L’existence


Même si nous voudrions que la vie passe plus vite ou plus lentement, cela est impossible c’est un jour à la fois


L’existence

paquerettes du printemps, floraison printanière
photosmoz.com

Comme quelqu’un me l’a fait remarquer une fois, l’existence, il vaut toujours mieux la mener au jour le jour. De toute façon, elle ne se présente jamais autrement.


Lawrence Block

Je n’aurais pas dû


On pense souvent après coup certains gestes que nous avons fait que nous regrettons. Alors nous mettons dans un état négatif qui n’aide en rien pour avancer … C’est encore une question d’attitude face aux évènements qui nous fait progresser ou reculer

Je n’aurais pas dû


Photo : cr85.fond-ecran-image.com

Certaines phrases comme "Je n’aurais pas dû", "Je ne fais pas ce qu’il faut" génèrent des émotions négatives et vous bloquent.

Reformulez vos pensées et mettez au clair votre véritable désir.

Une "mauvaise" conscience est une occasion de mieux vous connaître et mieux avancer !

Faites-en votre avantage.

Les regrets seuls ne font rien avancer.


Michel Poulaert

Le saviez-vous ►L’expression : Ouvrir le bal‏


Qui va ouvrir le bal ? C’est une expression bien connu autant lors des soirées ou l’on danse que de commencer quelque chose


Ouvrir le bal


Photo : journaldesfemmes.com

Etre la 1ère personne à commencer quelque chose

origine : France
type :
Expression


Les règles protocolaire d’un bal veulent que lors d’une cérémonie, ce soit l’invité de marque qui inaugure la 1ère danse avec son hôte (ou son hôtesse). De même la tradition voudrait que ce soit le père de la mariée avec sa fille et la mère du marié avec son fils qui s’essaient d’abord sur la piste de danse au cours de la fête de mariage avant que les autres invités les rejoignent.

Ouvrir le bal peut de ce fait être considéré comme un honneur (un acte qui met en valeur, sort du lot)
mais comporte sa part d’aléas lorsque l’on se risque à tester le parquet glissant d’une piste de bal, ou tant d’autres choses…

http://www.francparler.com

Votre oiseau est-il au bord du gouffre?


L’article me fait penser au titre et non au film … «Les oiseaux se cachent pour mourir» et on dirait que c’est bien vrai si on se fient à leur attitude a cacher leur symptômes quand ils sont malade

 

Votre oiseau est-il au bord du gouffre?

 

Votre oiseau est-il au bord du gouffre?

© Shutterstock

Nous voilà devant un grand classique des urgences vétérinaires: quand le propriétaire s’aperçoit que son oiseau est malade, il est parfois, je dirais même souvent, déjà trop tard.

Par Annie Ross – Docteure en médecine vétérinaire

 

Pendant mes études, j’ai eu une perruche ondulée tout à fait craquante. Un soir, je suis rentrée à la maison et je l’ai trouvé morte au fond de sa cage… Comme ça, sans avertissement, sans signe avant-coureur d’une maladie quelconque. Ou bien, serait-il possible que je n’aie pas été suffisamment vigilante et à l’écoute?
Et qu’en est-il de l’histoire de Nathalie?
Elle avait un petit serin nommé Charlot qu’elle adorait. Un matin, elle a trouvé Charlot dans le fond de sa cage, tout faible. Malgré les bons soins du vétérinaire, Charlot est mort quelques heures plus tard. Était-il déjà trop tard ce matin-là?

Ces deux histoires bien réelles parlent d’une bien triste réalité pour les propriétaires d’oiseaux. Nous voilà, ici, devant un grand classique des urgences vétérinaires: quand le propriétaire s’aperçoit que son oiseau est malade, il est parfois, je dirais même souvent, déjà trop tard. On se doit donc d’être vigilant pour voir venir les signes avant-coureurs… Propriétaires d’oiseaux, ouvrez les yeux!

Les oiseaux, encore plus cachotiers que les chats!

Les oiseaux ont un don de camouflage. Ils cachent très habilement leurs symptômes quand ils sont malades. Ils font un peu comme si de rien n’était! C’est probablement leur instinct de proie qui les rend si cachotiers, car, dans la nature, une proie qui démontre des signes de faiblesse devient la cible parfaite des prédateurs.

