Il est possible que les dauphins soient les mammifères les plus intelligents que la terre a porter .. et nous aimons savoir qu’ils sont capable de comprendre plusieurs mots …Nuage
La langue des dauphins
«S’il a été remarqué que quelques dauphins pouvaient reconnaitre jusqu’à cinquante mots de notre langue, aucun humain n’a jamais pu comprendre un seul mot de la leur.»
Carl Sagan
Très bel exemple, quand les choses vont mal a un point ou toutes portes semblent se fermer il ne faut laisser le temps agir .. car demain le soleil se lèvera de nouveau
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Si on aime les arcs–en–ciel
Si on aime les arcs-en-ciel, ils viennent toujours en fin de pluie. Il faut qu’il pleuve pour assister à ce merveilleux phénomène.
C’est pareil dans la vie : même quand il pleut dans votre vie, vous pouvez voir des arcs-en-ciel. Le soleil apparaît toujours tôt ou tard ! Les rayons se frayent toujours un chemin pour éclairer les gouttelettes d’eau de la vie.
Michel Poulaert
Certains médicaments sont tellement mauvais que juste a y penser nous rebute a les prendre
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Médicaments au mauvais gout
Pour avaler un médicament au gout désagréable. Prendre un glaçon en bouche.
Pour avaler ou faire avaler à des enfants un médicament en gouttes qui a un mauvais goût: plutôt que de mettre les gouttes dans de l’eau, mettez-les dans du lait froid. Le lait "tue" complètement certains goûts amers.
J’aime vraiment la philosophie de ce Polonais .. et comme la-bas, les plantes dites mauvaises herbes ont mauvaises réputation dans nos villes .. Pourtant ces plantes sont indigènes de chaque pays et n’ont pas besoin d’entretient particulier .. car ils poussent malgré la sécheresse, les inondations, les saisons changeantes alors que ceux qu’on choisi et qui sont commercialisé sont victimes du temps, des insectes et coutent un prix exorbitant ..
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Les mauvaises herbes ont droit de cité
Maja Mozga-Gorecka
Dans les villes de Pologne poussent encore de nombreuses herbes folles. Mais on persiste à les arracher.
Il y a quelques années, le biologiste et écologiste Lukasz Luczaj a eu l’idée de créer une parcelle de pâturage en plein centre-ville de Krosno, dans le sud-est de la Pologne. Sur quelques mètres carrés de terre, il a réussi à faire pousser des plantes à partir de graines qu’il a lui-même récoltées : des nielles des blés, des bleuets des champs, de la camomille, des vesces et des coquelicots.
“Les gens ont appelé la mairie pour savoir ce que ces herbes folles faisaient là. Les employés municipaux se sont rendus sur les lieux”, ils ont tout arraché. Son pré n’a duré qu’un été.
“Pour beaucoup, les mauvaises herbes sont synonymes de nuisance et de désordre”, poursuit M. Luczaj.
Depuis dix ans, il vend des graines qu’il récolte à la main sur une parcelle de 17 hectares, située dans un village aux pieds des Carpates. Il y fait pousser des espèces menacées de disparition, comme la nielle des blés ou le chrysanthème des moissons.
“Il fut un temps où les mauvaises herbes avaient leur place. La vesce grimpait sur la clôture, le chardon poussait dans les haies et les champs de céréales étaient mouchetés de bleu et de rouge par les bleuets et les coquelicots. Aujourd’hui, on utilise des herbicides partout : les mauvaises herbes ne correspondent pas à l’image d’une Pologne moderne, propre et européenne”, regrette M. Luczaj.
La phytosociologie explique que les mauvaises herbes sont des plantes qui accompagnent les cultures céréalières. Mais, dans le cas de jardins et d’espaces verts urbains, il n’est pas question de productivité ; on a tendance à ranger parmi les mauvaises herbes les espèces locales, qui poussent spontanément et non selon un plan préétabli. Et, une fois décrétée “mauvaise”, la plante est vouée à l’extinction. Elle est bonne à jeter, et on ne se souvient même pas de son nom.
“Elles n’ont plus d’identité”, explique Piotr Medrzycki, biologiste de l’Ecole supérieure d’écologie et de gestion, à Varsovie.
“On trouve environ 200 espèces de plantes sur une pelouse naturelle, alors qu’un sachet de gazon industriel en contient seulement 15. Et il s’agit d’espèces sensibles à la sécheresse et aux inondations, alors que les espèces locales, elles, résistent bien”, explique M. Medrzycki.
Selon lui, les villes comme Varsovie sont en passe de détruire leur identité écologique, comme cela s’est passé à Londres : quand l’ONG britannique Livingroofs a milité pour l’installation de jardins sur les toits des maisons londoniennes, on pensait que les pelouses allaient se constituer d’elles-mêmes [avec des graines transportées par le vent]. Mais cela n’a pas marché, faute d’espèces survivantes.
