L’orchestre


On pourrait comparer le monde comme un orchestre, et même si nous ne jouons pas ensemble .nous pouvons quand même créer de magnifiques symphonies .. en trouvant des moyens de s’adapter l’un a l’autre sans pour autant changer sa nature d’être

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L’orchestre


Nous avons tous en nous un orchestre symphonique composé de plusieurs instruments qui ne jouent pas ensembles, à cause de la diversité des lieux identitaires.

Eric-Emmanuel Schmitt

Les quatre bougies


Nous avons tous besoin d’espérance pour faire naitre l’espoir, car sans cette espoir, nos pensées s’embrument, se noircissent et fini par tout éteindre,. Nous devons garder l’esprit positif pour alimenter cette espérance

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Les quatre bougies

 

Quatre bougies brûlaient lentement. Il régnait un tel silence que l’on pouvait entendre leur conversation.

La première dit « Je suis la Paix ! Cependant, personne n’arrive à me maintenir allumée… je crois bien que je vais m’éteindre… »

Sa flamme diminua peu à peu, et disparut.

La seconde dit « Je suis la Foi ! Mais dorénavant, le monde pense que je ne suis plus indispensable… Ca n’a pas de sens que je reste allumée plus longtemps ! »
Et sitôt qu’elle eut fini de parler, une brise légère souffla sur elle et l’éteignit.

La troisième bougie se manifesta à son tour « Je suis l’Amour ! Mais je n’ai plus de force pour rester allumée. Les gens me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Ils oublient même d’aimer ceux qui sont proches d’eux… »

Et sans un bruit, elle s’effaça à son tour.

Alors entra un enfant, qui vit les trois bougies éteintes.

« Mais pourquoi avez-vous cessé de brûler ? Vous deviez rester allumées jusqu’à la fin ! »


Et une larme glissa le long de sa joue…

Alors la quatrième bougie murmura « N’aies pas peur. Tant que j’ai ma flamme, nous pourrons rallumer les autres bougies. Je suis l’Espérance ! »

Alors, les yeux brillants, l’enfant prit la bougie de l’Espérance et ralluma les trois autres.

Auteur inconnu

Le saviez-vous ► Les plantes brûlent-elles lorsqu’on les arrose en plein soleil? ..


Je pense que nous sommes plusieurs a corriger cette croyance a propos d’arroser les plantes en plein soleil … quoique pas très économique vue que l’eau s’évapore plus vite quand le soleil est présent

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Les plantes brûlent-elles lorsqu’on les arrose en plein soleil? ..

C’est une croyance fort répandue dans les milieux agricoles. Jamais il ne faut arroser une plante en plein soleil, au risque que celui-ci la brûle… Mais il s’agit là d’une légende urbaine (ou plutôt rurale) tout à fait infondée!

 

Plante arrosée, plante brûlée?

Cette légende veut que les gouttelettes d’eau, par leur forme convexe (arrondie et convergeant les ondes), concentrent les rayons du soleil sur de petites portions des feuilles. Comme l’effet d’une loupe, le phénomène mettrait à mal les feuilles de plantes arrosées alors que soleil et chaleur concourent à brûler les pauvres végétaux.

 

Jusqu’en 2010, peu de scientifiques s’étaient intéressés à ce savoir courant des jardiniers. Une équipe mixte composée de météorologues, de physiciens et de biologistes a néanmoins récemment passé cette légende au crible des lois de l’optique. Et il s’avère que physiquement, le soleil ne peut brûler la plante arrosée, les gouttelettes étant trop petites et pas assez arrondies ou éloignées de la feuille, pour converger suffisamment de rayonnement. Du reste, avant qu’un dommage significatif puisse être observé, les gouttelettes sont depuis longtemps évaporées.

 

Une brûlure, selon les auteurs de cette étude, pourrait être occasionnée chez certaines variétés de plantes à poil, sur lesquelles les gouttelettes restent à distance de la surface de la feuille, focalisant ainsi plus efficacement le rayonnement. Néanmoins, à cause de ces mêmes poils susceptibles de maintenir les gouttelettes à distance, l’eau a tendance à glisser systématiquement des feuilles. Entre l’évaporation et l’évacuation, l’eau ne peut que rarement infliger un dommage local sur une petite portion de feuille.