En tant que propriétaire d’oiseaux, il faut absolument être à l’affût de tous petits changements subtils chez eux afin d’intervenir à temps. Si vous êtes un bon observateur, ils pourraient bien vous démontrer que quelque chose ne va pas avant que les premiers signes plus généraux et plus sévères d’une maladie n’apparaissent.

Quatre vérifications de routine pour évaluer la santé de votre oiseau

Voici une liste de quatre vérifications de routine qui vous permettront de détecter un problème chez votre oiseau:

Votre oiseau mange-t-il ou fait-il seulement semblant? Vérifiez les graines jetées au sol. Si elles ne sont pas ouvertes et écaillées, c’est que votre oiseau ne mange pas. Il fait semblant.

Est-ce que les fientes de votre oiseau ont changé en apparence (couleur, texture) ou en quantité? Cela peut indiquer un problème de santé.

Votre oiseau est-il maigre et chétif? Ne vous fiez pas à son plumage bien gonflé qui vous cache peut-être la vérité. Si vous le pouvez, touchez à sa poitrine, au niveau du bréchet. Sentez-vous une poitrine bien musclée et bombée ou est-ce seulement l’os du bréchet et la peau?

Votre oiseau a-t-il changé de comportement? A-t-il arrêté de chanter par exemple? Tout changement de comportement qui sort de la petite routine habituelle pourrait vous indiquer un problème.

Si vous constatez un seul de ces changements, c’est le temps de consulter un vétérinaire le plus rapidement possible avant que la situation ne se dégrade. Vous devriez obtenir une consultation dans la même journée. Vous avez manqué le bateau? Vous n’avez pas eu l’oeil de lynx pour détecter les changements subtils? Alors, voici les symptômes généraux d’un oiseau déjà très malade:

L’oiseau a le plumage tout ébouriffé ou tout gonflé.
L’oiseau a les yeux à demi fermés.
L’oiseau ne réagit pas à vous ou ne répond pas à son environnement comme avant.
L’oiseau est prostré au fond de la cage et ne se perche plus.
Sa queue produit un battement rythmé de l’avant à l’arrière, tout comme un balancier.

Ces symptômes devraient sonner l’alarme. Il faut consulter un vétérinaire immédiatement, en urgence. Il n’est plus du tout question d’attendre!

Infos-conseil


Un oiseau malade, c’est toujours une urgence. Si votre oiseau vous démontre quelque changement subtil, vous devez consulter son vétérinaire dans la journée. Avec les oiseaux, on n’attend pas.
Ce ne sont pas tous les vétérinaires qui sont en mesure de prodiguer des soins aux oiseaux. Il s’agit ni plus ni moins d’une «spécialité», si on peut dire. Assurez-vous de consulter un vétérinaire bien équipé et compétent pour soigner votre oiseau en tout temps.
Quoi faire en attendant le rendez-vous? Recouvrez la cage avec une couverture pour procurer de la chaleur, du calme et de la noirceur à votre oiseau. Gardez-le au calme. Ne le dérangez pas et ne le stressez pas. Installez son perchoir le plus bas possible dans la cage. Approchez la nourriture et l’eau le plus près de lui possible pour lui éviter toute dépense d’énergie.


http://fr.canoe.ca/

Montréal: des tresors dans notre pelouse


C’est une très belle leçon que nous donne cette herboriste qu’on soit a Montréal ou ailleurs … finissons avec les engrais chimiques et profitons de ce que la nature nous offrent gratuitement comme nos ancêtres faisaient

Montréal: des trésors dans notre pelouse



L’herboriste Anny Schneider


Depuis plusieurs années, l’obtention d’un gazon bien vert et d’une pelouse bien homogène obsède nombreux détenteurs de terrain. Pourtant, cette recherche de la perfection est un stress inutile selon l’herboriste Anny Schneider.

Pour cette passionnée du monde végétal, plutôt que se donner des maux de tête à tenter d’arracher encore et encore les herbes non voulues afin d’obtenir un parterre à en faire rougir les voisins, on devrait plutôt, en tant que société, s’intéresser aux trésors qui y poussent et ce, même en plein cœur du centre-ville de Montréal.


