Je vais être grand-mère


Je vais être grand-mère

 

 

Ma fille et mon gendre nous avait annoncé la nouvelle en début mai ..

 

aujourd’hui, elle a passé un échographie ..

 

je serais grand-mère d’une petite fille

 

c’est le premier petit enfant qui naitra probablement en début Janvier

 

Elle sera surement jolie car cette petite princesse aura une mère québécoise et un papa salvadorien

Elle pourras apprendre très tôt le français et l’espagnol … et l’anglais

C’est un bon départ !!

 

 

Nuage

Un ami …


Quand on décrit l’ami idéal qui sait écouter, qui est franc, qui comprend nos besoins de silence et solitude, qui sait que quelque fois on peut s’énervé … c’est bien mais pour avoir un ami idéal il faut d’abord et avant tout l’être pour soi-même
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Un ami …

"Tout le monde veut avoir un ami.
Personne ne s’occupe d’en être un. "

Alphonse Karr

S’observer pour mieux se connaître


Pas toujours facile a gérer les émotions surtout quand des évènements nous pèsent. Savoir les moments qui nous énervent permet de trouver un moyens pour prendre cela plus relaxe
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S’observer pour mieux se connaître

"Dès le moment où vous voyez clair en vous,
vous avez déjà les moyens de vous transformer.“

Une des meilleures sources d’information pour parfaire notre connaissance de soi est notre propre vécu. Ce dernier renferme une mine d’or d’informations. Nous avons tous remarqué que ce que nous ressentons à l’intérieur de nous-mêmes varie significativement dans le temps. Parfois, une variation négative nous affecte sans raison apparente. Parfois, une variation positive nous permet de vivre un moment de grande joie que nous aimerions prolonger ou reproduire.

Exemple :

Dans le cours normal d’une journée, notre état intérieur varie typiquement à quelques reprises. Par exemple, Pierre se lève de bonne humeur et plein d’enthousiasme. Après le petit déjeuner, il prend le volant pour aller travailler. Soudainement, le voilà immobilisé dans un embouteillage monstre. Par la suite, arrivé finalement au bureau, il perçoit une certaine impatience qui persiste plusieurs heures. Vers la fin de la journée, il termine avec succès un projet qui le rapproche de la promotion qu’il convoite depuis des années. Il ressent alors de la joie et son sentiment d’impatience disparaît aussitôt.

 

Nous possédons tous un laboratoire intérieur, et c’est à nous d’y chercher les éléments qui nous permettront de mieux nous connaître. Il est impossible de décrire ces éléments comme ça théoriquement, chacun doit les trouver pour lui-même en réfléchissant aux événements de sa vie quotidienne.

 

Essayez de vous souvenir de vos évènements récents : ce que vous avez entendu et vu, ce que vous avez fait, ce que vous avez pensé. Puis, identifiez ce que ces évènements ont créé en vous en termes de sentiments, de sensation et d’états d’âme.

 

Portez une attention particulière aux transitions d’un état intérieur à un autre, car celles-ci sont particulièrement révélatrices. Voici des questions simples à se poser pour découvrir ce qui se passe en nous et pourquoi :

 

Quel sentiment est-ce que je ressens en ce moment ?
Quel évènement a entraîné ce sentiment ?

Voici à titre d’exemple, l’analyse que Pierre pourrait faire :

 
Matinée : le sentiment est “impatience“ et ce dernier est causé par l’évènement “embouteillage“.
Après-midi :
le sentiment est “joie“ et ce dernier est causé par l’évènement “espoir d’obtenir une promotion“.

 

Évidemment, l’analyse précédente a été simplifiée pour les fins de l’exemple. Parfois on ne prend pas immédiatement conscience de notre état d’âme ; et ce n’est qu’après un long moment qu’on se rend compte d’un trouble ou d’une lourdeur. Mais ces états d’âme ont quand même une cause qu’il est bon de découvrir afin d’en tirer un enseignement pour l’avenir.

 

Nous avons tous des choses à améliorer. Le fait d’être inconscient de celles-ci nous empêche de les corriger. Aussitôt que nous voyons clair en nous, il devient possible de nous transformer. Une meilleure connaissance de soi est donc un pas très important vers un mieux-être.

"La connaissance de soi est une
naissance à sa propre lumière."

Denis St-Pierre

Truc express ► Ça décolle


C’est décevant après avoir fait une recette que c’est que c’est au moment du démoulage que les choses peuvent se gâter
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Ça décolle


Vous avez à démoulez un pouding, une mousse, un aspic ?

