La liberté


C’est un grand mot la liberté surtout avec toutes ses contraintes et ses limites et pourtant cette liberté on peut la ressentir .. du moins a l’intérieur de nous-même
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La liberté

«La liberté n’est pas un privilège, elle est éternelle conquête… On ne la donne pas aux autres, on leur apprend à la mériter.»


Charlotte Savary

La souffrance


Tout le monde souffre un jour ou l’autre, que ce soit par la maladie ou par l’âme , ou encore par des événements. Nous ne pouvons nous soustraire a la douleur elle existe et va et viens a différents moments … Nous pouvons quand même grandir dans la souffrance
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La souffrance

Certaines personnes consacrent beaucoup d’énergie à esquiver la souffrance, bien qu’inévitable, elle fait partie de la vie.

L’opposition en tout est indispensable. La souffrance est une grande école : elle nous apprend la patience, l’humilité, l’écoute.

Elle nous apprend que nous sommes en vie et remet les choses à leur juste place. Nous pouvons apprendre à tirer parti des périodes où nous ne souffrons pas.


Michel Poulaert

Le saviez-vous ► La couleur qui se transmet par l’alimentation‏


L’alimentation peut avoir des effets sur les merveilleuses couleurs sur certains oiseaux

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La couleur qui se transmet par l’alimentation


Photo: linternaute.com/© Joe Zammit-Lucia

Les flamants sont roses parce qu’ils mangent des petites crevettes. Ces crevettes sont elles-mêmes roses, car elles consomment des algues microscopiques qui contiennent en forte quantité un pigment coloré, le carotène.

Ce pigment colore de la même façon d’autres animaux, comme les saumons ou les crabes. Il a également un effet sur l’homme : les gens qui consomment beaucoup de carottes ont le teint légèrement orangé.

L’effet du pigment est plus ou moins visible selon les espèces, car il dépend des transformations chimiques que subit le carotène, une fois absorbé.

Les éleveurs de canaris exploitent ce phénomène : ils ajoutent des colorants à l’alimentation des oiseaux (le plus connu est le carotène, mais il en existe beaucoup d’autres), pour accentuer leur couleur naturelle.

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La préservation des facultés intellectuelles passe par l’exercice physique


Pas besoin d’être un sportif pour être en forme en vieillissant .. et en plus on y gagne aussi pour ralentir l’effet du vieillissement sur nos facultés mentales
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La préservation des facultés intellectuelles passe par l’exercice physique

La préservation des facultés intellectuelles passe par l'exercice physique
Inutile de courir, il faut partir à point: trente minutes de marche quotidiennes suffisent à ralentir le vieillissement mental de cinq à sept ans.
Photos.com
RelaxNews

Deux études récentes, présentées cette semaine à Paris dans le cadre de la Conférence Internationale 2011 de l’Association contre la maladie d’Alzheimer font le lien entre l’exercice physique et la préservation des capacités mentales.

 

Bonne nouvelle: il n’est pas nécessaire pour autant de s’épuiser en séances sportives intenses. Trente minutes de marche quotidiennes suffisent à ralentir le vieillissement mental de cinq à sept ans.

La première étude, réalisée par la Harvard Medical School aux États-Unis, s’est penchée sur le lien entre l’exercice physique et le déclin mental chez 2800 femmes âgées de plus de 65 ans souffrant de problèmes cardiovasculaires, associés à des risques accrus de troubles cognitifs. Après une batterie de tests cognitifs réalisés sur une période de cinq ans, il est apparu que les femmes les plus actives obtenaient de bien meilleurs résultats que leurs consoeurs.

Solitude

La seconde étude concerne 197 adultes participant à des recherches transversales sur la santé, le vieillissement et la composition du corps. Les participants, âgés en moyenne de 75 ans, se sont là aussi prêtés à des tests démontrant que les plus sédentaires étaient les plus susceptibles de voir s’émousser leurs facultés mentales.

Les deux études ont été publiées en ligne le 19 juillet dans la revue Archives of Internal Medicine.

