C’est comme le feu .. plus tu le nourris plus il devient fort et destructeur
Nuage
La dispute
"La dispute alimente la dispute et engloutit ceux qui s’y plongent."
Sénèque
C’est comme le feu .. plus tu le nourris plus il devient fort et destructeur
Nuage
La dispute
"La dispute alimente la dispute et engloutit ceux qui s’y plongent."
Sénèque
Quand on prend conscience que le fait de juger les autres, c’est une manière détournée de se condamné pour ce que nous n’aimons pas en nous .. permet, a être plus tolérant envers les autres
Nuage
Le jugement
Le jugement des autres est souvent à la mesure
de ce que l’on pense inconsciemment de soi
On juge ce que l’on apprécie,
tandis que l’on condamne toujours ce que l’on méprise
Ce qu’on appelle la justice
est souvent une vengeance
On souffre d’un complexe d’infériorité,
lorsqu’on reproche à l’autre sa supériorité
Accepter les autres sans les juger
pour pouvoir leur donner sans attendre
Lorsqu’on se juge d’être comme on est,
on se traite injustement, et on ne peut pas traiter les autres autrement
Les autres sont toujours insupportables
quand on les juge avec notre esprit d’analyse,
car ils sont toujours le reflet de notre analyse
On a jugé ce que l’on condamne,
mais on ne condamne jamais nos jugements
On ne puise le courage d’être
que si on avoue notre faiblesse d’avoir
La partie de nous qui observe sans juger les bêtises de l’autre partie est la sagesse
L’intolérance consiste à ne pas voir au-delà des apparences, c’est une pensée provenant du passé qui juge au présent
On ne condamne pas toujours ce que l’on juge,
mais on juge toujours avant de condamner quelqu’un
Personne n’est aussi indifférent que son miroir qui ne juge pas,n’a aucun préjugé, et donc ne condamne pas,
sinon, on ne pourrait pas le tolérer bien longtemps
On juge d’autant plus les autres
qu’on ne veut pas se juger soi-même,
mais celui qui peut le faire ne peut plus juger personne
Se juger soi-même ne signifie pas se condamner,
tandis qu’on condamne souvent les autres quand on les juge
Celui qui entretient le plus de préjugés
est habituellement celui qui réagit le plus contre les préjugés des autres.
Si notre réputation provient du jugement des autres,
elle est souvent basée sur les apparences
et rarement sur notre essence
L’esprit libéré de préjugés
est celui qui est libre de juger, sans pour autant condamner
Aussi longtemps qu’on s’attache à l’apparence des autres, on se préoccupe de la nôtre, et on ne s’occupe pas de l’essentiel
Il est impossible de salir une réputation
sans éclabousser la nôtre
On est souvent condamné pour ce qu’on ne peut pas faire, et toujours jugé pour ce qu’on a fait
Le respect nous porte à traiter l’autre avec égards,
mais il provient trop souvent de la crainte qu’on a de son jugement
Nos convictions sur les autres sont souvent faussées
par nos incertitudes sur les choses invisibles qu’elles projettent
La vie ne châtie pas et ne condamne pas,
car il n’y a pas de vie qui n’implique pas d’épreuves
Écoute-moi
avant que ton jugement devienne une condamnation
Celui qui a la prétention de détenir le bien,
va toujours essayer de combattre le mal chez l’autre,
et ne sait pas que c’est son propre mal
qu’il essaie de se débarrasser
Pierre Trépannier
Les souliers ont parfois de très mauvaises odeurs .. a faire sentir les petits pieds ..
Nuage
Efficace pour désodoriser les chaussures
Pour désodoriser, saupoudrez de bicarbonate à l’intérieur des chaussures (éviter de le faire directement sur le cuir qui pourrait s’assécher). Laissez-le agir toute la nuit avant de le retirer.
En plus de combattre les odeurs, il rend l’intérieur des chaussures moins propice au développement de certains champignons microscopiques et certaines moisissures.
Si on peut diminuer les pourriels le monde en seraient encore plus heureux, mais sûrement qu’ils trouveront un moyens détourner pour que leur publicité soient détournées Mais ce que je trouve le plus outrageux c’est de mettre a notre insu des logiciels espions pour mieux cibler les consommateurs
Nuage
Le Canada fait la lutte aux pourriels
La législation devrait entrer en vigueur vers la fin de l’année ou au début de 2012.