Bien évidement, arroser les plantes en plein soleil, leurs feuilles tout au moins, est tout de même déconseillé, mais seulement pour des raisons pratiques : l’eau s’évapore rapidement et l’arrosage est donc inefficace. Par contre, assoir un tapis d’herbe coupée au pied de la plante, et l’arroser, permet de limiter l’évaporation (en même temps que la consommation d’eau!)

tout en maintenant une humidité efficace.

Détails de l’étude

Les chercheurs ont utilisé un modèle informatique pour tester les effets de la convergence de rayonnement de gouttelettes sur les feuilles de plantes selon l’heure (et donc la position du soleil) de la journée.

 Ils ont également vérifié expérimentalement les données en soumettant certaines plantes à grosses feuilles, comme des érables, à un arrosage sous un soleil de plomb. Il s’avère que les gouttelettes d’eau saine ne peuvent entrainer de dommage significatif. Contrairement à ce que l’on pourrait supposer, s’il devait y avoir brûlure, ce serait davantage lorsque le soleil est aux extrémités du ciel (un peu après l’aube/un peu avant le crépuscule, précisément avec un angle de 23°) plutôt qu’au zénith ou en pleine journée.

D’éventuelles traces de brûlures peuvent par contre être observées lorsque l’eau est impropre (acidité trop élevée, présence de fertilisants…), laissant des marques semblables à celles de brûlures du soleil. Remplaçant les gouttelettes par des lentilles de verres ayant un effet plus fort et sur plus longtemps, les chercheurs ont effectivement observé des brûlures. Cela dit, s’il tombait des billes de verre du ciel, le rayonnement ne serait pas le principal souci des plantes et des jardiniers qui les arrosent…

http://www.le-saviez-vous.fr

Les plus belles images de juin 2011


Un été qui a su dévoilé sa beauté aux milles couleurs sous son soleil aux rayons dorés

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Les plus belles images de juin 2011

douceur florale
© Bertrand Kulik – Galerie Photo

Mi-ombre
caméléon
© Danielle Dupré – Galerie Photo

Azuré bleu
papillon
© Philippe Delmer – Galerie Photo

Epave de thonier
epave
© Pascal Feron – Galerie Photo

Nénuphars
nénuphars
© Jean-Claude Clair – Galerie Photo

Mouche
mouche
© Eric Fillaud – Galerie Photo

La petite bête qui monte
punaise
© Christelle Milesi – Galerie Photo

Fleur
fleur
© Philippe Bronnert – Galerie Photo

Soir au bord de l’océan Indien
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© Danielle Dupré – Galerie Photo

http://www.linternaute.com

Animaux domestiques : Les coûts d’entretien en hausse vertigineuse


D’un côté ils prétendent qu’on négligent les animaux domestiques pour leur soins et leur nourriture de qualité soit disant selon une vétérinaire que les québécois aiment mieux jouer a la loterie … et de l’autre coté on nous prouvent que les coûts relier a l’entretien d’un animal ont eu de grosses augmentations … alors que les refuges espèrent trouver des foyers d’adoption a leur protéger sous peine d’euthanasie … il faut croire que pour avoir un animal il ne faut pas avoir des revenus modestes Alors qu’avant on avait des animaux qu’on donnait des restes de tables (faut dire que l’alimentation humaine d’aujourd’hui, n’est certes pas pour les animaux a moins de vraiment bien se nourrir et encore) ils n’avaient pas 56 normes et la plupart de ses animaux étaient heureux .. c’est nous qui avons créer l’offre et la demande et il est difficile de revenir en arrière.

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Animaux domestiques : Les coûts d’entretien en hausse vertigineuse

Les coûts d'entretien en hausse vertigineuse
Par Stefania Moretti | Agence QMI

Si vous êtes comme la plupart des propriétaires d’animaux canadiens, votre ami poilu coûtera probablement plus cher.

Le chiffre d’affaires de l’industrie des animaux de compagnie a maintenant dépassé 8,9 milliards $ par an au Canada, avec des dépenses en hausse de 4,5 % par an, selon les dernières estimations du Conseil consultatif mixte de l’industrie des animaux de compagnie (PIJAC Canada).

 

Une récente étude américaine a révélé que le coût de la nourriture pour animaux, les soins vétérinaires et autres services ont bondi de 4 % par an, soit plus du double du taux d’inflation, depuis 2008.

Carole Gleeson, une vendeuse travaillant dans l’industrie automobile, a remarqué que le prix des aliments pour son chien avait augmenté « un peu ». Selon elle, c’est le prix à payer pour une nourriture de qualité, sans malbouffe.

