Que c’est bien dit … cette façon de laisser les dire ce qu’ils veulent exprimer
Nuage
Les silences
«Communiquer suppose aussi des silences, non pour se taire, mais pour laisser un espace à la rencontre des mots.»
Jacques Salomé
La perfection n’est point de ce monde ..et c’est probablement une bonne chose vue que nos limites nous poussent a s’entraider ..
Nuage
Les limites
Quand on est conscient de ses propres limites,
on se sent moins limité, parce qu’on ne les impose plus aux autres
Quand on pratique l’amour de soi assez longtemps
pour s’apercevoir qu’il est très limité,
on commence alors à l’élargir pour inclure les autres
Il faut se rendre jusqu’à la limite de ses capacités pour les dépasser, ensuite on les connaît
Si on avoue son impuissance devant la vie,
on ne se pose plus alors de questions
quant à sa performance dans la vie.
On doit se préserver de plusieurs choses nocives,
mais la perfection est aussi une chose
que les humains doivent éviter
Notre incapacité à voir et à écouter les autres,
fait souvent de nous des aveugles et des sourds qui s’ignorent
Ce qui différencie le sage de l’homme ordinaire,
est qu’il peut faire une erreur beaucoup plus vite,
mais il a la capacité de s’en remettre beaucoup plus vite
Les défauts de l’autre ne sont que l’enveloppe extérieure de ses qualités qu’elle contient à l’intérieur
La difficulté n’est pas de connaître l’autre mais de l’accepter, le problème n’est pas de connaître ses limites mais de vivre avec
Si on attend d’être parfait pour agir,
on attendra toujours avec perfection
La terre a cinq continents qui dérivent constamment,
l’être humain a cinq sens qui se contractent continuellement
C’est parce que ce sont d’abord nos valeurs
que la société les propage
L’être humain ferme souvent la porte derrière lui
et place devant lui des barrières,
il est limité parce qu’il se limite lui-même
Ce n’est pas toujours notre rêve qui est excessif,
c’est soi-même quand on ne peut pas le réaliser
La sagesse est le pouvoir de distinguer le caractère temporaire de tout ce qui fait partie de notre vie
Le créateur a fait pousser des cheveux sur la tête de plusieurs, aux autres, il leur a donné un cerveau
Il ne faut pas se préoccuper de ce que nous allons faire, il faut surtout s’occuper de ce que nous pouvons être
La nature de l’homme est de se tromper,
et son caractère est là pour le démontrer
L’excès est un défaut et le manque une déficience,
ce qui est éloigné de ces extrêmes est en équilibre juste au milieu
A toujours se demander pourquoi sans s’occuper du comment, on ne sait jamais où trouver la réponse
Nos possibilités se découvrent dans ce qu’on peut faire, notre incapacité se constate dans ce qu’on ne peut pas faire
L’excuse ou le prétexte est toujours en fonction
de ce qu’on ne veut pas voir
A trop évoquer ses qualités, on ne voit plus ses défauts, à ne pas s’occuper de ses défauts, on oublie ses qualités
Ce n’est pas parce qu’on est imparfait
qu’on doit sans cesse essayer d’améliorer nos imperfections
Beaucoup de bêtises sont commises au nom de notre imperfection
Camoufler sa tristesse ne fait que l’augmenter,
l’exposer ne l’atténue pas plus, il faut la vivre
L’humeur est à l’affectivité ce que l’humour est au bien-être
Autant il ne faut pas se plaindre de ses difficultés,
autant il ne faut pas trop se réjouir de ses succès,
car ni l’une ni l’autre ne dure
Quand on ne sait pas rire de soi, on rit de tout le monde, et tout le monde a une bonne raison de rire de moi
Pierre Trépannier
Si le rince-bouche permet d’aider a combattre la mauvaise haleine pourquoi pas les mains
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Doigts qui sentent les oignons ou l’ail
Lavez-vous les mains avec du rince-bouche après avoir haché des oignons ou de l’ail et l’odeur partira.
Toute une aventure que d’aller ou les animaux vivent pour croquer un instant de leur activité
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L’aventure de la vie
Toutes les photos sont de : © LIFE – l’aventure de la vie, Universal Pictures / © 2009 BBC
Imposant gorille 
La captivante grenouille des fraises 
Le ballet aquatique des phoques de Weddell 
Très joueuses les hermines 
La villégiature idéale des macaques du Japon 
Haute surveillance 
Un poisson-clown dans son anémone 
Très futé le capucin moine 
Pourchassés par des espadons 
L’odorat très développé des lémurs catta 
Le frénétique Sengi 
Un éléphanteau en vadrouille 
Trop mignon ce bébé phoque 
La technique de drague du lémur catta 
Je me demande si cela ne fait que déplacé le problème .. car même si ces personnes ont accepté la reconnaissance faciale, ils peuvent quand même jouer ailleurs dans des machines a sous, comme dans certains bars ..
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Un logiciel qui reconnaît les joueurs compulsifs
L’hippodrome Rideau-Carleton d’Ottawa utilise maintenant la reconnaissance faciale pour décourager les joueurs compulsifs.