© Simon Clark / Agence QMI
MONTRÉAL – Fini les pourriels qui polluent les boîtes messageries? Le gouvernement lance officiellement son site internet
www.combattrelepourriel.gc.ca, comme pour donner un avant-goût de ce qui attend les fraudeurs lors de la mise en vigueur de la nouvelle loi sur l’élimination des pourriels.
La loi prévoit des sanctions pécuniaires pour les entreprises et personnes qui envoient des messages électroniques commerciaux non sollicités ou qui installent des programmes d’ordinateur (logiciels espions) sans le consentement de la personne visée. Les messages peuvent être transmis par courriel, par messages textes ou par appel téléphoniques sur un cellulaire.
Du côté consommateur, on s’estime heureux.
« Il était temps que le gouvernement adopte de telles mesures. Le Canada était l’un des derniers pays industrialisés à ne pas avoir légiféré sur les pourriels », a expliqué Anthony Hémond, avocat et analyste en télécommunication et en radiodiffusion chez Union des consommateurs.
« Ce sont principalement les entreprises de télécommunications qui paient les frais des envois de tels messages, notamment parce qu’ils accaparent une partie de la bande passante. Mais, indirectement, ces coûts sont retransmis sur la facture des consommateurs », a-t-il ajouté.
Du côté entreprise, en revanche, on se livre actuellement un combat pour figurer sur la liste des exemptions.
« Les enjeux sont importants. Les compagnies informatiques, par exemple, ne souhaitent pas demander l’avis des consommateurs à chaque mise à jour de logiciels. D’autres voient la loi comme une nuisance pour leur stratégie marketing », a indiqué M. Hémond.
La loi a reçu la sanction royale en décembre 2010 et devrait rentrer en vigueur fin 2011 ou début 2012. Le gouvernement est en période de consultation avec les parties prenantes pour mettre au point les détails administratifs.
Une loi sévère
«Les exemptions seront cependant très restrictives, a dit Christian Paradis, ministre de l’Industrie. On part de l’idée qu’aucun consommateur ne souhaite recevoir de pourriels.»
De plus, lorsqu’il y aura fraudes, les sanctions seront sévères. Les pénalités prévues par la loi pourront s’élever à 750 000 $ dans le cas où l’auteur est une personne physique et à 10 millions $ pour une entreprise. En cas de récidive, les amendes peuvent atteindre à 1 million $ et 15 millions $ respectivement.
« Les entreprises canadiennes seront facilement localisables. On risque donc de voir beaucoup moins de publicités dans nos boîtes messageries. Les réseaux frauduleux qui piègent les consommateurs avec des pourriels, en revanche, seront toujours aussi difficiles à démanteler, notamment parce qu’ils sont basés à l’étranger », a souligné Anthony Hémond.
Selon le Centre antifraude du Canada, plus de 2800 plaintes ont été déposées en 2009 au Québec pour des fraudes par marketing de masse, c’est-à-dire qui des fraudes qui procèdent par pourriels, par télémarketing et par envoie de courriers.
Les pertes ont été estimées à de 4,5 millions $. Au Canada, environ 7400 plaintes ont été déposées pour des pertes totalisant près de 10,3 millions $. Le nombre de signalements aurait ainsi augmenté de 44,6 % en deux ans.
Étonnant de voir comment le cerveau humain avec de la pratique et un peu de patience peut permettre a des non-voyants d’être en mesure de se déplacer comme les chauve-souris
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Le cerveau humain capable d’écholocation
Batman n’est pas le seul qui puisse écholocaliser!
Tout comme les dauphins, les chauve-souris ou Batman, les hommes sont capables de développer le sens d’écholocation! Bien qu’à plus faible niveau que les chiroptères, dotés à leur naissance des organes adéquats et de régions cérébrales dédiées à cette fonction, les hommes sont en effet aptes, moyennant un (relativement) rigoureux entrainement, à percevoir et identifier des corps à l’arrêt ou en mouvement grâce à la réverbération du son.
