Nous sommes inquiet face a l’inconnu, mais quand l’inconnu devient présent on rentre dans la danse .. des fois dans un tourbillon d’autres fois, c’est moins pire que nous l’imaginions
Nuage
L’inconnu
«Une fois pris dans l’événement, les hommes ne s’en effraient plus. Seul l’inconnu épouvante les hommes »
Antoine de Saint-Exupéry
La déception quand on s’y attarde devient une douleur qui s’incruste et s’installe dans notre intérieur .. Lui laissé la place serait un fardeau …
Nuage
La hantise de la déception
Lorsque la déception hante vos pensées et reste omniprésente, considérez la comme une plaie.
A chaque fois que vous gratteriez cette plaie, elle se rouvrira aussitôt ! Laissez le temps à la cicatrisation et quand vous en serez guérie, la cicatrice sera toujours présente, mais elle sera refermée et ne s’ouvrira plus.
Donner au temps et au recul leur chance de faire le travail.
Michel Poulaert
Nuage
Mise à jour le dimanche 28 août 2011 à 17 h 24 HAE
De fortes pluies tombent sur le Québec et l’est du pays.
Le ministre de la Sécurité publique, Robert Dutil, a fait savoir dimanche après-midi que le gouvernement prenait très au sérieux la tempête Irene. Il a invité les citoyens à prendre toutes les mesures pour assurer leur sécurité.
À 17 h, Hydro-Québec évoquait 180 000 abonnés privés de courant, principalement dans la grande région montréalaise.
De nombreuses mesures ont été prises par la Sécurité civile en prévision du passage de l’ouragan, maintenant rétrogradé au stade de tempête tropicale, sur le Québec et l’est du pays.
Des postes de commandement mobiles ont été déployés dans plusieurs régions à risque, incluant l’Estrie, la Montérégie, le Bas-Saint-Laurent et la Capitale nationale. Ces postes peuvent notamment assurer le maintien des communications d’urgence advenant des bris de matériel.
Lire notre article au sujet de la situation en Estrie
Du personnel supplémentaire a aussi été affecté à ces régions afin d’être prêt à intervenir au besoin.
Il est important que les gens ne prennent pas Irene à la légère. Ce n’est pas une petite tempête, c’est une énorme tempête. — Robert Dutil, ministre de la Sécurité publique
Guy Laroche, sous-ministre associé à la Direction générale de la sécurité civile, a assuré que tous les partenaires travaillaient conjointement et se partageaient de l’information. Le ministère des Transports, Hydro-Québec, Sécurité publique Canada, Environnement Canada, mais aussi les États limitrophes du Vermont et du Maine sont sur un pied d’alerte.
Le ministre Dutil a demandé à la population de limiter les sorties, d’attacher les meubles de patio et de se tenir informé sur la situation au fur et à mesure de son évolution.
Il a notamment fait savoir qu’une certaine accalmie ne signifiait pas la fin de la tempête et a prévenu que des évacuations pourraient être ordonnées si la situation le justifiait.
Des centaines de vols ont été annulés aux aéroports de Toronto, de Montréal et de Québec, la plupart en direction des États-Unis.
On peut consulter les vols retardés et annulés à partir de l’aéroport de Montréal-Trudeau
sur ce site;
À partir de l’aéroport Pearson de Toronto sur ce site.
Photo: Environnement Canada
La trajectoire de l’ouragan Irene au Canada
Irene, qui est maintenant entré sur le territoire canadien, sévira jusqu’à lundi sur le sud et l’est du Québec, de Montréal à la Gaspésie.
Selon Environnement Canada, les vents pourraient atteindre les 90 km/h par endroits, peut-être même un peu plus pour la région de Québec. La tempête apportera de 50 à 100 millimètres de précipitations, notamment sur la Montérégie, l’Estrie, la Beauce et Québec.
Après le sud-ouest québécois, Irene se déplacera progressivement vers l’est. Selon Environnement Canada, la pluie et les vents se propageront lentement pour gagner le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie la nuit prochaine.
L’agence fédérale précise que « les vents violents associés à cette tempête se produiront pendant une période de grandes marées et favoriseront des débordements côtiers ».
Consultez sur le site d’Environnement Canada la carte des régions concernées par les avertissements de pluie, de vent ou de tempête tropicale.
Dans les Maritimes
Le Centre canadien de prévision des ouragans a émis aussi des avertissements de tempête tropicale pour les côtes de Fundy du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse ainsi que pour la côte Atlantique de la Nouvelle-Écosse au sud-ouest de Porters Lake.
