Une belle façon de finir une belle journée ensoleillé
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Le soleil en pyjama
« Au bord de la mer pour admirer
le coucher de soleil.
Lise "Maman, pourquoi le ciel il est orange ?"
Maman "Parce que le soleil va se coucher"
Lise "Ah… il a mis son pyjama orange, alors" »
Lise 3 ans
On fait souvent des choses pour les autres sans ce soucier de nos propres besoins Il est important de trouver un équilibre entre les deux
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Être d’abord, faire ensuite
Nous sommes parfois tellement occupé à « faire » qu’on en oublie d’ « être ».
Combien de temps passons-nous à agir en fonction de notre environnement ?
Bien que cela soit indispensable, ne perdez pas de vue qu’ « être » est une clé du succès personnel. Cessez de faire les choses pour correspondre à une image qui ne vous appartient pas : soyez vous-même !
Michel Poulaert (Belge)
Un bon café avec un croissant commence bien une journée
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L’origine des croissants et du café au lait
La coutume qui consiste à servir du café au lait et des croissants au petit déjeuner vient d’Autriche.
Au 17e siècle, les Turcs assiègent la ville de Vienne. Les habitants parviennent à repousser les envahisseurs, qui fuient en abandonnant derrière eux des stocks de café.
Des Viennois récupèrent ces sacs de café et ouvrent à Vienne le premier "café" de l’histoire. Pour rendre la boisson moins amère, ils ont l’idée de la mélanger avec du lait.
La légende raconte que pour célébrer la victoire, ils accompagnent le café de petites brioches en forme de croissant, symbole de l’Empire ottoman. Depuis, on appelle ces pâtisseries des "viennoiseries".
Quel beau pays, qui a su garder son côté rustiques qui s’est formé a travers les siècles. Le coup d’oeil en vaut le détour
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La Corse du Sud
Les falaises de Bonifacio 
© Odile Cazamian
A l’est d’Ajaccio, Lac de Tolla 
© Bruno Chevrel
Passage à gué à travers la rivière Cavo proche de Porto-Vecchio 
© Ghislaine Girardot
Phare de Bonifacio 
© Christophe Rivoire
Au cœur de la forêt de L’Ospedale, Baignoires naturelles 
© Alain Vinas
Les bergeries 
© Rachel Renard
Le golfe de Porto 
© Françoise Verkarre
Les aiguilles de Bavella 
© Ghislaine Girardot
L’Alta Rocca 
© Jean-Pierre Rocca-Serra
La réserve de Scandola 
© L’Internaute Magazine
Col Saint-Roch, le Grain de sable 
© Laurent Chaussard
Les îles Sanguinaires 
© Gaël Bonno
Le pont de Spin’ a Cavallu 
© Bernard Bellavigna
La forêt d’Aïtone 
© Michel Germain
Le lion de Roccapina 
© Michel Prochasson
Le psoriasis est une maladie de peau dérangeante dépendant du degré affectée. Elle peut se loger partout même sur le cuir chevelu … Curieusement elle porte aussi un titre très poétique soit le chagrin de peau … Moi je suis atteinte mais pas trop sévèrement et par période que je n’ai pas trouvé la cause .. car en réalité on suppose le stress, la nourriture … sont des facteurs qui réveille les crises .. Le pire c’est quand ce problème se situe a des endroits stratégique comme sur l’oreille ou se pose les branches de lunettes .. ou sur le cuir chevelu … Mon médecin avait un remède de grand mère qui fonctionnais sur le cuir chevelu mieux que les produits en vente présentement .. mais malheureusement je n’ai plus la liste des ingrédients
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Psoriasis «Comme si j’avais la lèpre»
Tania Bonneau-Lajoie est atteinte de psoriasis depuis l’âge de 8 ans. Elle avoue que sa maladie a empoisonné son existence. © ANNIE T. ROUSSEL, AGENCE QMI
Héloïse Archambault
Le Journal de Montréal
Bien que les maladies de peau affectent un Canadien sur trois, les nombreux préjugés qui circulent encore à leur sujet causent bien des maux aux gens atteints, et empoisonnent carrément l’existence de plusieurs d’entre eux.
«Les gens sont dégoûtés quand ils me regardent, comme si j’avais la lèpre, confie Tania Bonneau-Lajoie. J’ai vécu des années de misère.»
La jeune femme de 24 ans est atteinte de psoriasis sévère depuis l’âge de huit ans, à la suite d’un choc post-traumatique causé par un drame familial. Si elle se dit aujourd’hui à l’aise avec sa maladie, cela n’a pas toujours été le cas.
