J‘avoue que je suis choqué, je crois qu’ils font fausse route … c’est vrai que je le prend personnelle cet article car je n’ai jamais été voir un vétérinaire pour mes 3 chats .. et ce n’est pas parce que je ne veux pas … mais je ne peux pas … Il y a deux mes chats ne pas les avoir pris auraient été probablement euthanasié surtout Fripouille qui est anti-sociale avec les personnes ..et peut aller jusqu’a mordre. Ah en passant, je n’achète pas de loterie .. , mais j’achète de la bouffe et du sable a litière a mes chats … c’est que je suis invité Franchement !!! Il y a bien des gens qui n’ont pas les moyens d’aller voir le vétérinaire .. doit-ils s’empêcher d’avoir un animal domestique …

Le Québec, une province distincte en matière de dépenses animales
© Shutterstock
En plus d’être en tête du «palmarès» nord-américain pour le nombre d’abandons d’animaux domestiques, les Québécois dépensent aussi moins d’argent pour leur animal domestique, comparativement à l’ensemble des Canadiens.
Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire
En effet, c’est ce qui ressort d’un récent communiqué de presse de l’AMVQ, l’Association des médecins vétérinaires du Québec
www.amvq.qc.ca dont les propos sont fondés sur les analyses de Statistique Canada pour l’année budgétaire 2009.
Dépenses annuelles pour les animaux
En 2009, selon Statistique Canada, les Québécois ont consacré et dépensé un budget annuel représentant 270 $ par foyer pour leurs animaux domestiques tandis que le même budget moyen canadien était de 420 $, soit quand même 36 % de plus que chez nous ! En somme, au Québec, nous dépensons passablement moins d’argent pour nos animaux domestiques que dans le reste du pays.
Sans vouloir n’offenser personne, serions- nous un peu cheap ? Si on regarde le tableau tiré de Statistique Canada sur les dépenses annuelles par foyer pour les animaux de compagnie, on voit que cette tendance se maintient d’année en année.
Effet de la crise économique?
Chaque année, on assiste à une augmentation des coûts de la vie. Les frais augmentent partout, dans tous les secteurs. Il en va de même pour les frais de base pour le maintien d’animaux de compagnie dans nos foyers.
Ce qui est étonnant ici, c’est justement de voir un ralentissement de la progression des dépenses reliées aux animaux de compagnie au Québec depuis 2008. Au Canada, cette diminution est apparente seulement depuis 2009. Serait- ce un impact direct de la crise économique ? Il y a fort à parier!
Une certaine inquiétude…
Selon l’AMVQ, quand ces dépenses annuelles sont réparties uniquement sur les foyers possédant véritablement un animal, on constate alors que le budget annuel consacré aux animaux de compagnie au Québec est de 580$ par foyer, alors qu’il est de 865$ par foyer canadien.
Or, selon l’AMVQ, un budget annuel de 580 $ serait nettement insuffisant pour prendre soin convenablement d’un animal. En effet, de façon générale, on peut effectivement émettre certaines réserves quant à la capacité des foyers québécois de pouvoir s’occuper convenablement de la santé et du bien-être de leur animal domestique, faute de budget. Ici, c’est une réalité que les vétérinaires connaissent bien…
Presque autant que pour Loto-Québec
Ce qui me frappe, c’est le budget annuel consacré aux jeux de hasard dans chaque foyer québécois pour les mêmes années. Le budget alloué est sensiblement le même que pour celui des animaux. Je suis convaincue que cette dépense rapporte beaucoup moins de petits bonheurs quotidiens que l’autre! Comment est consacré ce budget? Selon Statistique Canada, en 2009, les foyers canadiens et québécois ont dépensé plus de 5,64 milliards et 918 millions de dollars, respectivement, pour leurs animaux. Mais comment se répartit ce budget?
La «tarte» se divise principalement en trois morceaux. La plus grosse partie, soit 60% du budget, est investie dans l’alimentation animale. Puis, 28% du budget est consacré aux accessoires pour animaux. Finalement, 12% du budget annuel est consacré aux soins vétérinaires
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