Les bonnes pensées


Nous sommes les premiers obstacles de ce que nous voudrions entreprendre, et souvent nous bousillons le travail que nous avons fait simplement parce que nous pensons que nous ne sommes pas capable d’arriver au but .. alors que changer notre attitude positivement, nous sommes plus aptes a suivre la route et a réussir
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Les bonnes pensées


linternaute.com / ©Philippe BOURGINE

« Nourrissez-votre esprit de bonnes pensées, car nul ne peut dépasser les limites que lui impose son manque de foi en lui-même. »


Benjamin Disraeli

Conflits inutiles


Il y a bien des cas que les conflits auraient pu être évité mais au lieu de cela ils entrainent vers une petite guerre qu’en bout de ligne on ne sait plus pour quelle raison ce conflit perdure … et par le fait même amène d’autres personnes dans ce tourbillon négatif Est-ce que cela vaut vraiment la peine ?
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Conflits inutiles


"Le plus souvent, les problèmes que l’on a avec les autresne sont que le reflet de ceux que l’on a avec soi-même." Omraam Mikhaël Aïvanhov

La plupart des conflits ne font que nous empoisonner la vie sans raison valable.

Est-il donc si important de vous fâcher avec quelqu’un qui vous a offensé ?

Est-ce que ça vaut la peine de discuter intensément avec votre collègue afin simplement de prouver que vous avez raison ?

Le fait voisin refuse obstinément de garer sa voiture ailleurs que devant votre résidence mérite-t-il de ruiner la relation que vous avez avec lui que le ?

Une égratignure sur votre voiture est-elle vraiment digne d’une action en justice ?

Et pourtant, voilà le genre de conflits que certains créent inutilement. Pour favoriser l’harmonie en soi et autour de soi, il est nécessaire de bien gérer ces situations.

Pour éviter ou amenuiser les conflits, il peut être inutile de prendre un temps d’arrêt avant l’escalade.

Par exemple, avant de traîner votre voisin en cours parce qu’il a déplacé la clôture d’un centimètre, demandez-vous ce que vous avez à gagner et à perdre dans un tel conflit.

Faites une pause afin de vous calmer et de réfléchir. Une fois que les vives émotions qui vous poussent au conflit seront apaisées, vous reconnaîtrez plus facilement les vrais motifs derrières ce type de pulsions. Vous pourrez alors prendre une décision éclairée.

"La race humaine doit sortir des conflits en rejetant
la vengeance, l’agression et l’esprit de revanche.
Le moyen d’en sortir est l’amour."
Martin Luther King

Denis St-Pierre

Le saviez-vous ► 10 phobies étranges‏


C’est le temps d’augmenter votre vocabulaire .. encore faut-il se souvenir de ses mots a moins d’avoir quelqu’un dans ses relations qui souffre de ce genre de phobies ..

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10 phobies étranges

Par Marie-Andrée Lemay,

© iStock(© iStock)
On peut craindre les rats, les araignées ou les hauteurs mais… les poupées? Pour certaines personnes tout élément, si inoffensif soit-il à première vue, peut déclencher une réaction phobique. En voici 10 qui sortent de l’ordinaire.

 

 

 

MSN Style de vie (© iStock)1. L’alopophobie ou la peur des chauves
Un chauve, c’est charmant. Mais si! Il suffit de penser à ce bon vieux Homer Simpson, à Bruce Willis ou en encore à Zidane… Ce n’est pas l’avis des alopophobes qui ont eux plutôt tendance à crier « Chauve qui peut! » lorsqu’ils croisent un individu au crane dégarni.

 

MSN Style de vie (© iStock)2. L’hylophobie ou la peur des forêts
Voilà une peur ancestrale, celle de se perdre en forêt ou pire, d’y être abandonné à la manière de Hansel et Gretel dans le conte de Grimm. Depuis des temps immémoriaux la forêt est un endroit inquiétant, sombre et mystérieux peuplé de loups et d’animaux sauvages. Au Moyen-Âge, on n’osait la traverser que par pure nécessité. De nos jours, la forêt continue d’inquiéter, elle est d’ailleurs la toile de fond de nombreux films d’horreur (The Blair Witch Project, Cabin Fever, etc).