Peut être avez-vous déjà vu et entendu des aveugles émettant un bruit de claquement pour se diriger dans la rue, peut être avez-vous entendu parler de Daniel Kish ou Ben Underwood? Ces aveugles, du fait de leur handicap, ont développé et poussé au maximum cet étonnant sens. Durant les dernières années, il est apparu évident que les hommes, aveugles ou non, comme les chauve-souris, étaient capable d’émettre des bruits propices (par exemple, claquement de langue) et de distinguer certaines caractéristiques de leur écho.
Plusieurs équipes de chercheurs se sont attaquées à cet étrange phénomène, comme c’est le cas, récemment, de Lore Thaler[1], de l’université de l’ouest Ontario. Thaler et ses collègues ont observé via scanner, l’activité cérébrale de deux aveugles particulièrement doués pour l’écholocation, grâce auxquels ils ont déterminé quelles régions du cerveau sont sollicitées lors de l’opération. Si l’expérimentation s’est déroulée avec ces deux écholocalisateurs particuliers (E.B. et L.B.), c’est principalement parce qu’il étaient capables d’interpréter, malgré l’environnement sonore bruyant du scanner, l’enregistrement des claquements de langue et leurs échos respectifs, qu’eux-même avaient généré auparavant.
Comme la chauve-souris, l’homme est capable d’interpréter l’écho
L’un des plus importants résultats de cette expérience fut de démontrer l’importance des régions cérébrales correspondant normalement à la vision chez un humain non-aveugle : Le cortex visuel d’E.B. et celui de L.B. observaient une recrudescence nette d’activité lors de l’écoute des claquements suivis de l’écho. Lorsque seuls les claquements étaient présentés, cette suractivation n’était pas observable. A noter : ce sont bien les régions visuelles et non les régions auditives qui présentaient une recrudescence d’activité. Un groupe contrôle de deux personnes de même âge mais non habituées à l’écholocation, ne présentait aucune activation particulière du cortex visuel.
L’étude montrait également la formation contro-latérale chez celui des deux aveugles qui était le plus entraîné à l’écholocation. La latéralisation est un phénomène habituel du cerveau humain entraîné : les informations contenues dans le champ gauche de l’environnement par rapport au cerveau sont généralement traitées par l’hémisphère cérébral opposé [2]. C’est ainsi que si vous bougez votre main droite, c’est grâce aux commandes envoyées par votre hémisphère cérébral gauche. Et tout ce que vous voyez dans le champ droit visuel est traité essentiellement par votre hémisphère cérébral droit.
Quoiqu’il en soit, les performances des deux aveugles étudiés sont remarquables : ils sont capables de percevoir, d’identifier des objets et même de "voir" leur mouvements grâce à l’écholocation (cette dernière capacité, probablement grâce à l’effet Doppler). Cette étude montre que si l’on s’en tient à l’activité cérébrale, on peut conclure que l’écholocation humaine produit vraisemblablement une scène "visuelle et spatiale" de l’environnement, comme le font les chauve-souris. Les auteurs n’hésitent pas à parler de capacité latente :
"Nos données montrent clairement qu’E.B. et L.B. utilisent l’écholocation d’une façon qui rappelle celle de la vision […]. Notre étude montre que l’écholocation peut améliorer l’autonomie des personnes aveugles ou mal-voyantes dans leur vie quotidienne, ce qui offre d’intéressantes perspectives, quand on sait que l’écholocation peut être développée à partir de l’entrainement." (traduction le-saviez-vous.fr)
Le fait qu’il s’agisse d’une capacité que l’on peut entraîner, a été démontré en 2009, bien qu’elle fut étudiée depuis plusieurs années auparavant. L’équipe d’Antonio Martinez Rojas[3] montrait alors que n’importe qui, aveugle ou non, était capable d’apprendre à utiliser l’écholocation, partiellement : après une entrainement de deux semaines, deux heures par jour, nous pourrions être capable d’une reconnaissance simple, à savoir, déterminer grâce à l’écholocation si en face de nous, se trouve un gros objet ou si la voie est libre.
