Les défauts


Effectivement, quand nous critiquons les autres c’est souvent quelque chose que nous n’aimons pas en nous …

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Les défauts


Photo : linternaute.com/© Klaus Zaya


Si nous n’avions point de défauts,
nous ne prendrions pas tant de plaisir à en remarquer dans les autres.


François duc de La Rochefoucauld

Le saviez-vous ► Pourquoi dit-on que mâcher un chewing gum après les repas limite les caries ?


La publicité qui prétend que telle gum permet de prévenir les caries … faut pas croire tout ce qu’on l’ont dit quoiqu’il y a une part de vérité sauf que …

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Pourquoi dit-on que mâcher un chewing gum après les repas limite les caries ?

Aussi étonnant que cela puisse paraître, le fait de mâcher un chewing-gum après le repas peut contribuer à limiter les caries !

Mais attention, le chewing-gum en question doit absolument être sans sucre !

De plus, le chewing-gum n’a aucun pouvoir contre les caries, c’est tout simplement le fait de mâcher, qui nous fait produire de la salive, salive qui contribue à éliminer les bactéries qui peuplent notre bouche, grâce aux antibiotiques naturels qu’elle contient !

Tous les sucres que nous absorbons se transforment en acide dans la bouche et forment à terme les caries, alors attention, chewing-gum après le repas, oui, mais sans sucre !

http://www.pourquois.com

Voyage au centre de la mer


Un petit voyage, vers l’onde qui vague après vague nous amène vers un monde étrange

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Voyage au centre de la mer

Dans la réserve Cousteau
dans la réserve cousteau
© Jacques Nadal

Le poisson "Bourse-écriture"
le poisson 'bourse-écriture'
© Jacques Nadal


Impressionnante raie manta
impressionnante raie manta
© Bernard Mattar

Une murène ponctuée
une murène ponctuée
© Sébastien Flouvat

Le poisson-lion
le poisson-lion
© Johann Surr

Petit bijou de Méditerranée
petit bijou de méditerranée
© Patrice Kahé

Poisson scorpion-diable
poisson scorpion-diable
© Pascal Fournet

Une tortue caouanne néo-calédonienne
une tortue caouanne néo-calédonienne
© Jean-Claude Lair

Poisson-faucon de Forster
poisson-faucon de forster
© Gilbert Quellier

Tête de rascasse
tête de rascasse
© Stéphane Roy

Apparition d’une flabelline
apparition d'une flabelline
© Stéphane Roy

Un poisson-coffre
un poisson-coffre
© Michel Welters

Poissons-soldats
poissons-soldats
© Michel Welters

http://www.linternaute.com

Une femme meurt à ses propres funérailles


C ‘est pas la première fois que cela arrive … mais c’est rare probablement que l’activité cardiaque n’était pas perceptible qui a induit en erreurs les médecins ..

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Une femme meurt à ses propres funérailles

Une femme meurt à ses propres funérailles
Crédit photo : Daily Mail

Une femme est morte à la suite d’un choc nerveux après avoir constaté qu’on célébrait ses propres funérailles selon ce que rapporte le Daily Mail.

Fagilyu Mukhametzyanov, 49 ans, avait pourtant été déclarée morte par les médecins. Elle a toutefois réellement trépassé après être ressuscitée lors de ses propres obsèques, à Kazan, en Russie.

Après son retour à la vie, lors de ses funérailles, elle a été ramenée à l’hôpital, où elle a rendu l’âme à nouveau.

« Ses yeux ont roulé sous les paupières, et elle est entrée d’urgence à l’hôpital. Elle est restée en vie seulement 12 minutes » a confié son mari, Fagili Mukhametzyanov.

Mukhametzyanov a l’intention de poursuivre l’hôpital et conduit une enquête sur les circonstances de l’incident.

Selon certains rapports, la dame serait décédée d’un problème cardiaque. Sa « première mort » serait aussi liée à un problème de coeur.