Pour l’organisme PIJAC,
c’est le secteur de l’alimentation des animaux qui est la locomotive de l’expansion que vit cette industrie.

«La valeur émotionnelle envers les animaux a augmenté dans la société au cours des 10 – 15 dernières années. Les propriétaires d’animaux sont prêts à investir financièrement plus dans les soins et les produits que leurs animaux reçoivent, comme l’indique l’augmentation moyenne de 4,5 % des dépenses par an», a noté le rapport.

Statistique Canada estime qu’un peu moins de la moitié des Canadiens sont propriétaires d’animaux et une famille dépense en moyenne 870 $ par année en 2009, dernière année pour laquelle des données sont disponibles.

Les coûts réels sont probablement plus élevés puisque les données du recensement reposent sur les meilleures estimations des propriétaires d’animaux.


Selon l’Ontario Veterinary Medical Association (OVMA),
le coût annuel des soins pour un chat adulte est de plus de 1400 $ pour les besoins de bases, comme la nourriture, les assurances, la litière et les vaccins. Pour un chien adulte, la facture augmente à plus de 1800 $ par an.

Scott Bowser a dépensé autant en seulement deux mois pour Sadie, son lévrier. L’homme qui travaille dans l’industrie alimentaire et qui vit dans un condo au centre-ville de Toronto dépense entre 35 $ et 45 $ par jour pour que quelqu’un promène son chien.

«Il n’ya aucun moyen de contourner ça. Vous ne pouvez pas les laisser enfermés dans un condo tous les jours», a-t-il indiqué.

M. Bowser dépense également plus pour garder Sadie en bonne santé. Il a changé de vétérinaire cette année et sa facture d’examen annuel a augmenté de 35 $ à 235 $ et ça n’inclut pas tous les frais.

Melissa Carlaw, porte-parole de l’OVMA, a souligné qu’en matière de soins vétérinaires, l’offre de service était plus importante que jamais.


Dans le passé, si votre chien avait le cancer vous deviez le garder avec vous jusqu’à ce qu’il soit temps de l’euthanasier.

« Maintenant, les chiens peuvent recevoir les mêmes soins contre le cancer que les gens », a-t-elle dit.

En conséquence, les coûts d’assurances pour animaux sont également à la hausse.

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Murdoch Mysteries Stephen Harper décroche un rôle dans une télésérie


Ceux qui ne connaissent pas cette séries c’est des intrigues policières a Toronto se basant a la fin des années 1800. Ce qui est intéressant de cette série c,est qu’ils vont chercher des gens qui ont vraiment existés et utiliser les balbutiements de la science dans le domaine criminel Pour ceux qui ne savent pas qui est Yannick Bisson, c’est un montréalais qui a fait son apparition dans quelques séries américaines mais a joué aussi un rôle principal dans l’oeil du FBI … Tout cela pour vous dire .. que le premier ministre canadien … va devenir comédien l’espace d’une épisode .. reste a savoir si ce n’est pas dans sa nature de jouer la comédie

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Murdoch Mysteries
Stephen Harper décroche un rôle dans une télésérie

Stephen Harper décroche un rôle dans une télésérie
Crédit photo : Agence QMI
Agence QMI

 

Le premier ministre Stephen Harper apparaîtra dans un épisode de la série « Murdoch Mysteries », qui sera diffusé mercredi sur Citytv.

Dans cette télésérie policière qui (se déroule) prend racine dans le Toronto des années 1890, M. Harper incarne le sergent Armstrong, un amateur de hockey pas très perspicace qui ne reconnaît pas son premier ministre, Wilfrid Laurier, lorsque celui-ci entre dans le poste de police.

La scène à laquelle participe le premier ministre a été enregistrée le 15 octobre dernier. M. Harper donne la réplique à Yannick Bisson, qui incarne le détective William Murdoch dans la série.

Dans cet épisode, il sera question du meurtre d’un ancien ministre de la Défense et d’une lettre signée par Sir John A. Macdonald, le premier homme à avoir dirigé le Canada.

Dans un communiqué rendu public la semaine dernière par Citytv, le premier ministre souligne que Murdoch Mysteries est «son émission favorite».