«Les gens avaient peur de moi parce qu’ils pensaient que c’était contagieux. Je n’avais pas beau-coup d’amis, se rappelle-t-elle au sujet de son adolescence
Encore un tabou
Bien qu’un Canadien sur trois soit atteint d’une des nombreuses maladies de peau, le tabou qui les entoure demeure entier.
«C’est vraiment difficile à vivre parce que les gens ne savent pas ce que c’est, croit-elle. La douleur psychologique est aussi grande. Le pire, c’est quand je sens de la pitié dans le regard des autres.»
Les symptômes physiques du psoriasis sont multiples : plaques blanchâtres, peau sèche, démangeaisons, douleurs. Au Canada, environ 3 % de la population serait atteinte de cette maladie, dans une forme plus ou moins grave.
«Je voulais changer de peau»
«Il faut constamment que je passe le balai, parce que les peaux mortes tombent par terre, explique-t-elle. Une fois, ça piquait tellement que je voulais changer de peau. Ça empoisonne l’existence, c’est exaspérant.»
Quinze ans plus tard, la femme qui demeure à Québec avoue que sa maladie a ruiné sa vie.
«J’ai perdu un emploi parce que mes plaques dégoûtaient les clients, raconte-t-elle. Je suis sur l’aide sociale, mais je compte retourner aux études bientôt. Ma maladie a tout retardé. Dès que je suis stressée, les plaques augmentent.»
Fini les cols roulés
Présentement, Tania Bonneau-Lajoie a des plaques sur les bras, les jambes et dans le dos. Or, pendant plusieurs années, 90 % de son corps était recouvert.
«Je recommence à porter des jupes et des chandails à manches courtes, dit-elle. J’ai porté des cols roulés pendant des années. Maintenant, je m’accepte mieux.»
Cette dernière souhaite par ailleurs que les préjugés au sujet des maladies de peau soient démentis.
«Je voudrais qu’on en parle plus, ce n’est pas comme le cancer, qui est devenu une maladie courante, croit-elle. Si les gens savaient ce que c’est, peut-être qu’ils réagiraient différemment.»
Un problème «grave»
Les gens atteints de maladie de peau vivent souvent en marge de la société, un «grave problème» auquel l’association des patients souhaite mettre fin.
«Il faut qu’on se fasse entendre si on veut que ça change, croit Christine Janus, présidente de l’Alliance canadienne des patients en dermatologie. Les dépressions, les pertes d’emploi, le célibat, c’est monnaie courante.»
«Comme le sida»
Difficile de croire qu’une maladie tellement répandue puisse être encore taboue, en 2011.
«C’est comme le sida, croit la femme, qui n’a pas de sourcils en raison de sa maladie de peau. C’est un grave problème.»
«Beaucoup se cachent, a constaté Pierre Ricard, un dermatologue aujourd’hui à la retraite qui s’est spécialisé dans le psoriasis durant sa carrière. C’est très dur à vivre parce que ce n’est vraiment pas beau. Certains sont défigurés.»
Difficile à accepter
Pour Christine Janus, c’est toute la société qui gagnerait à mieux faire connaître ces maladies.
«Presque tous les Canadiens auront un problème avec leur peau au cours de leur vie, insiste-t-elle. Tout le monde gagne à ce qu’on en parle.»
* * *
LES MALADIES DE PEAU EN CHIFFRES
1 million de Canadiens sont aux prises avec le psoriasis
76% des patients sont insatisfaits de leur traitement
60% affirment que leur maladie est un problème grave dans leur vie
Environ 60 % des personnes atteintes de psoriasis manquent en moyenne 26 jours de travail par année à cause de la maladie.
Sondage effectué en 2007 auprès de 514 Canadiens atteints de psoriasis.
SOURCE : ALLIANCE CANADIENNE DES PATIENTS EN DERMATOLOGIE
Entre faire donner des avions en carton et financer pour une guerre, c’est sur que les avions en cartons sont plus pacifique mais la n’est pas la question … La crise économique, les difficultés financières comme le système médicale, l’aide aux victimes, la protection a l’enfance, la protection de la faune et la flore et la liste est longue .. le coût des avions en cartons pour inciter les jeunes a s’intéressé a l’armée m’apparait tellement inutile, futile, exorbitant .. Bref, un vrai gaspillage !