«Pour moi, Montréal est une pharmacie, un garde-manger. C’est un sol très riche et très fertile. Aussi, il y a aussi une grande biodiversité qui est parallèle à la diversité culturelle»,
lance d’entrée de jeu Mme Schneider rencontrée au beau milieu d’un terrain vague tout juste en bordure de l’entrée nord du pont Jacques-Cartier.

Un endroit où le bruit des camions est envahissant mais où, malgré la pollution, se prélassent de nombreuses plantes aux vertus étonnantes.

De tout n’importe où

Cette friche renferme en son sol, aux dires de l’auteure de plusieurs livres dont Plantes sauvages médicinales et La pharmacie verte, une vingtaine de plantes différentes dont l’Herbe de Sainte-Barbe qui regorge de souffre et de vitamines C. On y retrouve aussi des fleurs de trèfle rose «très bonnes pour drainer les reins et la lymphe».

Selon cette herboriste, ce sont près de trois cents à quatre cents plantes, arbres et arbustes comestibles et aux capacités médicinales qui poussent dans la métropole du Québec. Comme quoi nos pelouses et terrains vagues renferment des richesses vertueuses pour notre santé et ce, gratuitement.

Ignorance

Face à cette conclusion, pourquoi tente-t-on sans relâche de tondre et couper ces «mauvaises herbes» ou herbes envahissantes?

«Un peu par stupidité et méconnaissance, explique-t-elle en citant l’exemple du Lierre terrestre, une plante que l’on retrouve partout. «Ça fait partie des trésors de nos pelouses. D’ailleurs, ça soigne beaucoup de maladies ORL, tout ce qui est nez, gorge et oreilles. C’est aussi un adoucissant et un désinfectant».

En plus, la jolie petite fleur mauve du Lierre terrestre est comestible et peut porter secours à tous ceux qui souffrent d’allergies saisonnières.

Autre exemple de notre ignorance est le mal-aimé et célèbre pissenlit. Cette plante, terreur de l’objectif vert de notre terrain, est bon à la consommation et thérapeutique. La fleur du pissenlit est même recommandée pour contrer la dépression saisonnière.

Cueillir les plantes: comment s’y prendre?


Évidemment, cueillir et concocter les plantes que vous offre votre jardin est une idée alléchante et économique, toutefois, certaines se ressemblent sans posséder les mêmes qualités.

«C’est vrai que l’on peut confondre mais au Québec on retrouve que 5 % des plantes qui sont vraiment toxiques. La plupart sont bénéfiques mais il ne faut pas les confondre!», indique cette Alsacienne qui a fait du Québec son terrain de jeux.

Au Québec, il existe comme ressource la Guilde des herboristes du Québec qui compte 350 membres.

«L’herboriste connaît la plante de la graine à la graine, dans toutes ses manifestations. C’est savoir la cueillir au bon moment et la transformer et la recommander pour le bon malaise», précise Anny Schneider qui avoue que l’herboristerie peut être associée au «charlatanisme», en raison de vieux clichés.

 

«Il y en a toujours eu des vendeurs de pilules itinérants qui recommandent n’importe quoi pour faire la «piasse»


«Même aujourd’hui, on vend par exemple de l’ortie en capsule à 30 dollars pour 30 capsules… Pour moi, c’est une aberration, alors que l’ortie, ça pousse même en ville et en abondance. Y’a rien de mieux qu’utiliser la plante fraîche».


Et la pollution des grandes villes dans tout ça?

«On survit bien avec l’air pollué, les plantes aussi. Elles aiment le monoxyde de carbone», conclut-elle simplement.

Guilde des herboristes: www.guildedesherboristes.org
Anny Schneider: annyschneider.com

http://fr.canoe.ca

Un ado prétendait vendre des enfants sur Internet


Heureusement que des enfants n’étaient pas en réel danger, et que des internautes ont dénoncé a la police cette annonce. Mais on se demande ce qui peut se passer dans la tête de certains jeunes pour faire ce genre de chose. De l’argent ???

Un ado prétendait vendre des enfants sur Internet


CHATHAM, Ont. – Un adolescent de 16 ans de Chatham, en Ontario, a reçu un avertissement sévère de la police après avoir publié une fausse annonce sur Internet, dans laquelle il mettait deux enfants en vente.