Ce n’est pas la première fois qu’une telle histoire se produit. Récemment un homme est apparu vivant lors de ses funérailles au Brésil. Au Paraguay, un bébé mort-né a repris connaissance lors de son service funèbre pour mourir à nouveau peu après.

http://tvanouvelles.ca

Étudiants armés jusqu’aux dents


Comment se fait-il que des enfants d’âge primaire porte une arme a l’école … comment des parents peuvent t’il soupçonner que leur petits passe par un genre de petit réseau pour se procurer une arme … et l’adolescence les amis sont plus important … c’est pas évident pour tous les parents d’avoir des contacts avec leur ado .. mais c’est certain qu’il faudra faire quelque chose au sein de la famille …

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Étudiants armés jusqu’aux dents

Écoles | Violence - Étudiants armés jusqu'aux dents
Agence QMI
Sarah-Maude Lefebvre

Carabines, haches, explosifs, poings américains. La liste des armes saisies dans les écoles primaires et secondaires par la Sûreté du Québec, au cours des quatre dernières années, donne froid dans le dos.

 

Une centaine d’armes sont confisquées chaque année par les policiers de la Sûreté du Québec (SQ), selon des données obtenues par le Journal, en vertu de la Loi sur l’accès à l’information.

Entre 2007 et 2010, après les couteaux et les pistolets à plomb, ce sont les carabines et les fusils qui ont été les armes le plus souvent saisies par les agents de la SQ dans les établissements primaires et secondaires.

Le fait que ces saisies aient été réalisées à l’extérieur des centres urbains, et exclusivement sur le territoire couvert par la SQ, étonne plusieurs observateurs du milieu de l’éducation.

La SQ inquiète


Pour ne pas « donner le mode d’emploi aux jeunes », la SQ se fait avare de commentaires quant à l’origine des armes confisquées dans les écoles.

Chose certaine, le corps policier s’avoue toutefois « préoccupé » par l’ampleur du phénomène.

« C’est préoccupant de constater que certains jeunes peuvent être armés dans nos écoles. C’est pourquoi on met beaucoup d’efforts dans la prévention en milieu scolaire », explique la porte-parole de la SQ, Martine Isabelle.

La responsabilité aux parents

« C’est inquiétant. La violence transforme notre société », s’est désolée la présidente de la Fédération des commissions scolaires du Québec, Josée Bouchard, lorsque jointe par le Journal.

« On ne peut quand même pas installer des détecteurs de métal à l’entrée de chaque école. Les parents doivent assumer leurs responsabilités. Ce n’est pas normal que des enfants du primaire aient accès à des armes », soutient-elle.

Du côté de la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), comme de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement (FQDE), on fait également appel à la vigilance des parents, tout en se disant « renversés » par l’importance du phénomène.

« Je n’arrive pas à croire que des enfants se présentent à l’école avec des armes. Il y a eu Dawson, Polytechnique… On a une conscience sociale à développer là-dessus, si on ne veut pas qu’un autre incident de la sorte survienne », affirme la présidente de la FQDE, Chantal Longpré.


« Une arme dans une école, c’est une arme de trop », renchérit le président de la CSQ, Réjean Parent.

De la parole aux actes

Même si un nombre élevé d’armes sont saisies dans les écoles, le nombre de jeunes qui passent à l’acte ou qui songent sérieusement à le faire est toutefois restreint, rassure Claire Beaumont, codirectrice de l’Observatoire canadien pour la prévention de la violence à l’école.

« Souvent, des enfants cachent une arme dans leur sac pour se donner de l’assurance ou se sentir en sécurité. Ils n’agiront pas nécessairement, mais le fait d’avoir une arme sur eux demeure risqué et dangereux. C’est pourquoi il faut agir », dit-elle.

Les adolescents, explique cette dernière, réussissent à se procurer des armes via leur réseau de connaissances… quand ils ne subtilisent pas carrément le fusil « familial ».

