La meilleure des sciences


Si une chose qui est importante dans notre vie est bien de laisser en héritage nos meilleurs actions, pour redonner a notre entourage, le gout du beau et du bon


La meilleure des sciences


Photo : natureimages.net

«De toutes les sciences que l’homme peut et doit savoir, la principale, c’est la science de vivre de manière à faire le moins de mal et le plus de bien possible.

Léon Tolstoï

Je suis pas mal capable pour mon age !


Plus on vieillit plus on s’aperçoit que notre jeunesse nous a couler entre les doigts sans qu’on s’aperçoive. Notre corps change, les douleurs des petits et gros bobos augmentent mais nous pouvons quand même voir la vie du bon coté et s’acquérir quelques brins de folie


Je suis pas mal capable pour mon âge !


Photo : img.wikio-experts.com

Il n’y a rien qui cloche chez moi:
Je suis aussi en santé que qui que ce soit.
J’ai de l’arthrite aux deux genoux
Et je parle toujours avec une petite toux;
Mon sang est faible et mon pouls volage.
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !


Mon foie fonctionne de façon pénible
Et j’ai un mal de reins terrible.
J’entends mal, ma vue a baissé.
Tout le système semble désaccordé.
Mon médecin me dit que la fin approche
Car à chaque jour quelque chose de plus décroche.
La manière dont je zigzague en marchant,
Je vais me ramasser par terre avant longtemps.
Je saute et je sursaute au moindre remue-ménage.
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !


Canne ou bras charitable, il me faut pour avancer,
Je ne saurais autrement la rue traverser.
Mes articulations sont crochues et raides,
La tremblotte m’oblige à demander de l’aide,
Nuit après nuit, c’est l’insomnie,
Et le matin j’ai l’air d’un mort-en-vie.
Je radote, j’ai des étourdissements,
Je ne vis que de médicaments, pilules ou drogue.
Mais je suis encore pas mal capable pour mon âge !


La morale de cette histoire d’infirmité
Est que, pour vous et moi en route pour l’éternité.


Il est préférable de dire un:
"Je suis encore pas mal capable" bien sage !
C’est ce qui nous fera le mieux vivre à "notre âge " !


auteur inconnu.

Le Québec, une province distincte en matière de depenses animales


J‘avoue que je suis choqué, je crois qu’ils font fausse route … c’est vrai que je le prend personnelle cet article car je n’ai jamais été voir un vétérinaire pour mes 3 chats .. et ce n’est pas parce que je ne veux pas … mais je ne peux pas … Il y a deux mes chats ne pas les avoir pris auraient été probablement euthanasié surtout Fripouille qui est anti-sociale avec les personnes ..et peut aller jusqu’a mordre. Ah en passant, je n’achète pas de loterie .. , mais j’achète de la bouffe et du sable a litière a mes chats … c’est que je suis invité Franchement !!! Il y a bien des gens qui n’ont pas les moyens d’aller voir le vétérinaire .. doit-ils s’empêcher d’avoir un animal domestique …

Le Québec, une province distincte en matière de dépenses animales

Le Québec, une province distincte en matière de dépenses animales

© Shutterstock


En plus d’être en tête du «palmarès» nord-américain pour le nombre d’abandons d’animaux domestiques, les Québécois dépensent aussi moins d’argent pour leur animal domestique, comparativement à l’ensemble des Canadiens.

Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire

En effet, c’est ce qui ressort d’un récent communiqué de presse de l’AMVQ, l’Association des médecins vétérinaires du Québec

www.amvq.qc.ca dont les propos sont fondés sur les analyses de Statistique Canada pour l’année budgétaire 2009.

Dépenses annuelles pour les animaux

 

En 2009, selon Statistique Canada, les Québécois ont consacré et dépensé un budget annuel représentant 270 $ par foyer pour leurs animaux domestiques tandis que le même budget moyen canadien était de 420 $, soit quand même 36 % de plus que chez nous ! En somme, au Québec, nous dépensons passablement moins d’argent pour nos animaux domestiques que dans le reste du pays.

Sans vouloir n’offenser personne, serions- nous un peu cheap ? Si on regarde le tableau tiré de Statistique Canada sur les dépenses annuelles par foyer pour les animaux de compagnie, on voit que cette tendance se maintient d’année en année.

Effet de la crise économique?

 

Chaque année, on assiste à une augmentation des coûts de la vie. Les frais augmentent partout, dans tous les secteurs. Il en va de même pour les frais de base pour le maintien d’animaux de compagnie dans nos foyers.

Ce qui est étonnant ici, c’est justement de voir un ralentissement de la progression des dépenses reliées aux animaux de compagnie au Québec depuis 2008. Au Canada, cette diminution est apparente seulement depuis 2009. Serait- ce un impact direct de la crise économique ? Il y a fort à parier!

