Parole d’enfant ► Une maladie grandir ??


Des fois on se demande ou ils vont chercher tout cela avec de telle réflexion

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Une maladie grandir ??

« Mon petit frère me regarde et me dit, très sérieux :

"Nathan : Tu sais, Laura, quand je serais grand, tu seras ma fille !"
Moi : Ben non, je vais grandir, moi aussi !"
Nathan : Ha bon ? Alors, tu as la même maladie que moi !
Moi : hein ?
Natha : Ben oui, grandir, c’est une maladie !" »


Nathan 5 ans

La vie nous fait parfois de beau cadeau


Souvent on s’aperçoit qu’on a été choyer au moment ou nous l’avons perdus. La vie a ses hauts et ses bas il n’en tient qu’a nous d’être a l’écoute de notre environnement pour mordre dans toutes les bonnes choses qui nous est offert .. que ce soit le simple chant d,un oiseau, d’une pluie salvatrice, d’un téléphone de la famille etc. … il faut prendre les bonnes choses comme elles viennent

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La vie nous fait parfois de beau cadeau

 

Il faut accepter les cadeaux que la vie nous donne . Parfois sous forme de rencontres fortuites (Humaines ou Animales), le rappel de souvenirs lointains , de beaux moments partagés avec des amis(es) ou parents .


Profitons donc des secondes , des minutes de Bonheur…Ne sachant pas quand cela peut tourner au drame…La Maladie , un Accident …

Reconnaissons la Chance que nous avons : La Santé , Le Bonheur , Un Travail , Des Amis (es) …Tellement de gens n’ ont pas ses Richesses…

Auteur inconnu

Le saviez-vous ►On peut "prendre froid" à cause du froid, d’un courant d’air ou d’un changement brutal de température, vrai ou faux ?


Beaucoup pensent encore que la grippe et le rhume peuvent être causé par le froid alors que ce sont des virus qui se transmettent .. et surtout en hiver qu’ils font apparition … c’est une bonne raison pour aérer la pièce et chasser les microbes par temps froid

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On peut "prendre froid" à cause du froid, d’un courant d’air ou d’un changement brutal de température, vrai ou faux ?


FAUX

Le rhume et la grippe sont causés par des virus, pas par la température.

Ces virus se répandent davantage en hiver parce que les gens se regroupent dans des endroits fermés, et parce que les changements fréquents de température entre l’intérieur et l’extérieur fragilisent le système respiratoire.

Les symptômes du rhume et de la grippe

(sensation de froid, frissons) sont dus à la fièvre, pas à la température extérieure


http://www.jesuiscultive.com

Mettre ses enfants à l’abri… de soi


Des fois cela ne prend pas grand chose pour permettre a une famille de passer la bourrasse sans trop de séquelles, juste un petit coup de pouce pour se remettre d’aplomb …
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Mettre ses enfants à l’abri… de soi

Josée Fortin a bon espoir d'ouvrir la Maison Kangourou dans six mois, le temps de trouver l'emplacement idéal.
Josée Fortin a bon espoir d’ouvrir la Maison Kangourou dans six mois, le temps de trouver l’emplacement idéal.
Photo Ivanoh Demers, La Presse
Anabelle Nicoud
La Presse

En situation de crise, à qui les parents dépassés peuvent-ils confier leurs enfants? La question a fait surface dans les derniers mois, notamment avec l’affaire Guy Turcotte. Pour répondre au désespoir des parents et protéger les enfants, une étudiante au doctorat en santé communautaire a imaginé la Maison Kangourou, qui recevra les enfants pour quelques heures ou quelques jours, le temps que les parents se ressaisissent.

Des ressources d’urgence pour parents et enfants en crise, Christine Simard, l’auteure du blogue MammaMiiia, n’en connaît pas.

«Je ne sais pas s’il y en a, mais moi, je n’en ai pas à ma disposition. À la lumière des récents drames familiaux, je me suis justement demandé: est-ce qu’un parent a des recours pour mettre un enfant à l’abri de lui-même?»


La jeune mère n’est pas la seule à se poser la question. Des exemples de parents qui n’en peuvent plus, Josée Fortin, étudiante au doctorat en santé communautaire, en a plusieurs. Notamment celui d’une de ses amies, jeune professionnelle mère de trois enfants qui, en pleine séparation d’avec son conjoint, s’est sentie dépassée par les événements.

«Elle m’a appelée et m’a dit qu’elle voulait tuer son bébé», explique Josée Fortin.

Elle a trouvé les mots pour aider son amie, mais l’incident l’a convaincue de l’utilité d’un centre d’hébergement temporaire auquel les parents en situation de crise pourraient confier leurs enfants. Dans six mois, espère-t-elle, la première Maison Kangourou, à but non lucratif, ouvrira ses portes à Montréal.

