Parole d’enfant ► Coucher de soleil‏


Alors le soleil a souvent de très, très beau pyjama

Coucher de soleil


Photo : artamedia.net

 

« Au bord de la mer pour admirer le coucher de soleil.
Lise


"Maman, pourquoi le ciel il est orange ?"

Maman "Parce que le soleil va se coucher"

Lise "Ah… il a mis son pyjama orange, alors"


Lise 3 ans

L’arc-en-ciel des émotions‏


Colorer ses émotions permet de voir notre intérieur pour harmoniser les tons une manière peut-être de mieux se comprendre et d’aller rechercher les bons côtés et de minimiser les mauvais …

L’arcenciel des émotions


Photo : go.pedago.free

Il était une fois une jeune fille qui n’osait jamais dire ses émotions.

À personne, et surtout, surtout pas à ceux qu’elle aimait !


Bien sûr, il n’est pas toujours facile de dire ses émotions car des fois cela déborde.

Il y a alors des pleurs, des sanglots ou des rires, des fous rires,
des sueurs, du chaud et du froid, bref, plein de choses qui se bousculent dans le corps.

Il y a aussi les réactions de l’entourage.. qu’elle imaginait:
Qu’est ce qu’ils vont penser de moi, qu’est ce qu’ils vont dire ?
Et puis un jour, pour oser parler de ses émotions,
il faut déjà les connaître.


Vous les connaissez, vous, vos émotions ?

Essayez déjà de m’en dire trois pour voir…
Bon, la question n’est pas là, puisque je raconte l’histoire de la jeune fille qui ne savait pas dire ses émotions.

Un jour qu’elle rêvait éveillée dans son lit, en regardant le ciel, à imaginer les bonheurs qu’elle pourrait avoir dans sa vie, elle vit au-dessus d’elle un magnifique arc-en-ciel.

Mais ce qu’il y avait d’étonnant dans cet arc-en-ciel,
c’est qu’il possédait une huitième couleur, la couleur noire.
C’est très rare un arc-en-ciel avec huit couleurs.
Et soudain, elle comprit.


Elle comprit tout, elle sut comme cela le nom des émotions qu’elle avait en elle.


Grâce aux couleurs de l’arc en ciel.
Elle devina que chaque couleur représentait une ou plusieurs émotions.

Chaque couleur devenait un mouvement de son coeur, une direction de ses énergies,un élan des sentiments, une vibration du ventre, ou du dos, un scintillement des yeux….


Le rouge par exemp
le, le rouge était la couleur de la passion, du baiser.

L’orange celle de l’abandon, de l’offrande, du don de soi.

Le jaune celle de la lumière, du jaillissement, du plaisir.
Oui, se laisser emporter, confiante, faible comme un sourire de printemps.

Et le vert ? Le vert c’était la couleur du ventre, du mouvement de la vie en elle.
De tout ce qu’elle sentait vrai, véritable en elle !

Le bleu, couleur de la tendresse, des caresses sans fin, de la douceur et aussi de l’espoir.


Le violet, lui, était une couleur plus inquiétante, fermée, sourde.
Il y a de la violence dans le violet, de la menace.
C’est important de savoir aussi reconnaître cela en soi.
Violence que l’on porte, violence que l’on provoque parfois..
violence qui arrive par des chemins imprévisibles.

Le noir. Ah ! Cette couleur noire, là, présente dans l’arc-en-ciel. Couleur de la peur, du diable, du diablotin qu’il y avait parfois en elle.

Et puis la couleur blanche, couleur du désir.
Du désir infini, multiple, qui renaissait en elle, parfois timide,
d’autres fois plus direct, plus osant !


Cette couleur-là est précieuse, indispensable,
sans elle les autres couleurs n’existeraient pas.
Le blanc est une couleur lumière, qui capte toutes les autres et leur donne plus d’existence.

À partir de ce jour-là, la jeune fille, ah ! j’oublié de vous dire son nom :

Yanou, sut parler de ses émotions, car il lui suffisait d’en rechercher la couleur.


Elle regardait le ciel, imaginait un arc-en-ciel et cherchait la couleur de l’émotion qui l’habitait.

Bien des années plus tard, elle fut très étonnée d’entendre sa fille lui dire :

Tu sais, Maman, je suis un arc-en-ciel d’émotions,
je les ai toutes quand je danse.
J’adore danser.

La danse, c’est le chant des émotions…
Des fois, j’éclate quand toutes mes couleurs,
je veux dire mes émotions, se mettent à vivre ensemble..
oh ! là là .

Je vais éclater un jour. !


Je ne sais pas si la fille de Yanou éclatera comme elle le craint,
ce que je sais, c’est que sa mère avait fait une grande découverte en associant ses émotions aux couleurs de l’arc-en-ciel.


