Sommes nous si compliquer


On est vraiment compliquer il y a tellement d’occasion ou nous pourrions prendre des moyens plus facile pour arriver a nos fins

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Sommes nous si compliquer

« L’homme devrait mettre autant d’ardeur à simplifier sa vie qu’il en met à la compliquer. »

Henri Bergson

L’influence du milieu social


Pour notre bien-être moral, il va de soi que s’entourer de personnes différentes ayant des buts différents et positif, il est plus que probable que nous ayons une grande ouverture pour être a notre tour heureux
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L’influence du milieu social

 

 

 

"Dites-moi qui tu fréquentes,
et je te dirai ce que tu veux."

Chaque milieu social impose sa propre définition de la réussite ou de l’objectif de vie à atteindre.

Par exemple, pour les gens d’affaire, le profit doit être maximisé; pour les étudiants, les résultats scolaires doivent être aussi élevés que possible; pour les sportifs, les victoires et les records sont les objectifs à atteindre.

Le mécanisme principal grâce auquel un milieu impose son objectif est la pression des pairs. C’est-à-dire que les échanges entre membres d’un même milieu ont pour effet que ces gens se comparent entre eux. Cette comparaison explicite ou implicite rappelle à chacun sur une base régulière qu’il doit performer. Si ce rappel de performance est excessif, il peut être une cause importante de démotivation et de stress.

Exemple:

Pierre est un agent immobilier. Ses amis sont aussi des agents immobiliers. Conséquemment, il est très souvent entouré de gens qui sont soucieux de maximiser leurs ventes (objectif de ce milieu). Il perçoit de ses collègues et amis une forte pression de performance. Cette pression est pour lui la cause d’un stress répétitif qu’il a peine à supporter.

Application en milieux de travail stressants:
Afin de vous distancer d’un milieu professionnel stressant, établissez de nouvelles relations pour faire votre place dans un milieu social différent de votre environnement de travail. Choisissez de préférence un milieu qui favorise la détente. Voici quelques suggestions:

  • Inscrivez-vous à un cours complètement différent de votre travail, ex. un cours de jardinage.
  • Inscrivez-vous à un club de plein air, ex club de marche, de vélo, de randonnée.
  • Pratiquez un sport d’équipe.
  • Renouez avec des amis perdus, ex. amis d’enfance.
  • Devenez activiste dans un mouvement environnementaliste, social, communautaire ou autre.
  • Participez à un voyage organisé.
  • Pratiquez un hobby en groupe, ex. club de philatélie.
  • Faites du bénévolat.

Application générale:
Lorsque nous choisissons nos amis, nous choisissons implicitement de les laisser nous influencer. Certains personnes peuvent avoir sur nous une influence très bénéfique.

Par exemple, nous sommes tous à divers degrés influencés par la présence de gens heureux. Ceux-ci nous apportent une sensation de légèreté parce que la joie et le bonheur se communiquent. Alors, il est désirable de s’entourer de gens positifs. Il est encore plus désirable d’influencer à notre tour positivement notre entourage en rayonnant la joie.

"La vrai liberté est de faire quelque chose
de ce qu’on a fait de nous."

Jean-Paul Sartre

Denis St-Pierre (Québec)

Un nuage au visage humain


Nuage, nuage qui dessinent milles une formes sous cette voûte céleste ..
Je pense que nous serons tous d’accord que ce nuage fini par ressembler vraiment a un visage humain N’est-ce pas que le ciel a sa propre façon d’écrire sa poésie
Nuage

Un nuage au visage humain

 

Alors qu’un orage approchait, un habitant du Nouveau-Brunswick, Denis Laforge, a filmé un nuage qui avait drôlement les traits d’un visage. Est-ce le profil de l’orage?

 

Un hamburger au beigne: un chausson avec ça?


C’est écoeurant .. On parle de malbouffe, de famine, d’itinérance alors on fait plus de malbouffe … et plus de gaspillage
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Un hamburger au beigne: un chausson avec ça?

Canadian National Exhibition - Un hamburger au beigne: un chausson avec ça?

Le «Krispy Kreme Burger», un hamburger au fromage dans lequel le pain est remplacé par un beigne glacé.

© Agence QMI / RYAN MCLEOD

TORONTO – Le pire cauchemar des cardiologues et des nutritionnistes est attendu à la fête foraine et agricole de Toronto qui commence la semaine prochaine.