Des rafales entre 90 et 110 km/h pourraient souffler dimanche soir sur la Nouvelle-Écosse, l’Île-du-Prince-Édouard, et certains secteurs du Nouveau-Brunswick.
Environnement Canada prévoit de 50 à 80 millimètres de pluie et possiblement plus de 100 millimètres par endroits dans le nord-ouest du Nouveau-Brunswick jusqu’en matinée lundi.
La trajectoire de l’ouragan Irene au Canada, selon Environnement Canada.
Radio-Canada.ca avecPresse canadienne
Encore une fois les écureuils ne sont pas toujours sage en octobre 2010,
En Grande-Bretagne, les délinquants étaient… des écureuils
avaient commis des dommages sur des câbles de freins des voitures et des fils de téléphone ,,, mais dans la présente histoire .. nous avons un écureuil bien patriotique .
Nuage
Un écureuil coupable d’avoir volé des drapeaux
Photo: AP
Associated Press
Toledo, Ohio
Les autorités de la ville de Toledo, en Ohio, ont découvert qui se cachait derrière la disparition de petits drapeaux américains ornant un monument érigé en hommage aux forces de l’ordre de la municipalité.
Deux policiers ont en effet surpris mercredi un écureuil en train de voler l’une des bannières étoilées avant de prendre la poudre d’escampette.
Le lieutenant James Brown a raconté au journal The Blade que son collègue et lui n’avaient pas été assez rapides pour attraper le rongeur.
Plus tard, les agents ont trouvé un nid d’écureuil fabriqué à l’aide de feuilles, de branches et d’au moins deux drapeaux près de leur quartier général.
Le lieutenant Brown a révélé qu’au moins trois bannières étoilées avaient disparu dans les derniers jours.
Il a précisé qu’il ne pouvait affirmer hors de tout doute que les larcins avaient été commis par le même animal.
Un témoignage d’une personne qui a subit une grave agression et pour s’en sortir elle a accepter, au début de reculons, d’assister a une thérapie ou sont réunis victimes et agresseurs … Cela doit demander du cran de faire face a ses blessures de la sorte et je ne pense pas que tout le monde peut réussir a s’en sortir de la sorte, mais si cela a des effets positifs c’est un grand pas ..
Nuage
Par Mathieu Courchesne | Agence QMI
Carole a été agressée sexuellement il y a de nombreuses années. On l’a parfois traitée de menteuse lorsqu’elle dénonçait les gestes qu’elle subissait. Malgré plusieurs thérapies, la Lavalloise de 56 ans vivait avec la honte et la culpabilité.
Puis, un soir de printemps 2009, un agresseur l’a regardée dans les yeux et lui a dit: «Je suis le seul et unique responsable des gestes que j’ai posés.» Ce soir-là, tout a changé.
«J’avais attendu toute ma vie pour entendre ça, a expliqué Carole, qui a préféré taire son nom de famille. Je me suis mise à pleurer. Je ne savais plus quoi dire. Même si la phrase ne venait pas directement de mon agresseur, ça a eu un impact majeur pour moi.»
Carole participait alors à une session de justice réparatrice. Le principe est simple: des victimes d’actes criminels rencontrent des criminels ayant commis des actes similaires à ce qu’elles ont vécu. Ces rencontres, organisées par le Centre de services de justice réparatrice (CSJR), ont notamment lieu à l’établissement de la montée Saint-François, à Laval.
Pendant un mois, Carole s’est rendue dans un petit local, en compagnie d’autres victimes, d’agresseurs et de membres de la communauté venus participer à l’expérience.
«Lorsqu’on m’a parlé de ces séances pour la première fois, j’ai refusé d’y participer, a-t-elle indiqué. Je me disais que j’allais probablement tous les tuer. Il m’a fallu trois ans avant de me sentir prête.»
Quelques minutes avant que les agresseurs entrent dans la salle pour la première fois, Carole a ressenti beaucoup d’anxiété.
«J’avais peur de devenir agressive, a-t-elle expliqué. Je ne savais pas comment j’allais réagir. Mais étrangement, ça a bien été. Ils ne sont pas arrivés là en machos. Ils avaient la tête baissée et la queue entre les deux jambes, comme on dit. J’ai surtout été surprise de voir comment la honte était vécue autant d’un côté que de l’autre.»
Au fil des séances, Carole a pu parler de son histoire et, surtout, des conséquences que les agressions ont eues dans sa vie.
«J’y repense et j’en ai encore des frissons, a-t-elle ajouté. C’est certain que ça n’a pas été facile. Je n’allais pas là pour être indulgente avec les agresseurs non plus. La confrontation a parfois été dure.»
Pas pour n’importe qui
Si l’expérience de Carole avec la justice réparatrice fut un succès, ce ne peut être le cas pour tout le monde.