Auteur: Jacques Salomé

Les rayons solaires peuvent aussi causer des «coups de soleil» aux yeux


Nos yeux sont important et en vieillissant ils sont moins performant c’est normal mais nous pouvons quand même atténuer les problèmes en les protégeant comme par exemple le soleil

Les rayons solaires peuvent aussi causer des «coups de soleil» aux yeux

Les rayons solaires peuvent aussi causer des «coups de soleil» aux yeux
Tout comme pour la peau, les rayons solaires peuvent entraîner des « coups de soleil » – ou brûlures – à la surface de l’oeil; d’où l’importance de porter des lunettes de soleil et un chapeau à large bord pour protéger ses yeux.

« L’exposition au soleil est plus dangereuse entre 10 h et 14 h, parce que le soleil est plus haut et l’efficacité des rayonnements est plus grande. Il faut alors protéger sa peau, ses yeux et aussi ses paupières contre ces rayons ultraviolets », explique Claude Giasson, optométriste et professeur titulaire à l’école d’optométrie de l’Université de Montréal.

« Cet effet aigu de l’exposition aux rayons ultraviolets – qu’on appelle aussi la kératite ultraviolette ou l’ophtalmie dite des neiges – est une inflammation de la cornée. Ces brûlures sont douloureuses et temporaires », soutient le spécialiste.

Des risques parfois permanents

Une exposition prolongée au soleil sans protection adéquate peut endommager la vue de façon permanente. En effet, l’accumulation des dommages après des expositions répétées peut entraîner des maladies oculaires chroniques. Les rayons du soleil affectent la surface de l’oeil, mais aussi sa structure interne, notamment le cristallin et la rétine.

« Même s’il faut rester prudent avec les conclusions des études épidémiologiques, ces dernières semblent démontrer qu’il y a une augmentation de l’incidence de la cataracte et des effets possibles sur le cristallin dû à l’exposition aux rayons du soleil », explique Claude Giasson.

Les rayons ultraviolets figurent aussi parmi les facteurs de risque de la dégénérescence maculaire liée à l’âge et du mélanome oculaire (une forme de cancer de la peau qui apparaît sur le blanc de l’oeil), ajoute-t-il.

Les lunettes de soleil

Une personne qui travaille à l’extérieur ou qui s’expose longtemps au soleil est donc plus à risque d’endommager sa vue, sans protection adéquate. C’est le cas aussi pour les gens qui vivent en altitude ou qui prennent des médicaments photosynthétiseurs.

Claude Giasson leur suggère de prendre l’habitude de porter un chapeau ou une casquette à large bord et des lunettes de soleil homologuées qui filtrent les rayons UVA – si possible à près de 90 % ou plus – et les UVB à près de 99 %.

« Le choix de lentilles polarisantes qui réduisent l’éblouissement dû à la réflexion de la neige et de l’eau est approprié pour la conduite automobile et les activités de plein air, notamment pour les amateurs de sports nautiques et de ski alpin », ajoute-t-il.

Carole Boulé – PasseportSanté.net
http://www.passeportsante.net

Décès de Trouble, la chienne millionnaire


J’aime les animaux, mais je ne passerais jamais mes chats avant mes propres enfants. Imaginez 100 milles dollars US par an pour un chien Je trouve que c’est vraiment exagéré imaginez comment cela pourrait aider les refuges pour animaux …avec ce montant sans pour autant enlever une qualité de vie a un chien ou encore nourris les sans abris .. en tout cas, disons que je n’ai pas les même priorité que cette dame

Décès de Trouble, la chienne millionnaire

La petite chienne Trouble avait hérité de 12 millions $ en 2007 de sa maîtresse milliardaire, la reine de l'immobilier Leona Helmsley.
La petite chienne Trouble avait hérité de 12 millions $ en 2007 de sa maîtresse milliardaire, la reine de l’immobilier Leona Helmsley.
Photo: AP
Agence France-Presse
New York

Trouble, la petite chienne à qui sa maîtresse milliardaire, la New Yorkaise Leona Helmsley, avait légué 12 millions $ en 2007, est morte à l’âge de 12 ans, a annoncé jeudi l’organisation caritative Helmsley.

«Trouble est décédée le 13 décembre 2010 à l’âge de 12 ans, elle a été incinérée et ses restes sont conservés en privé», précise l’organisation dans un communiqué, confirmant une information exclusive publiée jeudi par le New York Daily News.

Le reste de la fortune de l’animal «a été remis à l’organisation caritative Leona et Harry Helmsley», poursuit le communiqué.