Souvenez-vous que si le moule est froid, on le trempe dans l’eau chaude et si le moule est chaud on le trempe dans l’eau froide

7 Jours/Les meilleurs trucs de Madame Chasse-taches/Louise Robitaille/Août 2011

Les petites histoires de dame Nature


De la coccinelle passant par la guêpe, voisinant une mouche se baladant sur une fleur .. la nature a ses histoires a raconter

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Les petites histoires de dame Nature

 

Coccinelle
coccinelle
© Christelle Milesi

Regard
regard
© Chantal Surquin

Chardon-marie
chardon-marie
© Bruno Hanniquet

Goutte de rosée
goutte de rosée
© Jean-François Carpentier

Couleurs d’été
couleurs d'été
© Teresa Mondello

Face à face
face à face
© Jacques Bleus


Orangé
orangé
© Jean-Louis Guianvarch

Poney
poney
© Geneviève Lapoux

Liserons
liserons

© Aldo Bertotti

 

Suricate

suricate

© Jean-René Tuaud


Rencontre insolite

rencontre

© Jean-Luc Anglès

 

Guêpe

guêpe

© Colette Delrez

 

http://www.linternaute.com

Dormir dans une bulle


Une idée très originale et qui permet de se sentir protéger en cas de visiteurs a quatre pattes .. Ca m’a rappeler quand j’étais plus jeune, je voulais une maison avec le terrain dans une bulle pour avoir un climat agréable, un jardin même en hier
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Dormir dans une bulle

 

France - Dormir dans une bulle
© AFP / PHILIPPE HUGUEN
Une «bulle» dans un parc de Roubaix, dans le nord de la France

Dormir à la belle étoile tout en ayant la confort d’une chambre moderne, c’est désormais possible avec les hébergements en bulles de tourisme, qui remportent un succès grandissant auprès des citadins en quête de nature mais aussi soucieux de leur bien-être.

 

«On a vraiment eu la sensation d’être transportés dans un autre monde. On était sceptiques au début – peur du bruit, du froid, de mal dormir – mais au final on a été totalement emballés. C’est comme si on se retrouvait à dormir dans un cocon protecteur et confortable, tout en faisant corps avec la nature», témoigne Emy Maerten, 29 ans, qui vient de passer une nuit dans une bulle des Cottages du Parc, à Roubaix.

À mi-chemin entre le camping sauvage et la chambre d’hôtel, les nuits sous bulles séduisent avant tout les jeunes couples citadins en quête de romantisme, mais remportent aussi les faveurs de personnes plus âgées ou des fans d’écotourisme.

Ce qui séduit avant tout, c’est le côté insolite. «Du fait de la crise, les gens voyagent de moins en moins, alors ils cherchent l’évasion par des modes d’hébergements atypiques», explique Didier Arinor, de l’agence Protourisme.

Communier avec la nature
Créées par un designer français en 2006, les bulles apparaissent d’abord comme une sorte de vaisseau spatial ou comme un énorme cocon immaculé et transparent.

«Elles ont presque un aspect irréel, ce qui favorise la dimension onirique», souligne M. Arinor.

Elles se composent d’une première bulle – la «bubble room» – entièrement transparente de 12 mètres carrés environ, construite en plastique recyclable et maintenue sous pression par une soufflerie silencieuse, et d’une seconde plus petite et opaque servant de cabinet de toilette.

Pour l’instant, il n’existe que neuf structures de ce type en France, la plupart situées au sud de la Loire. La bulle de Roubaix est la seule au nord de Paris, et l’unique en milieu urbain.

 

«Ça marche fort depuis le lancement en avril. Il faut réserver plus d’un mois à l’avance pour les week-ends et les gens viennent de loin – Bourgogne, Belgique, Pays-Bas – pour dormir dans la bulle», explique Rudolph Palladino, propriétaire des Cottages du Parc, situé dans un parc de 2000 mètres carrés en plein cœur de Roubaix.

«Ce que les gens recherchent avec les bulles, comme avec les autres hébergements atypiques, c’est de s’offrir une part d’aventure, dans un contexte rassurant et confortable», analyse M. Arinor.

Selon lui, les bulles et les hébergements atypiques, qui connaissent des croissances de l’ordre de 20 à 25% chaque année, pourraient représenter 5% du marché de l’offre de plein air d’ici environ 5 ans.

http://fr.canoe.ca/

Le piratage informatique, un jeu d’enfant


Avec la vitesse qu’a été la nouvelle émise en pleine nuit d’un canular au Journal du Devoir, il est essentiel que des actions concrètes soient prise pour éviter des actes de piratages car ce genre d’action peuvent amener des réactions indésirables dans le monde …

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Le piratage informatique, un jeu d’enfant

 

Cybercrime - Le piratage informatique, un jeu d’enfant

© Reuters / Archives

Agence QMI
Jean-Nicolas Blanchet

Le piratage du site internet du Devoir a suscité des interrogations par rapport à l’efficacité des mesures de sécurité des contenus informatiques mis en ligne par les entreprises publiques ou privées, au Québec.

Le directeur du Centre de criminologie comparée de l’Université de Montréal, Benoît Dupont, a expliqué que l’intrusion dans de tels systèmes informatiques était un jeu d’enfant pour les malveillants.

«Ça ne prend pas un ingénieur très qualifié pour arriver à faire ça. Avec des connaissances techniques très limitées, on peut y parvenir.»

M. Dupont ne semblait pas impressionné de la piraterie du site du Devoir.

«Comme la plupart des grands sites, ce sont des bases de données dynamiques qui envoient des contenus d’information sur la page internet. Des gens sont en mesure de pirater cette base de données mal paramétrée et de modifier le contenu du site.»