Le «Krispy Kreme Burger», un hamburger au fromage dans lequel le pain est remplacé par un beigne glacé de Krispy Kreme, est la création culinaire vedette du Canadian National Exhibition de Toronto qui se déroule du 19 août au 5 septembre cette année.

Ce hamburger se vendra 8 $, mais vous aurez l’option d’y ajouter, et pourquoi pas, un oeuf et du bacon pour 2 $ de plus.


L’apport calorifique du «Krispy Kreme Burger» tout garni est de 1550 calories, soit un peu plus de 75 % de la quantité quotidienne recommandée pour une femme qui est d’environ 2000 calories. À titre comparatif, un Big Mac contient 540 calories.


Justin Davis, porte-parole d’Epic Burgers and Waffles, l’entreprise qui concoctera ce met, a affirmé qu’il ne s’agit pas d’un partenariat avec la chaîne de beignes, mais que son commerce a obtenu l’approbation de Krispy Kreme.



«J’en ai essayé quatre ou cinq. Le cheddar se marie bien à la combinaison sucré-salé. Ça garnit bien un estomac, et c’est très savoureux», a dit M. Davis.

 

Servi depuis quelques années aux États-Unis, ce type de hamburger a été présenté pour la première fois au Canada, cet été, au Stampede de Calgary.


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Heidemarie Schwermer, le choix d’une vie sans argent


Quel courage !!!  Je ne connais personne même en vivant simplement qui aimerait vivre de cette façon et ce volontairement … Nous sommes bien trop attacher a nos choses .. pour faire un tel exploit
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Heidemarie Schwermer, le choix d’une vie sans argent

Heidemarie Schwerner pose avec la valise qui contient tous ses biens, dans la maison qu'elle garde à Wilhelmshaven, dans le nord de l'Allemagne, le 26 juillet 2011

AFP

Jamais Heidemarie Schwerner n’aurait crû pouvoir tenir si longtemps sans argent. Pourtant, ce qui ne devait être qu’une expérience de douze mois est devenu son mode de vie depuis quinze ans.

Maquillage discret, pull en coton rose bonbon et collier de perles synthétiques : difficile d’imaginer que cette Allemande de 69 ans, aux traits élégants et au sourire chaleureux, n’a pas dépensé un sou depuis des années.

"Abandonner l’argent m’a apporté une qualité de vie, une richesse intérieure et la liberté", explique-t-elle.

Rien ne semblait la prédestiner à adopter un style de vie si radicalement éloigné de la société de consommation, hormis peut-être ses premières années.

Née pendant la Seconde guerre mondiale en Prusse orientale, ancien territoire allemand séparé du reste du pays par le couloir de Dantzig, elle s’est retrouvée à deux ans dans le flot des expulsés par les troupes russes.

Sa famille est arrivée démunie en Allemagne.

"J’ai vu comment on était considéré comme des moins que rien quand on n’avait ni possessions ni argent", raconte-t-elle.

A la fin des années 1960, elle passe un an au Chili.

"Là, j’ai vu la grande pauvreté", se remémore cette ancienne institutrice.

De retour en Allemagne, elle a deux enfants, divorce puis s’installe à Dortmund (ouest) en 1982, où elle ouvre un cabinet de psychothérapie.

"J’avais envie de comprendre ce qui se passe dans la tête des êtres humains. Mais ce n’était pas assez, je voulais faire plus pour le monde".

Naît alors en 1994 l’idée de créer un réseau de troc, une originalité pour l’époque, qu’elle destine aux gens qui n’ont rien. Des retraités et des étudiants répondent à l’appel.

Heidemarie commence à garder des maisons momentanément inoccupées en échange de services ou d’objets. Et se rend compte que presque tous ses besoins sont couverts sans avoir à débourser un centime.

En 1996, elle franchit un pas décisif: elle abandonne emploi et location et son réseau de troc, fait don de tous ce qu’elle possède, résilie compte bancaire et assurance maladie et se donne un an pour expérimenter une vie sans argent.

Dans son entourage, c’est l’incompréhension.

"Ma fille s’est fait beaucoup de souci, mes amis ont presque pleuré. Maintenant elle me soutient".

Heidemarie se fait héberger à droite et à gauche puis revient à Dortmund pour écrire un livre, qui sera traduit dans plusieurs langues.

"J’ai gagné beaucoup d’argent avec ce bouquin", glisse-t-elle, "j’ai tout donné à des passants en billets de cinq Deutsche Mark".

