Le défaut humain


C’est un peu comme faite ce que je dis mais pas ce que je fais … c’est tellement facile de faire de grands discours pour démontrer ce qui est mieux … mais quand c’est a nous de l’appliquer là c’est autre chose

Le défaut humain

chriscrap_el (24)

N’est-ce pas le défaut naturel à tous les hommes de se plaire naturellement à parler et à raisonner sur ce qu’ils entendent le moins.


Jonathan Swift

Peur de l’avenir


L’avenir ne peut pas être une réalité du présent et en avoir peur c’est de rester dans le passé … ce qui nous bloque, nous empêche de nous épanouir

Peur de l’avenir


Si vous avez peur de l’avenir, pas ou peu confiance en vous, c’est probablement parce que vous vous concentrez sur tout ce qui vous tire vers le bas.

Les choses sur lesquelles vous vous concentrez influencent toujours vos perceptions !

Pensez un instant à vos réussites, à vos succès aussi petits soient-ils. Vous verrez que cela change votre état d’esprit.


Michel Poulaert

Le saviez-vous ► expression : Le grand soir / C’est le grand soir


Encore une expression que nous empruntons à nos cousins français qui est a l’origine de la signification est très loin de ce que nous connaissons aujourd’hui

Le grand soir / C’est le grand soir

http://www.lepost.fr

De manière générale: désigne une soirée dont le déroulement sera un évènement particulier ou exceptionnel.

En particulier: désigne, pour les jeunes, le soir de leur premier passage à l’acte sexuel.

L’expression “c’est le grand soir” daterait de 1890 lorsque les conflits sociaux et l’économie étaient effroyables.

“Le grand soir” correspondait alors à l’aspiration du jour du triomphe de la révolution sociale par tous les ouvriers.


Cependant, ce jour là, ou plutôt ce soir, n’est, hélas, jamais arrivé réellement et beaucoup d’entre nous l’attendent encore avec toutes les promesses de renouveau social et économique qu’il représente.

Notons cependant que la lutte ouvrière obtint en partie gain de cause avec l’instauration d’un jour de revendication syndicale reconnu et international qui aura lieu le 1er mai 1890. Ainsi la manifestation française, d’un calme impressionnant, permettra la limitation à 10 heures de la journée de travail pour les femmes et les adolescentes, l’adoption d’une loi sur les accidents de travail, la suppression du livret ouvrier et la mise en place d’un projet de loi sur les retraites ouvrières.

 

De nos jours, le premier mai n’est plus un jour de grève puisqu’il est férié et payé mais, il reste symboliquement LE jour propice aux manifestations et aux revendications syndicales en faveurs des travailleurs. (en France)


Soulignons que le sens réel de la locution “c’est le grand soir” est largement oublié actuellement. En effet, beaucoup de jeunes utilisent cette expression pour signifier le jour où ils vont passer à l’acte sexuellement et de manière générale, “le grand soir” désigne une soirée très attendue pour un évènement particulier ou exceptionnel … eh oui, nous sommes bien loin des conflits sociaux et économiques des travailleurs de l’époque.

http://www.mon-expression.info

Graines germées: branchées, mais non dénuées de risque


Je fait moi-même de la germination et je suis bien déçu que l’épidémie de la Bactérie E. coli mortelle qui semble s’étendre jusqu’ici soit relier à la germination … car la source a bel et bien été identifié

Graines germées: branchées, mais non dénuées de risque

Graines germées: branchées, mais non dénuées de risque
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Agence France-Presse
Paris

Lentilles, luzerne, soja, trèfle rouge, blé, radis, fenouil grec… devenues très populaires ces dernières années, les graines germées, à l’origine de l’épidémie de diarrhées mortelles qui a fait 30 morts en Europe, sont aussi connues comme sources d’infections alimentaires.

Entre 1973 et 2005, le ministère canadien de la Santé a recensé «au moins 37 éclosions de maladies» liées aux graines et haricots germés dans le monde. Dans la plupart des cas, les maladies étaient causées par des bactéries Escherichia coli (E. coli) ou des salmonelles.

En 1996, au Japon, des graines de radis germées ont été incriminées dans la contamination de plusieurs milliers de personnes par la bactérie E. coli O157:H7.

Parmi les aliments impliqués dans des épidémies de E. coli entéro-hémorragique (ECEH), comme celle qui sévit en Allemagne, on retrouve la viande mal cuite et les produits laitiers au lait cru.

Mais les flambées épidémiques sont aussi «de plus en plus fréquemment associées à la consommation de fruits et légumes», souligne l’Organisation mondiale de la santé (OMS), citant salade, chou cru, crudités diverses et graines germées.

