C’est cocasse hein ??? Défendre l’environnement pendant les élections, parait un peu niais quand on voit la pollution publicitaire des affiches des candidats sans oublier ceux reçu par la poste …
La campagne électorale
Photo : montrealgazette.com
«Combien faut-il abattre d’arbres pour fabriquer le papier de la campagne électorale du parti écologique ?»
Patrick Sébastien
Oui comment écrire une musique pour laisser place a l’amour, l’amitié qui laisse le coeur léger pour que la musique de notre âme puisse survoler toujours un peu plus loin
Comment, papa, écrire une musique
.Comment, papa, écrire une musique
Qui soit chantée par les bruns et les blonds?
– Vois-tu, mon fils, pour faire une telle musique,
Il faut avoir le coeur comme un ballon,
De l’amour gros comme ça et ta musique naîtra.
Si tu as les yeux qui brillent,
Si tu as le coeur qui bat
Pour la toute première fille qui viendra dans tes bras,
Si tu as la main tendue quand tu rencontreras
Un brave type qui aura pas la même couleur que toi.
– Comment, papa, écrire une musique
Qui soit chantée par les bruns et les blonds?
– Tu peux gagner le coeur des plus cyniques
Si tu as, mon fils, le coeur comme un ballon,
De l’amour gros comme ça et ta musique naîtra.
Ne sois jamais l’esclave d’une idée, d’un fanion.
Pour un rêve à finir, tu dois rater l’avion.
Ta musique sera belle si tu as compris qu’il faut
Savoir perdre son temps pour le chant d’un oiseau.
– Comment, papa, écrire une musique
Qui soit chantée par tout un univers?
– Vois-tu, mon fils, pour faire une telle musique,
Il faut avoir le coeur tout grand ouvert,
Ouvert comme un moulin où tout le monde vient.
Si ta porte est ouverte à tout vilain oiseau
Qui a la patte cassée et le coeur en morceaux,
Pour cette mère indigne qui sort des tribunaux
Parce qu’elle vola un pain pour nourrir ses loupiots.
Comment, mon fils, écrire une telle musique?
Il faut avoir le coeur tout grand ouvert,
Ouvert comme un moulin
Où tout le monde vient.
Comment papa ?
Pierre Perret
Une autre expression qu’on entends plus très souvent … mais l’origine est quand même étonnante …. a noter que dans cet article ils font référence a un livre écrit en vieux français … qu’avec le temps on voit comment la langue française s’est embellie .. vous ne trouvez pas ?
Veiller au grain
Photo : ledetracteur.com
Surveiller.
Faire attention, pour éviter tout débordement dans une situation précise, parer à toute éventualité.
Être sur ses gardes pour éviter un danger éventuel.
Cette expression trouve son origine dans le vocabulaire marin et non agricole comme on pourrait le penser même s’il en dérive.
Le mot grain vient du latin granum (graine, grain) mais dès le XIIIe siècle il prend le sens figuré de “origine”. Vers 1552 grain est utilisé dans la marine pour désigner un vent violent, soudain, de courte durée et accompagné le plus souvent de précipitations, de grêle ou de neige.
Furetière dit:
En termes de marine, on appelle un grain de vent, une tempête, un tourbillon qui se forme tout à coup et qui désempare la manoeuvre. Il dure peu.
Ce nom attribué aux tempêtes aussi courtes que soudaines vient sans doute des grains de grêle fréquents dans ces sortes d’orages.
Le terme de grain dans le vocabulaire marin apparaît pour la première fois dans la littérature dans le “Quart Livre“ de Rabelais, chapitre XVIII ””Comment Pantagruel évada une forte tempeste en mer”‘:
Pantagruel restoit tout pensif & melancholicque. Frère Ian [Jan] l’apperceut, & demandoit dout luy venoit telle fascherie non accoustumée: quand le pilot consyderant les voltigemens du peneau sus la pouppe, & prevoiant un tyrannicque grain & fortunal nouveau [tempête] commenda tous estre à l’herte [alerte] tant nauchiers, fadrins, & mousses, que nous aultres voyagiers: feist mettre voiles bas, meiane, contremeiane, Triou, Maistralle, Epagon. Civadière: feist caller les Boulingues, Trinquet de prore, & trinquet de gabie, descendre le grand Artemon, & de toutes les antemnes ne rester que les grizelles & coustières.