 

MSN Style de vie (© iStock)3. La coulrophobie ou la peur des clowns
Cette phobie est relativement courante chez les enfants mais on la rencontre aussi chez quelques adultes. À sa source, on trouve souvent une mauvaise expérience ou le fait d’avoir vu cet archétype associé à un personnage sinistre dans une œuvre de fiction. Dans son roman It (Ça) l’auteur de romans d’épouvante Stephen King met justement en scène une entité maléfique qui se transforme en clown pour terroriser un groupe d’enfants.

MSN Style de vie (© iStock)4. La népophobie ou la peur des nuages
Cumulus, stratus, cumulonimbus… Enfant, on pouvait passer des heures à regarder les nuages en tentant de leur trouver des ressemblances avec des objets du quotidien. Pour la plupart des gens, les nuages évoquent le rêve et la poésie. N’associe-t-on pas d’ailleurs l’expression pelleter des nuages à rêver en couleurs? Les népophobes eux, ne trouvent rien de chouette aux nuages. Pour eux, ils sont porteurs de malheurs et de malchances diverses.

 


MSN Style de vie (© iStock)5. La gymnophobie ou la peur de la nudité
Les gymnophobes craignent d’être nus et souvent redoutent aussi la nudité des autres et ce, même dans les contextes où elle est socialement acceptable. Les causes? Elles sont diverses. Dans plusieurs cas, elles sont liées à un sentiment global d’inadéquation physique par rapport à l’image de ces corps idéaux que présentent le cinéma et les médias. La gymnophobie est aussi souvent liée à une anxiété importante face à la sexualité en général.

 

MSN Style de vie (© iStock)6. L’ornithophobie ou la peur des oiseaux
Les ornithophobes peuvent remercier le cinéaste Alfred Hitchcock. Son classique The Birds a mis en image
(et nourri!) leur plus grande hantise : celle d’être attaqué par un oiseau. Certains ornithophobes ont également peur des plumes en général ainsi que des battements d’ailes (qui, rappelons-le, sont également le lot des insectes…).

 

 

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7. La plangonophobie ou la peur des poupées

Avouons que les poupées de porcelaine avec leur teint livide ne sont pas rassurantes. Ce sont justement celles qui, en général, effraient le plus les plangonophobes. Ces derniers évitent également les musées de cire, les vitrines et les entrepôts de mannequins qui sont autant de sources d’anxiété.

 

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8. L’arénaphobie ou la peur du sable

Ne cherchez pas d’arénaphobes sur la plage, car ils s’en tiennent bien loin. C’est que les arénophobes ont un profond dégoût pour le sable. Dans certains cas plus graves, sa seule vue peut même déclencher un trouble panique. La peur du sable n’est pas inhabituelle chez les bambins et elle disparait généralement dans la petite enfance

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9. La triskaïdekaphobie ou la peur du nombre 13

C’est connu, les superstitieux évitent le 13e étage et abhorrent les vendredis 13. Chez les catholiques, le 13 a acquis son statut de chiffre maléfique en étant associé à la dernière cène, où Jésus et ses disciples étaient 13 à table. Pour les triskaïdekaphobes, la superstition vire à l’obsession. Parmi eux, on comptait notamment le compositeur Arnold Schonberg, ironiquement né le 13 septembre 1874 et mort le 13 juillet 1951.

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10. L’émétophobie ou la peur de vomirManifestation courante d’une phobie sociale, l’émétophobie qui inclut la peur de vomir et celle d’en être témoin est fort handicapante. Parce qu’ils craignent de vomir en public, plusieurs émétophobes modifient drastiquement leur régime alimentaire afin de ne pas consommer d’aliments à risque et évitent toutes les situations qui peuvent générer l’action de vomir (comme les transports). Lorsqu’elle n’est pas traitée cette phobie peut entraîner l’anorexie.