La Société des loteries et des jeux de l’Ontario a installé le logiciel dans ses machines à sous pour les 15 000 joueurs qui ont demandé à ce qu’on les empêche d’y accéder, dont 1 000 à Rideau-Carleton.
Ces derniers ont accepté au départ que leur photo soit emmagasinée dans une base de données du casino. Si le logiciel les reconnaît, un message est envoyé aux gardiens de sécurité de l’établissement qui demandent au joueur pris en défaut de quitter les lieux.
Deux tiers des salles de jeu et des casinos de l’Ontario sont maintenant dotés de ce logiciel.
Une autre histoire insolite d’un ours mais cette fois-ci s’il est pris en flagrant délit il risque d’avoir une fin tragique. Je ne comprend pas pourquoi que les agents du Ministère des Ressources, au lieu de l’abattre ne l’endors pas pour l’amener plus loin dans la forêt. Je trouve que c’est un peu trop drastique a mon goût !!!!
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Ontario : Un ours amateur de biscuits dans sa maison
Crédit photo : archives TVA Nouvelles
Un homme a eu toute une frousse lorsqu’un ours est entré dans sa maison, tôt mardi matin à Apsley, au nord de Peterborough, en Ontario.
Le révérend Harry A. Elliott III, d’origine américaine, qui passe ses vacances au Canada depuis près de 60 ans, a été brutalement réveillé vers 3 heures par le bruit que faisait l’animal. Il croyait avoir affaire à des ratons laveurs.
Après avoir aperçu l’ours noir dans sa cuisine, qui mangeait des biscuits aux brisures de chocolat, il s’est réfugié dans sa chambre. Sa plus grande crainte était toutefois que l’ours s’en prenne à sa mère. La dame de 86 ans dormait toujours dans une pièce voisine de celle où se trouvait l’animal.
Il a toutefois pu aller chercher sa mère et l’amener dans sa propre chambre, auprès de son épouse, lors d’une brève sortie de l’ours.
M. Elliott a ensuite tenté d’effrayer l’animal en frappant des poêles à frire. Celui-ci a fini par quitter les lieux. Des agents de la police provinciale de l’Ontario se sont finalement présentés à la résidence à l’aube et ont sécurisé l’endroit.
L’ours est revenu, la nuit suivante, mais s’est buté aux barricades que M. Elliott avait installées dans ses portes et fenêtres.
Depuis, des agents du ministère des Ressources naturelles surveillent les environs, prêts à abattre l’animal s’il décide de revenir.
Comme s’il n’y avait pas assez de drogues conventionnelles, il faut qu’ils en rajoutent et en plus vendus sur des formes et ou des noms qui a priori tromperais la méfiance envers ces produits
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Drogués aux «sels de bain»
Caroline Lepage
Une nouvelle drogue a fait son entrée à Montréal. Il s’agit de «sels de bain» à base de méphédrone qui procurent des effets euphorisants. Bien que marginale, sa consommation demeure inquiétante.
Selon le Service de police de la Ville de Montréal, 15 échantillons de «sels de bain» ont été analysés par le Bureau des drogues dangereuses, depuis janvier 2010. De ce nombre, 8 provenaient du Québec. Ces substances étaient, notamment, recueillies à la suite de saisies auprès de suspects.
Après avoir fait des ravages aux États-Unis et alerté l’Europe, cette nouvelle drogue a donc franchi la frontière canadienne.
La particularité de cette substance est qu’elle se présente comme un produit de consommation courant, c’est-à-dire des sels de bain ou des engrais pour plantes, en vente libre dans les supermarchés américains.
Toutefois, sa composition chimique a été modifiée, si bien qu’elle comprend de la méphédrone (MDPV), reconnue pour ses effets euphorisants, similaires aux effets des amphétamines, de la cocaïne et de l’ecstasy.
Produit interdit au Canada
«Santé Canada considère la méphédrone comme une substance contrôlée depuis le 19 juin 2008. Les produits contenant de la MDPV servent seulement à donner des sensations fortes aux gens qui les utilisent. Ils sont probablement vendus à titre de sels de bain pour éviter toute détection possible», rapporte Gary Scott Holub, des relations médias à Santé Canada
Disant avoir à l’oeil ces produits, Santé Canada n’a pas été saisie d’une grande consommation, au pays.
«À moins d’être autorisée par règlement, toute activité impliquant la méphédrone, comme la production, l’importation, l’exportation, la distribution, le trafic et la possession, est interdite au Canada», indique M. Holub.
Malgré tout, certains s’en procurent en passant une commande par Internet. Parmi les produits disponibles, il y a des marques commerciales, alors que d’autres sortent tout droit d’un laboratoire clandestin.
Les drogues de synthèse se multiplient
Selon Jean-Sébastien Fallu, professeur agrégé à l’Université de Montréal, les «sels de bain» s’inscrivent dans la foulée des nouvelles drogues de synthèse, plus dangereuses les unes que les autres.
