Boire


Certaines personnes prennent un verre et puis un autre pour oublier leur chagrin, leur déboire … mais la réalité c’est qu’ils s’enfoncent dans un autre enfer pire de ce qu’ils essaient de fuir

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Boire

Boire, c’est croire qu’on vient de fermer sa porte à l’ennemi alors qu’on vient de l’installer chez soi, de façon définitive, derrière les verrous du silence.

Eric-Emmanuel Schmitt

Suis-je vraiment responsable de ce qui m’arrive ?


Il est vrai que nous n’avons pas le pouvoir de changer des évènements, des situations mais la façon de les percevoir sont de notre ressort. Encore une fois et c’est toujours la même chose : c’est la perception, l’interprétation que nous faisons de ce que nous vivons qui nous fait avancer ou reculer …

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Suis-je vraiment responsable de ce qui m’arrive ?

Photo : linternaute.com/© Pascal Van Merhaeghe

« L’homme n’est pas l’œuvre des circonstances. Les circonstances sont l’œuvre de l’homme. » Benjamin Disraeli

Bien que certaines personnes négatives et fermées s’opposent à ce principe de vie, je reste convaincu que nous sommes les seuls responsables de la qualité et de l’état de notre vie, du moins en grande partie.

L’expérience et le changement dans la vie de mes relations ne cessent de le prouver encore et encore !


Il n’est pas question d’argent ou de réussite sociale, mais d’épanouissement émotionnel et interne qui vous permet de vivre la vie de façon positive : la vie n’est pas parsemée d’épreuves et d’échecs, mais de défis et de résultats qui vous feront avancer, progresser et grandir !

Notre perception des éléments et événements qui nous entourent et nos états d’esprit produisent nos états internes. Nous nous dissocions des influences externes par notre "interprétation" des événements qui nous touchent. Nous prenons la pleine responsabilité de nos ressentis et ne cherchons pas à les justifier par les pressions externes. Nous sommes responsables de la qualité de notre bonheur !

Vous êtes le créateur de votre vie !
Cette vision et principe de la vie influera votre perception, vos questionnements et votre vie !

Soyez le créateur et l’architecte de votre vie en décidant de changer vos modes de pensées !

C’est possible, c’est la clé du succès de tous ceux qui réussissent à accomplir leurs rêves, leurs objectifs et leur bonheur !


Ne laissez votre vie entre les mains de ceux qui vous entourent, vous le pouvez mieux que quiconque !

Michel POULAERT.

États-Unis : Un gamin tue son frère de deux ans


C’est un drame qui je pense va redonner aux organisations un argument en force contre la légalisation des armes au USA. Ce qui est le plus troublant c’est que cet enfant savait comment mettre la balle dans le révolver …

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États-Unis : Un gamin tue son frère de deux ans

 

Un gamin tue son frère de deux ans

Les policiers de Connersville, dans l’Indiana, tentent de comprendre comment un enfant de cinq ans est parvenu à assassiner son frère cadet à l’aide d’un révolver, vendredi.

Le gamin a trouvé le fusil de son père dans la chambre des parents. Une fois qu’il a fait la découverte de l’arme, il a appuyé sur la gâchette. La balle a fatalement atteint le petit Wyatt Fassbinder, âgé de seulement deux ans.

 

Selon le père, l’arme n’était pas chargée. En fait, les policiers ont été stupéfaits de voir le garçon leur montrer comment il l’avait lui-même munie d’un projectile.

Le chef de police de Connersville, une ville située à près de 100 kilomètres à l’est d’Indianapolis, a qualifié l’incident de «négligence tragique».

http://tvanouvelles.ca

 
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Le déclin de grands prédateurs bouleverse les écosystèmes


A cause de nous, les grands prédateurs sont sur la corde raide et risque de disparaitre ce qui occasionnera un déséquilibre dans l’environnement

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Le déclin de grands prédateurs bouleverse les écosystèmes

 

Le déclin de grands prédateurs bouleverse les écosystèmes

© Shutterstock

Les grands prédateurs comme les lions, les loups ou les requins sont en déclin à travers le monde et cette tendance perturbe les écosystèmes, ont constaté des chercheurs dans une étude publiée jeudi.

«Ces prédateurs et ces écosystèmes préservent au bout du compte les humains. Il ne s’agit pas simplement d’eux, mais aussi de nous», a expliqué William Ripple, professeur de sylviculture à l’Université d’État de l’Oregon (nord-ouest des États-Unis) et co-auteur d’une étude parue dans le journal Science.