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50 000$ pour des avions en carton
Omar Habash, un an et demi, s’est beaucoup amusé avec l’un des avions de chasse en carton achetés pour 50 000 $ par l’Armée canadienne. © Jean-Louis Fortin/Agence QMI
L’armée canadienne a dépensé près de 50000 $ de l’argent des contribuables, l’an dernier, pour acheter des avions de chasse… en carton.
Les plus récents appareils de combat que viennent d’acheter les Forces canadiennes mesurent 23,5 centimètres de long, sont fabriqués d’un matériau hautement recyclable, et surtout, sont parfaitement inoffensifs.
Pour cette raison, ils ne seront pas envoyés en zone de combat, mais plutôt distribués pour faire la promotion de la Force aérienne dans des événements publics.
Il s’agit de répliques miniatures des CF-18, les avions de combat utilisés par le Canada depuis le milieu des années 1980 et qui seront bientôt mis à la retraite.
Enfants
Cette commande très spéciale a coûté 47 449 $ aux contribuables, selon des informations obtenues par Le Journal de Montréal en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.
« Les avions sont très populaires auprès des enfants, et aussi auprès des fervents amateurs de la Force aérienne », explique en entrevue la capitaine Lisa Evong, du département des Affaires publiques de la Force aérienne.
« Ils sont utilisés pour éduquer le public à propos du rôle et des responsabilités de la Force aérienne », précise- t-elle.
Assemblage requis
Par exemple, indique la porte-parole, les avions en papiers ont été distribués à plusieurs des 28 000 spectateurs qui assistaient au Spectacle aérien international de Bagotville, à la mi-juin.
L’avion est présenté à plat sur une feuille de carton. Pour l’assembler, les militaires en herbe doivent découper sept morceaux (fuselage, ailes, gouvernail, etc.) qui s’emboîtent les uns dans les autres.
« Les enfants doivent assembler eux-mêmes leur avion. C’est la moitié du plaisir », remarque Lisa Evong.
L’armée canadienne ne sait pas exactement combien d’avions elle a reçus, mais elle sait que chacun d’entre eux coûte 29 cents à acquérir, ce qui donne une impressionnante flotte d’environ 158 000 petits avions.
L’armée espère que les avions miniatures donneront le goût aux jeunes et aux moins jeunes d’aller chercher davantage d’information à propos de la Force aérienne.
« Ces produits montrent l’adresse web des Forces aériennes, où les membres du public peuvent en apprendre davantage sur les Forces en lisant des histoires à propos de nos opérations », décrit la porte-parole.
Tatouages et porte-clés
Le matériel promotionnel de l’armée canadienne ne se limite pas aux avions de papier.
Les contribuables paient aussi pour des stylos, des porte-clés, des affiches, des chapeaux, et des aimants à coller sur le réfrigérateur. Il y a même des tatouages non permanents pour les enfants, des yoyos et des frisbees, tous ornés du logo de l’armée.
À elle seule, la Force aérienne, l’une des divisions des Forces canadiennes, dépense 200 000 $ par année en matériel promotionnel de ce genre.
L’armée nous a fourni une liste de 235 événements se déroulant d’un océan à l’autre où ces objets promotionnels seront distribués, uniquement cette année.
Avec la collaboration de Jonatan Larochelle
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«Mauvaises priorités»
Le gouvernement fédéral choisit bien mal ses priorités en investissant l’argent des contribuables dans des avions en papier, estime la Canadian Taxpayers Federation, un organisme qui milite pour une gestion rigoureuse des fonds publics.
« Ce n’est pas le rôle du gouvernement d’utiliser l’argent des taxes pour faire de la publicité, spécialement envers les enfants», lance au Journal Gregory Thomas, directeur fédéral de l’organisation, qui regroupe 70 000 membres.
Le fait que les plus jeunes soient particulièrement ciblés « soulève des questions éthiques », selon lui.
Gregory Thomas croit que les fonds publics seraient mieux utilisés pour donner aux forces armées « de l’équipement moderne et de qualité ».
« Pendant ce temps, le budget fédéral présente un déficit de 30 milliards $, et les intérêts sur la dette s’accumulent »,
fait-il remarquer.
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Les CF-18 seront remplacés à partir de 2016 par 65 avions F-35 qui coûteront presque 30 milliards $ à acheter et entretenir.
Les bricolages destinés aux enfants sont utilisés depuis plusieurs années par les Forces canadiennes. En 2007, le Journal révélait que la marine proposait d’imprimer aux petits internautes un modèle du navire de défense côtière de type Kingston.