À son décès à 87 ans le 20 août 2007, la reine de l’immobilier Leona Helmsley, surnommée «la reine des radins», avait fait les délices des tabloïds new-yorkais en déshéritant deux de ses petits-fils et en laissant 12 millions $ à son bichon maltais blanc, prénommée Trouble, «ennuis» en français.


Un juge avait décidé quelques mois après qu’un chien ne pouvait pas avoir autant d’argent, et avait retiré 10 millions $ à l’animal, distribués entre les deux petits-enfants déshérités, Meegan et Craig Panzirer, et l’organisation caritative Helmsley.

Les lois de l’État de New York interdisent que des animaux soient inhumés dans des cimetières, et il avait déjà été établi que Trouble ne pourrait pas reposer dans le mausolée que Leona Helmsley avait fait construire pour 1,4 million $ pour son troisième mari Harry Helmsley, mort en 1997, pour elle et pour le bichon maltais.


La chienne, qui avait reçu des menaces de mort et avait été emmenée en Floride en avion privé en décembre 2007, conservait environ 2 millions $ sur son compte, et coûtait environ 100 000 $ par an en entretien. Les bichons maltais vivent en moyenne 14 ans.

Dans son testament, Leona Helmsley avait laissé des consignes très précises de soins pour la chienne, qui, du vivant de sa maîtresse, était nourrie de poulet, carottes, épinards et poisson frais, préparés par un chef et servis dans des plats en argent ou en porcelaine.

http://www.cyberpresse.ca

Les vertus insoupçonnées de la terre


Surprenant, mais je ne suis pas sur que je serais une adepte de manger de la terre ..


Les vertus insoupçonnées de la terre

Étude - Les vertus insoupçonnées de la terre

© Denis and Yulia Pogostins/shutterstock

La consommation de terre pourrait constituer le moyen le plus naturel de protéger l’estomac contre toxines, parasites et autres agents pathogènes, d’après une étude publiée dans le numéro de juin de la revue The Quarterly Review of Biology, par Sera Young et son équipe de chercheurs américains.

 

Après avoir épluché 480 études réalisées par des missionnaires, des médecins, des explorateurs et des anthropologues aux quatre coins du monde, les chercheurs américains de l’université de Cornell sont parvenus à la conclusion que la géophagie chez les humains – l’action de manger de la terre – serait liée à une croyance selon laquelle la terre et l’argile absorbent les toxines dangereuses et protègent des agents infectieux.

Après avoir envisagé plusieurs théories expliquant ce comportement – faim, pénuries alimentaires ou recherche des nutriments contenus dans la terre – les chercheurs ont découvert que la protection contre les toxines et les agents pathogènes constituait un facteur récurrent.

Un phénomène courant

Cela peut sembler contre-intuitif, mais les cas de géophagie touchent surtout les femmes en début de grossesse et les pré-adolescents. Dans certaines parties de l’Afrique, dans certaines régions rurales des États-Unis et dans des villages reculés de l’Inde, par exemple, l’argile – capable de protéger les parois du système digestif et d’absorber les toxines dangereuses – constitue un remède contre les nausées.

La consommation d’argile est également courante chez les personnes souffrant de problèmes gastriques,

souligne l’étude.

Comme la terre est prélevée en profondeur, puis bouillie avant d’être consommée, elle permet d’agir comme antidote contre les parasites, précisent les chercheurs.

Dans les sociétés occidentales, pourtant, la consommation de terre – élément généralement perçu comme impur et contaminé – est un comportement considéré comme anormal et pathologique. C’est une idée reçue que Sera Young espère combattre.

Trouble alimentaire?

La géophagie a également été associée au pica, trouble du comportement alimentaire caractérisé par un appétit anormal pour des choses non-comestibles.

«Nous espérons que cette étude stimulera la recherche, mais surtout que nos lecteurs verront qu’il ne faut plus considérer la géophagie comme une habitude étrange relevant d’un comportement pathologique»,

concluent Sera Young et son équipe.

En Haïti, pays plus pauvre de l’hémisphère ouest, on trouve encore des «bonbons de terre», séchés au soleil.

L’étude souligne que les premiers cas de géophagie humaine ont été signalés par Hippocrate, il y a plus de 2000 ans et qu’on en a relevé depuis sur tous les continents habités. Une autre étude, publiée en Australie l’année dernière, suggérait que la consommation ou l’inhalation de terre dans les cours de récréation rendrait les enfants plus intelligents.

Une autre équipe de chercheurs avait fait ingérer à des souris une bactérie présente dans la terre. Les rongeurs étaient capables de trouver la sortie d’un labyrinthe complexe deux fois plus vite qu’un groupe de souris ordinaire. Il va sans dire que cette découverte va à l’encontre des idées prévalentes dans nos sociétés aseptisées.

http://fr.canoe.ca