«On ne prend pas n’importe qui dans nos séances, a expliqué Claire Messier, psychothérapeute et animatrice des rencontres détenus-victimes (RDV). Il faut que les participants aient un soutien extérieur. Les rencontres peuvent être assez difficiles. Il faut que la personne soit équipée pour gérer cela. Nous faisons une sélection.»
Les criminels doivent de leur côté avoir terminé un processus thérapeutique et être recommandés par les intervenants du pénitencier. Ils doivent, avant toute chose, reconnaître leur tort.
Claire Messier a la grande responsabilité d’animer ces rencontres, en compagnie d’un travailleur social. Au fil des semaines, elle constate les bénéfices de l’expérience auprès des victimes et des détenus.
«On le voit dans l’attitude corporelle, par exemple, a-t-elle précisé. Les femmes victimes de sévices sexuels ont tendance à ne pas se mettre belles, une mesure de protection parfois inconsciente. Souvent, on remarque que les femmes deviennent resplendissantes plus les semaines passent.»
De son côté, Carole affirme voir, encore aujourd’hui, les bénéfices de cette expérience.
«Ça a l’air banal, mais quand un agresseur et des représentants de la communauté t’écoutent et te disent qu’ils te croient, ça fait toute une différence», a-t-elle dit.
Aujourd’hui, Carole aide d’autres victimes.
«Je ne pouvais pas aider les autres avant d’avoir moi-même pardonné, a-t-elle expliqué. Maintenant, je vois des victimes qui recommencent à sourire. Il y avait cette femme dans mon groupe. On ne l’entendait presque pas tellement elle chuchotait. Aujourd’hui, elle parle fort et est épanouie. C’est beau à voir.»
Prêt pour la télé numérique ? Car le 1 er septembre ce sera le grand changement … Les signaux analogique va tirer sa révérences sauf pour les services d’urgences et quelques exceptions ..
Nuage
Passage à la télé numérique Meilleure image dès jeudi
©Shutterstock
Agence QMI
Jean-Nicolas Blanchet/ Journal de Québec
QUÉBEC – Plus que quelques jours et 80 % des foyers canadiens n’auront plus accès aux signaux analogiques. Trois ans après les Américains, le Canada s’uniformise en mode numérique.
Il s’agit d’un changement important dans le domaine des télécommunications au pays. L’opération permettra non seulement d’améliorer la qualité de l’image, mais surtout de libérer de l’espace sur les ondes hertziennes, devenues saturées en raison du lourd espace qu’occupent les chaînes analogiques.
Pour faire plus simple, la transition vers le numérique libérera des fréquences qui seront utilisées par les systèmes de transmission des services d’urgence des policiers et des pompiers, à travers le Canada. Une chaîne analogique occuperait dix fois plus d’espace qu’une chaîne numérique sur l’espace hertzien.
«Oreilles de lapin»
Dès jeudi prochain, les usagers de la télévision analogique, tous ceux qui ne sont ni desservis par les signaux satellites, ni par le câble, devront se munir d’un convertisseur numérique, coûtant entre 50 $ et 100 $ dans les magasins d’appareils électroniques, pour avoir accès aux signaux des principales chaînes généralistes. Les téléviseurs datant des cinq dernières années ont habituellement déjà un convertisseur intégré.
Autrement, les appareils munis d’«oreilles de lapin» ne serviront que de relique décorative. 850 000 ménages canadiens utilisent le signal analogique selon le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC). Le signal analogique continuera toutefois d’être disponible dans certaines régions, dont la Côte-Nord et la Gaspésie.
Pour les autres marchés, les télédiffuseurs doivent donc s’être convertis en numérique. Comme le CRTC le souligne, ces télédiffuseurs ne sont pas contraints de passer au mode numérique. Par contre, c’est tout comme puisqu’ils perdront leur licence s’ils ne l’ont pas fait le 1er septembre. Le CRTC a néanmoins accordé un sursis d’un an à Radio-Canada, qui pourra continuer de transmettre en analogique.
Travaux importants
À partir du 1er septembre, TVA-Québec n’aura donc plus sa chaîne conventionnelle et ne sera présentée que par sa chaîne en haute définition. V-Télé fera de même. Si les travaux furent assez simples pour TVA-Québec, qui n’a eu qu’à travailler dans sa cour, sur la rue Myrand, ce fut plus complexe pour V-Télé, qui devait rénover les installations au sommet de l’édifice Marie-Guyart. Depuis le 16 août, des techniciens besognent durant la nuit, lorsque les autres antennes, situées au même endroit, sont éteintes. Voilà pourquoi des téléspectateurs ont peut-être eu quelques surprises lors des dernières nuits.