L’expression “veiller au grain” apparaît vers 1831 dans le langage marin. Elle fait référence à ces vents brusques et soudains qui nécessitent toute l’attention, la vigilance et l’habileté des marins afin de pouvoir réagir rapidement et de manière adéquate devant le danger. Les marins restent donc toujours en veille afin de parer à toute éventualité.
De nos jours l’expression “veiller au grain” a surtout gardé, dans le langage courant, son image de vigilance, de prudence afin d’éviter un souci, un danger ou la perte de contrôle des événements dans une situation précise.
Les oiseaux ne sont pas sans cervelles, les corneilles entre autre sont capable de reconnaitre et d’enseigner comment reconnaitre les visages des personnes qui peuvent etre potentiellement dangereux
Les corneilles capables de reconnaître le danger
© Shutterstock
L’expression «avoir une cervelle d’oiseau» vient de prendre un coup dans l’aile: les corneilles sont non seulement capables d’identifier le visage d’un humain dangereux pour elles mais peuvent aussi enseigner à leurs congénères à reconnaître cette menace.
Intrigués par le comportement des corneilles d’Amérique (Corvus brachyrhynchos) vivant sur leur campus de Seattle (USA), des chercheurs de l’Université de Washington ont voulu savoir si ces oiseaux se rappelleraient le visage d’un individu leur ayant fait subir une expérience traumatisante.
Homme des cavernes VS homme «neutre»
Les scientifiques ont donc enfilé un masque en latex imitant le faciès d’un homme des cavernes pour capturer et baguer les volatiles avant de les relâcher au bout d’un certain temps.
Ils ont ensuite continué à porter ce masque synonyme de danger en se promenant sur le campus pour observer les réactions des corneilles. Ils ont également réalisé la même expérience avec un masque «neutre», en l’occurrence celui de l’ancien vice-président américain Dick Cheney, pour comparer les différences de comportement.
La simple vue du masque d’homme des cavernes déclenchaient des cris d’alarme des corneilles ou les poussaient à se regrouper pour faire face au danger, croassant avec colère et battant violemment des ailes pour prévenir leurs congénères.
À l’inverse, le masque de Dick Cheney ne suscitait pas de réaction notable.
Durant cinq ans, l’équipe de chercheurs a élargi ses expériences à quatre autres sites, utilisant cette fois d’autres masques spécialement fabriqués pour l’occasion et imitant des visages plus communs.
Mais ce changement de faciès n’a pas fait diminuer le nombre de corneilles réagissant à l’approche de l’individu «dangereux».
La fréquence des comportements d’alarme a même fini par doubler: les jeunes corneilles avaient observé les réactions de leurs parents face à ce signal et les imitaient tandis que d’autres corneilles voisines avaient elles aussi appris à reconnaître ce danger par «contagion».
Rôle crucial
La reconnaissance faciale joue en effet un rôle crucial pour ces corneilles dans la mesure où certains humains leur donnent à manger tandis que d’autres les abattent à coups de fusil, explique John Marzluff, spécialiste de la faune sauvage et auteur de l’étude publiée par la revue britannique Proceedings of the Royal Society B.
Mais la capacité de ces corneilles à jongler avec trois sources d’informations distinctes est particulièrement étonnante.
Les oiseaux ont recours à leur expérience personnelle, à la transmission «verticale» des informations recueillies par leurs parents, et à la transmission «horizontale» et «sociale» des informations fournies par leurs congénères.
Pour les animaux, l’expérience personnelle – menaces, sources de nourritures, etc. – est toujours la plus fiable mais elle comporte de gros risques. À l’inverse, obtenir des informations de tiers est moins risqué mais aussi potentiellement moins fiable, en particulier lorsque les renseignements proviennent de ses relations «sociales» et non plus familiales.
Selon le Pr Marzluff, d’autres corvidés, comme le choucas ou le corbeau freux, sont eux aussi vraisemblablement capables d’apprendre selon ces trois modes différents.
Ramasser les métaux c’est payant et le cuivre surtout de bonne qualité c’est encore plus payant mais de la a voler pour se faire de l’argent est odieux Dommage qu’il n’y a pas de moyen plus économique pour empêcher ces vols
Allumés pour empêcher le vol de cuivre
Des lampadaires sont allumés jour et nuit pour décourager les voleurs de fils de cuivre, sur la route 132, à Boucherville.