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Pour en savoir plus :
[1] Thaler L., Arnott S., Goodale M. (2011). Neural Correlates of Natural Human Echolocation in Early and Late Blind Echolocation Experts. PLOS One
[2] Desbrosses S. (2010). Latéralisation et dominance cérébrale. Online. Psychoweb.fr
[3] Rojas, J. A. M., Hermosilla, J. A., Montero, R. S., Espí, P.L.L. (2009). Physical Analysis of Several Organic Signals for Human Echolocation : Oral Vacuum Pulses. Acta Acustica united with Acustica, Volume 95, Number 2, March/April 2009 , pp. 325-330(6)
http://www.le-saviez-vous.fr
Pas sur que les autres jeunes vont rester amis avec le gaffeurs, mais c’est assez cocasse comme erreur
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Les voleurs préviennent eux-mêmes la police
Agence QMI
Quatre jeunes voleurs d’âge mineur, visiblement inexpérimentés, ont entrepris de dérober des objets à la marina de Saint-Cœur-de-Marie, à Alma, tard dimanche soir. Mais ils ont eux-mêmes appelé la police.
Vers 23h30, un appel a été logé au 9-1-1, et comme l’appelant au bout de la ligne a raccroché, les policiers ont suivi les procédures et entrepris quelques recherches pour savoir d’où provenait l’appel. Il provenait de la marina.
«Nous nous sommes rendus à cet endroit où les quatre jeunes ont été pris en flagrant délit. Il faut cependant dire que nous avons pu intervenir uniquement parce que l’un des jeunes a composé le 9-1-1 par inadvertance», a mentionné Hélène Nepton de la Sûreté du Québec.
Pour pouvoir entrer à bord des embarcations, les quatre jeunes ont brisé les toiles qui recouvraient les bateaux, faisant pour plusieurs milliers de dollars de dommages.
«Ils avaient également déplacé, à l’intérieur des embarcations, des objets dans le but de les voler», a précisé la policière.
Lundi matin, un enquêteur de la Sûreté du Québec devait se rendre sur place pour constater l’ampleur des dégâts causés par les quatre ados.
Un manque d’inspecteurs peut-il être une cause pour avoir négliger un rapport déjà effectué en 2008 ? Il est clair que qu’il y a eu un manque malgré tout Il est probablement plus cher de réparer après un effondrement que d’entretenir pour rendre les ponts et tunnels sécuritaires …
Nuage
Effondrement dans le tunnel Ville-Marie : Un rapport accablant
Crédit photo : Agence QMI
Les rapports sur l’état du tunnel Ville-Marie, rendus publics par le ministère des Transports du Québec lundi après-midi n’ont rien de rassurant.
Même si rapport sommaire de 2010 spécifiait que rien de particulier n’était à signaler, le rapport complet de 2008, lui, présentait un constat accablant de l’état du tunnel.
Il est possible d’y lire :
«De façon générale, les paralumes en béton comportent des surfaces délaminées et des fragments de béton pourraient tomber sur les voies de circulation.»
Un peu plus loin, il est précisé:
«L’état actuel des paralumes en béton est douteux et nous recommandons, à très court terme, un relevé de dommages ainsi qu’une analyse structurale pour l’ensemble de ces éléments.»
Lors de son point de presse lundi après-midi, le ministère avait annoncé qu’il rendait publics ces deux rapports, à la demande du PQ qui dénonçait une «culture du secret», un peu plus tôt dans la matinée.
Le ministère a ajouté qu’il aurait plus de précisions mardi au sujet de la durée de la fermeture du tunnel, à la suite des travaux effectués dans la nuit. Les luminaires vont être retirés et une analyse poussée du béton va être effectuée.
La «culture du secret» dénoncée par le PQ
Après la déclaration du ministre des Transports Sam Hamad, qui indiquait que les routes et ponts ouverts sont sécuritaires, le PQ avait exigé la publication de tous les rapports d’inspection.
«Si le ministre Hamad prétend que toutes les structures routières qui sont ouvertes sont sécuritaires, nous exigeons qu’il rende publics tous les rapports d’inspection des infrastructures routières de la grande région métropolitaine», a déclaré Nicolas Girard, porte-parole du Parti québécois aux Transports.
