Nous sommes tous humain et même si nous pardonnons, la cicatrice peut rester présente mais pardonner permet au moins d’atténuer cette peine
Le pardon
Le pardon rature. Il n’efface pas.
Robert Sabatier .
Notre société de consommation nous a fait oublier qu’on peut apprendre beaucoup par la patience … Nous sommes tellement habitué que tout se passe par un seul clic que quand il faut attendre nous pouvons en devenir agressif et intolérant alors que savoir attendre peut être bénéfique
Temporiser et agir vers un objectif donne un sens à la patience
« L’attente est en proportion du bonheur qu’elle prépare » Michel Dupuys (dans « La Source et le Feu »)
Attendre… c’est long lorsque l’on a des projets, des attentes, des désirs ou des résolutions qui nous enthousiasment.
La société ultra frénétique dans laquelle nous vivons et le système consumériste nous a éduqué à tout vouloir à l’instant, sans attendre. Les crédits les plus alléchants se présentent devant le nez de ceux qui « tombent dans le panneau » du système de consommation. Le matraquage médiatique joue ici aussi un rôle non négligeable.
Question qui tue : savons-nous encore attendre, surtout lorsque cela ne nous arrange pas ?
Attendre… Mais pourquoi si on peut tout avoir très vite et assouvir nos envies parfois compulsionnelles ?
Tout semble prouver à outrance qu’il n’est pas nécessaire d’attendre : Tout doit se faire très vite, tout se remplace vite, il faut envoyer un devis immédiatement, il faut prendre des décisions au plus vite, il faut livrer la commande passée à l’instant hier, je veux que le docteur me reçoive maintenant, mon conjoint doit changer ce qui m’agace maintenant, je veux réussir aujourd’hui sans devoir gravir les échelons, je veux mon écran plasma que je peux payer en quatre fois sans frais ce soir, alors pourquoi attendre,… L’impatience en démesure réserve, dans beaucoup de cas, de mauvaises surprises et les conséquences sont mesurables et souvent tragiques. Sans compter que cela peut devenir un ‘parasite’ qui peut pourrir notre plaisir devenu tout d’un coup bien éphémère. La situation économique que nous vivons à cet instant en est une belle leçon.
Jusqu’où n’avons-nous pas toléré ce concept sans broncher, parce que cela nous arrangeais ?
Une fois le pied au mur, tout ceci devient très relatif… Le valeurs réapparaissent étonnamment lorsque l’on se rend compte que nous n’avons plus rien… Et il est alors trop tard pour réfléchir, pondérer, patienter, méditer,… Toute notre énergie se concentre alors sur la reconstruction de ce que nous n’avons plus. Elle est toujours possible bien sûr, mais le chemin peut-être rude et décourageant. Ici encore, comme je l’ai exprimé dans d’autres articles, se fixer des objectifs et de nouvelles priorités est essentiel pour cette reconstruction et pour la mener à bien. Faire un bon en arrière n’est pas systématiquement signe d’échec mais plutôt une opportunité de faire un point sur nos valeurs, nos croyances et notre comportement. On appelle cela communément « prendre du recul ». Ça ne vous dit rien ?
Il est vrai que dans certaines situations attendre peut comporter des risques, mais elles restent minoritaires. La patience est une vertu dont nous avons souvent perdu le sens.
Sous les influences de notre société archi pressé, sous tension, rythmée par les exigences de la consommation semble perturber les évaluations de nos réelles priorités.
Dans la plupart des cas, la patience est une force. Mais pour qu’elle le soit, elle doit être nourrie par un objectif précis et une conscientisation qu’on ne peut rien réaliser dans un instant.
Que le travail demande peut-être des sacrifices, mais une fois arrivé à l’objectif, n’est-ce pas exaltant ? Ce sentiment procure la paix de l’âme. Le fait d’avoir pris le temps avant d’arrêter une décision, un achat, une parole peut-être…
Attendre peut nous rendre plus sereins, plus calme, donne le temps aux projets de murir et prendre forme, on peut aussi mieux visualiser l’objectif. La patience nous permet de prendre du recul et d’évaluer nos décisions. Lorsqu’elle est bien comprise, elle peut devenir une force et source de sagesse. La patience est une forme de sacrifice. Le sacrifice engendre de nouvelles forces émotionnelles et sociales inimaginables. Ici encore, ce mot a perdu beaucoup de son sens. L’égocentrisme tue l’abnégation.
En revanche, comme pour tout, les excès nuisent. Trop de patience peut entrainer inertie et oisiveté. Il est vrai que nous devons respecter des délais, des promesses et que certaines choses ne peuvent pas attendre. Ce sont les priorités et les obligations dont nous devons prendre conscience.