© Héloïse Archambault/Agence QMI
Le ministère des Transports du Québec (MTQ) n’a trouvé d’autre solution que d’allumer des lampadaires durant toute la journée pour empêcher les vols de fils de cuivre dans des poteaux situés le long de certaines routes.
Comme le rapportait le Journal, récemment, au moins 25 lampadaires, situés le long du boulevard de Périgny, à Chambly, sont allumés 24 heures sur 24, depuis l’hiver dernier.
Cette situation est aussi observée sur une portion de la route 132, à Boucherville, et à Granby.
Selon la direction de l’Est de la Montérégie du MTQ, il s’agit d’une solution temporaire mise sur pied pour contrer le vol de fils de cuivre.
Décourager les voleurs
«Il y a eu des vols, à ces endroits, alors on laisse les lampadaires allumés pour décourager les malfaiteurs, explique la porte-parole Ginette Gagnon. En raison des risques d’électrocution, c’est moins tentant de s’en approcher.»
Les fils de cuivre volés se trouvaient à l’intérieur des poteaux des lampadaires. Selon Ginette Gagnon, une solution permanente sera mise sur pied au cours des prochaines semaines, à Chambly. Elle refuse toutefois de donner davantage de détails.
«Ça n’a pas d’allure»
Plusieurs citoyens se questionnent quant à ce gaspillage d’électricité, en cette période de réduction de la consommation d’énergie.
«C’est comme si je laissais les lumières allumées chez moi, pour empêcher les voleurs de venir, compare Pierre Émond, résidant de Boucherville. Ça n’a pas d’allure.»
À ce sujet, le MTQ est incapable d’estimer les coûts de la consommation d’énergie de ces lampadaires.
Situation répandue
Ce type de vol se multiplie, dans la région métropolitaine, depuis un an, en raison de la hausse de la valeur du cuivre .
«La situation à Chambly n’est pas un cas à part. Il y a eu plusieurs vols rapportés ailleurs», confirme Ginette Gagnon.
Il y a un mois, des centaines de mètres de fils de cuivre qui reliaient des lampadaires en bordure de l’autoroute 20, à Pointe-Claire, ont été volés.
En avril dernier, un homme est mort électrocuté en tentant de voler des fils dans un poste de distribution d’Hydro-Québec, dans la région de Charlevoix.
VOLS DE CUIVRE DANS LES LAMPADAIRES AU QUÉBEC
2010 : 61 vols
entre 2006 et 2009 : 87 vols
Régions les plus touchées : Montérégie, Mauricie, Laurentides, Estrie
Source : ministère des Transports du Québec
Je suis entièrement d’accord de responsabilisé les compagnies technologiques … et a nous de faire l’effort d’aller porter aux bons endroits pour préserver l’environnement espérant que cela ne sera pas expédiés aux pays en voie de développement qui eux n’ont pas de protection contre les effets indésirables de ces produits
Ordinateurs et cellulaires devront être recyclés
Agence QMI
Régys Caron
Le ministre de l’environnement du Québec, Pierre Arcand.
© Éric Bolté / Agence QMI / Archives
QUÉBEC – Le ministère de l’Environnement oblige maintenant les entreprises produisant des ordinateurs, des téléphones cellulaires, des piles et des lampes au mercure à recycler ces produits à la fin de leur durée de vie utile.
Le ministre Pierre Arcand a annoncé mercredi l’élargissement du règlement sur la récupération et la valorisation des produits des entreprises. La précédente réglementation obligeait la récupération des contenants de résidus de peinture, d’huiles, filtres à huile, les liquides de refroidissement et les antigels.
« Les taux de récupération des huiles et peintures dépassent 90 % », a rappelé M. Arcand.
Le nouveau règlement est donc élargi pour inclure les produits électroniques, les lampes au mercure, les piles rechargeables et non rechargeables. De nouveaux produits seront ajoutés au règlement tous les deux ans, dont les pneus en 2012. Ce faisant, le gouvernement veut étendre la responsabilité des entreprises à l’égard des produits qu’elles mettent en marché.
Les entreprises assumeront les frais liés à la récupération et la mise en valeur de ces produits. Il est encore trop tôt pour savoir combien d’entreprises seront touchées par la nouvelle mouture du règlement. Elles ont un an pour s’y conformer.
Environ 300 entreprises ont été touchées par les règlements portant sur les contenants de peinture (en 2001) et les huiles (en 2004).
Nuage Ciel d'Azur 