Je ne comprends pas pourquoi que la vérification des antécédents judicaires des bénévoles (ou énuméré) ne soient pas automatique quand ils oeuvrent avec des jeunes .. que ce soit dans les sports, dans les garderies etc. ou toute autres activités Les cas de pédophilies augmentent et cela serait tellement dommage si cela aurait pu être évité Il va de soit que certaines erreurs mineurs du passé de certains bénévoles, mais quand il est questions d’agressions physiques, psychologiques que ce soit sur des enfants ou des adultes ils devraient en tenir compte …
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Afin de protéger les jeunes sportifs contre les prédateurs sexuels, le gouvernement du Québec songe à améliorer les politiques de filtrage des entraîneurs bénévoles dans les associations sportives.
Plusieurs fédérations vérifient déjà les antécédents judiciaires de leurs candidats, mais d’autres ne le font pas. La Direction de la promotion de la sécurité au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS) soumettra donc d’ici la fin de l’année des propositions en ce sens.
Plusieurs centaines de jeunes, garçons et filles, ont participé au tournoi des sélections régionales de la Fédération de soccer du Québec (FSQ) le 29 juillet dernier, à Laval. Un tel événement n’aurait pas pu se concrétiser sans la contribution volontaire de centaines d’entraîneurs, d’arbitres et d’accompagnateurs.
Ces bénévoles doivent toutefois montrer patte blanche, puisque la FSQ fait partie des associations sportives qui exigent une vérification de leurs antécédents judiciaires.
« Notre clientèle majeure est majoritairement composée de jeunes qui vont dans un tournoi et qui sont accompagnés d’adultes. C’est donc important pour nous de protéger ces enfants-là », explique le directeur général par intérim de la fédération, Luis Galvez.
La Gendarmerie royale du Canada (GRC), la Sûreté du Québec et le Service de police de Montréal (SPVM) n’exigent aucuns frais pour effectuer une telle vérification, mais certains corps de police locale peuvent en imposer.
C’est pourquoi le gouvernement provincial songe à uniformiser la procédure et n’écarte pas l’idée d’un règlement qui obligerait toutes les associations sportives à appliquer une politique de filtrage.
Avant d’imposer une telle directive, certaines questions se posent, affirme toutefois le directeur de la promotion et de la sécurité au MELS, Michel Fafard :
« On va regarder ce qui est raisonnable de mettre en place en considérant la capacité des corps policiers à répondre à la demande et la capacité des organismes à gérer le processus », indique-t-il.
De son côté, le président d’une association de soccer de l’île d’Orléans, Martin Harvey, est d’avis qu’un tel règlement comporte des risques.
« Il n’y a pas abondance de bénévolat, dit-il. Si on met des contraintes comme ça, vous allez perdre bien du monde. »
Plus de 7000 bénévoles sont impliqués dans la pratique du sport au Québec.
Le milieu du soccer mineur québécois a notamment été ébranlé en 2009 avec l’arrestation d’un entraîneur de Saint-Jean-sur-Richelieu, Thierry Massimo. Accusé de pédophilie, il a été condamné à 45 mois de prison pour des crimes sexuels commis sur 14 de ses joueurs, âgés de 12 à 16 ans.
À l’époque, la FSQ s’était déjà dotée de sa politique de vérification des antécédents. Mais puisque Thierry Massimo ne possédait aucun casier judiciaire, il avait été sélectionné sans problème.
D’après un reportage de Bruno Coulombe
Si les images vaut milles mots … On peut voir comment ce genre de rassemblement peut aller jusqu’au désordre le plus complet
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Crédit photo : Reuters
TVA Nouvelles
L’Angleterre fait face à des émeutes depuis quatre nuits. Le jour, les bénévoles nettoient les dégâts. Résumé en images.