«Je ne veux pas m’attaquer à des problèmes lourds. La Maison Kangourou, ce sera pour quelques heures, jusqu’à un maximum de 15 jours, sur une base temporaire, en réponse à un problème temporaire, quand on veut protéger les enfants», dit Josée Fortin, elle-même mère célibataire.

Les parents qui feront appel à la Maison seront filtrés à leur arrivée, mais la Maison Kangourou, qui sera ouverte jour et nuit et qui pourra accueillir jusqu’à 20 enfants, se veut une réponse flexible et simple aux situations de crise.

«Parfois, les gens ont peur d’aller au CLSC parce qu’ils craignent d’être signalés à la DPJ, dit-elle. Et au CLSC, il faut ouvrir un dossier pour commencer des démarches. Mais quand on est en détresse, on n’a pas forcément le temps ou la force d’aller ouvrir un dossier. Et parfois, les problèmes sont passagers. Ce qu’on veut, c’est éviter que les gens craquent. On veut protéger les enfants.»

Donner du répit aux parents, l’idée n’est pas totalement nouvelle, dit Xavier-Pierre Côté, chef d’administration du programme Enfance-Famille-Jeunesse et responsable de Crise Ado-Famille-Enfance du CLSC Rosemont. Les CLSC offrent des réponses aux familles et mettent les parents en contact avec des services psychosociaux, des éducateurs spécialisés ou tout autre intervenant pertinent. «La porte d’entrée à tout cela, c’est le CSLC», dit-il.

Malgré tout, si des services peuvent être offerts aux cas les plus pressants, les délais de traitement varient, selon M. Côté, de deux à six semaines. De façon générale, dans les situations de détresse et d’urgence, le besoin est là.

«A-t-on suffisamment de services? Ce n’est pas sûr. Il y a encore beaucoup de difficultés, dit-il. Et, encore une fois, ce ne sont pas toutes les clientèles qui viennent frapper à nos portes. La question, c’est: comment mieux rejoindre ceux qui ne viennent pas?»


Répit-Providence

Avec ses neuf places, le centre Répit-Providence, dans Hochelaga-Maisonneuve, tourne presque toujours à pleine capacité. Ouvert depuis 15 ans, le centre accueille des enfants qui lui sont envoyés par un CLSC, un travailleur social, un centre jeunesse ou un médecin, notamment. Les enfants peuvent y passer quelques jours à la fois, et ce, à plusieurs reprises, pendant plusieurs mois. Si la formule a fait ses preuves, elle reste difficile à financer.

«On fait des collectes de fonds, on frappe aux portes, et parfois on se frappe aux murs, dit la directrice du centre, Isabelle Perreault. Le besoin est là, mais quand c’est innovateur, unique, c’est difficile de correspondre aux critères des programmes de financement. Chaque année, c’est à recommencer.»

Josée Fortin a bon espoir d’ouvrir la Maison Kangourou dans six mois, le temps de trouver l’emplacement idéal.

«Ça fait un an que je travaille à ce dossier, tout est en place. On cherche actuellement des subventions», dit-elle.

http://www.cyberpresse.ca

Copier tu feras et mieux tu te sentiras


Ce qu’est le Kopimi : La personne qui a associé une œuvre avec cet acte l’a placée dans le domaine public en renonçant mondialement à tous ses droits sur cette œuvre en vertu des lois relatives au droit d’auteur, ainsi qu’à tous les droits juridiques connexes et voisins qu’elle possédait sur l’œuvre, sans autre limite que celles imposées par la loi. Vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser cette œuvre, y compris à des fins commerciales, sans qu’il soit nécessaire d’en demander la permission. source : http://fr.wikipedia.org

Personnellement j’aime mieux noter mes sources que ce soit en image ou texte par respect pour le travail des autres … sauf si l’auteur est incertain … mais de la a en faire une religion il y a une marge qu’il ne correspond pas a mon avis, au principe de base des religions et des sectes ..
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Copier tu feras et mieux tu te sentiras

par Nicolas Laffont
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Les adeptes du mouvement Kopimism viennent d’essuyer un deuxième refus de la Suède pour fonder leur religion.

Au début du 21e siècle, un phénomène connu sous le nom de phénomène Jedi est intervenu dans plusieurs pays à travers le monde. Lors de recensements nationaux, des milliers de citoyens ont écrit Jedi comme religion sur leur formulaire de recensement. Au Royaume-Uni ce sont 390 000 personnes qui ont indiqué Jedi ou Chevalier Jedi, ce qui a fait du Jediisme, la quatrième religion (non reconnue) du pays. 20 000 canadiens avaient indiqués la même chose en ce temps là.

 

Mais voilà qu’un autre phénomène est en train de faire son apparition du côté de la Suède: le Kopimism. Forte de plus de 1000 membres, cette mouvance a une idéologie assez proche du slogan «l’information veut être libre», mis en avant par certains activistes.

