Il est un temps …


Ne laissons pas le coeur se refermer car il peinera a s’épanouir

Il est un temps …

«Il est un temps où le coeur exulte, il est un temps où il se referme sur lui-même, et c’est alors que la difficulté d’être commence !»


Vasco Varoujean

Le chemin de la liberté


On aime pour plaire, on aime pour s’amuser, pour recréer mais c’est quand on aime pour aimer avec nos besoins qui peuvent devenir un complément d’un autre amour sans plus ni moins

Le chemin de la liberté


.


 

Une rumeur s’était répandu dans ce pays-là, d’abord silencieusement, puis de façon plus insistante.

Il y a comme cela des paroles muettes qui circulent entre des êtres en recherche.

Quelqu’un prétendait connaitre l’existence d’un sage
ayant découvert tout seul le chemin de la liberté.



Un adolescent, un jour, entreprit le voyage et se renseigna.
On lui indiqua une direction, et sur le chemin qu’il suivit,
il rencontra l’amour d’une fille qui ne cherchait pas la liberté
mais qui avait besoin surtout d’être aimée.
Il l’aima donc et quand elle fut sûre d’être aimée, elle put le quitter.
Il y a comme cela des amours de besoin, qui s’épuisent quand ils sont satisfaits.
Le jeune homme se retrouva seul.


Il reprit sa route et en rencontra une qui l’aima et se laissa aimer.
Il grandit dans cet amour-là jusqu’au jour où il fut suffisamment grand pour quitter l’aimante.
Il y a comme cela des amours pépinières, qui permettent de croître.
Il reprit le chemin et durant plusieurs années parcourut la solitude.


Un matin, il s’éveilla avec un désir, celui de rencontrer un autre désir.
Il le rencontra et ce fut la fête. La fête dura mille jours et mille nuits.
À l’aurore d’une nuit, il se quittèrent, comblés, rassasiés, chacun tellement émerveillé l’un par l’autre qu’ils imaginèrent que rien de plus beau ne pourrait leur arriver.
Aussi, chacun de leur côté multiplièrent-ils les rencontres.
Lui en trouva beaucoup, beaucoup.

Un jour cependant, il reprit le chemin, et sur ce chemin il rencontra une femme qui lui demanda avec ferveur :
agrandis-moi, prolonge-moi, donne-moi un enfant de toi.

Il lui en donna cinq.
Il croyait à la générosité de la vie.
Quelques années plus tard, un midi de plein soleil, il reprit le chemin.
Ce n’était plus un jeune homme, c’était maintenant un homme traversé de cicatrices,à la fois vulnérable et puissant, qui s’avançait sur le chemin de la liberté.

Il lui fallut encore d’autres rencontres, d’autres errances,
d’autres enthousiasmes et d’autres étonnements pour découvrir
et rencontrer enfin le sage de la liberté.


Quand ils furent face à face, l’homme interrogea le sage sur son secret, sur le meilleur de son enseignement, sur la rigueur de sa recherche, sur le nom des maîtres qu’il avait eu,
sur les souffrances et les thérapies engagées qu’il avait traversées.


Le sage ne répondit à aucune des questions.
Il dit seulement :

” La seule connaissance intime que j’ai est liée à ma seule découverte: je sais aujourd’hui dire non ou oui, sans me blesser. “

Ainsi se termine le conte de l’homme qui chercha longtemps,
longtemps, le chemin de la liberté.


Auteur: Jacques Salomé

Truc express ► Blanchir le linge blanc, lavé à la main‏


Un petit truc facile a faire .. beau, bon et surtout pas cher ..

Blanchir le linge blanc, lavé à la main

Nos grands-mères connaissaient bien ce truc, qui est encore efficace de nos jours pour blanchir un vêtement blanc qu’on lave à la main.

Glissez dans l’eau du rinçage un sac en filet contenant quelques restes de citron ou des coquilles d’oeufs broyées.

7 Jours/Les meilleurs trucs de Madame Chasse-tâches/Par Louise Robitaille/Avril 2011

Les montagnes sacrées dans le monde


Les montagnes règnent dans ce monde par leur prestance et leur force et certains y voient une forme de divinité donnant la force. Gravir ses montagnes c’est d’acquérir la fierté d’y avoir réussi

Les montagnes sacrées dans le monde

Ces montagnes chargées d’histoire et de légendes attirent de nombreux pèlerins depuis des siècles.

Le plus grand monolithe du monde, le Uluru ou « Ayers Rock ».
le plus grand monolithe du monde, le uluru ou 'ayers rock'.