Une certaine inquiétude…

Selon l’AMVQ, quand ces dépenses annuelles sont réparties uniquement sur les foyers possédant véritablement un animal, on constate alors que le budget annuel consacré aux animaux de compagnie au Québec est de 580$ par foyer, alors qu’il est de 865$ par foyer canadien.

 

Or, selon l’AMVQ, un budget annuel de 580 $ serait nettement insuffisant pour prendre soin convenablement d’un animal. En effet, de façon générale, on peut effectivement émettre certaines réserves quant à la capacité des foyers québécois de pouvoir s’occuper convenablement de la santé et du bien-être de leur animal domestique, faute de budget. Ici, c’est une réalité que les vétérinaires connaissent bien…

Presque autant que pour Loto-Québec


Ce qui me frappe, c’est le budget annuel consacré aux jeux de hasard dans chaque foyer québécois pour les mêmes années. Le budget alloué est sensiblement le même que pour celui des animaux. Je suis convaincue que cette dépense rapporte beaucoup moins de petits bonheurs quotidiens que l’autre! Comment est consacré ce budget? Selon Statistique Canada, en 2009, les foyers canadiens et québécois ont dépensé plus de 5,64 milliards et 918 millions de dollars, respectivement, pour leurs animaux. Mais comment se répartit ce budget?

La «tarte» se divise principalement en trois morceaux. La plus grosse partie, soit 60% du budget, est investie dans l’alimentation animale. Puis, 28% du budget est consacré aux accessoires pour animaux. Finalement, 12% du budget annuel est consacré aux soins vétérinaires

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Le parcours inspirant d’une non-voyante


Une très belle leçon de vie et je sais qu’en Abitibi en tout cas c’est possible de faire ses études même en étant non-voyant, D’ailleurs quand j’allais au CEGEP à Rouyn-Noranda, je côtoyais une jeune fille non-voyante qui faisait ses études comme tout le monde armée de magnétophone … Aujourd’hui, avec la nouvelle technologie, il est plus facile pour une personne comme Mylène de réussir

Le parcours inspirant d’une non-voyante

Témoignage - Le parcours inspirant d’une non-voyante
Avec des notes de 75 % à 85 % au primaire et au secondaire, Mylène étonne.
© Guy Lacroix/Agence QMI

VAL D’OR – Non-voyante depuis l’âge de deux ans, Mylène Sigouin, originaire d’Amos, a pu malgré tout faire tout son cheminement scolaire primaire et secondaire au régulier. C’est l’aventure du cégep qui l’attend cet automne

Enjouée, rieuse et franchement charmante, Mylène a été frappée par un cancer des yeux dès un jeune âge.


Aujourd’hui, elle est considérée comme non-voyante même si elle dit voir quelques couleurs et des ombres, rien de plus. C’est en braille qu’elle a fait toutes ses études et qu’elle continuera de le faire au cours des prochaines années.

Même si le parcours de Mylène dans la voie régulière a de quoi étonner, Chantal Patry, enseignante spécialisée qui suit l’adolescente de 17 ans depuis la maternelle, estime que tout est en place pour y arriver.

« D’emblée, on les intègre le plus possible au régulier, explique- t-elle. Ici on est chanceux, car la Commission scolaire Harricana est très ouverte à ceux qui ont des cheminements particuliers. »


Particuliers ? Pas tant que ça. Avec des notes entre 80 % et 90 % au primaire et entre 75 % et 80 % au secondaire, Mylène a toujours démontré des résultats que plusieurs pourraient lui envier.

Elle a aussi une vie bien remplie.

« Je n’ai jamais senti de différence de la part des autres. De toute façon dans ma tête je suis normale. Je suis normale tout court », lance dans un éclat de rire celle qui dit aimer par-dessus tout être entourée de ses amis.


Le succès de Mylène Sigouin n’est en effet pas que scolaire, selon Chantal Patry.

« Elle a une très belle personnalité, forte et très sociable. Même si elle ne les connaît pas, elle va vers les gens. Ça l’a beaucoup aidée à avoir un grand réseau d’amis. »


Une autre étape

L’année à venir sera chargée pour la jeune femme qui se dirige maintenant vers le cégep d’Amos pour y faire ses sciences humaines avec le but de se rendre jusqu’à l’université en travail social. Il faudra qu’elle apprenne par coeur la disposition des nouveaux locaux pour pouvoir s’y déplacer, mais ça ne l’effraie pas.

« Je ne considère pas ce que je fais comme un exploit. Je trouve ça juste normal. C’est ma vie et j’aime la vie. Curieusement, on dirait que je suis moins stressée par ça que quand je suis arrivée à la polyvalente. »


En vélo chez les Bleuets

Mylène se prépare à vivre une autre belle expérience : elle participera à la fin juin à un tour du lac Saint-Jean à vélo en tandem, une activité organisée par l’école pour personnes avec handicaps visuels Jacques-Ouellet de Longueuil, avec laquelle la Commission scolaire Harricana fait affaire à l’occasion pour des besoins d’expertise.