Copier tu feras et mieux tu te sentiras

 

Sauf que pour la deuxième fois, les autorités suédoises viennent de refuser le droit aux adeptes de fonder une église et d’être reconnus officiellement. Le fondateur de Kopimism, Isak Gerson a déclaré au site TorrentFreak ne pas comprendre «ce qui a motivé ce refus. Nous avons ajusté notre demande de façon à répondre aux exigences des autorités, et celles-ci nous refusent toujours le droit de former une église».
Sur leur site, les Kopimistes proclament:

Toute la connaissance pour tous
La recherche du savoir est sacré
La circulation du savoir est sacrée
L’acte de copie est sacré


(Source: TorrentFreak et ABC)


http://www.branchez-vous.com

Le plastique, menace mortelle pour les dauphins et les baleines


Nous sommes vraiment incorrigible, trop de gens ne se préoccupe pas de ce qu’ils jettent dans l’environnement et tout le monde en souffre que ce soit la faune ou la flore et même nous

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Le plastique, menace mortelle pour les dauphins et les baleines

Sacs en plastique, filets de pêche, bouchons de bouteilles, pailles pour  boire: les cétacés digèrent bien mal  ces déchets de plus en plus nombreux, rappelle une étude soumise au  comité scientifique de la Commission baleinière internationale (CBI) en  vue de la réunion annuelle de Jersey.
Sacs en plastique, filets de pêche, bouchons de bouteilles, pailles pour boire: les cétacés digèrent bien mal ces déchets de plus en plus nombreux, rappelle une étude soumise au comité scientifique de la Commission baleinière internationale (CBI) en vue de la réunion annuelle de Jersey.
Photo: AFP
Anthony Lucas
Agence France-Presse
Jersey

Les déchets en plastique de plus en plus nombreux à la surface des océans représentent une menace mortelle pour les baleines et les dauphins, insuffisamment étudiés par la science, selon une étude soumise aux travaux de la Commission baleinière qui s’ouvre lundi à Jersey.

En 2008, 134 types de filets différents avaient été retrouvés dans les estomacs de deux cachalots échoués sur la côte californienne et probablement décédés d’occlusion. En 1999, à Biscarosse, une baleine à bec de Cuvier s’était échouée avec 33 kg de plastique dans le corps…

 

Sacs en plastique, filets de pêche, bouchons de bouteilles, pailles pour boire: les cétacés, comme les tortues ou les oiseaux, digèrent bien mal ces déchets de plus en plus nombreux, rappelle une étude soumise au comité scientifique de la Commission baleinière internationale (CBI) en vue de la réunion annuelle de Jersey.

«La menace des débris marins en plastique pour nombre d’animaux marins est établie depuis longtemps, mais la menace pour les baleines et les dauphins est moins claire», estime l’auteur, Mark Simmonds, responsable scientifique de la Société pour la conservation des dauphins et des baleines (WDCS), une ONG britannique.


«Il est cependant établi que ces débris peuvent faire du mal à ces animaux à la fois par ingestion et par enchevêtrement», ajoute-t-il après avoir rassemblé toutes les données, parcellaires, témoignant de cette menace mortelle.
«Dans beaucoup de régions, les carcasses de baleines échouées ne sont pas enregistrées ou examinées, et dans les régions où elles sont enregistrées, la recherche des plastiques présents dans les intestins est rare»,
confirme Chris Parsons, biologiste à l’Université George Mason de Fairfax.

Le Programme des nations unies pour l’environnement (PNUE) avait souligné en février, dans son rapport 2011, comment les millions de déchets en plastique menacent les océans d’asphyxie en raison d’une utilisation toujours plus importante du plastique et de taux de recyclage encore faibles.


Ces débris sont particulièrement concentrés autour des routes de navigation, des régions de pêche et des zones de convergence océaniques, formées par les courants et les vents où les cétacés trouvent une nourriture abondante.

«L’effet le plus évident est d’interférer avec le processus d’alimentation», souligne-t-il. Les baleines à bec et les cachalots semblent particulièrement vulnérables, peut-être parce qu’ils capturent leurs proies par succion.


La présence des déchets en plastique, notamment les microdébris (inférieurs à 5 mm), dans les voies digestives a un autre effet néfaste: elle semble faciliter le transfert dans le corps des polluants associés à ces plastiques, comme les PCB (polychlorobiphényles).

«Nous n’en savons pas assez au sujet des débris marins pour pouvoir comparer cette menace aux autres menaces», et notamment les plus importantes que sont les prises accidentelles ou le changement climatique, regrette Mark Simmonds.


«Mais comme ces débris continuent à croître, cela va sûrement jouer un rôle de plus en plus grand», estime-t-il, souhaitant que le sujet soit «pris au sérieux» par la Commission baleinière, l’instance internationale où sont débattues les questions de chasse et de protection des baleines.

La WDCS plaide notamment pour que la CBI souscrive à l’«Engagement d’Honolulu», un appel international lancé en mars à Hawaï pour inciter gouvernements, associations, industries et citoyens à agir pour réduire les déchets marins.

http://www.cyberpresse.ca