© Odette Lefebvre

Le Mont Fuji au Japon
mont fuji
© kalafoto – Fotolia

Huang Shan en Chine, le massif des poêtes
mont huang shan

© Ignatius Wooster – Fotolia

Le mont de l’arche de Noé en Turquie
mont ararat

© Jsmuellner – Fotolia

La montagne divine de Bali
le mont agung vu du ciel

© Loïc Despres

Le Kilimandjaro, montagne sacrée des locaux
le kilimandjaro côté kényan

© Joël Dallio- Fotolia

Kailash, montagne sacrée du Tibet
le kailash

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Tai Shan en Chine, le mont des empereurs
tai shan

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L’Etna, berceau de la mythologie
l'etna et le village en contrebas

© Ollirg – Fotolia

Le domaine des dieux de la mythologie grecque
mont olympe

© Matthieu78 – Fotolia

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Trente ans de sida


Je me souviens des premiers cas de sida quand je travaillais a l’hôpital .. les premiers années II fallait mettre masque, gants et blouse  pour notre protection ..et le patient était isolé .. plus tard on pouvait rentré et sortir de la chambre sans problème mais comme pour tous les patients les gants étaient nécessaire … Mais il y avait et doit surement y avoir encore des gens qui ont peur de les approcher .. Enfin, même si on peut vivre longtemps tout en étant séropositif, personne n’est a l’abris Aller galvauder a gauche et a droite sans protection … on fait du tord a soi-même mais aussi aux autres, sans compter que ceux qui ont été contaminer par le sang ..eux aussi aimeraient ne pas avoir cette épée en haut de leur tête

Trente ans de sida


Trente ans de sida
Partout dans le monde des rubans rouges ont été ditribués et affichés pour souligner la journée mondiale de lutte contre le SIDA.
Photo, PC
Christine Courcol
Agence France-Presse
Paris

Le sida, une maladie incurable apparue il y a 30 ans et qui a fait quelque 30 millions de morts, a bouleversé le monde, suscitant un effort financier exemplaire, une mobilisation tous azimuts et des avancées médicales spectaculaires.

Le sida est apparu le 5 juin 1981, il y a 30 ans.

Ce jour-là, le Centre de contrôle des maladies d’Atlanta fait état, chez cinq jeunes homosexuels de Californie, d’une pneumonie rare qui ne frappait jusqu’alors que des sujets fortement immunodéprimés.

Un mois plus tard, un cancer de la peau très rare est diagnostiqué chez 26 homosexuels américains. On parle alors de «cancer gai». La maladie sera baptisée l’année suivante du nom de syndrome de l’immunodéficience acquise, ou sida.

En 1983 une équipe française isolera le virus, transmis par le sang, les sécrétions vaginales, le lait maternel ou le sperme, qui attaque le système immunitaire et l’expose aux «infections opportunistes» comme la tuberculose ou la pneumonie.

Ces 30 ans de sida, rythmés par des millions de morts, des familles disloquées, des enfants d’Afrique orphelins, une stigmatisation rampante, l’ont été aussi par de grands succès face à un virus insaisissable. En 1996, l’arrivée des trithérapies change la donne : de maladie forcément mortelle, le sida devenait maladie chronique.

Le Fonds mondial, créé en 2002, verse en huit ans près de 22 milliards de dollars de subventions. Les États-Unis mettent en place un «programme d’urgence», le Pepfar. La Fondation Bill Gates consacre beaucoup d’argent à la maladie.

«Le sida a changé le monde, un nouveau lien social s’est créé entre pays du nord et du sud, ce qui ne s’est jamais produit pour aucune autre maladie», souligne Michel Sidibé, directeur de l’Onusida.

Les malades homosexuels participent eux aussi à la lutte, à leur façon. Ils deviennent «patients experts», racontent aux spécialistes leur vécu de la maladie, font remonter les besoins, parlent des effets indésirables des traitements, raconte Bruno Spire, qui préside l’association Aides.

Mais comme la maladie ne tue plus mais ne guérit pas, le nombre des personnes infectées va croissant et il faut toujours plus de recherche, plus de traitements, plus d’argent.

Au bout du compte, seulement une personne sur trois qui auraient besoin de traitement en bénéficie. Pire, pour deux personnes qui entrent dans le traitement, cinq sont nouvellement infectées. Les efforts s’axent donc sur la prévention.

«Nous avons besoin d’une révolution de la prévention, car c’est impossible d’imaginer qu’on sortira de l’épidémie par les traitements et même qu’on pourra traiter tous ceux qui en ont besoin», dit Seth Berkley, qui dirige l’ONG.