Les policiers ont dit avoir été alertés jeudi soir à propos d’une annonce placée sur le site de petites annonces en ligne Kijiji.

Selon les enquêteurs, l’annonce présentait des photos et disait que les enfants devaient absolument être vendus dans un délai d’une semaine, sans quoi ils se retrouveraient à la rue.

La police a retracé le jeune homme, qui a admis que l’annonce était un canular.


Les enquêteurs ont confirmé qu’aucun enfant n’était en danger.

L’adolescent a reçu un avertissement pour son geste, mais aucune accusation n’a été portée.


http://actualites.ca.msn.com

Maisons des sinistres Inondees et toxique


Quand les sinistrés de la Montérégie verront les eaux se retirer complètement, leur cauchemar ne sera pas fini. Il y aura des maisons condamnées et devront être détruites, d’autres auront besoin d’un grand nettoyage J’ai vue sur Facebook que la sécurité civile obligeaient des citoyens d’aller dans les refuges le soir jusqu’au lendemain matin. Certains criaient a la dictature car certains refusaient de quitter leur maison, mais pourtant c’est pour le bien des citoyens et cette articles viens confirmer le danger de respirer les moisissures dans les maisons inondées qui pourraient amener des problèmes respiratoires sévères

 

Maisons des sinistrés Inondées et toxique

Maisons des sinistrés - Inondées et toxiques

inondées du Richelieu.

© Agence QMI
Isabelle Maher

À la demande du Journal, une entreprise spécialisée en qualité de l’air a mesuré les niveaux de toxicité à l’intérieur de quelques maisons de sinistrés. Les résultats d’analyse indiquent clairement un sérieux danger pour la santé des occupants. 

Une forte odeur de moisissure vous saute à la gorge et vous laisse une sensation de brûlure dans les voies respiratoires. Vous toussez sans pouvoir vous arrêter. Vous finissez par vous demander si, à force de visiter des maisons inondées et d’entendre parler de moisissures, vous ne seriez pas en train de développer des maladies imaginaires…

«Pas du tout», tranche Gino Dechamplain, spécialiste en qualité de l’air intérieur.

Pour visiter ces maisons inondées depuis quarante jours, nous aurions dû porter des masques de protection. «Mais il ne fallait pas faire peur aux sinistrés, ils n’ont pas besoin de ça», lance-t-il.

Maître en Environnement, Gino Dechamplain a fondé Enviro-Option, une entreprise d’investigation en environnement intérieur. Avec lui, nous avons sillonné les quartiers fortement affectés par les inondations.

L’objectif : offrir aux sinistrés qui le souhaitent l’analyse du niveau de toxicité de l’air à l’intérieur de leur résidence.

«Enfin de l’aide !», s’est réjouie Pierrette Leclerc, une résidante de St-Blaise qui refuse de quitter sa maison et veille au fonctionnement de la pompe qui assèche le sous-sol de sa demeure. «On ne sait pas quand ça va finir, on ne fait rien d’autre», confie-t-elle.

Des maisons insalubres

Au total, quatre propriétaires de maisons inondées nous ont permis de recueillir des échantillons d’air à l’intérieur de leur domicile et de mesurer les degrés d’humidité.

Comme plusieurs maisons de la région, toutes les résidences que nous avons visitées avaient un sous-sol non fini ayant été inondé. Beaucoup d’occupants ont quitté leur demeure. Les résultats d’analyse des échantillons en laboratoire confirment ce que plusieurs soupçonnent : les lieux sont pour la plupart devenus insalubres.

«Plus le temps passe, plus l’eau reste et plus la contamination augmente», explique monsieur Dechamplain.

Selon nos observations, les résidences dont les fenêtres ont permis une bonne aération obtiennent les moins pires résultats. «Mais il suffit d’une pluie ou d’un manque d’aération pour que les spores du sous-sol contaminent l’air à l’étage supérieur», prévient l’expert.

Une fois l’eau retirée, le nettoyage et la restauration doivent être faits selon les règles de l’art pour éviter la propagation de contaminants.

«L’après-sinistre sera pire, les gens devront bien s’informer avant d’entreprendre des travaux de déconstruction et de nettoyage. Gare aux mauvaises informations», prévient Gino Dechamplain.

http://fr.canoe.ca