En effet, la plupart des graines germées ou jeunes pousses se consomment crues, ou peuvent être insuffisamment cuites (haricots mungo) pour que la bactérie soit détruite.


La contamination, due au contact avec des déjections de ruminants, peut se faire à un stade ou à un autre de la production, via fumure ou eau contaminée notamment.

Selon l’OMS, les enquêtes lors de précédentes épidémies ont montré que «les agents pathogènes trouvés dans les graines germées viennent très probablement des graines elles-mêmes», contaminées «dans les champs ou au cours de la récolte, de la conservation ou du transport».

«Pendant la germination, quand se forme la plantule, un petit nombre d’agents pathogènes présents à la surface des graines peuvent se développer rapidement et devenir suffisamment nombreux pour provoquer une maladie».

Les bactéries «peuvent rester dormantes sur les graines pendant des mois», selon Stephen Smith, un microbiologiste du Trinity College (Dublin) cité par la BBC, la population bactérienne pouvant être multipliée par 100.000 pendant la germination.

La germination s’effectue «hors sol», dans un local fermé, «avec de la chaleur et de l’eau, voire de la lumière si on veut de la couleur, notamment sur le poireau ou l’ail», a expliqué à l’AFP une productrice de graines germées bio.

Les graines germées sont prisées en restauration, où elles apportent une touche de décoration et de fraîcheur dans l’assiette.Elles sont aussi réputées pour leurs qualités nutritionnelles.

«Ce sont des sources de vitamines et minéraux, assimilables très rapidement, parce que c’est un produit en début de croissance», selon un distributeur.

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Barils récupérateurs d’eau de pluie: un choix doublement écolo


C’est ce que j’appelle une idée de génie … c’est du recyclage qu’on voit tout de suite sa nouvelle vie et qui en plus permet d’économiser l’eau potable surtout en période de sècheresse … Ma belle soeur avait ce genre de système pour arroser ses fleurs et cela fonctionne vraiment bien et franchement a 20 $ le baril ca vaut vraiment le coût

Barils récupérateurs d’eau de pluie: un choix doublement écolo

Les barils récupérateurs d'eau distribués dans l'est du... (Le Soleil, Laetitia DeConinck)
Les barils récupérateurs d’eau distribués dans l’est du Québec sont adaptés par le Vélo vert, une entreprise de réinsertion socioprofessionnelle située à Beauport.
Le Soleil, Laetitia DeConinck
Luc Fournier
Le Soleil

(Québec) Dès 8h samedi, 1000 barils récupérateurs d’eau de pluie seront ( ont été) distribués aux citoyens de la ville de Québec. Une façon d’économiser l’eau potable et de réutiliser ces barils qui seraient autrement jetés. Une mission sociale, même.


Ces barils récupérés de l’industrie alimentaire, par lesquels sont transportés olives, cerises et autres fruits et légumes, étaient autrefois jetés après usage. Depuis deux ans, l’organisme Jour de la Terre Québec – qui agit tous les jours de l’année – a distribué 12 750 barils qu’on aura préalablement adaptés à leur nouvelle fonction. Ils sont vendus 20 $.

À sa première année, «le projet a beaucoup fait parler de lui. Cette année, ça a explosé», explique Sarah Champagne, chargée de projet pour l’organisme.

Après en avoir livré 3750 en 2010, c’est plus de 9000 barils qui se trouveront une place dans les cours arrière, cette saison.
Des barils de 180 à 200 litres qui se montrent fort utiles pour constituer une réserve d’eau pour l’arrosage. On a beau prendre bien soin de son jardin, les plantes ne sont pas très fines bouches et s’accommodent très bien d’une eau non traitée. Une façon efficace, donc, d’économiser l’eau potable.
Son propriétaire peut ajouter un coude à sa gouttière pour y acheminer l’eau de pluie. L’eau sort ainsi du baril avec une pression assez importante pour pouvoir arroser une plate-bande avec des boyaux suintants.

Les récipients distribués dans l’est du Québec sont adaptés par le Vélo vert, une entreprise de réinsertion socioprofessionnelle située dans le secteur Beauport. Une équipe d’une vingtaine de personnes travaillait à pied d’oeuvre, encore hier, pour les transformer, en vue de la «grosse livraison» d’aujourd’hui. Elles y ajoutent un robinet dans la partie inférieure et une moustiquaire sur le dessus pour éviter la ponte des mouches et des moustiques. L’entreprise communautaire a déjà parcouru 8000 kilomètres pour livrer les quelque 7000 barils transformés à ce jour.