De nouvelles stratégies se font jour: la circoncision, qui protège jusqu’à deux hommes sur trois, un gel microbicide, qui semble prometteur pour les femmes, la mise sous traitement des malades, qui réduit à quasi rien le risque de transmission sexuelle…

Mais les premiers effets sont lents à venir, et 30 ans après ses débuts, en dépit de la mobilisation et en l’absence de vaccin, le sida est loin d’être vaincu. Sans compter que, selon le Fonds mondial, les financements prévus pour les années à venir sont clairement inférieurs aux besoins et rendront «impossible d’assumer certaines interventions fondamentales».

En outre les deux tiers des séropositifs dans le monde ne savent pas qu’ils le sont et propagent la maladie. En France ils sont environ 50 000. Une enquête conduite dans des bars, saunas et backrooms gays de Paris estime à près de 18% la contamination des clients, dont 20% qui l’ignorent.

Il est vrai que le sida n’est toujours pas une maladie comme les autres et que souvent on préfère ne pas savoir. «C’est toujours aussi difficile à dire qu’il y a 30 ans, ça reste entaché de l’image de maladie honteuse, ce qui n’incite ni à en parler ni à se faire dépister», relève Bruno Spire, lui-même séropositif.

«Le sida a été l’épidémie majeure du XXème siècle et reste celle du XXIème», relève le Pr Jean-François Delfraissy, de l’Agence de recherches sur le sida.

http://www.cyberpresse.ca

Le langage du chat


Si cela vous intéressent ou pour un rappel voici un autre billet que j’avais mit il y a quelques mois (cliquer) La langue des chats ou l’on apprend le langage de la position de la queue du chat

Le langage du chat

Anne Pensis, vétérinaire


Attitudes corporelles, dépôt de phéromones et vocalises comptent parmi les nombreux moyens de communication du chat. Une interprétation correcte des ces messages permet une bonne entente avec votre félin..

Bien-être félin
Lorsque votre chat se sent en sécurité et en confiance auprès de vous, il manifeste son bien-être en ronronnant et parfois en pétrissant vos habits ou une couverture avec ses pattes antérieures pour y déposer des phéromones apaisantes. Votre ami félin, heureux de vous voir, manifestera sa joie en venant frôler vos jambes, dans l’attente de caresses. Enfin, un chat qui se sent bien n’hésite pas à s’endormir paisiblement de nombreuses heures pendant la journée et mange volontiers les croquettes que vous lui offrez.

Un chasseur né
Lorsqu’il a détecté la présence d’une proie potentielle (insectes, jouet, petit rongeur… ou vous!), votre chat peut rester à l’affût, immobile, ses pupilles dilatées, le corps contre le sol, près à bondir. A ce moment, on peut aussi parfois observer des petits mouvements brusques de la queue. Lorsque ses oreilles se couchent sur le côté, le saut vers la victime est en général imminent!

Peur et agressivité
Le sentiment de peur chez les chats provoque très souvent un hérissement de la queue. Parfois, lorsque l’émotion est intense, les poils du dos se hérissent également et les oreilles s’aplatissent sur le côté. Si votre chat a décidé de se défendre contre son agresseur ou l’objet de sa peur, il prévient parfois en soufflant, ses canines mises en évidence par sa bouche grande ouverte. S’il prend une telle attitude envers vous, mieux vaut le laisser se calmer seul. Toute tentative de manipulation à ce moment ne fera qu’envenimer sa colère! Enfin, le chat marque souvent son agacement par de larges battements de queue, parfois suivis de griffades voire de morsure si on ne le laisse pas en paix.

Un territoire apaisant
Lorsque votre chat se sent chez lui dans la maison, il dépose des repères sur les objets et meubles familiers par l’intermédiaire de phéromones. Vous pouvez alors observer qu’il frotte sa tête ou son corps sur les endroits choisis. Ainsi marqué, son territoire sera un endroit apaisant et réconfortant pour lui. S’il n’est pas stérilisé, votre chat peut aussi marquer son territoire et communiquer avec ses semblables à l’aide de petits sprays d’urine contre des surfaces verticales. Ce comportement n’est pas très agréable pour les habitants humains de la maison qui doivent supporter l’odeur intense de ces jets d’urines!


