le nombre d’usagers en hausse 
    2011 80 % 2010 78 % 2008 74 %
     

SOURCE : PROJECT TEEN CANADA -STAT. CAN. 2010

http://tvanouvelles.ca

Le changement climatique aura aussi des effets sur notre santé mentale


 

Quand il arrive des évènements climatiques nous prenons plus conscience des changements de température et c’est l’inconnu du futur .. Cette inconnu amène certaines personnes a éprouver de grands stress et des comportements non désirable qui malheureusement les enfants peuvent en ressentir et a leur tour éprouver différentes émotions telle que la peur, le stress …
Nuage

 

Le changement climatique aura aussi des effets sur notre santé mentale

Les enfants apparaissent comme particulièrement vulnérables à l'anxiété  et l'insécurité générées par l'incapacité des adultes à lutter contre le  dérèglement climatique.

Les enfants apparaissent comme particulièrement vulnérables à l’anxiété et l’insécurité générées par l’incapacité des adultes à lutter contre le dérèglement climatique.

Photos.com

Agence France-Presse
Paris
 

Stress des adultes et angoisse des enfants: le changement climatique pourrait aussi avoir des impacts sur la santé mentale des populations, estime une étude publiée lundi par un organisme de recherche australien, pour qui ce sujet est encore trop peu étudié.

«Les dommages causés par le changement climatique ne sont pas que physiques. Le passé récent montre que les événements climatiques extrêmes entraînent également de sérieux risques pour la santé publique, incluant la santé mentale et le bien-être des communautés», affirme cette étude de l’Institut du climat, un organisme australien.

 Au regard des épisodes climatiques — sécheresse, inondations — vécus ces dernières années par certaines régions d’Australie, l’étude constate que «le bouleversement et la souffrance provoqués par un événement extrême peuvent persister pendant des années».

 

Une part significative des communautés touchées par de tels épisodes, jusqu’à 1 personne sur 5, va souffrir des effets du stress, de la blessure émotionnelle et du désespoir, estime l’Institut du climat.

Des abus d’alcool peuvent suivre des événements climatiques extrêmes et certaines études établissent même un lien entre des vagues de chaleur et de sécheresses et des taux de suicide plus élevés, selon l’organisme.

 Les enfants apparaissent comme particulièrement vulnérables à l’anxiété et l’insécurité générées par l’incapacité des adultes à lutter contre le dérèglement climatique.

 Nombre d’études existent sur les conséquences attendues du changement climatique en termes économiques, mais il y a une lacune sur les «conséquences du changement climatique pour le bien-être et la santé humaine», constate Tony McMichael, professeur de santé publique à l’Australian National University.

 «C’est un sérieux angle mort, cela limite notre vision des futurs possibles et la nécessité d’une action efficace et urgente», ajoute-t-il en ouverture de cette étude qui, estime-t-il, «va nous aider à comprendre la +face humaine+ du changement climatique».

 

http://www.cyberpresse.ca