La patience n’est puissante que quand elle est nourrie par une vision claire du futur, d’un espoir et de travail sur soi, ses objectifs et parfois sur les autres (vous, les mamans, qui savez mieux que quiconque ce que cela veut dire). En se fixant un horizon précis on génère des motivants que nous estimions peut être inexistants. La patience est un acte réfléchi, conscient et nourri par un futur que chacun peut se visualiser pour soi.
Si vous ressentez que vous perdez patience, qu’elle vous soit infligée ou non, essayer alors de lui donner un sens, de prendre du recul, de vous auto motiver et enfin de vous féliciter d’y être arrivé. Ça fait tellement de bien de se faire du bien.
Michel POULAERT.
Les tâches d’encre, combien de vêtement ont gouter a cette mixture dessinant une forme abstraites …
Enlever une tache d’encre sur du tissu
Pour enlever une tache d’encre sur du tissu, il suffit de verser de l’alcool à friction sur la tache, puis rincer à l’eau claire.
http://www.trucsmaison.com
Elle a toute une ménagerie mais a l’âge adultes il est prouvé que beaucoup d’animaux qui devraient être sauvage deviennent agressif avec les humains qui s’en occupent .. C’est vrai que c’est mignon et de voir que le chien et le chat semble bien partager leur environnement mais ce n’est pas leur place … je trouve que c’est d’être égoïste d’avoir ce genre d’animaux dans sa cour
Une femme vit avec des lions
Une bien drôle d’idée me direz-vous … hum pas si fou que ça il y a des idées très intéressantes et un parcours pour arriver a ce résultat surprenant
Créer des vêtements pour les morts
Pia Interlandi fait des recherches sérieuses pour trouver les meilleurs matériaux
© AFP Photo/William West
Alors qu’elle habillait son grand-père bien-aimé pour ses obsèques, Pia Interlandi, une jeune styliste australienne, a trouvé sa vocation: dessiner des vêtements personnalisés pour les morts.
«J’étais en train de lacer ses chaussures. Et puis je me suis dit "mais où va-t-il marcher?". Il n’a pas besoin de chaussures», explique tranquillement la jeune femme de 26 ans, tout de noir vêtue.
Cette expérience l’a incitée à imaginer des vêtements «linceuls», en soie et en lin, qui enveloppent le corps et la tête des défunts afin, espère-t-elle, de leur offrir des habits agréables et personnalisés pour le dernier voyage.
Lorsque la styliste explique qu’elle dessine des vêtements pour les morts, les gens imaginent souvent qu’il s’agit de déguisements farfelus.
«Ce n’est pas du tout ça. Je prends en considération les contraintes de vêtements destinés à être enterrés», confie-t-elle.
«Les contraintes concernant l’environnement sont fondamentales: il ne faut pas polluer la terre avec des plastiques. Il faut aussi être sûr que le tissu est beau et convient à la personne décédée».
Avant de se décider à étudier le stylisme, Pia Interlandi a brièvement travaillé dans l’ergothérapie, où elle a découvert différents types de matériaux de moulage, comme le plastique utilisé pour couvrir l’épiderme de personnes sévèrement brûlées. Elle s’est même fabriquée une robe avec cette matière.
Plus tard, étudiante en design à Melbourne, l’étudiante s’était montrée tout aussi originale, en faisant appel à des abats d’animaux pour ses travaux.
Un squelette vêtu de polyester
Pia Interlandi
© AFP Photo/William West
«En fait, je suis allée chez le boucher. J’ai acheté un gros paquet d’abats, je les ai coupés et je les ai photographiés», se souvient-elle.
Son attrait pour la mort en tant que période de transformation, l’a incitée à travailler avec des fibres biodégradables, d’apparence solide mais qui se délitent sous l’effet de la décomposition des corps.
L’habitude en Australie d’enterrer les femmes en joli tailleur et les hommes dans leur plus beau costume, quelquefois avec des pantoufles, la mettait mal à l’aise.
«L’idée d’enterrer quelqu’un avec un vêtement en polyester qui va perdurer après sa décomposition me gênait. En fin de compte, vous finirez en squelette vêtu d’une drôle de tenue en polyester», affirme Pia Interlandi.
Tests sur des cochons
Elle a mené de longues recherches sur les tissus, allant jusqu’à enterrer une vingtaine de cadavres de cochons vêtus de ses créations, afin de tester la dégradation de matériaux. Puis sur une année, elle a progressivement déterré les porcs, observant la détérioration des tissus et de l’animal.
«En un an, mes vêtements avaient complètement disparu. Quand nous avons déterré le dernier cochon, il n’y avait plus que des fils, des os et des racines».
La créatrice souhaiterait exposer les restes de ces linceuls, mais connaît des difficultés à obtenir des autorisations, même s’ils seraient conservés dans des conteneurs réfrigérés pour éviter les odeurs.