M. Girard a rappellé que le ministre Hamad a refusé de publier les rapports sur le pont Mercier et l’échangeur Turcot. Il s’interrogeait:
«Est-ce que, pour le tunnel Ville-Marie, il refusera de publier les rapports d’inspection de 2008 et 2010? Je pense qu’il est temps qu’il fasse preuve de transparence envers les Québécois. Les gens ont le droit de savoir.»
De l’information cachée
La culture du secret au ministère des Transports doit se terminer, selon le porte-parole péquiste.
«Pour rassurer une population extrêmement inquiète devant cet incident au tunnel Ville-Marie, il doit rendre publics tous les rapports d’inspection. En juin, le ministre avait déclaré au quotidien The Gazette qu’il n’avait pas à publier les rapports, car les gens ne les comprendraient pas. Comme si les Québécois n’étaient pas assez intelligents pour comprendre la situation au niveau des infrastructures routières», poursuivait M. Girard, qui qualifiait de «paternaliste» l’attitude du ministre Hamad envers le peuple québécois.
«Le gouvernement a-t-il tiré des leçons de la commission Johnson, sur l’effondrement du viaduc de la Concorde?», se demandait M. Girard, tout en se questionnant sur la capacité de supervision et d’inspection des infrastructures routières des ressources humaines actuelles.
Pas assez d’inspecteurs
M. Girard rappellait que «des ingénieurs avaient écrit au premier ministre Charest en 2008 pour dénoncer un manque de ressources pour pouvoir inspecter nos infrastructures. Si tel est le cas, ça pose un problème.»
Le Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) a abondé dans le même sens en mentionnant que le nombre d’employés au ministère des Transports a «fondu comme neige au soleil». Selon le SFPQ, le ministère ne compte que 800 employés permanents et 2000 saisonniers, alors qu’on en comptait environ 10 000 durant les années 1980.
«Avec la politique de non-remplacement des départs à la retraite, combiné au gel complet de l’embauche annoncé au mois de juin, cela augmente dangereusement la pression sur le MTQ. Cette situation n’est pas sans effet pour la sécurité de la population», a dit Denise Boileau, vice-présidente du SFPQ.
De son côté, la Chambre de commerce du Montréal métropolitain a mentionné que cet effondrement «démontre l’urgence d’investir massivement dans la mise à niveau de nos infrastructures». «Nous interpellons le ministre des Transports, Sam Hamad, le ministre responsable de Montréal, Raymond Bachand, et le premier ministre, Jean Charest, afin que le gouvernement du Québec prenne pleinement conscience de la gravité de ce qui est en train de se produire et de la nécessité d’accorder une priorité nationale à la mise à niveau des infrastructures de la métropole», a affirmé Michel Leblanc, président et chef de la direction de la Chambre de commerce.
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Un autre tremblement de terre a eu lieu au Japon. Sur la photo, une image prise le 18 juin, 100 jours après l’important séisme d’un magnitude de 9.
© Archives / AFP
Agence France-Presse
TOKYO – Un séisme de magnitude 6,1 s’est produit dans la nuit de lundi à mardi au sud-est du Japon, dans la préfecture de Shizuoka, les secousses ayant été ressenties dans la capitale où les immeubles ont tangué.
Selon l’agence de météorologie nippone, le tremblement de terre s’est produit lundi à 23 h 58 locale. Son épicentre était situé dans la région de Suruga-wan, et son hypocentre à 20 kilomètres de profondeur.
Aucune alerte au tsunami n’a été déclenchée, ni de victime ou dégât rapporté immédiatement après.
Des violentes secousses ont été ressenties dans la préfecture de Shizuoka où est redouté un très puissant séisme à brève ou moyenne échéance.
Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit chaque année plus de 20% des tremblements de terre les plus violents recensés sur la planète.
Ces derniers mois, l’activité sismique y est particulièrement forte.
Le Japon a été cruellement frappé le 11 mars par le plus violent séisme enregistré sur son territoire, une secousse tellurique de magnitude 9 au large des côtes nord-est. Suivie d’un tsunami géant, cette catastrophe a fait plus de 20 000 morts et disparus, selon le plus récent bilan.