Un jeune, soupçonné d’avoir participé aux émeutes, sort du tribunal de Highbury, à Londres. (Crédit photo: Reuters)
Des centaines de messages de soutien s’adressent aux habitants du quartier de Peckham, à Londres. (Crédit photo: Reuters)
Le nettoyage se poursuit à Manchester. (Crédit photo: Reuters)
Les voitures ont pris feu, dans les rues de Londres. (Crédit photo: Reuters)
La police patrouille dans les rues de Londres. (Crédit photo: Reuters)
Un policier arrose son collègue, à la suite des émeutes de Birmingham. (Crédit photo: Reuters)
Les policiers prennent une pause, dans le sud de Londres. (Crédit photo: Reuters)
Un passant constate les dégâts, à Londres. (Crédit photo: Reuters)
Les policiers bloquent les rues de Londres. (Crédit photo: Reuters)
Un homme est arrêté par la police. (Crédit photo: Reuters)
L’origine de cette émeute a Londres serait causé par la mort de Mark Duggan, un homme de 29 ans abattu par la police de Londres. Cela a pour but de réclamer des réponses sur les circonstances de sa mort pour le père. Sur branchez-vous.com, il est dit que l’achat d’une batte de baseball a augmenté de 5000 % au cours des derniers jours, le bâton télescopique «Tonfa» utilisé par la police a augmenté de 5000%, une autre batte de baseball, en bois cette fois, voit ses ventes augmenter de 3600%. Dont un commentaire inquiètant: «Cette batte est parfaitement équilibrée et conviendra à tout Britannique souhaitant protéger ses biens. Grâce à sa poignée ergonomique, il sera très facile de briser des rotules, crânes ou tout autre type d’os. Personnellement je vous recommande d’investir dans des gants pour garantir une meilleure adhérence.»
Je peux comprendre que le père a droit a des réponses mais malheureusement les émeutes n’ont jamais rapporter quelques choses de bien … Il y a toujours des victimes innocentes et pire encore beaucoup de ses manifestant ne savent même pas l’origine d’un tel rassemblement mais y participe pour détruire et voler …
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TVA Nouvelles d’après l’AFP
Après 4 nuits de troubles en Angleterre, le climat s’est apaisé.
Le renforcement des effectifs policiers et la pluie semblent avoir dissuadé les émeutiers.
Lors d’une allocution, le Premier ministre, a déclaré que le motif des pillards n’avait rien à voir avec des idéaux politiques. «Il ne s’agit pas de politique, ni de manifestation, mais de vol. […] Nous ne laisserons pas un climat de peur s’instaurer dans nos rues», a-t-il expliqué au Parlement britannique, qu’il a convoqué en session extraordinaire jeudi matin.
Il a soutenu que la mort de l’homme tué par la police la semaine dernière était un prétexte, qu’il a été «utilisé comme excuse par des voyous opportunistes dans des gangs. […] C’est de la criminalité pure et simple. Et il n’y a pas d’excuse pour cela».
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Depuis le début des émeutes samedi, David Cameron subit les pressions de l’opposition, au sujet des compressions budgétaires effectuées dans le domaine de la sécurité.
«Des personnes ont soulevé la question de l’armée. (…) Ma responsabilité est de veiller à ce qu’on regarde toute éventualité, y compris si il y a des tâches que l’armée peut assurer et qui laisserait les mains libres à la police sur la ligne de front»,a dit David Cameron, dans l’éventualité de nouvelles émeutes.
Une image à redorer
«Nous devons montrer au monde, qui a semblé consterné, que les auteurs des violences (…) ne sont en rien représentatifs de notre pays», a assuré David Cameron lors de son discours.
Les évènements ont terni l’image de l’Angleterre, à un an des Jeux Olympiques qui se dérouleront à Londres, cœur des violences depuis samedi.
«Nous devons montrer que la Grande-Bretagne n’est pas un pays qui détruit, mais un pays qui bâtit, qui ne baisse pas les bras; un pays qui fait face, qui ne regarde pas en arrière mais toujours en avant», a poursuivi David Cameron.
(Crédit photo: Reuters)
Une facture salée
Les émeutes qui ont secoué l’Angleterre pourraient coûter plus de 300 millions de dollars, selon les assureurs.
Des fonds d’urgence d’environ 30 millions de dollars vont être débloqués pour aider les commerces affectés à reprendre leurs activités, a annoncé le Premier ministre.
Les impôts pourraient être reportés pour les commerçants concernés.
Quinze millions de dollars seront également versés aux municipalités, pour effectuer le nettoyage et la sécurisation des rues.
Un sombre bilan
Bien que débordée durant les premiers jours, la police a effectué plus de 1200 arrestations durant les émeutes.
(Crédit photo: Reuters)
Dans la nuit de mercredi à jeudi, les tribunaux de Manchester, Londres et Birmingham sont restés ouverts, afin de faire face à l’explosion du nombre de jugements à prononcer.
Un hommage a été rendu aux trois hommes morts écrasés mercredi à Birmingham. Ils essayaient de protéger leur quartier des émeutiers. Une centaine de personnes ont marché en leur honneur.
Ces manifestations sont les plus violentes survenues en Angleterre depuis des décennies. Le bilan s’élève à 4 morts et au moins un blessé grave.
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