Sixième extinction

La planète Terre vit actuellement la sixième extinction de masse, constate l’étude réalisée par des scientifiques issus de 22 institutions de six pays. Mais celle-ci diffère des cinq précédentes car elle est entièrement provoquée par les activités humaines, telle que l’exploitation des terrains, la pollution, la chasse, la pêche, le braconnage, et parce qu’elle se concentre sur les prédateurs situés au sommet de la chaîne alimentaire.

«La perte de prédateurs en haut de la chaîne reflète sans doute le plus l’influence grandissante de l’espèce humaine sur la nature», dit l’étude.

Conséquences

Les conséquences sont visibles dans les océans comme sur terre. Par exemple, la baisse du nombre de pumas dans l’ouest de l’Utah (ouest des États-Unis) a conduit à une explosion de la population des cervidés. Or les cervidés mangent essentiellement des plantes, du coup la diminution de la végétation a entraîné la dégradation du cours des petits ruisseaux et l’affaiblissement de l’ensemble de la biodiversité dans cette région.

De même, la chasse industrielle des baleines a poussé leurs principaux prédateurs, les orques, à modifier leur régime alimentaire pour se nourrir désormais essentiellement de lions de mer, phoques et loutres, espèces qui ont vu en conséquence leur population diminuer fortement.

«Ces résultats montrent que les prédateurs au sommet de la chaîne alimentaire ont une influence énorme sur la structure, la fonction et la biodiversité de la plupart des écosystèmes», conclut l’étude.

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Douleur, quand tu nous tiens


Les douleurs chroniques sont trop souvent pris a la légère par l’entourage, pourtant ces douleurs sont bien réelle .. Personnellement, beaucoup qui m’ont connu très active doute que j’ai vraiment des douleurs Aujourd’hui … j’ai appris a reconnaitre ce qui peut accentuer voir rendre insupportable la douleur et  pour ne pas avoir recours aux médicaments, l’exercices et le stretching aide a mieux gérer ces douleurs .

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Douleur, quand tu nous tiens

Douleur, quand tu nous tiens

© Shutterstock


Vivre, c’est souffrir. C’est le cas du moins pour des millions de Canadiens, dont plusieurs sont dans la fleur de l’âge.

Un récent rapport de Statistiques Canada révèle en effet que la douleur chronique, habituellement associée aux aînés, est de moins en moins rare chez les personnes plus jeunes.

Environ 1 Canadien sur 10 âgé de 12 à 44 ans souffre de douleur chronique. «Cela équivaut à environ 1,5 million de personnes», souligne le Dr Roman Jovey, directeur médical d’une clinique spécialisée dans la gestion de la douleur située près de Toronto.

«La douleur chronique est un problème aussi fréquent que coûteux», dit-il. «Mais les ressources actuellement consacrées à la recherche, à l’éducation et au traitement de cette condition sont nettement insuffisantes.»

Le Dr Jovey qui s’intéresse aux médicaments antidouleur et à la dépendance à ces produits, estime que les étudiants en médecine vétérinaire reçoivent cinq fois plus de formation sur la douleur que les futurs médecins généralistes.

 

Un fardeau au plan social

Une étude de Statistiques Canada démontre que la douleur chronique est un problème important au pays. Elle prend ses racines dans des maladies telles que la fibromyalgie, l’arthrite, les migraines ou les maux de dos.

«On définit la douleur chronique comme une douleur qui dure au moins trois à six mois ou qui va au-delà des délais habituels prévus pour une guérison», précise le Dr Jovey. «La plupart des gens croient que la douleur chronique est une douleur qui sévit jour et nuit, sans interruption, et c’est vrai dans certains cas. Mais il s’agit le plus souvent de douleur intermittente.»

«Les Canadiens doivent être conscients que la douleur chronique sévit présentement à des proportions épidémiques», dit Lynn Cooper, maintenant dans la cinquantaine et qui souffre de douleur chronique depuis qu’elle a subi un accident à son travail en 1986.

«La douleur chronique est généralement incomprise et n’est ni diagnostiquée, ni gérée adéquatement. Elle constitue un énorme fardeau sur le plan social et les coûts pour notre économie se chiffrent à environ 35 milliards de dollars par an.»

Éduquer pour mieux comprendre

L’étude a permis de constater notamment que les personnes aux prises avec la douleur chronique étaient aussi plus à risque de souffrir de troubles de l’anxiété ou de l’humeur.

Le Dr Jovey espère que cette étude aidera à faire ressortir la nécessité d’une stratégie nationale pour la douleur qui permettra d’éduquer le public sur ce en quoi consiste une bonne gestion de la douleur.