« J’en ai vu des jeunes en région qui apprennent à tirer du fusil à 10 ans, dans un champ », lance Mme Beaumont.

Les grands moyens

À l’École secondaire Jacques-Rousseau, à Longueuil, on a pris les grands moyens, il y a deux ans, pour éviter qu’un drame se produise et, surtout, pour mettre fin au climat de violence qui régnait entre les murs de l’institution.

« L’embauche d’un gardien de sécurité a fait une énorme différence. Il y a deux fois moins de chances maintenant qu’un élève ose entrer dans l’école avec une arme », confie la directrice Fabienne Longtin.

« On ne peut pas se fermer les yeux, insiste-t-elle. Il y a de la violence dans nos écoles et il faut réagir. »

«Plus personne n’a peur»

C’est à la suite d’une énième bagarre dans les couloirs de l’école que la direction de l’École secondaire Jacques-Rousseau a décidé d’embaucher un gardien de sécurité.

« Ça fait deux ans et tout le monde continue de penser que c’est LA solution. Contrairement à un surveillant ou à un prof, le gardien n’a pas de coeur, dans un sens. Il est là pour faire régner l’ordre », souligne la directrice, Fabienne Longtin.

Des résultats probants

Depuis, le nombre d’incidents violents a chuté. Le taux de dénonciations, lui, est monté en flèche. « Ça prouve que plus personne n’a peur de parler », se réjouit Mme Longtin.

Cette école de la Rive-Sud n’est pas la première à faire l’acquisition de caméras ou de gardiens de sécurité pour prévenir les actes à caractère violent. Quelques établissements de la région métropolitaine ont aussi renforcé leur niveau de sécurité, au cours des dernières années. Le service de police de Longueuil fait d’ailleurs présentement la tournée des écoles de la ville pour leur suggérer de renforcer leur code de vie en ce qui a trait aux armes.


http://fr.canoe.ca

Le nombre de diabétiques a doublé en trente ans


Il y a certains facteurs qui sont inévitables alors que d’autres si nous étions moindrement attentif sur notre santé nous pourrions éviter probablement le diabète ..

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Le nombre de diabétiques a doublé en trente ans

Diabète - Le nombre de diabétiques a doublé en trente ans
Le nombre de diabétiques dans le monde aurait doublé depuis trente ans, rapporte une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet .

Les chercheurs de l’Imperial College de Londres et de l’Université américaine de Harvard évaluent à 347 millions le nombre de personnes touchées par le diabète, contre 153 millions en 1980.


Ils estiment que cette hausse est due notamment au vieillissement de la population mondiale, à la croissance démographique, mais aussi à une augmentation du taux d’obésité.

Surtout, le diabète, jusqu’ici considéré comme une maladie propre aux pays riches, « se généralise partout dans le monde », souligne un des auteurs de l’étude, Majid Ezzati, chercheur à l’Imperial College.

Il estime en outre que le phénomène n’a pas encore atteint sa pleine ampleur puisque les jeunes générations, chez qui l’obésité est plus répandue que chez leurs aînés, n’ont pas encore atteint l’âge à laquelle le diabète généralement se manifeste.

Un impact important sur les systèmes de santé est à craindre, estime Majid Ezzati.

Le diabète, caractérisé par un taux anormal de sucre dans le sang, peut provoquer des maladies cardiaques, des infarctus ainsi qu’affecter notamment les reins, les nerfs et les yeux.

Il est responsable, chaque, année, de la mort de trois millions de personnes.


Les chercheurs ont notamment compilé les données de quelque 150 études et enquêtes pour arriver au nombre de 347 millions. La marge d’erreur est cependant importante, le nombre de diabétiques oscillant dans les faits entre 314 et 382 millions.

Les dernières projections disponibles avant cette enquête faisaient état, en 2010, de 285 millions de diabétiques dans le monde.

Radio-Canada.ca avec Associated Press et Reuters

http://actualites.ca.msn.com