«J’ai des difficultés parce que l’idée est un peu dégoûtante. Mais les habits en eux-mêmes sont plutôt beaux», affirme-t-elle.
Alors que de plus en plus, les cérémonies d’enterrements s’écartent du rite religieux traditionnel pour refléter davantage la personnalité du défunt, le projet de la jeune styliste pourrait rencontrer plus de succès.
Broder le poème ou la chanson préférés du défunt, son nom, ou dessiner son arbre généalogique sur son habit mortuaire sont quelques unes des idées de Pia Interlandi, qui espère lancer sa collection fin 2012.
On veut la liberté sexuelle mais beaucoup ne prennent pas de précaution, malgré les rappel, les informations .. alors qu’ailleurs l’éducation sexuelle manque cruellement .. d’ou le risque d’épidémie partout dans le monde ..
Gonorrhée: une souche inconnue qui résiste à tout
Des chercheurs ont découvert une nouvelle bactérie résistante à tous les antibiotiques actuels. Les résultats de leurs travaux seront présentés cette semaine à Québec au congrès de la Société internationale pour la recherche sur les maladies transmissibles sexuellement.
Photothèque Le Soleil
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Une équipe de chercheurs vient de découvrir une souche inconnue de gonorrhée résistant à tous les antibiotiques actuellement disponibles et qui pourrait se propager rapidement dans le monde.
«Il s’agit d’une découverte à la fois alarmante et prévisible. Depuis que l’usage d’antibiotiques est devenu le traitement privilégié pour traiter la gonorrhée, au cours des années 40, la bactérie s’est montrée particulièrement habile à développer des mécanismes de résistance aux médicaments», a affirmé un des chercheurs, le Dr Magnus Unemo, du Laboratoire suédois sur la gonorrhée pathologique.
«Bien qu’il soit encore trop tôt pour déterminer dans quelle mesure la nouvelle souche s’est répandue, l’historique de cette bactérie suggère qu’elle pourrait se propager rapidement en l’absence de nouveaux médicaments et de programmes de prévention appropriés», a ajouté le chercheur par voie de communiqué.
Les résultats des recherches du Dr Unemo et du Dr Makoto Ohnishi seront présentés cette semaine, à Québec, lors du 19e congrès de la Société internationale pour la recherche sur les maladies transmissibles sexuellement.
Le congrès a débuté dimanche et se terminera mercredi. Plus de 1200 scientifiques, médecins et chercheurs de tous les continents sont attendus à ce congrès.
La gonorrhée est l’une des infections transmises sexuellement les plus fréquentes dans le monde. Aux États-Unis, il y a 700 000 nouveaux cas de cette maladie par année.
Dans la région de Québec, le nombre de cas a triplé au cours des dernières années. Selon les données de la santé publique, on a relevé 41 cas d’infection gonococcique en 2001 et 138 en 2010.
La moitié des femmes qui sont infectées et seulement de 2 à 5 % des hommes n’ont pas de symptômes de la maladie. Non traitée, l’infection peut causer des complications graves et permanentes chez les femmes et les hommes. Elle peut mener à l’infertilité plus fréquemment chez la femme en plus de faciliter la transmission du virus de l’immuno déficience humaine (VIH).
Mieux comprendre le cerveau peut amener a des millions de possibilités pour soignés certains maux
Comment le cerveau réagit aux blagues
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Des chercheurs britanniques ont découvert de quelle façon le cerveau réagit et traite les blagues et les jeux de mots, rapporte Reuters.
Des scientifiques du Medical Research Council au Royaume-Uni ont utilisé l’imagerie par résonnance magnétique pour observer le fonctionnement du cerveau de 12 participants. Ils ont pu constater que les zones cérébrales intervenant dans le circuit de la récompense — ce circuit nerveux qui induit une sensation de plaisir et de satisfaction — réagissaient de façon plus intense à l’écoute de blagues. La réponse est plus forte lorsque la personne trouve la blague en question très drôle.
«Nous avons même découvert une activité cérébrale spécifique lorsqu’il s’agit de jeux de mots», précise Matt Davis, coauteur de la recherche.
Le chercheur et son équipe pensent pouvoir utiliser cette découverte pour déterminer si une personne dans un état végétatif peut expérimenter des émotions positives.
«Nous avons déjà eu recours à la résonnance magnétique pour savoir quel était le niveau de compréhension du langage de patients qui se trouvent dans un état végétatif», explique Tristan Bekinschtein, coauteur de ces travaux.
«Nous pourrions utiliser des méthodes similaires pour comprendre si elles réagissent à des émotions positives. Cela revêt une importance capitale pour la famille et les proches de ces personnes, qui veulent savoir si elles peuvent encore partager des moments de plaisir et de joie avec elles, malgré les circonstances», précise-t-il.