«L’Europe en a vu apparaître 27, l’an dernier, un record», recense-t-il.
Comme il fait de la prévention en toxicomanie dans les lieux festifs de la métropole, par le biais de son Groupe de recherche et d’intervention psychosociale, il est bien branché quant aux tendances de consommation, dont ce qui entoure les «sels de bain».
«Son histoire d’utilisation chez l’humain est très récente, mais sa surconsommation semble clairement problématique. Il y a lieu d’avoir une certaine inquiétude», souligne-t-il.
Pour leur part, les ambulanciers d’Urgences-santé sont au courant de cette nouvelle drogue, mais n’ont pas encore eu à intervenir. Selon le porte-parole Éric Berry, le protocole à suivre, en cas d’intoxication, est le même que pour les autres stimulants.
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Ces substances ne sont pas du «bonbon»
Plusieurs intervenants en toxicomanie s’inquiètent de la présentation de ces substances à la mode, qui portent des noms de « bonbons ». Les « speeds », par exemple, sont offerts sous différentes saveurs et couleurs.
« Marketing oblige, il y a toutes sortes de techniques de mise en marché, mais ça reste toujours la même chose : de la cochonnerie », croit Louis-Philippe Bertrand, conseiller à la Maison Jean Lapointe.
Le fait que les « sels de bain » sont facilement accessibles ne signifie pas, pour autant, qu’ils seront populaires. Selon Jean- Sébastien Fallu, on retrouve partout de la colle et des solvants, à peu de frais, mais leur consommation reste isolée.
« Les gens connaissent les séquelles irréversibles que ces produits peuvent causer », soutient-il.
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Des «sels» dommageables
Q Quels noms donne-t-on à cette drogue ?
R Ivory Wave, Purple Wave et Vanilla Sky.
Q Comment la consomme-t-on?
R Il s’agit d’une poudre chimique blanche qu’on peut inhaler, fumer ou s’injecter. Il est aussi possible de la diluer dans un liquide à boire.
Q Quels sont les risques sur la santé?
R Douleurs à la poitrine, augmentation du rythme cardiaque, agitations, hallucinations et évanouissements. Des consommateurs ont dû être hospitalisés et d’autres en sont, même, décédés.
C’est le cas de le dire,juillet a été beau et chaud et pas beaucoup de précipitations
Nuage
Juillet Beau et très chaud
Le beau temps des dernières semaines a fait plaisir à toute la famille.
© Pierre-Paul Poulin/Agence QMI
Héloïse Archambault
Le Journal de Montréal
Même si le record de chaleur n’a pas été battu, le mois de juillet a été beau et très chaud, avec une température moyenne de 28,7 °C, soit 2,5 °C de plus que la normale. De fait, la tendance devrait se poursuivre en août.
«On a eu un très beau mois de juillet, constate René Héroux, météorologue à Environnement Canada. Les données enregistrées rejoignent la perception des gens selon laquelle il a fait chaud.»
Normalement, la température maximale quotidienne, en juillet, se situe à 26,2 degrés Celsius (°C) dans la région métropolitaine, sans le facteur humidex. Cette année, le mercure a atteint une moyenne de 28,7 °C.
«À 2,5 degrés de plus, c’est une bonne hausse, poursuit René Héroux. Mais, l’année 2011 ne passera pas à l’histoire.»
Le record de 1955 demeure
Effectivement, le record de chaleur de 1955 ne sera vraisemblablement pas battu. Cette année-là, le maximum quotidien avait été de 30 °C.
«Il reste quelques jours au mois, mais on n’annonce pas assez chaud pour rattraper le record», dit-il.
Un record de chaleur a toutefois été battu, le 21 juillet, alors que le mercure a atteint 35,6 °C. Le précédent record de cette journée datait justement de 1955, avec 35 °C.
Moins de pluie
Du côté des précipitations, environ 49 mm de pluie sont tombés, soit 20 mm de moins que la normale saisonnière, établie à 69 mm.
Bien que le soleil ait été très présent, il est désormais impossible de connaître les heures d’ensoleillement. Environnement Canada ne tient plus de statistiques à cet effet.
«Le fait qu’on est au-dessus de la normale, pour la température, veut dire qu’il y a eu plus de soleil que de nuages. C’est tout ce qu’on peut dire», explique René Héroux.
Un beau mois d’août
À plus long terme, la tendance à la chaleur et au beau temps devrait se poursuivre en août.
Selon Richard Moffet, météorologue à Environnement Canada, la température quotidienne maximale sera, en moyenne, 1 °C au-dessus de la norme, qui est de 24,6 °C, dans la région de Montréal.
«Il devrait faire chaud ; l’été se continuera de la même façon, prévoit-il. Il devrait aussi faire beau. Les précipitations seront dans la norme ou en dessous de la normale.»
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Le mercure en juillet
Moyenne juillet 2011 : 28,7°C
Moyenne historique : 26,2°C
Record battu le 21 juillet : 35,6°C
Canicule : du 20 au 23 juillet
Source : Environnement Canada
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