Ce type de piratage est courant dans le monde du crime informatique, selon Benoît Dupont, qui est aussi titulaire de la Chaire de recherche en sécurité, identité et technologie.

«Si vous consacrez un peu de temps ou vous achetez un logiciel de piraterie qui permet de faire ressortir de façon automatique toutes les failles d’un serveur, ça peut devenir très facile d’introduire un site», a-t-il ajouté.

Insouciance

M. Dupont a souligné que les Québécois sont parfois insouciants par rapport au piratage informatique.

«Le gouvernement provincial en avait fait une priorité, il y a quelques années. Mais rien n’a été fait. On doit avoir plus de mesures de sensibilisation auprès des entreprises. Il y avait un l’Institut de sécurité de l’information du Québec, mais il a été supprimé, l’an dernier. Il ne fait plus d’activités et dispose d’un site internet présentant des informations qui commencent sérieusement à être périmées.»

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Un programme informatique prévient la police avant que le crime ne soit commis


Si j’ai bien compris ce logiciel se fie aux pourcentages de crimes commis aux endroits propices … Intéressant comme manière de limiter les crimes

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Un programme informatique prévient la police avant que le crime ne soit commis

 

image:http://assets.branchez-vous.net/admin/images/techno/minorityreport.jpg

Le film Rapport minoritaire (Minority Report) de Steven Spielberg mettait à l’avant une société capable d’arrêter des criminels avant que ne soit commis le crime. Voilà que la police de Santa Cruz en Californie fait l’expérience de la prédiction des crimes depuis début juillet grâce à un programme informatique qui indique aux officiers où des délits sont susceptibles d’avoir lieu.

Ainsi, alors que deux femmes étaient sur le point de voler des voitures, la police a pu les arrêter prise sur le fait. L’une d’elles avait en plus des amendes impayées tandis que l’autre avait de la drogue sur elle. Bonne pioche donc!

Le programme est développé par un groupe de chercheurs comprenant deux mathématiciens, un anthropologue et un criminologue. Le logiciel est pour l’instant utilisé dans la prévention des vols de voitures et des cambriolages de maisons, mais devrait être étendu à d’autres crimes et notamment les crimes dits «violents» (agressions, meurtres,…).

Une unité de prédiction existait déjà auparavant. Elle a été créée à Chicago l’an dernier. Mais le logiciel de la police de Santa Cruz est le plus sophistiqué jamais utilisé. Il se base en effet sur les modèles de prédiction des répliques de séismes. Fort d’une base de données recensant tous les délits commis par le passé, il génère ainsi des projections sur les lieux et les horaires où les risques de futurs crimes sont les plus forts.

La police de Santa Cruz a recensé une baisse de 27% de cambriolages en un mois par rapport à juillet 2010, mais le vrai premier bilan aura lieu dans six mois. À l’origine, le programme devait équiper la police de Los Angeles qui suit de près l’expérience de Santa Cruz. Elle a annoncé qu’elle devrait finalement s’en servir un peu plus tard dans le courant de l’année avec l’idée d’y intégrer la prédiction des crimes violents.

(Source: New York Times, smartplanet et Globe and Mail)

par Nicolas Laffont

 

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Des animaleries du pays cesseront de vendre des chiots


C’est je pense, une mesure concrète pour aider les refuges a trouver un foyer d’adoption pour les chiens Le Québec, ne semble pas être sur la liste malheureusement. Cette chaînes animalières prend une très belle responsabilité

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Des animaleries du pays cesseront de vendre des chiots

 

 

Des animaleries du pays cesseront de vendre des chiots

© Shutterstock

 

Une chaîne d’animaleries du pays ne vendra plus de chiots dans ses succursales à compter du 1er septembre.

Cette mesure va être mis en place afin de favoriser l’adoption des milliers de jeunes chiens récupérés chaque année par les organismes dévoués à la prévention de la cruauté envers les animaux.

Les 41 magasins qui affichent les bannières PJ’s Pets et Pets Unlimited en Ontario, en Alberta, en Colombie-Britannique et dans les quatre provinces de l’Atlantique vont créer des espaces dans leurs locaux pour permettre aux agences d’adoption d’offrir de l’information sur leurs services et les chiots prêts à être adoptés.

La directrice générale de la SPCA en Nouvelle-Écosse, Kristin Williams, soutient qu’il y a trop d’animaux abandonnés, et que l’initiative permettra d’alléger le fardeau d’organisations comme celle qu’elle représente.

«La collaboration est essentielle pour résoudre les problèmes de mieux-être des animaux et pour sauver des vies », a-t-elle expliqué.

PIJAC Canada, une organisation qui représente l’industrie des animaux de compagnie, a indiqué que, «peu importe si une animalerie vend ou non des chiens, l’important est que le client reçoive des conseils venant de sources sûres».

«Il faut que le client sache ce qu’il désire avant de prendre une décision», a précisé l’organisation

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