Une place était disponible et lorsqu’on l’a approchée pour participer, Mylène n’a pas hésité à embarquer. L’entraîneur cycliste Rémi Lessard, du club d’Amos, s’est porté volontaire pour lui donner un coup de main dans sa préparation et sera son pilote lors de l’évènement.

Passionnée de chant, de musique et d’amitiés, désireuse d’avoir son chien-guide d’ici un an ou deux, Mylène Sigouin fonce et mord dans la vie avec une joie qui fait plaisir à voir et qui inspire.

Ses objectifs de vie sont simples.

« J’aimerais avoir ma maison, mon travail et ma famille. Une vie toute simple et normale, quoi. »

http://fr.canoe.ca

Rayons UV- Mythes et realites


Le soleil, étant d’un pays ou l’hiver fait roi, le soleil de la belle saison nous manque et nous aimons aller dehors profiter de sa chaleur .. mais depuis longtemps on nous avise de l’importance de se protéger contre les rayons UV. Beaucoup ont leur propre idée la-dessus des fois fausses, des fois vraies alors voici quelques points remettre nos connaissances à jour.

Rayons UV- Mythes et réalités

Rayons UV- Mythes et réalités
L’exposition aux rayons ultraviolets est la principale cause de cancer de la peau. A chaque exposition, les rayons altèrent les cellules de la peau, qui disposent de mécanismes de réparation des dommages subis.
Photos.com
Angélique Martel
La Presse

Des mythes déboulonnés sur les rayons UV et la crème solaire.

Les rayons solaires nous permettent de faire le plein de vitamine


VRAI À lui seul, le soleil est un puissant antidépresseur qui favorise l’oxygénation cellulaire, fouette la circulation sanguine et réduit le stress. À son contact, le corps fait donc le plein de vitamine D, entre autres essentielle au maintien d’une bonne ossature. Mais ça ne signifie pas, pour autant, qu’on doive s’exposer à outrance. Selon les experts, de 5 à 10 minutes de bain de soleil quotidien, six mois l’an, suffisent à nous fournir notre juste dose vitaminique.

On devrait se protéger du soleil dès qu’on met le pied dehors

FAUX Pour être pleinement effective, la protection UV gagne à être appliquée sur la peau au moins 15 à 30 minutes avant l’exposition solaire. On renouvelle ensuite la dose, 15 à 30 minutes après le début de l’exposition, puis toutes les deux heures subséquentes, quand on pratique une activité extérieure continue.

Plus le FPS d’un écran solaire est élevé, plus il nous protège à long terme.

FAUX Le FPS nous prémunit contre les UVB (ceux qui provoquent des brûlures et des cancers), mais pas contre les UVA (ceux qui accélèrent le vieillissement et entraînent allergies ou tumeurs). Les dermatologues nous prient donc de l’utiliser plutôt à titre indicatif: ainsi, les FPS 15 à 30 conviennent aux peaux mates, basanées ou foncées, de pigmentation brune ou noire; les FPS 30 à 45 sont l’apanage des blonds et châtains de teint moyen; et les FPS 60 et plus sont l’affaire des roux et blonds à peau claire.

Pour être blindé, il faut se crémer souvent et en quantité.

VRAI Pas moins d’une cuiller à thé de crème solaire est nécessaire pour blinder individuellement le visage, les jambes, le torse et le dos. Quant au cou et aux bras, une demi-cuiller à thé leur suffit. De façon plus imagée, il faut l’équivalent d’une balle de golf d’écran solaire pour mettre à l’abri un corps adulte.

Les dommages induits par les UV sont instantanés.

FAUX S’ils hâlent à peu près illico notre peau, les rayons du soleil sont sournois. Surtout les UVA, qui dégradent peu à peu les fibres de collagène et d’élastine, et peuvent entraîner des cancers dans un délai aussi étendu que 30 ans après l’exposition solaire.

Examiner ses grains de beauté


Chaque année, au pays, plus de 75 000 diagnostics de cancer de peau sont posés. C’est donc un Canadien sur sept qui souffrira de la maladie au cours de sa vie. Pour faire front devant l’ennemi, il faut se couvrir: d’écran UV, bien sûr, mais aussi de verres fumés, de chapeaux et de vêtements filtrants. Et pour limiter les dégâts, il faut réagir avant qu’il ne soit trop tard. Si on remarque sur notre corps un grain de beauté asymétrique, à la bordure irrégulière, de couleur foncée, de large diamètre et d’aspect douteux, mieux vaut consulter un dermatologue sans tarder.


Info: www.dermatology.ca
http://www.cyberpresse.ca