Le traitement idéal, selon lui, devrait être multidisciplinaire. Le patient devrait avoir l’aide d’un médecin, d’un physiothérapeute et d’un psychologue afin qu’il ne devienne pas encore plus handicapé au fil du temps.»

De nouvelles options

«La douleur chronique est souvent assortie de préjugés négatifs», constate Lynn Cooper, qui est également présidente de la Coalition canadienne contre la douleur.

«Le manque de compréhension et le fait qu’elle n’est pas reconnue comme une maladie font en sorte qu’elle est mal perçue par la plupart des gens. Les personnes qui souffrent de douleur chronique sont considérées comme des simulateurs – on croit que ce sont des paresseux, qui ne prennent pas leurs responsabilités et qui ne cherchent qu’à prendre des pilules.»

«Dans ce pays, le concept d’approche multidisciplinaire de la douleur chronique est mal compris. La principale manière de traiter la douleur est avec des médicaments. Or, les médicaments seuls ne modifieront pas les effets de la douleur chronique. Les gens doivent apprendre d’autres stratégies pour y faire face.»

Parmi celles-ci, on peut notamment avoir recours à divers types de thérapies telles que l’hypnose, le biofeedback, la physiothérapie, la thérapie cognitivo-comportementale et même la méditation.

Avec le temps, Lynn Cooper a créé son propre programme multidisciplinaire qui comprend de la physiothérapie, des exercices en piscine d’eau chaude, une alimentation plus saine et un cours en psychothérapie.


La douleur à tout âge

• 1 Canadien sur 10 âgé de 12 à 44 ans souffre de douleur chronique.


• Les maux de dos sont à la source de la douleur chronique chez près du tiers des répondants au sondage appartenant à ce groupe d’âge.


• Près du quart des femmes disant souffrir de migraines disent aussi souffrir de douleur chronique.

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Le high-tech, source d’anxiété


Beaucoup sont enthousiasmé face a toute cette technologie qui nous ai offert au point qu’on ne sait plus ou se donner la tête et qui en plus prend tout notre temps libre. D’ailleurs dans bien des rencontre familiale ou amicales trop de cette technologie viens ombrager nos rapports dans la vie réelle

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Le high-tech, source d’anxiété


© Shutterstock/ Agence QMI
RelaxNews

Les gadgets, appareils portables et autres réseaux sociaux seraient-ils source de stress et d’anxiété?

 

D’une étude menée par des chercheurs de l’université de Cambridge, il résulte qu’une personne sur trois se sentirait submergée par son environnement high-tech et tous ses composants, des e-mails à Twitter.

L’université de Cambridge a étudié 1.300 Britanniques pour découvrir que le sentiment de stress causé par les nouvelles technologies pouvait entraîner dans la vie des sujets un sentiment d’insatisfaction générale.

 

Les jeunes utilisateurs ressentent ce stress au même titre que leurs aînés: 38% des 10-18 ans interrogés ont déclaré se sentir accablés par la technologie omniprésence — 34% des 25-34 ans ont le même sentiment.

Cette année, une équipe de chercheurs de Stanford University affirmait que l’utilisation de réseaux sociaux comme Facebook pouvait être facteur de dépression chez certains. Les utilisateurs ayant tendance à ne publier que des informations concernant les aspects positifs de leur vie, ceux qui prennent connaissance de ces informations pourraient se sentir mal en comparant leur propre vie à celles de leurs amis.

Le remède contre le stress technologique: reprendre le contrôle. Le Guardian suggère par exemple d’éteindre les systèmes de notification automatiques.

Le journal a interviewé Tim Ferriss, auteur de The 4-Hour Workweek: Escape 9-5, Live Anywhere, and Join the New Rich, qui recommande:

Laissez vos appareils éteints sur de courtes périodes. Vos vies n’en pâtiront pas et vous pourrez espérer voir le stress se réduire.

Laissez votre téléphone portable ou PDA chez vous au moins une fois par semaine, le samedi par exemple.

Etablissez une liste des choses à éviter. Par exemple: ‘ne pas ouvrir ma boîte mail avant 10h00’, de façon à poser des limites.

Accepter qu’il est impossible de répondre à 500 messages par jour. Ne cherchez pas à jouer les super-héros de la messagerie: il est humainement impossible de répondre à tous ses messages.

Apprenez à vous modérer. Comptez le nombre de fois où vous vérifiez votre boîte mail ou vous rendez sur les réseaux sociaux. Prenez conscience du problème et tentez de ne pas devenir esclave de vos outils.

Plus d’infos, en anglais:
http://www.guardian.co.uk/education/2011/feb/14/information-overload-research
http://www.webmd.com/mental-health/features/when-technology-addiction-takes-over-your-life
http://sante.canoe.com