«Ce fut très agréable de rencontrer ces personnes qui sont capables d’incarner des personnages datant du siècle dernier, qui parviennent à leur donner vie,

a affirmé M. Harper. J’ai eu beaucoup de plaisir à les voir à l’œuvre et à leur donner la réplique en tant qu’amateur.»



http://tvanouvelles.ca

Une dame de Beloeil perd tout son argent


C’est pas croyable qu’une personne puisse se faire avoir comme cela … Vous savez qu’on peut appeler la police de notre ville pour savoir quoi faire quand on se sent arnaquer … Parler a quelqu’un sur internet sitôt qu’il est question d’argent … faites sonner votre système d’alarme intérieure … et dite Danger danger danger !!!

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Une dame de Beloeil perd tout son argent

 

Fraude par Internet - Une dame de Beloeil perd tout son argent
Agence QMI
Vincent Guilbault
Nicole a fait la rencontre d’un homme sur le site de réseautage social Facebook et c’est comme ça que son cauchemar a commencé.
© Shutterstock.com

BELOEIL – Une résidante de la Vallée-du-Richelieu a perdu 55 000 $ par pure gentillesse. Toutes les économies qu’elle gardait pour ses vieux jours se sont envolées à cause d’une arnaque sur internet.

Nicole (nom fictif) a dilapidé son argent pour venir en aide à une personne qui n’existe pas. D’abord par de petits montants, suivis par de plus gros.

L’histoire a commencé il y a quelques semaines. Nicole a fait la rencontre d’un homme sur le site de réseautage social Facebook. L’homme d’origine française, répondant au nom de Michel Jean, a commencé à entretenir une relation d’amitié avec elle.

«Facebook était pour moi une façon de retrouver de vieux contacts, raconte Nicole. Mais je ne suis pas très habituée à l’informatique. Je ne sais trop comment, mais je me suis mise à avoir des conversations, pendant deux ou trois semaines, avec cet architecte français.»


Un jour, l’homme informe Nicole de son départ vers l’Afrique, plus précisément en Côte d’Ivoire, pour une rencontre d’affaires. Il lui écrit même à plusieurs reprises de là-bas.

Premier versement

C’est à ce moment qu’il commence à soutirer de l’argent à sa victime.


«Sa carte de crédit ne fonctionnait pas à l’hôtel. Par internet, il m’a dit que s’il ne payait pas les frais de 1000 $, on allait le mettre à la rue», a expliqué Nicole.

M. Jean fournit même un numéro de téléphone pour joindre le directeur de l’hôtel. Nicole prend contact avec ce dernier, qui confirme les dires de l’architecte. Nicole envoie un chèque, le premier d’une série qui mènera à son dépouillement total. Nicole reçoit ensuite un appel lui indiquant que son «ami» a été victime d’un accident de la route. Puisqu’il est inconscient dans une clinique privée, c’est à elle qu’incombe la responsabilité de donner le feu vert pour les opérations chirurgicales. C’est elle aussi qui doit débourser les frais. Un autre chèque de près de 5000 $.

Puis l’homme se fait prendre aux douanes avec, par erreur, un masque décoratif qui se veut un trésor national. L’homme doit débourser 18 000 $ ou se retrouver en prison. Nicole n’hésite pas à avancer la somme à son «ami».

La police s’en mêle

La police de la Côte d’Ivoire, l’ambassade du pays et même l’organisation internationale de police Interpol prennent tour à tour contact avec Nicole, du moins le croyait-elle. Les faux policiers parviennent à la convaincre qu’elle s’est fait piéger et que son argent lui a été subtilisé. Ils comptent sur elle pour les aider à «coincer» Michel Jean.

Le stratagème ne servira qu’à prendre le contrôle de l’ordinateur de Nicole et à lui soutirer encore plus d’argent pour lui permettre de retrouver ses économies.


«Je me suis mise à faire confiance à la police, qui me disait que je retrouverais mon argent, mais il fallait toujours débourser un peu plus.»

«J’étais complètement hypnotisée, comme avec Mesmer, raconte la victime, encore sous le charme. C’était toujours plus urgent, ça pressait. Je n’avais pas le temps de penser. J’avais confiance et je ne me méfiais pas; je voulais seulement aider.»

Au téléphone, Nicole raconte la chronologie des événements au journaliste sans une pointe de colère dans la voix. Confrontée à la perte de tout son argent, elle admet être plutôt attristée de la situation.


«J’ai toujours été une missionnaire dans l’âme. Je pense toujours aux autres en premier, c’est dans ma nature.»

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