 

 

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Votre bébé comprend votre ordinateur


Si les bébés ont plus de facilité pour comprendre les ordinateurs … que feront-il une fois grand .. Raison de plus pour ne pas laisser ces appareils a la porter des jeunes enfants
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Votre bébé comprend votre ordinateur

 

Nouvelles - Votre bébé comprend votre ordinateur
©Shutterstock/Agence QMI
Canoe.ca

 

Une étude de Legal & General dévoile que des enfants, parfois même jusqu’à des bébés de six mois, joueraient avec les gadgets technologiques de leurs parents sans leur connaissance.

 

En effet, les plus jeunes semblent comprendre les téléphones intelligents et autres tablettes presqu’instinctivement, ce qui pourrait devenir un risque pour les données privées que comprennent ces gadgets.

Presqu’un cinquième des répondants ont affirmé avoir découvert un message texte ou un appel que leurs enfants ont fait alors qu’ils jouaient avec un gadget électronique sans la permission de leurs parents.

http://fr.canoe.ca

Une bombe à retardement?


Quand un enfant présente des problèmes psychologiques les parents sont souvent mal outillés pour les aider,alors quand les moyens pour répondre aux lacunes ferment leur portes, le pire peut arriver
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Une bombe à retardement?

Une bombe à retardement?

Dépassée par les événements et ne sachant plus comment aider son fils, la mère d’un adolescent arrêté par les policiers mercredi soir au terme d’une dangereuse poursuite policière à Montréal, a joint Claude Poirier.
Crédit photo : Agence QMI

Tentative de noyer une gamine à l’âge de 7 ans, vols de voitures, problèmes multiples de comportement. Voilà le portrait d’un criminel d’habitude âgé de seulement 15 ans.

Dépassée par les événements et ne sachant plus comment aider son fils, la mère de l’adolescent arrêté par les policiers mercredi soir au terme d’une dangereuse poursuite policière à Montréal, a joint Claude Poirier.



«Il avait 7 ans et il a tenté de noyer une petite fille dans une piscine. C’est là que j’ai essayé de le placer. C’est là que j’ai vu que mon fils avait de gros problèmes. Et depuis ce temps-là, je me bats avec le système», a raconté la maman lors du Vrai négociateur sur les ondes de LCN.

La mère ajoute qu’elle a demandé de l’aide à plusieurs reprises.

«On me dit que ce n’est pas assez grave ce qu’il fait. […] Sauf qu’il battait tout le monde. Il s’est même battu avec moi dans la maison. J’ai appelé la police et il s’est battu avec l’agent. La police a alors recommandé à la DPJ de le prendre, mais ce n’était pas encore assez grave. La DPJ l’a pris plus tard.»

Placé en centre jeunesse, l’adolescent fuguait régulièrement d’après sa mère.

«À cause de la loi 125, ils ne peuvent pas l’enfermer», souligne la maman inquiète de la santé psychologique de son fils.

 

Elle a également dit à Claude Poirier que son médecin de famille estime que son fils est borderline.

«Seuls des pédopsychiatres peuvent le déclarer borderline puisqu’il a 15 ans. Il n’est plus traité, il ne prend plus ses médicaments pour TDAH [trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité.] Et ça peut prendre deux ou trois ans pour avoir des évaluations en pédopsychiatrie.»

La mère craint son fils.

«Tout le monde dit que je l’ai abandonné. Je ne suis plus capable de me battre avec lui, il mesure 6 pi et pèse 180 lb. […] Mon mari ne dort plus depuis un an, car il a peur de son gars», informe la mère.

La femme souhaite que son adolescent soit envoyé en garde fermée.

«Je veux qu’il soit soigné, car je suis malheureuse de voir mon fils comme ça. Ça fait des années qu’on lui offre des psychologues et des psychiatres, mais il ne veut pas.»