Du travail… écolo


«C’est un double levier», explique le directeur général du Vélo vert, Jean Robert. «On parle d’une intervention écologique, environnementale, au niveau des citoyens, mais aussi de l’aspect communautaire. Ça permet à des participants d’acquérir de l’expérience de travail et ça les aide à réintégrer le marché du travail.»

Il a pu tester le baril ces deux dernières années. Ça lui aura permis d’arroser même pendant la longue période de restriction d’arrosage, qui s’est étirée du 29 juillet au 9 septembre, l’an dernier à Québec. La plus longue période depuis 2002.

L’initiative de Jour de la Terre Québec est appuyée par le Fonds Éco IGA, qui octroie chaque année un demi-million de dollars au programme des barils récupérateurs d’eau de pluie et de composteurs, un autre volet de la mission de l’organisme.

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Expliquer les catastrophes naturelles aux enfants


J’ai de mes fils qui très jeunes s’inquiétait pour a peu près tout, ce fût de longue discussion pour faire sortir ses émotions répondre aux multiples questions … Je détestait qu’on mettent les nouvelles pour le souper …

Expliquer les catastrophes naturelles aux enfants

Catherine Crépeau, Coupdepouce.com

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Tremblement de terre, tsunami, carambolage: les images de catastrophes dans les médias peuvent provoquer cauchemars et anxiété chez nos enfants. Doit-on pour autant leur interdire les bulletins de nouvelles?

Les images d’accidents de la route, de guerres et de catastrophes naturelles diffusées à la télévision peuvent affecter profondément nos enfants. Surtout lorsqu’elles tournent en boucle sur les réseaux d’information continue.

«Tout dépend du facteur de vulnérabilité de l’enfant, mais ceux qui sont plus anxieux de nature ont plus de chance d’être affectés», explique la Dre Lila Amirali, chef du programme de soins pédopsychiatriques à l’Hôpital de Montréal pour enfants du Centre universitaire de santé McGill (CUSM).

Les images, mais aussi les réactions que celles-ci provoquent chez les adultes, peuvent ébranler les enfants; ces derniers pourront se sentir déprimés, inquiets, tristes, nerveux ou apeurés, en plus de faire des cauchemars.

«Certains vont même développer des rituels, comme de vérifier si les portes sont bien fermées, ou poser les mêmes questions à répétition», note la Dre Amirali. C’est un signe: nos petits ont besoin d’être rassurés.

Images-chocs dans les médias: une question d’âge?


Des études ont démontré que les enfants craignent davantage la violence présentée aux nouvelles que celle qui s’observe dans d’autres types d’émissions. La peur associée à cette violence aura aussi tendance à s’accentuer à mesure que l’enfant vieillit, puisqu’il est plus en mesure de distinguer la réalité de la fiction, indique le Réseau Éducation-Médias.

«Les enfants de moins de cinq ans sont plus affectés par des images fantastiques, avance Mathew Johnson, directeur de l’éducation pour l’organisme. Comme ils ne font pas la différence avec la réalité, ils vont être frappés par le spectaculaire. Passé l’âge de sept ans, les enfants savent distinguer la réalité de la fiction; ils sont donc plus troublés par des images réalistes.»

Catastrophes dans les médias: difficile d’y échapper

On peut penser que la solution consiste à interdire les bulletins de nouvelles aux enfants, mais ce n’est pas aussi simple. Il est en effet presque impossible de protéger nos enfants des nouvelles, surtout lorsqu’ils fréquentent la garderie ou l’école. Il faut plutôt miser sur la supervision.

Mathew Johnson suggère de regarder les informations télévisées avec son enfant et de répondre à ses questions afin de lui expliquer les évènements.

«Le meilleur traitement est l’exposition», confirme la Dre Amarili. La psychiatre suggère de montrer graduellement aux enfants des nouvelles qui peuvent avoir un impact sur eux. «On peut utiliser cette méthode pour accroître la résistance de l’enfant, à la condition de discuter avec lui et d’être à l’écoute pour bien cerner ses préoccupations», précise-t-elle.

Attention: on ne doit pas exposer son enfant à des images qui dépassent ses limites!

«Il est important d’avoir une idée de ce que notre enfant est capable de tolérer», insiste la spécialiste.