Elle passe à la télévision et anime des séminaires, son histoire fait l’objet d’un documentaire.

Aujourd’hui, elle rédige son troisième livre dans une maison de Wilhelmshaven (nord) où elle est logée gratuitement. En échange, elle sort les poubelles et tond la pelouse.

Elle reverse sa retraite, environ 700 euros par mois, à "des connaissances qui en ont besoin" et refuse de penser à ses vieux jours ou d’aller chez le médecin.

Sa nourriture, elle la trouvait à Dortmund dans un magasin d’alimentation bio qui lui donnait les invendus. A Wilhelmshaven, elle reçoit parfois des légumes du jardin d’une amie et a démarché une association d’aide alimentaire.

"Bien sûr, je m’inquiète quand il n’y a rien dans le frigo. Au début j’avais peur tout le temps, mais ce que j’aime par dessus tout c’est ne pas savoir ce qui va se passer le lendemain".

Pour Heidemarie, l’objectif n’est pas tant de faire des émules que "d’aider les gens à réfléchir sur leur façon de vivre et leurs relations aux autres".

Aujourd’hui, elle ne se satisfait plus du troc et souhaite le "partage", un échange dans lequel "personne n’attend rien en retour".

Dans deux mois, elle reprendra sa petite valise, son unique bien, pour une destination encore inconnue.

© 2011 AFP

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Système de reconnaissance de plaques : projet pilote concluant


J’espere qu’a ce prix là, cela va paraitre a la longue. Les voleurs d’autos, les retardataires vont espérer ne pas rencontrer des policiers munis de ce nouvelle appareil
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Système de reconnaissance de plaques : projet pilote concluant

 Longueuil - Système de reconnaissance de plaques : projet pilote concluant
 

Agence QMI 
Alexandre Lampron
 

LONGUEUIL – Le Service de police de l’agglomération de Longueuil a récemment remis son rapport au conseil municipal pour lui permettre d’aller en appel d’offres et d’équiper certaines auto-patrouilles d’un système de reconnaissance des plaques d’immatriculation, à la suite d’un projet pilote.

« Nous avons réalisé une évaluation et remis nos recommandations qui traduit l’efficacité du produit qui nous a été présenté », a indiqué le porte-parole de la police, Karl Bérubé.

L’appareil, qui est en fait une caméra installée à proximité des gyrophares, sur le toit d’une auto-patrouille, permettra aux policiers de vérifier automatiquement tous les véhicules qu’ils suivent ou croisent. Cela peut atteindre jusqu’à 1500 par minute. De plus, l’appareil est relié au terminal véhiculaire, qui rend possible l’analyse de la plaque d’immatriculation.

« Ce système de reconnaissance des plaques permettra aux policiers de repérer plus facilement les véhicules qui sont recherchés par les services policiers et, ainsi, d’identifier les conducteurs qui n’ont pas acquitté leurs droits d’immatriculation ou qui sont en retard dans le paiement de leurs contraventions », a ajouté M. Bérubé.

7,3 millions $ pour des terminaux véhiculaires

Les terminaux véhiculaires sont une composante essentielle au bon fonctionnement du système de reconnaissance des plaques d’immatriculation. Ainsi, le Conseil d’agglomération a entériné, en juillet, une résolution pour autoriser un emprunt de 7,3 millions $ pour faire l’acquisition de ces terminaux véhiculaires et le déploiement de ses différentes applications pour les services de police et de sécurité incendie.

« L’objectif du projet est de rendre disponible aux policiers et aux chefs d’opérations (incendies), directement dans le véhicule, l’ensemble des informations et outils informatifs et technologiques requis par leur travail pour améliorer leur efficacité opérationnelle et de favoriser l’accessibilité en temps réel à l’information », explique-t-on lire dans les documents.

À terme, l’Agglomération confirme que « le déploiement des terminaux et des applicatifs associés résultera dans des bénéfices tangibles récupérables, soit des économies de treize et demi postes, et des bénéfices qualitatifs opérationnels ».

Actuellement, les appels de service sont répartis vocalement par radio. Les requêtes au Centre de renseignements policiers du Québec (CRPQ) sont également effectuées vocalement par ainsi que le retour des informations. L’émission des constats et des rapports d’infraction est manuelle.

Les conséquences du mode actuel de fonctionnement sont nombreuses : perte de temps au niveau des délais d’intervention, erreurs dans la transcription manuelle, potentiel d’engorgement des ondes radio, perte de revenu et production ardue des informations de gestion.

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