Son adolescent a été accusé jeudi de vol d’essence, conduite dangereuse, fuite, recel de véhicules et possession simple de résine de cannabis. Il aurait dix vols de voitures à son actif.

Sa mère déplore que son fils ait pris part à une poursuite policière et roulé à plus de 120 km/h.

«Il était avec l’ancien chum de ma fille. […] Ça aurait pu être très grave.»

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Dédommagement : 1000 $ pour des punaises cubaines


Une vacances qui se promettaient être deux semaines de rêves .. a fini par devenir un cauchemar ..
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Dédommagement : 1000 $ pour des punaises cubaines

1000 $ pour des punaises cubaines
Crédit photo : archives Agence QMI

Une Montréalaise aura droit à un dédommagement de 1000 $ pour un voyage cauchemardesque à Cuba, où elle a notamment eu le malheur de dormir avec des punaises de lit dans un hôtel 4 étoiles.

Une situation qualifiée d’«inacceptable » par le juge André Renaud, de la Cour du Québec, qui vient de donner raison à cette résidente de l’arrondissement Saint-Léonard en condamnant le voyagiste Tours Mont-Royal à lui verser une compensation financière pour sa mésaventure.

Chambre inondée…

Irène Thuot a sans doute amèrement regretté d’avoir quitté le Québec en plein été, il y a deux ans, après avoir acheté un forfait de deux semaines en formule tout inclus à l’hôtel Barcelo, à Cayo Santa Maria.


On lui avait vendu ce voyage au coût de 1 798 $ dans cet hôtel coté quatre étoiles et demi, bâti à peine six mois auparavant.


Arrivée le 19 juillet 2009, elle a dû changer de chambre quatre jours plus tard quand sa salle de bain s’est retrouvée inondée par des infiltrations d’eau résultant de pluies abondantes.

Comme la dame était blessée à une épaule et «bougeait peu et douloureusement son bras gauche», le personnel hôtelier lui a offert une chambre destinée aux personnes à mobilité réduite. Elle a refusé, puisque la disposition de la salle de bain ne lui plaisait pas.

Elle a finalement opté pour une autre chambre, mais après avoir appelé un bagagiste «qui ne viendra jamais», elle s’est résignée à y transporter «seule et péniblement ses bagages».

… et infestée

Dans les jours suivants, «elle s’aperçoit qu’elle a des marques sur le cou et les pieds, avec beaucoup de démangeaisons».

«Elle examine attentivement le lit: il y a des punaises de lit dans les coutures. Elle appelle le service. On vient, le matin, y asperger un produit très odorant sur les deux côtés du lit»,
a relaté le juge de la division des petites créances.

Le soir du 31 juillet, croyant être débarrassée des punaises, elle s’allonge dans le lit.

«Quinze minutes plus tard, les pieds lui piquent énormément et elle constate des petites taches de sang sur le drap, à la hauteur de ses pieds. Les bestioles sont encore là. Elle va à la réception pour se plaindre. On la change encore de chambre, après une longue attente.»


La demanderesse a pris soin de prendre des photos des draps tachés et des irritations cutanées qu’elle a subies, en guise de preuves qui furent déposées en cour.

Peur d’en ramener

De retour chez elle, la dame «a laissé ses bagages à l’extérieur un certain temps, pour s’assurer que des puces n’avaient pas fait le voyage dans ses valises», en plus de jeter des produits de maquillage.

La partie défenderesse a plaidé que c’est la première fois qu’un client se plaignait de la qualité des services de cet établissement hôtelier et que Mme Thuot «aurait pu accepter la chambre adaptée (qu’on lui a) proposée, sans tous ces problèmes».

Le juge Renaud a conclu qu’en achetant ce voyage, madame «avait le droit de s’attendre à être logée dans une chambre confortable». Or, elle s’est retrouvée dans un lit «tellement» infesté de punaises «que même un traitement n’a pas suffi».

Le magistrat a toutefois estimé que la réclamation demandée, de 1000 $ supérieur au coût du voyage, était exagérée.


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