Même si la décision du CRTC impose des investissements importants à V-Télé, Pierre Courcy, chef aux opérations, a indiqué que les travaux étaient nécessaires.
«Il fallait le faire. L’émetteur était âgé, sa durée de vie était faite, a-t-il dit. L’image sera même 100 fois meilleure que le câble, où l’image qui est fournie est compressée. Là, ce sera l’image pure».
Du côté de Télé-Québec, la transition au numérique avait déjà été réalisée auparavant.
Prêts pour la transition, les différents magasins électroniques de la région ont fait leur réserve de convertisseurs. Toutefois, plusieurs ont mentionné ne pas avoir reçu énormément de demandes, pour l’instant.
Les nouvelles sont rester les mêmes .. je peux comprendre le désarrois des parents, de la famille face a peu d’informations de la part des policiers Mais, je crois que c’est nécessaire pour faire une bonne enquête car trop d’information peu donner une avance sur l’agresseur, mais comme nous sommes tous humains .. nous avons hâte de voir la conclusion de l’enquête qui espérons aura la réponse aux milles questions
Nuage
Meurtre de Valérie Leblanc
Huguette Leblanc, la grand-mère de Valérie Leblanc,
ne peut s’empêcher de retourner sur la scène du crime.
©Agence QMI/ Tony Caldwell
Agence QMI
Larissa Cahute
GATINEAU – Huguette Leblanc, la grand-mère de la jeune Valérie Leblanc, dont le corps a été retrouvé mardi soir derrière le Cégep de l’Outaouais, ne peut s’empêcher de retourner sur la scène du crime.
«[ Je viens ] chaque jour, parfois deux, trois fois par jour», a-t-elle dit. Elle revient sur place, car elle a l’impression que sa petite-fille est là, à ses côtés.
«Je ne sens pas le besoin d’aller au cimetière, je sais qu’elle n’y est pas. Mais ici, ce n’est pas pareil, a-t-elle ajouté. Nous sommes venus pour sentir le calme.»
Mme Leblanc était accompagnée de trois amis de la famille avec qui elle a parlé de Valérie, et de l’enquête en cours, au sujet de laquelle les proches de Valérie disent qu’ils ne «savent absolument rien».
«Les policiers nous disent bien ce qu’ils veulent, ils sont peu loquaces», a dit une amie de la famille, Diane Charbonneau.
C’est par l’entremise des médias que la famille obtient quelques informations sur l’enquête, et pour Mme Leblanc, il est difficile de distinguer ce qui est vraiment pertinent.
Elle n’a pas voulu commenter l’enquête parallèle concernant l’outrage au cadavre de Valérie Leblanc.
«Nous n’en savons pas plus que les médias», a-t-elle dit.
La police n’a pas encore de suspect dans cette affaire, mais a indiqué vendredi qu’elle vérifiait s’il n’y aurait pas un lien entre le meurtre de Valérie Leblanc et trois tentatives d’enlèvement de jeunes femmes survenues au mois de juin.
La police examine aussi les images captées par les caméras de surveillance du cégep afin de voir si le véhicule du suspect était dans le secteur où le corps de la jeune Leblanc a été retrouvé.
Vendredi matin, une étudiante du Cégep de l’Outaouais a rencontré les policiers afin de leur fournir de nouvelles informations. Elle leur a dit avoir vu un homme blanc d’environ 18 ou 19 ans qui sortait du bois mardi vers 12h30. Elle a spécifié qu’il avait les cheveux coiffés vers l’arrière. Une dizaine de nouvelles informations liées au meurtre sont traitées par la police.
De nombreux témoignages
Depuis mercredi dernier, amis et confrères de classe sont eux aussi venus se recueillir à l’endroit où le corps de Valérie a été découvert. Michael Reitano ne connaissait pas la jeune victime, mais il a été secoué par la nouvelle de sa mort violente. Il est venu déposer des fleurs et participer à la vigile, mercredi.
«Je suis étudiant au cégep, a-t-il dit. Ce doit être très difficile [pour la famille]».
La mère de Valérie n’a pas encore été capable de venir sur place.
«Son père est venu, mais pas sa mère. Elle est folle de douleur», a dit Mme Leblanc.
Les funérailles de Valérie Leblanc seront célébrées mercredi prochain à la cathédrale Saint-Joseph de Gatineau.
Nuage
Conditions actuelles sur les ouragans
Information sur les trajectoires d’ouragans
Pour en apprendre plus au sujet des ouragans, veuillez visiter le Centre canadien des ouragans
Nuage Ciel d'Azur 