Par ailleurs, dans la revue Neurology est paru un article suggérant qu’une marche de 9,5 kilomètres par semaine pouvait maintenir la vivacité des capacités cérébrales.

 

Enfin, l’isolation pouvant augmenter le taux de stress et de dépression, à l’origine des pertes de mémoire, la réputée Mayo Clinic préconise d’éviter la solitude

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http://www.cyberpresse.ca

Un couple vend ses enfants pour des jeux vidéos


Vendre des enfants pour des jeux vidéo c’est le comble. C’est une dépendance vraiment dégueulasse Il aurait mieux fait de les DONNER en adoption s’ils ne voulaient pas les élevé
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Un couple vend ses enfants pour des jeux vidéos

 

Nouvelles - Un couple vend ses enfants pour des jeux vidéos
Canoe.ca

 

Un jeune couple chinois qui s’était rencontré dans un café internet où les clients jouaient à des jeux vidéos en réseau ont vendu leurs enfants pour ensuite utiliser l’argent obtenu pour continuer à jouer.

Selon le Sanxiang City News, un journal chinois, le couple, qui ont tous les deux moins de 21 ans, ont vendu leurs trois enfants.

Leur deuxième enfant aurait été vendu pour moins de 500$. Quelques mois plus tard, ils auraient vendu les deux autres pour 4600$.

«Nous ne voulions pas les élever, donc on les a vendus pour de l’argent», aurait déclaré l’un des deux parents.

C’est la grand-mère paternelle qui aurait rapporté son fils aux autorités.

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Ordre des infirmières : Jusqu’où va le secret professionnel?


C’est une bonne question, le secret professionnel est important, mais je pense que des cas aussi exceptionnels tel qu’un meurtre aurait du, à mon avis être transmit aux enquêteurs .. De toute façon il était condamné par la maladie … alors la justice n’aurait même pas pu lui faire un procès ni l’incarcérer … sauf que le dossier aurait pu avancer beaucoup plus vite
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Ordre des infirmières : Jusqu’où va le secret professionnel?

Ordre des infirmières - Jusqu’où va le secret professionnel?
© Shutterstock.com

MONTRÉAL – Les propos qu’a tenus une infirmière de l’Hôpital de la Cité-de-la-Santé de Laval lors de l’émission Le vrai négociateur, en janvier dernier, a amené l’Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) à s’expliquer quant au secret professionnel auquel sont soumis ses membres.

Selon les informations qu’elle a divulguées sous le couvert de l’anonymat, Richard Bouillon, mort d’un cancer en 2006, avait confié à des employés de l’hôpital qu’il était le tueur de Julie Surprenant.


Mais les infirmières de la Cité-de-la-Santé sont restées muettes, apparemment tenues de garder secrètes les confidences qu’a pu leur faire M. Bouillon.

Dans un communiqué diffusé mardi par l’OIIQ, il est expliqué qu’une infirmière doit «respecter le secret de tout renseignement de nature confidentielle qui vient à sa connaissance dans l’exercice de sa profession».

Cependant, l’OIIQ souligne que dans le cadre d’une enquête publique, telle que celle mise sur pied par la coroner Catherine Rudel-Tessier dans le dossier de Julie Surprenant, la loi permet de libérer un professionnel de son obligation de respecter le secret professionnel. Selon le criminaliste Robert La Haye, l’OIIQ ne veut pas créer de précédent.

 

«Je n’ai pas été en contact avec l’Ordre des infirmières, mais je présume que c’est un acte de prudence de leur part, dit-il. C’est un cas assez exceptionnel et peu fréquent. Il leur est donc plus facile de laisser à la cour la décision de divulguer ces informations dans ce cas.»

Selon Me La Haye, le code de déontologie des infirmières ne concerne que le cadre professionnel, ce qui n’est pas le cas ici.

«S’il était question de garder secret un traitement subit par le patient, l’application serait valable, mais ces confidences ne sont pas en lien avec la vie privée de M. Bouillon», fait-il valoir.