Images-chocs dans les médias: reconnaître les signes d’anxiété chez l’enfant

Les enfants de moins de cinq ans ne parlent pas autant de leurs émotions que leurs aînés. Ils vont souvent faire part de leurs sentiments en se parlant à eux-mêmes, en jouant, en chantant ou en dessinant. Il faut prendre le temps de les écouter, mais aussi de les observer. Les enfants plus âgés (de 7 à 11 ans environ) expriment davantage leurs peurs et montrent qu’ils sont conscients des possibles dangers. Des craintes réelles ou imaginaires, souvent sans rapport avec les évènements, peuvent aussi surgir.

Quelques réactions dues à l’anxiété chez les deux groupes d’âge:

•pleurs
•pipi au lit
(réapparition de ce comportement)
•besoin de sucer son pouce (réapparition de ce comportement)
•besoin d’être cajolé
•maux de ventre ou de tête
•difficulté à dormir et cauchemars
•troubles alimentaires
•regard éteint
•mauvaise humeur, colère, irritabilité
•peur du bruit ou de la noirceur
•refus d’aller seul dans sa chambre pour dormir
•peur d’être blessé ou séparé de ses parents
•crainte que des évènements semblables se produisent
•rivalité et chicanes entre frères et sœurs ou entre amis

Notre enfant démontre certains de ces signes? On redouble d’attention en parlant avec lui des émotions qui l’habitent et de ce qui l’a marqué récemment. Puis, on le rassure en tentant de lui expliquer les images qui l’ont troublé. Bien entendu, on évite de l’exposer à des scènes similaires à celles qui ont eu cet effet sur lui.


Catastrophes dans les médias: répondre aux questions des enfants

Les spécialistes s’entendent sur l’importance de répondre aux questions des enfants le plus honnêtement possible, sans toutefois s’engager dans de longues explications. Les jeunes enfants n’ont pas besoin de connaître les détails des évènements, mais de parler de leurs émotions.

«C’est important de leur expliquer ce qu’ils voient et de les aider à analyser la couverture médiatique, mais sans aller au-delà de leurs demandes, explique Mathew Johnson. On va plutôt mettre en perspective la menace réelle et les rassurer sur les risques qu’un tel évènement survienne ici.»

On peut aussi donner à l’enfant l’occasion de s’impliquer en faisant un don avec nous, en amassant des sous à l’école ou, pour les plus vieux, en faisant du bénévolat dans un organisme d’aide.

«Ainsi, l’enfant ne se sent pas impuissant et sait qu’il peut avoir un impact positif sur le monde», souligne Mathew Johnson.

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Grande Corvée en Montérégie La solidarité en images


L’entraide, la solidarité ne sont pas disparues .. et je pense que c’est important de le montrer … des gens venus de partout même en autobus dans le seul but de prêter main forte. Ce qui est aussi encourageant c’est de voir des jeunes gens, des adolescents, même des enfants assez vieux pour donner un coup de main … c’est tu pas extraordinaire ca … N’est-ce pas que cela donne le sourire … ?

Grande Corvée en Montérégie La solidarité en images

La solidarité en images

Crédit photo : Agence QMI

TVA Nouvelles

Les renforts sont arrivés samedi matin, en Montérégie, alors que débutait la Grande Corvée de nettoyage. L’hélicoptère TVA Nouvelles était sur place pour capter des images de l’opération d’envergure.


L’arrivée des premiers bénévoles, vers 8h. (Crédit photo: TVA Nouvelles)


Des bénévoles prêts pour la grande tâche. (Crédit photo: TVA Nouvelles)

Les bénévoles font la chaîne pour retirer les sacs de sable. (Crédit photo: TVA Nouvelles)

Plusieurs élus étaient de la partie. (Crédit photo: Agence QMI)


Plus de 2000 personnes sont venues prêter main-forte aux sinistrés. (Crédit photo: TVA Nouvelles)


Le premier ministre Jean Charest a reçu l’accolade de ces deux bénévoles, couverts de boue. (Crédit photo: TVA Nouvelles)


Jean-Luc Mongrain, les pieds dans l’eau, était présent pendant la Grande Corvée. (Crédit photo: TVA Nouvelles)


Un aperçu de quelques sacs de sable qui devaient être déplacés. Chargés d’eau, ces sacs sont encore plus lourds qu’ils n’en ont l’air. (Crédit photo: TVA Nouvelles)


Des représentants de tous les âges se sont déplacés pour mettre la main à la pâte. L’avenir de la solidarité semble assuré! (Crédit photo: Agence QMI)


Plusieurs habiletés ont été mises à profit au cours de la Grande Corvée. (Crédit photo: Agence QMI)


La journée semble s’être déroulée sous le signe de la bonne humeur. (Crédit photo: Agence QMI)

http://tvanouvelles.ca