Chat en souffrance
Le chat qui refuse de manger, s’isole, se cache ou néglige sa toilette est peut être malade et doit être examiné rapidement par un vétérinaire. Un stress intense causé notamment par des conditions de vie inadéquates (cohabitation avec d’autres animaux, déménagement…) peut aussi être à l’origine de souffrance chez les chats. Lors de grande détresse et même parfois juste avant de mourir, le chat ronronne parfois. Peut-être essaie-t-il ainsi de trouver un petit peu de réconfort, à la manière dont le rassurait sa mère quand il était chaton…


Enfin, certains chats en souffrance se plaignent en émettant des miaulements souvent prolongés et parfois de forte intensité

http://www.e-sante.be/

Montérégie : Situation prévisible ?


Avec un tel rapport datant de quelques années ou on prévoyait la possibilité que la rivière ferait des siennes et on comprend  que les citoyens qui vivent dans l’eau depuis plus d’un mois sont en colère .. sans compter qu’il aurait pu diminuer l’impact de l’inondation en ouvrant le canal Chambly … mais les riches d’abord …les autres qu’ils endurent Il y a de quoi a désespérer

Montérégie : Situation prévisible ?

Héloïse Archambault

Montérégie - Situation prévisible ?En 1981, la Commission mixte internationale avait recommandé au gouvernement de construire un barrage « de manière urgente » afin d’éviter les inondations printanières.

© Maxime Landry/Agence QMI

Trente ans après un rapport destiné à contrer les inondations printanières, voilà que les sinistrés du Haut-Richelieu paient le prix de l’inaction gouvernementale.

En 1973, la Commission mixte internationale (CMI) a été mandatée par les gouvernements canadien et américain pour se pencher sur la régularisation du niveau d’eau de la rivière Richelieu dans le but d’éviter des inondations printanières.

Dans le rapport déposé en 1981, dont le Journal a obtenu copie, la CMI recommandait que «les gouvernements responsables entreprennent de manière urgente la gestion des plaines inondables » et « le développement d’un système de prévision d’inondations aussi tôt que possible ».

Élargissement du canal

Afin d’y parvenir, la construction d’un barrage à Saint-Jean-sur-Richelieu avait notamment été évoquée comme solution potentielle. La CMI n’avait toutefois pas émis de recommandations claires à cet effet.

Trente ans plus tard, aucun système de prévision n’a été mis de l’avant sur la rivière Richelieu,
confirme le gestionnaire des initiatives stratégiques de Parcs Canada, Luc-André Mercier.


Autre facteur : l’élargissement du canal de Chambly, entre 1970 et 1974, a eu pour effet d’engendrer une hausse du niveau d’eau sur le lac Champlain, peut-on lire dans le rapport de la CMI.
Citoyens exaspérés

En 1997, dans une entrevue accordée au journal le Canada Français, un résidant de Venise-en-Québec, André Florent, avait prédit que les inondations deviendraient plus longues et plus fréquentes. Aujourd’hui, il dénonce l’inaction du gouvernement.

« Il n’y a rien de surprenant dans ce qu’on vit, déplore- t-il. Ils auraient dû construire un barrage, ils savaient le risque qu’ils couraient.»

« Tout est écrit dans le rapport, c’était noir sur blanc », ajoute Guy Langlois, un sinistré qui se penche aussi sur ce dossier depuis plusieurs années.

« N’importe qui voyant la situation actuelle conclut qu’il faut faire quelque chose, avoue Luc-André Mercier. Mais de là à dire qu’un barrage aurait fait une différence, il faudrait voir. »


Ouvrir le « bouchon »

Par ailleurs, plusieurs sinistrés rencontrés au cours des dernières semaines rageaient contre Parcs Canada, qui refuse d’ouvrir le canal de Chambly.

Selon eux, cette mesure ferait baisser de manière considérable le niveau d’eau en amont, soit vers le lac Champlain.

« Il faut qu’ils ouvrent le bouchon, poursuit André Florent. Ils refusent parce qu’il ne faudrait surtout pas qu’il y ait de l’eau sur les terrains des millionnaires un peu plus bas. »


Plusieurs appels par jour

Luc-André Mercier dit recevoir en moyenne cinq appels par jour de citoyens qui demandent l’ouverture du canal. Or, il affirme que cette opération équivaudrait à « prendre une cuillère à thé d’eau dans un bain plein ».

« En plus de ne rien changer, ça créerait des dommages importants à la structure du canal et on ne veut pas inonder les citoyens plus bas », explique-t-il.

« Le gouvernement prend notre argent pour se protéger et il ne daigne même pas venir nous aider », ajoute Guy Langlois.

http://fr.canoe.ca