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Norvège: Un échange SMS entre une mère et sa fille émeut le pays


J’en ai des frissons … quelle courage qu’on eu ces jeunes face a une telle barbarie … Je lève mon chapeau a la mère qui malgré surement la panique intérieur elle a su rester calme dans sa communication SMS avec sa fille ..

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Norvège:  Un échange SMS entre une mère et sa fille émeut le pays

Norvège - Un échange SMS entre une mère et sa fille émeut le pays

L’île d’Utoeya, en Norvège

© AFP / Jonathan Nackstrand

OSLO – «Maman, dis à la police de se dépêcher. Les gens meurent ici!»: une saisissante discussion via 46 SMS entre une mère et sa fille cachée sur l’île d’Utoeya en plein milieu du massacre a fait les grands titres dans la presse norvégienne.

Lorsqu’elle entend les premiers coups de feu peu après 17H00 vendredi sur l’île d’Utoeya où elle est en vacances dans un camp d’été de la jeunesse travailliste, Julie Bremnes, 16 ans, prévient sa mère Marianne et court se cacher avec d’autres camarades.

 

Commence alors à 17H42 un échange de plus d’une heure un quart durant lequel Julie va raconter par texto sa dramatique expérience, pendant que sa mère tente de la rassurer et de la tenir informée des lents progrès de la police.

Au premier SMS de sa fille signalant que «les gens meurent ici!», la mère répond: «Je m’en occupe, Julie. La police est en route. Oses-tu m’appeler?». «Non», répond la fille. «Dis à la police qu’il y a un fou qui se déplace et tire sur les gens». «Qu’il se dépêchent!», écrit-elle dans trois messages.

Il ressort notamment de la discussion que les victimes d’Utoeya ont cru que les hélicoptères qui survolaient l’île étaient de la police, alors que c’était ceux de médias norvégiens.

Voici les principaux extraits de la discussion, publiée par le journal norvégien Verdens Gang.

La mère: «La police est au courant et ils ont eu beaucoup d’appels. Ça va aller, Julie. La police nous appelle là. Donne nous un signe de vie toutes les 5 minutes, please?»

Julie: «Ok.»

J.: «Nous avons peur de mourir!»

M.: «Je sais bien ma chérie. Restez cachés, n’allez nulle part! La police est déjà en route, s’ils ne sont pas déjà là! Vois-tu des blessés ou des morts?»

J.: «Nous nous cachons dans des rochers le long du rivage».

(…)

J.: «Je ne panique pas, même si je suis morte de peur».

M.: «Je sais, ma chérie. Nous sommes terriblement fiers de toi aussi. Entends-tu encore des coups de feu?»

J.: «Non».

(…)

Peu après 18H15:

J.: «La police est ici».

M.: «L’homme qui tire a visiblement un uniforme de police. Fais attention! Que se passe-t-il maintenant?»

18H30

J.: «On ne sait pas».

M.: «Peux tu parler maintenant?»

J.: «Non».

J.: «Il tire toujours!»

M.: «C’est partout dans les médias nationaux maintenant, toute l’attention est sur Utoeya. Fais attention. Si c’est possible, rends toi sur la terre ferme et reste avec grand-père.

J.: «Je suis toujours en vie».

(…)

J.: «On entend toujours tirer, donc nous n’avons pas osé sortir».

M.: «Bien! Ils sont en train d’évacuer là, selon la télévision.»

J.: «On espère que quelqu’un va venir vite. Ils ne peuvent pas l’arrêter bientôt ?!!»

M.: «La police antiterroriste est là, et ils essaient de l’arrêter».

J.: «OK».

(…)

M.: «Coucou, es-tu là?»

J.: «Oui. Les hélicoptères tournent autour de nous».

M.: «Alors, ils vous ont vus au moins?»

J.: «Ils cherchent des gens dans l’eau, ils ne viennent pas encore nous chercher!»

19H01,

J.: «Que disent les nouvelles?»

M.: «La police est aussi en route en bateau vers Utoeya. Ce n’est pas clair pour le tireur, donc restez calmes. Attendez que quelqu’un vienne vous chercher».

M. «Ça y est, ils l’ont arrêté!»

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