“Il est pourtant possible d’aménager son jardin de façon écologique”, explique l’architecte paysagiste Agnieszka Duc. “C’est simple, on plante des espèces qui poussent localement, ce qui permet d’assurer la continuité de l’écosystème local. On n’a pas besoin de produits chimiques, les plantes combattent la vermine naturellement. On n’est pas obligé non plus d’arroser et de se soucier de la beauté de la végétation. Dans un grand jardin, il suffit d’avoir un herbage qu’on fauche deux fois par an. Mais, pour la majorité des gens, la sobriété associée aux mauvaises herbes rappelle l’époque communiste et ses privations. C’est dommage, parce que ces plantes se marient très bien avec l’architecture moderne, contrastant avec les matériaux les plus élaborés.”
Les désinfectant donne une fausse impression de protection contre les microbes. Il faut priorisé un bon lavage de main et se servir de ces désinfectants qu’a défaut de ne pas pouvoir se laver correctement les mains
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Danger avec les désinfectants pour les mains
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Les désinfectants pour les mains augmentent les risques d’infections de type gastro-entérites.
Beaucoup de gens croient à tort que les désinfectants pour les mains remplacent efficacement le lavage avec de l’eau et du savon.
Mais selon le MedicalNewsToday, ces désinfectants augmentent plutôt le risque d’infection virale qui cause une inflammation du système digestif.
Bien que les désinfectants pour les mains soient plus pratiques, ils ne sont jamais aussi efficaces que de l’eau et du savon. Ils ne devraient être utilisés que dans les cas «d’urgence».
De plus, leur usage irrationnel, de même que l’usage excessif des antibiotiques, nous rendent moins résistants aux germes.
Les désinfectants pour les mains augmentent les risques d‘infection de type gastro-entérites qui sont facilement transmissibles. Elles causent des diarrhées, nausées et douleurs abdominales et ont été observées en plus grand nombre dans les centres où on utilisait surtout les désinfectants à main plutôt que l’eau et le savon.
C’est sur que c’est moins pire Maison Prada Désirable… à 13 ans? mais il demeure quand même que je trouve personnellement, que c’est d’inciter des enfants a se comporter comme une femme adulte et voudront suivre cet exemple dans l’avenir au lieu d’être tout simplement des enfants ..
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TVA Nouvelles, d’après CNN
Elles prennent la pause dans leurs soutiens-gorge et culottes, certaines portent des perles, ont les cheveux bouffants dans un look qui rappelle Brigitte Bardot, elles sourient à la caméra.
© fashionista.com
Ces images pourraient être celles tirées de n’importe quelle publicité de lingerie, mais elles sont celles de fillettes, qui ne sont même pas en âge de porter de la lingerie.
Les images sont celles de la nouvelle campagne de la marque française Jours après lunes et créent l’émoi aux États-Unis.
La marque souhaitait créer un nouveau concept, celui de «loungerie»: un amalgame entre la lingerie et les vêtements de détente qui s’adresse aux enfants entre quatre et douze ans. La designer de la marque souhaitait adapter les tendances de sous-vêtements destinés aux adultes aux enfants et aux adolescents.
C’est le site Fashionista.com qui a d’abord dénoncé cette marque en écrivant sur son site:
«Ce qui dérange à propos de Jours après Lunes, ce n’est pas d’offrir ce type de lingerie à des fillettes mais plutôt les photos présentes sur leur site internet.»
Dans une entrevue, la designer de la marque, Sophie Morin s’est défendue:
«Il n’y a aucune connotation vulgaire, les tissus sont opaques, il n’y a pas de transparence, de dentelle.»
Pour ce qui est des hauts sexy en triangles, elle explique qu’il n’y en a que deux dans toute la collection et qu’ils sont utilisés comme maillots de bain.
«Il n’y a pas de soutien-gorge dans la collection» insiste la designer.
Sophie Morin souligne que sur les photos, les fillettes ne portent pas de talons hauts, de vernis à ongles ou de rouge à lèvres.
Ca doit être la petite fée que mon amie Lulla a perdue, quelle fin tragique a son histoire …
Mais elle aura alimentée quelques croyances féériques et donner une façon de faire de l’argent
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On a capturé une fée au Mexique!
Un jeune mexicain de 22 ans a trouvé une fée alors qu’il ramassait des goyaves! Non, non, ce n’est pas une blague; enfin…
A Guadalajara, dans l’ouest du Mexique, José Maldonado était en train de ramasser des goyaves quand une lumière vive a attiré son attention. Il a d’abord pensé à une luciole mais en s’approchant de la lumière sa surprise fut grande quand il a constaté qu’il s’agissait en fait d’une fée ! On parle bien sûr ici de l’être mythologique, comme Clochette dans Peter Pan ou les trois marraines de la Belle au bois dormant.
José a alors ramassé le petit être, qui est malheureusement décédé peu après et l’a conservé dans un bocal contenant du formol.
La presse locale s’est emparée de l’information et des curieux sont alors venus voir en personne la fée. José a reçu près de 3000 visiteurs en une seule fin de semaine. Il n’a en tout cas pas perdu le sens des affaires puisqu’il exige quelques pesos en droit d’entrée. De plus, les visiteurs peuvent acheter un petit porte clés à l’effigie de la fée pour 20 pesos et l’on peut même manger sur place!
En revanche, la petite fée ressemblerait étrangement et comme par hasard à un jouet et aurait une consistance gélatineuse. D’autres preuves indiquent aussi que cette découverte n’en n’est pas une.
Alors vraie fée ou vrai jouet ?
Nuage Ciel d'Azur 